Joachim Encore !
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Au bureau lautre soir, javais un très lourd dossier à boucler. A 18H les collègues sont tous partis et je suis seule plongée dans les feuillets et dossiers. Cest le bruit de lascenseur qui me tire de mes réflexions professionnelles. Ce sont les agents de la société de nettoyage qui investissent les locaux pour effec leur mission. Je me replonge dans mon travail. Joublie leur présence quand jentends frapper à la porte vitrée de mon bureau. A mon invitation dentrer, un des hommes me salue et me demande lautorisation de venir nettoyer mon bureau. Je suis de mauvaise humeur, je voudrais bien finir et rentrer. Je lui réponds sèchement avec même, un peu de mépris et de suffisance. Je replonge dans mon travail, il entre et commence à nettoyer en passant laspirateur sur la moquette. Mon bureau est ouvert sur le devant et à un moment je surprends son regard qui cherche à mater mes jambes. Je me rends compte que dans ma concentration jai les jambes légèrement écartées. Je comprends vite quil doit voir ma petite culotte bleue. Cest une culotte shorty, flottante et mal ajustée aux cuisses. Je porte des bas noirs qui tiennent mi cuisses par des élastiques. De là à voir les poils de mon minou
Trop absorbée par mon travail, je néglige son regard et même je ne me préoccupe pas plus de sa présence.
Un détail me ramène à la réalité ! Je le retrouve à genoux devant mon bureau en train de nettoyer sa façade. Cette fois cest sûr il mate. Instinctivement je serre les cuisses. Mal à laise. Une seconde après, devant moi apparaît son visage souriant, malin. Il a une bouille toute ronde, noire avec de grosses lèvres carmin. Ses yeux sont énormes !
- Mdame a une jolie culotte bleue. Foued a vu et cest jouli !
Son accent est très marqué mais sympathique mais je le trouve vraiment culotté. Je choisis de ne pas répondre et de me replonger dans mon travail, avec une moue de mépris.
Tout létage est occupé par nos nombreux bureaux qui sont une succession de cellules encadrées de verre. Pas de murs opaques On est vu de partout et par tous. Ils sont trois autres dont une femme qui saffairent au nettoyage des locaux.
Soudain mon sang se glace, je reconnais lun dentre eux. Un ami de Joachim ! Comment cela est-il possible, ici, au bureau loin de chez nous ? Pas de doutes dailleurs quand il croise mon regard, il me lance un sourire qui en dit long ! Il va même à me faire un coucou de la main. Je plonge mon regard sur mon bureau. Je dois être toute rouge, surtout que le noir devant moi est reparu et me regarde dans les yeux sans vergogne.
- Mdame a une jolie culotte, répète-t-il.
Je suis décontenancée, complètement déstabilisée par ce qui se passe. Et quand il ajoute :
- Foued aimerait bien la prendre.
- Mais vous êtes fou !
- Ami Joachim a dit que vous voudrez bien, mdame. Sinon
Mon dieu, Joachim leur a parlé. Je suis encore dans ce cauchemar. Il vient de disparaître sous le bureau et je sens deux mains qui remontent le long de mes cuisses, passent sous ma jupe pour atteindre la culotte. Sans violence mais fermement, elles sen saisissent et tirent vers le bas. Dans un réflexe inutile, je moppose et retiens ma culotte. Peine perdue, je la sens qui descend le long de mes cuisses. Je tente encore de serrer mes jambes mais les deux mains les écartent et soulevant mes pieds, me déculottent. Je suis nue assise encore sur mon fauteuil sur lequel je me cramponne quand les mains tentent décarter mes cuisses. Mais elles sont trop déterminées et mes jambes souvrent. En vérité, je commence à mouiller. Alors je laisse faire, je laisse deux doigts commencer à atteindre mon sexe, fouiller mes lèvres et me pénétrer.
- Mdame, elle aime. Joachim il a dit, cest vrai. Elle est toute coulante. Hummmm !
Je ferme les yeux et me laisse aller, avançant mon bassin au bord du fauteuil pour aider à la caresse. Il sait y faire, ses doigts jouent avec mon petit bouton en caressant en même temps mes lèvres ouvertes. Je me sens venir, même si la honte me submerge.
- Alors, la dame, on aime, hein ? On naime pas Foued mais on aime ses doigts !
- Non, arrêtez, vous navez pas le droit ! Je me plaindrais.
- Allons ptite dame, Joachim a dit quon pouvait tout faire, quelle dira rien et que elle aimes.
Cest de moi quil parlait !
Maintenant je sentais quil avançait entre mes cuisses. Sa tête écartait mes jambes mouvrant encore plus à sa vue. Affalée jattendais de sentir sa bouche me prendre mon sexe et me lécher. Je devenais folle, perdant tout contrôle de moi. Je mentendais geindre. Et quand sa langue à commencé à jouer avec mes lèvres, je me ne pus contenir un petit cri et ma main a pris sa tête pour la plaquer contre mon sexe en feu. Javais perdu toute réserve même si de temps en temps un « non » sortait de ma bouche. Il allait me faire jouir. Je me suis crispée quand un doigt a pénétré mon petit trou et senfonça lentement avant de se mettre à me branler. Je sentais ma mouille couler et ses lèvres la boire. Je ne savais plus ce qui se passait autour de moi. Je me pinçais les seins pour me donner encore plus de plaisir. Et lorgasme, fort, brutal me submergeât ! Je jouis longuement hors dhaleine, plein dimages pornographique dans ma tête.
Quand je repris mes esprits, il était devant moi hilare, le visage plein de ma mouille. Il suçait ses doigts tout justes sortis des mes orifices. Et soudain je vis derrière lui, les trois autres, qui riaient en assistant à la scène.
Cest lami de Joachim qui sapproche maintenant. Il a sorti sa bite et se branle sans honte devant moi.
- Je vois que Madame est toujours aussi salope ! Joachim a raison.
Comme il dit ces mots je me ressaisis et minvente une prestance.
- Vous vous croyez où ? Vous êtes dans mon bureau et cela va vous coûter cher.
Mais ma révolte est vaine, je le sais, ils me tiennent. Et puis jai envie, je le sais, de me faire prendre renonçant à toute prudence. Je regarde le troisième homme comme pour solliciter une aide, un secours. Mais il ricane à son tour ! Seule la jeune femme garde de la tenue et semble me respecter.
Le noir qui ma léché à me faire jouir exhibe bien haut ma culotte :
- A qui est cette ptite culotte ? Crie-t-il tout fort. Et il la fait tournoyer au dessus de sa tête. Ils rient tous. Jai honte, surtout quil la porte à son nez et la renifle en disant à la ronde :
- Elle sent bon le coulis de mdame. Elle sent bon son pipi aussi.
Je ne sais plus où me mettre. Mais je sens que je mouille et que sans culotte je vais tacher mon fauteuil. Lami de Joachim sapproche, il contourne mon bureau et passe derrière moi. Je me raidis quand je sens ses mains se poser sur mes épaules. Elles glissent lentement sur le devant pour se saisir de mes seins au dessus de mon chemisier. Mon soutien gorge est en fin coton et je sens bien la chaleur des ses paumes. Il pince les tétons. Jessaie de lui faire lâcher sa prise, mais ma défense est molle, je suis déjà soumise, je le sais. Je nai plus aucune résistance, même si je proteste mollement par des mots sans force ni conviction. Devant, ils regardent, jai honte et cela mexcite. Exhibée là, dans mon bureau, où je croise clients et collègues tout le jour.
- Vous voulez voir ses seins ? Dit-il en ricanant, sans même regarder ses collègues. Et sans attendre la moindre réponse, il déboutonne lentement mon chemisier. Je tente de len empêcher.
- Allons laisse aller Madame, cest bon, tu vas voir.
Ce tutoiement soudain me donne une bouffée de chaleur. Humiliée, ça mexcite. Il me considère comme une femelle à lui. Je me résigne et le laisse ouvrir et ôter mon chemisier. Il prends le haut des bonnets de mon soutien-gorge, les baisse faisant jaillir mes tétons. Ils sont durs à me faire mal. Il les fait rouler entre ses doigts, je gémis. Je sens le plaisir menvahir de nouveau. Tripotée, exhibée, humiliée tout concours à ma jouissance. Je ferme les yeux mabandonnant à la caresse.
- On va tous te baiser salope, et tu ne demandes que ça, je sais.
Il menlève mon soutien gorge et me fait lever. Ma jupe est enlevée aussi. Il me laisse mes bas et mes talons hauts.
- Elle est belle hein les amis ? Tient madame fait nous voir comment tu marches à poil.
Là je sens que mes jambes mabandonnent. Je crains de mévanouir. Il me donne une tape vulgaire sur les fesses et me pousse au milieu de mon bureau. Jhésite mais lexcitation est la plus forte, et comme un automate, je me mets à marcher lentement et même je me surprends à onduler des hanches pour faire encore plus sexy. Les hommes sifflent, la femme rigole. On me fait marcher de face, de dos. Les insultes et quolibets fusent :
- Quel cul !
- Les jolies jambes !
- Quelle chienne !
Ils y vont tous de leurs commentaires plus ou moins salaces. La jeune femme ouvre la porte vitrée de la pièce et me pousse dans le couloir. Elle referme la porte derrière moi minterdisant tout replis, bien inutile en vérité dans ce dédale de murs transparents.
- Allez, avance, va aux ascenseurs, marche et remue bien ton cul.
Je mavance, effrayée. On peut venir, un collègue qui a oublié un document, un agent de sécurité qui fait sa ronde. Toutes les pièces sont éclairées et des baies vitrées donnent sur les immeubles voisins. Nimporte qui peut me voir déambuler nue au milieu des bureaux. Je suis effrayée mais encore excitée de mexhiber. Cest la fille qui me siffle de revenir. Elle a pris son portable et me filme !
- Non, sil vous plait, pas ça, je vous en prie, je ferai ce que vous voulez.
Mais elle ne mécoute pas. Cest le noir qui ma léchée qui me prend par les épaules. On a dégagé mon bureau. Il me pousse et mallonge, sur le dos, les jambes pendantes. Lami de Joachim est nu jusquà la ceinture. Je reconnais son énorme bite toute dressée devant son gros ventre. Il sapproche de moi. Les deux autres se mettent de chaque côté et me prennent aux chevilles pour carrément mécarteler. La fille filme toujours. Lautre avance sa queue et dun seul coup sans préparation, il me la plante dans le ventre. Jai une énorme onde de plaisir qui me parcourt le corps. Il engage quelques va et viens en senfonçant de plus en plus dans mon sexe. La fille sest approchée et elle me saisit la bouche pour membrasser pleine langue en me malaxant les seins. Cen est trop et vite je sens la jouissance menvahir et quand jentends mon violeur commencer à gémir car il va jouir, mon orgasme arrive alors que je sens le foutre remplir mon vagin. Je suis sans souffle, la jouissance dure très longtemps, même quand la bite, ramollie ressort laissant jaillir le trop plein de sperme. Jai à peine le temps de reprendre mes esprits que je sens une nouvelle queue prendre possession de ma chatte. Elle est plus fine mais plus longue et me procure dautres sensations. Malheureusement lhomme, trop excité jouit presque instantanément sans se préoccuper de moi. Cette nouvelle giclée de sperme est plus chaude et plus abondante. Je coule de partout. Je le sens qui sort à son tour, tout ramolli.
- Moi jvais lui prendre le petit trou dit le troisième larron.
Il prend position entre mes jambes, les saisit aux chevilles et les lève très haut découvrant mon anus. Cest la fille qui une fesse dans chaque main, mouvre à lui. Elle mintroduit dabord un doigt pour le dilater. Pour le lubrifier elle récolte le foutre le long de mes cuisses et me mintroduis dans le cul. Une fois dedans elle remue son doigt :
- Tu aimes ça hein, que je te doigte le cul hein pouffiasse ! Répond quand je te parle.
-
- Tu veux le dire salope où demain toute le monde sait que tes une salope de bourgeoise chaudasse.
- Oui, jaime ça, oui !
Et la voilà qui remue de plus belle son doigt et lenfonce un peu plus entre mes fesses. Puis cest au tour de la queue de venir frapper lentrée de mon anus. Le gland est énorme, jai peur quil me déchire. Il force, pousse. Je me contracte pour lui faire barrage.
- Pousse salope ouvre ton cul !
Alors comme une folle je pousse comme pour me libérer de mes besoins et le gland senfonce dun coup franchissant lanneau étroit. Jai mal mais bien vite le plaisir menvahit à nouveau et quand après des va et viens qui me brûlent les chairs intimes, le sexe libère son jus, je sens très bien les giclées remplir mon ventre. Lorgasme est différent, mélange dhumiliation de honte et de sensations intenses.
Je suis exténuée, crevée, les cheveux défaits mais pleine de jouissance.
Alors, plein de délicatesse et de gentillesses, ils me lèvent de la table, me donnent quelques tapes sur les fesses en me congratulant pour le plaisir que je leur ai donné sans oublier de me faire savoir que jen avais eu aussi. Jai du sperme tout le long des jambes.
Je me rhabille, ils se rajustent et me laissent avec mes dossiers éparpillés sur le sol ! Avant de quitter la pièce, jentends lami de Joachim me dire :
- Il va être content notre ami. Je pense quil va venir visiter tes bureaux
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