Anabelle Devient Une Chienne, Rencontre Avec Son Maître
ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
Je m'appelle Anabelle, jeune salope fin vingtaine. Il y a 3 ans, j'ai rencontré mon maître Claude, mi-cinquantaine, qui était alors mon professeur à la maîtrise. Cette rencontre est déterminante dans ma vie puisque grâce à cet homme qui ma fait prendre conscience de mon état de bonne petite pute, née pour combler les moindres désirs pervers des hommes puissants. Depuis ce temps, je suis sa soumise, son objet, sa petite salope quil utilise sans culpabilité et sans retenue pour le faire jouir, lui et tous ceux à qui il souhaite moffrir. Et voilà, hier mon maître à décidé que jallais écrire sur mes expériences de chienne pour faire bander et exploser tous ces internautes pervers qui ont besoin dune chienne comme moi pour les allumer. Bien entendu, il autorisera dabord chacun de mes textes et suivra tous mes échanges publics avec mes lecteurs, mavertissant que je serai punie si je ne suis pas assez salope ou si josais prendre des initiatives dont je sais qui mest interdites.
Je vais commencer ce soir par vous raconter notre rencontre. Par la suite, je pars une semaine pour accompagner mon maitre pendant ses vacances et à mon retour, mon maitre à prévu un second récit. Jécrirai tant et aussi longtemps que le souhaitera mon maître. Vos commentaires et critiques sont les bienvenus.
La rencontre du maître et de sa chienne
Notre histoire à commencée dans une salle de classe. Je suis étudiante à la maîtrise et lui est mon professeur. Depuis le début du trimestre, il me fait un effet monstre. Il est tellement bel homme et il a une attitude autoritaire qui, sans savoir pourquoi, me rend complètement folle de lui, jai toujours hâte au prochain cours. Il est très dur avec ses étudiants, ne tolérant pas quon arrive en retard, quon « lui mange dans la face » ou quon prenne la parole sans avoir au préalable son autorisation en levant sagement la main.
Voilà, ce matin là jen pouvais plus. Je lui avais déjà envoyé des sourires aguicheurs dans son cours ou il me lançait alors des regards subtils, mais bien pervers. Jhésitais à aller plus loin, mais nen pouvant plus de lespérer, je me suis dit « cest le temps ou jamais de vivre une expérience, laisses-toi aller ma belle ». Sous ma jupette, jai alors décidé de ne rien porter, puis de me masturber en regardant un film porno tout juste avant de partir à son cours. Ma chatte était bien trempée, les hommes me regardait et me sifflaient dans la rue, sans même savoir que je ne portais pas de petites culotte, tout simplement car je dégageais le sexe. Ceci mexcitait encore plus, jétais surprise de découvrir ces sensations chez moi, moi qui étais pourtant tellement sage. Mon sexe déjà bien humide sest mis à couler sur ma cuisse, je me sentais comme une vraie salope et jen étais fière. Un homme ma même offert 20$ pour que jaille le sucer dans la ruelle, jai hésité, lidée dêtre payée comme une vraie pute mexcitais, mais jétais pressée et je savais que je ne devais surtout pas arriver en retard pour mon cours avec ce professeur qui allait devenir mon maître.
Arrivée dans la classe, mon maître était là et était visiblement dans sa bulle en préparation pour son cours. Environ la moitié des étudiants étaient là et parlaient entre eux. Jai toujours été solitaire et différente, je parlais peu avec les autres étudiants. Dès mon arrivée, je menligne sur le bureau tout juste devant le siens qui a trois places et je my installe en prenant soin doccuper les deux autres places par mes livres et mon sac. Quelques secondes plus tard, tout juste alors, Claude ferma la porte et commença son cours.
Pendant la première partie de la séance, je pris mon courage à deux mains et commença à jouer laguicheuse, mais cette fois, jen offre un peu plus à mon homme.
Quelle fut ma surprise de constater au retour de la pause quil mavait écrit un message :
« Tes une belle petite chienne toi dis-donc ! Pour mon plaisir, après la pause, pendant que je vais vous expliquer la matière, tu vas prendre ce gros marqueur rose devant toi et te le foutre dans la chatte bien profond. Après quoi, tu vas le sucer pour goûter à ton jus. Sois discrète ma petite chienne, personne ne doit te voir texécuter, sinon tu auras droit à une correction. Après le cours, tu reste car je veux te voir. »
Sur le coup, jai eu peur, il est si autoritaire et si je nétais pas aussi pute quil me voit. Javais peur de le décevoir et de sa réaction, il est si autoritaire. Mais il était trop tard, je devais mexécuter, je lavais cherché. Subtilement, je pris alors mon marqueur rose, puis discrètement alla lenfoncer dans ma chatte en prenant bien soin de bien écarter mes jambes pour quil me voit faire. Le crayon glissait bien, ma chatte était tellement mouillée et quelques gouttes tombaient même sur le plancher. Je ne pensai alors quà une chose, me faire défoncer violement par cet homme autoritaire qui savait tant créer chez moi cet état dexcitation. Après quelques minutes, je pris le crayon, le ramena près de ma bouche et commença discrètement à le sucer en regardant toujours mon maître. Enfin, cest ce que je croyais puisquun étudiant qui était sur le côté me regarda faire, la bouche ouverte et lautre main par-dessus son pantalon à tâter sa queue.
Après le cours, comme à lhabitude, quelques étudiants restèrent pour poser des questions avec mon professeur. Pendant ce temps, je rangea tranquillement mes choses, sachant bien que Claude allait me parler que lorsque mes collègues de classes auraient quitté. Lorsque nous avons été seuls, Claude alla fermer la porte de la classe.
-Sale pute, je tavais dit dêtre discrète
-Je
je
je mexcuse, cétait si bon, jai du trop me laisser aller
-Je tavais prévenu
-Je sais, mais
-Ta gueule sale pute, tu parles que lorsque je te le dis et sauf devant la classe, tu mappelleras « maître ».
-Oui maître, promis maître, je serai obéissante
Je compris alors ce que je devais faire, il était tellement hors de lui, je ne devais pas en rajouter davantage. Visiblement, mon maître apprécia ce revirement dattitude.
-Je sais reconnaître le talent, tu as beaucoup de potentiel
-Merci maître
-Écartes tes jambes salope que je tâte un peu la marchandise
Je mexécute sur le champ. Je ressens peur, mais aussi un grand désir et une grande fierté davoir su retenir lattention de ce grand homme. Mon maître commença par minsérer quun seul doigt, puis deux et trois quil faisait aller violement dans ma chatte qui devenait encore plus mouillée. Avec lautre main, il tâta mes seins, sans retenue et pinçais le bout de mes mamelons. Je me tortillais et lança « jai envie de votre queue maitre ». Cest alors quil me gifla à la figure violement.
-Jai dit « ferme ta gueule tantôt ». Désormais, tu nas de désirs que les miens.
-Cest daccord « maître », tout ce que vous voulez, vos désirs sont les miens
-Bonne pute, cest bien ça. Allez là, je vais aller voir ce qui en est de ton ptit cul de chienne.
Il enfonça alors ses doigts dans mon anus.
-Humm, il est bien serré, je vais devoir te lélargir, mais ça va aller, cest de la qualité.
-Merci maître
-As-tu déjà été enculée ?
-Non maître
-Alors je te montrerai, tu vas aimer ça, tes une salope, ça ment pas ça
Mon maître me délaissa alors et retourna derrière son bureau.
-Est-ce que tu aimes ça comment je te traite ?
-Oui maître
-Tu aimerais devenir ma petite salope soumise ?
-Oui maître
-Tu me devras totale obéissance et reconnaissance
-Oui maître
-Je vais tutiliser comme mon joujou, mon décharge foutre, tu devras toujours mêtre disponible. Je pourrai faire ce que je veux de toi, peu importe ce que tu désires, ça je men fou. Tu vas te faire défoncer comme une vraie pute par tous les trous, quand je veux, par qui je veux et dans les conditions que je décide. Je vais tout contrôler de ta vie, jusquaux petites culottes ou pas que tu portes et ce, à chaque jour. Tu vas payer pour toutes ces autres petites salopes dans mes cours qui mexcitent mais avec qui je ne peux rien provoquer de par mon statut professionnel. En échange, je vais tentretenir, tu ne manqueras jamais de rien avec moi.
Je me dis alors que cest sérieux, son regard ne ment pas, il ne plaisante pas. Mais je suis en totale confiance et je sais quau plus profond de moi jen ai envie. Je sais quil me connaît mieux que moi-même et je prends cette demande comme une grande marque de respect envers moi. Ce nest pas nimporte quelle étudiante qui a ma place, mais plusieurs sont comme moi à fantasmer sur ce prof.
-Oui jaccepte
-Bien salope, alors ce soir je taffligerai ta correction pour têtre fait prendre par Luc, cet étudiant. Comprends-moi bien chienne, jamais oh grand jamais personne de luniversité doit connaître notre lien et ce soir, je massurerai que tu comprennes bien que je ne blague pas.
Il me tendit un bout de papier où il a écrit une adresse.
-Tu vas te rendre à cette adresse pour 21 heures. Pour ne pas éveiller de soupçons chez les voisins, je veux que tu sois vêtue en bonne fille. Ne ten fais pas petite chienne, jai des vêtements de circonstance qui tattendent à la maison. Finalement, à partir de ce moment, je tordonne de ne pas te caresser, ni avec tes doigts, ni avec rien, pas même te frotter avec une culotte. Maintenant, as-tu des questions sale pute ?
-Non, maître
-Je peux compter sur toi, tu es une chienne loyale ?
-Oui maître
-Allez va te préparer petite garce
Je partis alors chez moi, très nerveuse craignant ma sanction, mais aussi très excitée par ma nouvelle aventure. Pour la première fois de ma vie, je me sentais totalement abandonnée, mais totalement en confiance avec cet homme, mon enseignant devenu « mon maître ».
Jarrive à ladresse que mon maitre ma transmise. Je suis vêtue dune jupe aux genoux noirs et dune blouse blanche ajustée, talons haut de cuir noirs. Mon maître mavait bien dit de me vêtir pour ne pas éveiller de soupçons. Jai simplement opté pour un look secrétaire légèrement sexy sans trop en ajouter. Javais attaché mes cheveux bruns et longs en queue de cheval et je portais un maquillage discret. Je sonne, mon maître arrive à la porte et me fit entrer. Aussitôt la porte refermée, il me plaque sur le mur et membrasse avec fougue.
-Cest bien ptite chienne pour arriver chez moi, cest parfait ça.
Il me prit alors par la tête et mabaissa à la hauteur de son pantalon puis me prit par le cou très fermement. Il sort sa queue de son pantalon et wow, quelle queue ! Je la trouvais si désirable, très dure et bien assez grosse pour que je la sente bien dans mes trous. Il prit sa bite avec ses mains, me frappa au visage en me criant :
-Sale pute, tu la veux ma bite, tu tes caresser avant de venir ?
-Non maître, je vous jure que je vous ai écouté à la lettre
-Ouvres ta bouche de salope et suces-moi
Dès lors, je mexécutai. Je pris sa queue dans ma bouche, puis après quelques secondes, par sa force il dirige ma tête pour faire cogner sa bite bien au fond de ma gorge. Javais des hauts le cur. Je me sentais totalement utilisé comme un objet et ça mexcitais. Ma chatte était en feu, elle dégoulinait de plaisir mais je ne pouvais y toucher. Mon maître a ensuite commencé à se laisser aller lui-même dans ma bouche comme sil se laissait aller dans une poupée gonflable en me criant :
-Je vais faire de toi ma pute, ma chose faite sur-mesure qui est là pour mon plaisir.
Puis, je sentie des violents jets chauds dans ma gorge, mon maître recula quelque peu pour men déverser sur la langue et il sorta sa queue pour menvoyer les derniers jets en pleine figure. Il me regardait bien dans les yeux en me caressant les cheveux avec une main et le visage avec sa queue, il étendait partout son sperme sur ma petite gueule de chienne.
- Laisses ta bouche ouverte un peu, que tu es belle tu es faite pour moi, pour mon plaisir. Maintenant, avales ce que tu as dans la bouche, nettoie bien ma queue et va dans la chambre tout juste là. Tu vas enfiler ton costume de chienne. Ne nettoie pas ton visage et fais attention de ne pas en mettre partout surtout.
Javala alors toute sa semence. Humm, cétait amer, jai toujours adoré le goût du sperme. Avec de légers coups de langue, je parcouru le sexe de mon maitre quelques minutes pour le nettoyer de tout sperme. Il me caressait les cheveux et me complimenta :
-Tes une bonne chienne, cest ça tu fais bien ça. Maintenant, va te changer et reviens me voir dans le salon et surtout, tu ne te caresses pas. Quand tu seras déguisée ainsi, à partir daujourdhui tu vas te promener à 4 pattes et ne jamais regarder plus haut que ma bite, sauf bien entendu si je te lordonne.
Dans la chambre, posés sur le lit, il y avait quelques items. Une laisse de cuir, des souliers de danseuses noirs, un foulard pour mes yeux, mais aussi un accessoire étrange, une chainette avec des pinces pour mes seins et une qui descend pour mon clitoris si je comprends bien. Je me dêvetie et rêvetie mon nouvel uniforme. Jai émis un léger crie, surtout quand jai pincé mon clitoris. Mais cette douleur métait jouissive. Il y avait un miroir dans la chambre, je me regardai et jétais fière. Je suis une femme éduquée, mais je reste femme et me voir ainsi en chienne soumise dans ce costume et avec le sperme de mon maître qui séchait sur mon visage, excitait la femme en moi. Javais envie de caresser ma chatte qui dégoulinais entre mes cuisses, mais je craignais maitre et dailleurs, cest alors quil sécricra :
-Alors sale chienne, ça vient ?
Puis, jentendis son pas rapide et décidé, impatient vers la chambre. Alors que je mapprochais de la porte pour aller le rejoindre, il louvra et me précipita violement sur le lit.
-Tu te caressais sale chienne ?
-Non maître, je ne me regardais dans le miroir, je nai pas touché à ma chatte, je vous le jure.
-Je te crois pas sale menteuse
Il avait un fouet dans la main et commença à me donner des coups.
-Combien penses-tu que tu en mérites ?
-Je nai rien fait maître
-Alors on va commencer par 10
-Mais
.
-Alors ça sera 20 et après chacun des coups tu diras « merci maitre, jai été une sale pute, je le mérite ».
Cest alors que jai compris que je ne devais pas rien ajouter en endurer ce qui mapparaissait comme étant une injustice. À bien y penser ultérieurement, jen ai conclu que je le méritais bien, après tout, même si cest vrai que je navais pas touché à ma chatte, javais fait languir mon maitre ce qui en soit est totalement inacceptable comme comportement pour toute chienne qui se respecte.
Mon maître commença alors à fouetter mes fesses et après chaque coup je le remercia en me culpabilisant. Quand il eut terminé, jai jeté un regard sur le miroir, mes fesses étaient marquées de traits rouges. Mon maître prit alors la chaîne de ma laisse puis dis :
-Viens, maintenant on va faire une petite promenade. Tu vas porter le foulard sur tes yeux.
Je mexécuta et me tira par la chaîne. Je le suivais à quatre pattes, comme une bonne chienne, la tête baisée. Puis, on arriva à une pièce, jentendis alors une voix dhomme :
-Oh la voilà la garce !
Sans pouvoir posé de visage, jai tout de suite reconnue cette voix. Mais qui était cet homme ? Puis une autre plutôt amusé :
-Elle te donne de la misère Claude ?
-Et tu pensais quoi, tu nes pas ici pour rien Pierre, pour éduquer de telles chiennes, ça prend un peu daide.
Ils se mettent tous trois à rire, je me sentais tellement humiliée. Jétais là, dans une pièce inconnue, en tenue de chienne soumise à faire rire trois inconnus.
-Mais enfin, là jai faim, installes-là, viens manger et après on soccupera delle
Mon maitre attacha alors la chaine de ma laisse après ce que jai compris la table.
-Devant toi tu as un bol deau si tu as soif chienne. Soulève ton petit cul et écartes tes jambes.
Je mexécuta et sentie alors ses doigts étendre le jus de ma chatte sur mon anus, puis il enfonça un doigt, puis deux. Jai ensuite senti un énorme machin senfoncer dans mon cul puis je lança un léger crie. Pierre sécria :
-Prépares-toi salope, tu nas pas fini de te faire bourrer.
Et les trois se remirent à rire. Mon maître me donna une légère claque sur les fesses et me dit :
-On te surveille, sois une belle chienne sage, montres ce dont tu es capable.
Sur ces mots, je repris toute ma fierté. Jadmire mon maître, tout le monde admire mon maître et il me porte cette attention, il ma choisie, jamais je nai sentie un tel amour pour moi. Autant je le craignais et je le crains toujours, autant je suis en confiance quand je mabandonne totalement à lui. Il repart ensuite et jattendis tout le long du souper, le cul bien en lair avec mon plug dans le cul. Je lai entendis discuter te toutes choses, dactualité et de politique, mais pas de moi, tout ce temps jai été totalement ignorée. Cest alors que jai reconnu cette voix de ce premier intervenant, cest celle de Jacques, un collègue de Claude, un autre de mes professeurs. Déjà fière, je létais encore plus, non seulement jétais la chienne dun grand homme, mais jétais devenue la salope de lUniversité. Celle qui fait saliver tous ces profs pervers, les plus pervers. Je fis comme si de rien nétait, comme si je navais pas reconnu son identité. Jétais surprise, Jacques semblait pourtant si doux, il est tout petit. Mais lidée de me retrouver à nouveau dans son cours maintenant que je le connais sous cet angle mexcite au plus haut point. Je dois faire attention cependant, je suis la chienne de mon maître, il ma bien avertit.
Après je ne sais combien de temps, qui me parue interminable tellement javais envie de me faire défoncer, javais envie quon soccupe enfin de moi et de ma chatte dégoulinante. Jacques sexclama :
-Bon, on nest pas ici pour rien, je crois quon a une garce à punir.
Cest alors que jentendis les pas de mon maitre samener vers moi. Il défait la chaîne puis me traine violemment, je le suis. Les autres aussi, lun en profite pour me butter le derrière avec son pied.
-Aujourdhui, ma chienne a été vilaine. Elle sest fait pincer par un étudiant dans mon cours pleine putasserie.
Pierre sexclama :
-Cest vilain ça, petite chienne.
Mon maître rétorqua :
-Commençons par la bourrer comme elle le mérite dans tous les trous, comme une vulgaire pute.
Cest alors quun den eux retira dun coup sec le plug qui était toujours dans mon cul et qui cracha dans mon petit trou maintenant bien dilaté. Jai ensuite sentie de violents coups de bites qui me défoncèrent bien profond. Mon maître sexclama :
-Vas-y fort, elle na pas lhabitude, elle est vierge de ce trou
Javais mal, cet homme se déchaînait en moi comme un vulgaire pute, jusquau fond, rapidement en me donnant de violentes tapes sur mes petites fesses déjà bien rouges. Soudain, un autre homme pris ma gueule et menfonça sa bite dans la gueule aussi violement. Javais toujours les yeux bandés, je ne savais même pas lequel était lequel, mais jentendais mon maître, visiblement satisfait :
-Allez-y, utilisez-là
-Il est bon son cul de chienne
-Taimes ça te faire fourrer comme une pute Anabelle hein ?
-Réponds salope ! Sexclama mon maître
On menleva dun coup sec la bite qui me baisait la bouche, puis je mexclama :
-Oui jaime ça maître, défoncez-moi, bourrer moi comme je le mérite
-Tas rien vu encore sale pute sexclama mon maître
Puis soudain je sentie des jets de sperme chaud sur mon dos et sur mes fesses. Mon maître sapprocha, nettoya mes fesses avec un linges et menfonça ensuite sa bite bien au fond de ma chatte pendant que je me faisais encore défoncer la bouche par son invité. Tous trois sy donnait sans retenue sur moi, tout ce qui importait était leur plaisir et ceci créait chez moi cet état, jamais je nai vécu un tel orgasme.
Puis, je me suis retrouvée sa face pleine de sperme. Ce qui a fait jouir mon maître qui ma aspergé les fesses de nouveau.
-Remecies-nous sale pute «! Sexclama mon maître
-Merci maître, merci pour ce traitement, merci de faire de moi votre chose et de moffrir comme ça à qui vous le souhaitez.
-Cest bien ça. Maintenant sale chienne, je vais tamener sur la table du salon, tu vas y monter et te masturber devant nous pendant quon te filme. Tu vas texécuter tant et aussi longtemps quon te lexige.
Il me tira par ma laisse, je monta sur la table et commença à me caresser la chatte dune main et le sein de lautre en me dandinant comme une salope de première.
-Ten veux encore sale pute ! Sécria Jacques
-Oui, jen veux toujours
Et les trois recommencèrent à rire. De me savoir filmée, soumise et dirigée par ces hommes puissants, me rendait fière. Je ne me voyais pas, mais je sais que je nai jamais été autant excitante comme ça, dans cette tenue de pute soumise, pleine de sperme.
-Cest de la qualité Claude, bien entendu, faut la dresser, mais cest une bonne chienne.
-Cest ce que je me disais Jacques, je pense quelle pourrait être pour moi ta carolanne.
-On pourrait même samuser avec les deux, la compétition entre chiennes cest toujours bon.
-Tu lis dans mes pensées. Mais maintenant allons vraiment lui donner sa correction.
Mon maitre pris la laisse pour me percuter sur le sol. Il me redresse et pose mon ventre sur la table du salon le cul bien en lair. Je sens quil écrit quelque chose sur mes fesses avec un baton qui ressemble à un rouge à lèvre. Jattends ses inviter rire et puis le « clic » de la caméra. Il se rapproche ensuite de moi, enlève mon foulard puis me montre léran de la caméra. Il a posé mon cul avec linscription « Pute à bourrer ce soir» et me dit alors :
-Maintenant je vais sur un site web et toffrir au premier venu. Je lui offre 100$ pour aller te rejoindre à lhôtel sous la seule condition, cest que tu souffres. Là je vais tenfermer dans la salle de bain où tu vas te laver et tu porteras les vêtements qui sont à côté de la douche.
Jacques sapprocha de moi et me dit :
-Tu mavais reconnu salope ?
-Oui, mais je nosais pas rien dire.
-Cest bien ça, bonne pute. Là tu vas écouter sagement ton maître comme une bonne chienne si tu ne veux pas le rendre encore plus furieux quil lest déjà.
Sans dire un mot, je baisa mes yeux sur le sol et à quatre pattes, me laissa guider par mon maître vers la salle de bain. Avant même que jentrais dans la douche, jai entendu mon maître sexclamer, ça y est, on a déjà notre homme.
-Dépêches-toi sale pute, une grosse bite tattend.
Je me doucha rapidement et enfila la robe en latex noire et les fuck me boots à côté de la douche. À ma sortie de la salle de bain, mon maître me recouvra dun imperméable long et me dis :
-Ton taxi tattend sale pute, viens
Je le suiva, il mescorta jusquau taxi, me remit 100$ et me dit :
-Le taxi tattendra, quand lhomme aura finit avec toi, tu rentres chez toi et il reviendra ici pour que je le paie. Arrivée chez toi, tu te couches, avec ton cellulaire à tes côtés et demain tu attends mon appel pour te lever. Est-ce que jai été bien compris ?
-Oui maitre, tout ce que vous me demandez
-Bien, tu es une bonne chienne, on va faire quelque chose de bien avec toi. Je taime.
-Merci maître, moi aussi je vous aime
Jentre dans le taxi, sans savoir où il mamène et qui je vais rencontrer, jétais terrorisée. Et si cétait un maniaque ? Je me suis dit « quelle conne, depuis le début je suis consentante en plus ». Mais je me ressaisis, jai confiance en mon maître. Nous arrivons à un petit motel sur le bord dun autoroute. Le chauffeur me dit « cest la ». Je débarque de la voiture et me dirige vers la chambre désignée. À mon arrivée, il y a un noir, qui tiens dans sa main son énorme queue, jen avais jamais vu daussi énorme. Puis, de la salle de bain, jai vu sortir un puis deux, puis trois, finalement quatre hommes, aussi des noirs avec des énormes bites. Jai alors compris que ça allait être ma fête et que je nallais pas ressortir dici de si tôt.
-Tas largent bitch ?
-Oui, le voilà
Il prit violement largent et me jeta au plancher.
-Montre-ton cul
Je leva ma robe pour bien exhiber ma chatte et mon cul. Lun de ses amis à installé un film porno à la télé et ils ont commencé à me baiser comme des sauvages pendant des heures. Par tous les trous, en me déchargeant tous leur sperme sur moi en minsultant, crachant sur moi, sans arrêt pendant des heures. Moi qui fréquentais des gens intelligents et qui navais jamais eu de rapports sexuels avec plus dun homme, me voilà au centre dun gang bang avec des hommes qui nont visiblement aucun respect pour la femme, à me faire défoncer comme une vulgaire trainée. Après quelques heures de ce traitement, ils se sont rhabillés, puis lhomme qui avait reçu largent de mon maître ma dit :
-Comprends bien ton maitre, si jamais tu lui cause problème au travail il nous rappellera.
Par terre, pleine de sperme, humiliée, les larmes aux yeux, complètement exténuée, jai poussé un :
-Oui, jai bien compris, je serai désormais digne de mon maître.
Les hommes sen alla, après quelques instants, je me releva, puis je passe à la salle de bain pour essayer de me refaire une beauté. Du moins, dêtre présentable. Je me sens complètement vidée et souillée, mais aussi comblée. Je naurais jamais pensée que la douleur pouvait être si jouissive. En fait, je me regarda et me dit alors « voilà, tu es désormais une pute de première ». Ce pouvoir de faire bander, de vous faire venir me plait, mexcite.
Je retourna vers le taxi, qui me reconduis chez moi en me disant :
-Bonne nuit et
à la prochaine
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