Marie - Episode 11 - Visite De L'Époux De Marie Au Bureau

CELLO - Tu ressorts de la salle de bain, maquillée, parfumée et nue. Je te demande de choisir tes vêtements pour recevoir ton mari.
Tu choisis une jupe courte, au dessus du genou, un chemisier, une veste, un paire de bas dim up. Alors que tu t’apprêtes à t’habiller, je t’arrête en te disant :
« Mets juste tes bas et ton collier de chienne et vas dans mon bureau, j’ai envie de te baiser ».

Marie : « Bien, Monsieur le Directeur »

Cello - Alors que tu te diriges vers mon bureau, je dis à Kévin :
« Si son mari arrive avant que j’en ai fini avec sa salope de femme, tu le mets dans la salle d’attente, et tu lui offres un café en profitant de bien regarder la tête d'un homme qui pourrait être ton père et que tu vas faire cocu à quelques mètres de lui en traitant sa femme de putain en chaleur pendant que je discuterai avec lui et que toi, tu malaxeras les grosses mamelles de la belle Marie, qui te fais bander si fort».

Cello - Kevin est tout rouge, mais bande déjà à l'idée de suivre tes ordres. Puis, je te rejoins dans le bureau, où tu te tiens debout, les mains dans le dos et les cuisses légèrement écartées, simplement vêtue de tes bas et du collier.
Je te prends par les hanches, te soulève et t’assois sur mon bureau, les fesses au bord de celui-ci.
Je t’écarte les cuisses au maximum et me colle à toi pour t’embrasser et te peloter les mamelles.

Marie : « Humm ! Oui monsieur le directeur je me sens si femme avec vous »

Cello - Puis, je dégrafe mon pantalon, sors mon sexe en érection et l’introduit sans autre préambule dans ta chatte humide.
« L’avantage avec toi, c’est que tu es toujours humide ! »

Alors que je te besogne depuis plusieurs minutes en te malaxant les pis, nous entendons la sonnette de la porte d’entrée.
« Ce doit être ton mari ! Alors ne fais pas trop de bruit »

Puis nous entendons Kévin dire :
« Bonjour Monsieur, vous étés Monsieur J.

?
Hervé : « Oui, je viens voir Monsieur Cello »
Kévin : « Il est occupé à remplir des dossiers, mais il ne devrais pas en avoir pour très longtemps, installez vous dans la salle d’attendre – Désirez vous un café ? »
Hervé « Oui merci »

Cello - Pendant ce temps, je termine de te ramoner la chatte, avant d’éjaculer abondamment dans ton minou en pinçant tes tétons et tirant dessus essayant de te faire crier, mais tu te mords les lèvres pour résister.

Je me retire, t’aide à descendre du bureau et te dis :
« Agenouille-toi »
Sitôt en position, je frotte mon sexe sur tes joues, puis te dis :
« Nettoie la bite et ainsi tu auras le goût de mon sexe dans ta bouche et sur tes lèvres »

Pendant que je me réajuste, tu mets ta jupe, ton chemisier et ta veste, je te regarde et te dis :
« Tu es prêtes, je peux aller accueillir ton cocu ? »
Marie : « Oui, Monsieur le Directeur »
Cello : « Tu es sûre que tu n’as rien oubliée »
Marie : « Heu…Non…ah si – Merci Maître »

Cello : « Ce n’est pas à cela que je pensais » dis je en souriant, avant d’ajouter
« Tu devrais peut être ôter ton collier, autrement ton mari risque d’être choqué »
Marie : « Oh… Merci Monsieur, je l’avais complètement oublié »
Tu l’enlèves et tu le mets dans l’un des tiroirs de mon bureau.
Cello : « Tu as aimé sentir ton mari à moins de 5 mètres de nous, pendant que je te ramonait la vulve ? »
Marie : « Oui Maître et je vais aimer encore autant sentir votre sperme couler sur mes cuisses à coté de lui »

Je te regarde et avant de t’envoyer chercher ton époux, je te demande :
« J’ai envie d’inviter ton mari à déjeuner avec nous, ce midi, qu’en penses tu ? ».

Marie : « Je…Heu …Mais vous ne lui direz rien, hein, promis et puis ne me demandez pas d’enlevez ma veste s’il voit que je ne porte pas de soutien gorge, ça risque de tour gâcher »

Cello - Puis j’ajoute : « Il prendra probablement sa voiture, aussi tu devras trouver un prétexte pour monter avec moi, car si tu t’assois près de lui, il pourrait s’apercevoir que tu ne portes pas de culotte, ou que du sperme coule sur tes cuisses ».

Marie : « Bien Monsieur, je trouverais »

Cello : «Et au restaurant, tu devras te débrouiller pour t’asseoir près de moi, car je souhaites que tu remontes ta jupe très haut sur tes cuisses et que tu te caresses pendant le repas »

Pendant, ce temps, j’envois un message informatique sur le bureau de Kevin « Je vais t’envoyer Marie, pendant que je discute avec son mari. Tu auras environ un quart d’heure pour la baiser et elle devra revenir sans s’essuyer la cramouille».

J’accueille ton mari par ses mots « Bonjour Monsieur, je suis désolé de vous avoir fait attendre, mais vous savez lorsqu’on embauche du personnel il y a des formalités (forme alitée) à remplir auprès de divers organismes (URSSAF, médecine du travail etc.)
Hervé : « Oui bien sûr, je comprends ne vous excusez pas », »
Cello : « Asseyez vous »
Hervé : « Merci »
Cello : « Vous savez je suis très heureux de faire votre connaissance, et je vous rassure, je n’ai que des compliments à vous faire concernant Marie »

Cello : « Pourtant, lorsqu’elle est venue me voir vendredi dernier, je m’apprêtais à engager une jeune femme, mais j’ai tenu à recevoir votre épouse, par politesse, car elle avait fait l’effort de venir tenter sa chance, et la voyant intimider, je me suis dit :
« Cela lui fera un bon exercice d’entretien d’embauche »

Hervé : « Merci, Vous nous avez rendu un fier service en l’embauchant, nous vous sommes très reconnaissant »

Cello : « Je ne regrette pas d’avoir introduit Marie dans mon bureau, car c’est une femme efficace et si aucune des deux n’avait d’expérience, et Marie avait moins de diplôme que sa jeune concurrente, j’ai pensé qu’elle pouvait compenser cela par une culture générale et une expérience de la vie. Et, ce qui a fait pencher la balance en sa faveur, c’est le fait qu’elle s’est très vite ouverte en me confiant qu’elle avait un besoin express du poste pour des raisons financières, et j’avoue que le fait qu’elle se dévoile ainsi m’a touché, car il faut faire abstractions de sa pudeur pour oser ce confier ainsi. Le fait qu’elle soit très douée pour les langues, a également joué en sa faveur, et j’avoue que bien qu’ayant noté une grande timidité, j’ai été surpris par sa grosse persuasion, pour obtenir le poste ».

Cello : « C’est vrai aussi, que je pensais embaucher une secrétaire à mi-temps, mais voyant la détresse de Marie, et jugeant rapidement de son énorme potentiel, j’ai pris la décision de lui donner sa chance à plein temps, et je ne le regrette pas, car cela nous permet Kévin et moi, de nous décharger sur Marie de certaines charges. »

Cello : « Je vais vous laisser quelques minutes, discuter entre vous, je vais allez voir mon stagiaire, puis je reviens » et je me lève et quitte le bureau.

Cello - Tout d'abord, tu n'as pas osé te mettre près d hervé, sentant mon sperme coulé entre tes cuisses et craignant que celui-ci mette sa main sur ta cuisse. Tu es donc assise sur un fauteuil placé sur le coté de mon bureau entre Hervé et moi. C'est dans cette position que je te laisse avec Hervé pour rejoindre Kévin.

Cello - Je vais voir Kévin, connecte la webcam pour voir et entendre ce que vous vous dites dans mon bureau, et je note un message que Kévin devra te donner lorsque tu viendras le voir.

Marie - Je suis gênée et mon mari ne se doute de rien :

Hervé : « Chérie tu es très belle en tailleur et je suis fier de toi, en plus ton patron à l’air sympa »

Marie : « Merci mon chéri, mais tu sais je suis obligée de m'habiller convenablement pour le travail »

Hervé : « Et depuis hier que tu as commencé, qu'est ce que tu as fait comme tache »

Hervé : « Ho ! Marie tu es si prude tu pourrais laisser ouvert ta veste quand même ... »

Marie : « Non hervé cela me gênerait trop » (de te montrer que je suis nue sous mon chemisier et que mes gros seins ballottent à chacun de mes mouvements)
« Heu des papiers, visite médical rien d'extraordinaire »

Hervé : « Décidément, tu semble complexée par ta grosse poitrine, ma chérie, et pourtant ils sont splendides ».

Marie : « Oui je… Heu… Je suis quand même au travail »

Hervé : « Oui tu as raison, tu dois être convenable. J'espère que ce soir tu le seras un peu moins pour notre petit repas en tête à tête »

Marie : « Coquin oui nous pourrons profiter de cette intimité avant ton voyage j'ai hâte de pouvoir en profiter »

Hervé : « Ho !...Moi aussi ma chérie. Et le stagiaire, il est comment ? »

Marie : « Ho ! Jeune il est à peine majeur, tu l'as vu ? Il est assez réservé lui aussi mais il a ce qu'il faut je… Heu… Je veux dire il a l'air de donner satisfaction à M. Cello »

Hervé : « En tout cas ton patron me plait bien, on voit que c'est un homme qui a de la poigne et qui doit savoir conduire une entreprise, je suis sur que tu vas beaucoup apprendre ici »

Marie : « Oh ! Oui mon chéri, je suis certaine d'apprendre beaucoup avec lui »

Hervé : « Approche toi ma chérie, j'ai envie de t'embrasser. Profitons en avant que ton patron ne revienne »

Marie : « Hoo ! Non s'il nous surprend voyons quelle idée il va avoir »

Hervé : « Allez Marie, juste un baiser »

Marie : « Bon juste un, mais tu ne me tripotes pas hein ! Tu pourras le faire autant que tu veux ce soir »

Hervé : « Promis mon amour, juste un baiser mais tu ne perds rien pour attendre »

Cello - Tu te lèves de ton fauteuil, et tu t'approches de lui pour l'embrasser. Voyant cela je crains que ton mari ne s'aperçoive que tu es nue sous ta jupe et que tu as les cuisses pleines de sperme, aussi je décide de revenir dans le bureau.

Marie : Je me lève et je sens le sperme pas encore sec, qui coule jusqu'à mi cuisse. J'ai honte mais j'embrasse mon mari et je sens ses mains sur ma taille il va me presser les seins et la porte s'ouvre .... Je me redresse toute rouge soulagée, mais gênée aussi de même qu'hervé.

Cello - Je frappe à la porte de mon bureau, et dis : « Je peux entrer ? »

Marie - Vous entrez dans le bureau nous découvrant, Hervé assis et moi penchée sur lui en l'embrassant la main d'Hervé sur ma taille, je me redresse dès que vous entrez et vous prenez votre air un peu sévère.

Cello : « Marie vous voulez bien aller voir Kevin, il a envie de remplir quelque chose »

Marie : « Bien, Monsieur le Directeur »

Cello : « Vous voyez cher Hervé, votre épouse est toute dévouée et très obéissante »

Cello - Immédiatement, Kévin, déboutonne ta veste et ton chemisier, il malaxe tes outres mammaires et retrousse ta jupe jusqu’aux hanches avant de te pencher sur son bureau. Il se place derrière toi et t’embroche le sexe, en se penchant sur toi, te tenant par les outres, qu’il tenait fermement en te donnant même de temps en temps une claque sur les fesses.

Cello - Dès ton départ, je mets en fonction la cam qui se trouve dans le bureau de Kévin, afin de ne rien perdre de votre relation et je te regarde te faire embrocher les mamelles ballotantes en discutant avec ton mari.

Marie - Dès que je sors, Hervé à l'air penaud ...

Cello : « Alors hervé votre épouse vous manque ... »

Hervé : « Oui monsieur le directeur »

Cello : « Je comprends cela votre épouse est charmante et puis vous allez partir 2 semaines plus son stage 2 semaines, ça va faire un mois sans la voir »

Hervé : « Oui monsieur, et j ai hâte d'être à ce soir »

Marie - Il a dit cela un peu gêné se surprenant lui même de cette audace

Cello : « Je vous comprend, ce ne doit pas être évident de partir toute la semaine et de laisser une femme comme Marie seule a la maison »

Hervé : « Je… Heu… Oui même si elle est assez timide et prude, j'ai toujours hâte de la retrouver »

Cello : « Oui effectivement, votre Marie est très timide; mais le fait d'être en "relation" avec le monde du travail, va l'aider à prendre de l assurance et vaincre sa timidité »

Hervé : « Oui… Je… Heu oui je ne demande pas mieux vous savez »

Cello : « Je suis sur que Marie vous surprendra dans quelque temps, car elle vaincra sa timidité par le travail »

Cello - Je te vois sur l écran de mon pc , te faire ramoner la chatte par Kevin, tandis que celui ci te claque le cul ou te pétrit les nichons.

Hervé : « Je… heu… Et bien oui nous verrons cela je ne doutes pas de vos capacités de manager »

Marie - Ça vous excite de me foire faire cocu mon mari pendant que vous lui parlez

Pendant ce temps, je m’excuse auprès de ton mari de t’envoyer en stage la veille de son retour de son voyage de 15 jours en Pologne

Et je lui propose la chose suivante :
« Puisque vous serez seul, le mardi soir, si vous le souhaitez, j’organise une petite sauterie avec des amis peut être vous pourriez vous joindre à nous ».
« Heu…Oui, mais je… Heu, je ne sais pas, Marie risque d’être jalouse »
« Mais non vous ne lui direz rien et moi non plus »

« Cette soirée, consiste à humilier et baiser une amie soumise, une bourgeoise à la fois prude mais avide de baise, qui vient de temps en temps dans la région pour voir sa famille. Comme elle est mariée, elle portera une cagoule de peur qu’un des participant ne la reconnaisse, mais sera totalement nue autrement et acceptera tout de nous. Je suis sur que ça vous plairait de baiser une salope limite maso, de lui gifler les seins, la baiser sans ménagement, vous verrez elle a des mamelles encore plus grosse que celles que Marie semble avoir... ».
Hervé est tout rouge mais bredouille

« Je… Heu… et bien si vous ne dites rien à Marie oui j'aimerais beaucoup ».

Et j'ajoute :
« Si vous aimez les bourgeoises, qui font la pute pour leur plaisir vous serez comblé, mais dites moi de grosses mamelles pendantes ça ne vous dérange pas au moins ? Parce qu'avec mon amie il y a du monde au balcon elle fait du 95H, c'est largement plus que votre épouse, elle fait du combien au fait ? »

Hervé : «Heu… du 90e, Monsieur »

Cello : « Et ils sont comment fermes ou souples ? Assez lourds j'imagine non ? »

Hervé : « Heu… Ou, ils sont bien lourds assez souple et pendant même »

Cello : « Allez heureux homme que vous êtes de pouvoir avoir sous la main deux belles mamelles en permanence, mais au fait vous avez le temps de venir manger avec nous ? Si si j'insiste, et puis nous avons un petit secret vous ne pouvez plus rien me refuser ..."



Cello - Tout en discutant, je commence à bander et j'ai hâte que Kevin te lâche sa purée pour que tu reviennes dans le bureau et que nous partions au restaurant Heureusement, Kevin ne tarde pas à jouir et à s'étaler de tout son long sur ton dos, écrasant tes pis de vache contre le bureau

Marie - Oui et ensuite vous le voyez se nettoyer la bite sur mes joues, mon nez et mes lèvres

Cello - Pendant que je discute avec Herve, je te regarde sur mon écran rejoindre Kevin. Lorsque tu arrives près de Kévin, tu lui lis le message suivant :

Marie : « Allez fais moi jouir pendant que mon cocu de mari discute avec le patron, fais moi déborder la chatte de ton foutre... »

Cello - Puis il te redresse et te donne une claque sur les fesses, pour te renvoyer dans mon bureau, alors que tu n'as même pas eu le temps de reboutonner ton chemisier et ta veste, ni redescendre ta jupe convenablement.

Cello - Tu te réajustes dans le hall, avant de revenir et de frapper à la porte de mon bureau

Marie - Je suis à peine décoiffée, je rentre dans le bureau me rendant compte que le sperme de Kevin ajouté au votre me coule sur l'intérieur des cuisses jusqu'au dessus du genou. Je suis mal à l'aise très gênée, espérant que mon mari va partir mais sans savoir que vous avez discuté du repas ...

Cello : « Ça y est ! Marie, Kévin a fini de remplir son dossier ? »

Marie : « Oui, monsieur le directeur c'est rempli à ras bord même tellement il avait à en mettre »

Cello : « J'espère qu il vous a remercier, car votre aide a du sacrement le soulagé ».

Marie : « Je… Heu… Oui monsieur le directeur, il avait vraiment l'air d'avoir besoin de quelqu'un pour se vider de tout ce stress, il va mieux maintenant »

Cello : « Bien parfait. Si nous allions déjeuner, au fait j'ai invité Hervé à déjeuner avec nous, je suis sur que cela vous ferais plaisir ! »

Marie : « Je… heu… oui bien sur mais vous êtes sur que cela ne vous dérange pas par rapport à votre emploi du temps monsieur le directeur ? »

Cello : « Non aucunement, je sais qu Herve à aussi un emploi du temps chargé et puis il faut bien que nous mangions- nous ne sommes pas obligés de rester très longtemps, Je préférerais que vous y alliez au restaurant si cela peut attendre » dis je en souriant

Marie - Hervé et vous avez eu une conversation à propos de votre soirée pour laquelle mon mari est très excité à l'idée de baiser une salope en cagoule pendant que je serai en stage ...)

Marie : « Je… Heu… Puis-je passer aux toilettes avant de partir ou sommes nous presses, je peux y aller au restaurant i vous préférez »

Cello : « Si vous pouvez attendre d’être au restaurant, j’aimerais autant y aller maintenant, à la condition bien sûr, que vous ne vous soulagez par dans la voiture »

Cello - Je me lève et prenant ma veste je dis à Hervé :
« Nous prenons chacun notre voiture, cela vous éviteras de revenir ici et ainsi vous gagnerez un peu de temps »

Cello : « Au fait Marie à propos du travail de Kevin nous pourrions en parler en chemin si vous voulez si cela ne vous dérange pas de ne pas partager la voiture de votre mari - non non monsieur Cello pas de problème c'est vous le patron »

Marie : « Comme vous voudrez monsieur le directeur ... à tout à l'heure chéri tu as l'adresse du restaurant ? le premier commande une table pour 3 »

Cello - J’ajoute à l’intention d'Hervé
« Dite que vous êtes avec moi, j'ai une table un peu à l'écart, moins bruyant, il ajouteront un couvert »

Tu sors la première, suivi d'Hervé et moi en dernier pour fermé le bureau.

Marie - Morte de honte je peux enfin souffler, soulagée que mon mari ne se soit aperçu de rien et n'ai pas remarqué que je sentais le foutre du visage aux jambes

« Alors Marie, tu vois que cela c'est très bien passé ».