Vacances Sur La Costa Blanca
Bonjour, je vous raconte mon été 1992, ce récit est totalement réel. Je m'appelle Santiago, je suis d'origine Espagnole mais plutôt blond et un physique agréable et fin, j'avais 22 ans à l'époque. Ma copine est à la fac avec moi, se prénomme Aurélie, brune au cheveux longs,la peau blanche, elle a un super corps avec une poitrine très ferme.
J'ai eu une éducation très libre et mes parents ne m'ont jamais caché les choses du sexe. Cela a eu une grande influence sur ma vie sexuelle et j'ai toujours choisi mes copines et plus tard ma femme en fonction de cette façon de vivre. C'est pour ça qu'avec Aurélie , je m'entends très bien,
elle est très chaude et toujours partante.
Nous nous préparons à partir chez mon père, près d'Alicante, pour passer le mois de juillet au soleil, la villa avec la piscine est très agréable.Il nous présentera sa nouvelle femme, Carmen, que je ne connais pas encore (mes parents sont divorcés depuis deux ans). Après un très long trajet , nous arrivons exténués vers 15h. Mon père nous accueille en maillot de bains ,sorti de sa sieste par notre arrivée. Il nous montre rapidement notre chambre et nous laisse nous reposer, rendez vous est donnée dans deux heures puis il repart dans sa chambre, contiguë à la notre.
Une fois seuls, Aurélie me dit qu'elle ne voyait pas mon père aussi bien « gaulé », « rien à voir avec le mien » me dit elle. En effet, mon père a toujours été sportif, très musclé et a toujours eu beaucoup de succès féminins ( d'où le divorce avec ma mère). Nous nous allongeons nus sur le lit mais Aurélie, plus fatiguée d'un seul coup! a envie de jouer avec mon sexe et nous commençons un soixante neuf, accompagné de ses gémissements. Malgré mes recommandations pour plus de silence... elle gémit plus fort, excitée par la promiscuité de l'autre chambre, ça c'est bien ma Aurélie!. A peine cinq minutes plus tard, des bruits de succions nous parviennent de la chambre voisine, puis les bruits d'une chevauché acharnée.
Cinq heure , mon père nous invite à travers la porte à le rejoindre près de la piscine. Je me lève en short et Aurélie enfile une petite robe noire de « chaudasse » et nous filons les rejoindre. Là c'est moi qui suis soufflé. Un peu rouge de nos ébats de l'après midi je salue ma belle mère , une grande femme brune aux cheveux ondulés, une poitrine oppulente, un fessier rebondi, elle est très charnue dans son deux pièces qui semble prêt à lâcher, c'est vraiment une latine, avec un regard qui en dit long sur son appétit. Je comprends mieux ce qui a séduit mon père. Elle me dévisage en souriant, pas gênée du tout , elle me dit qu'elle me trouve très beau, « majo » et m'embrasse sur les joues comme si elle allait me bouffer. Nous prenons l'apéritif, sympathisons, mon père nous propose un repas léger pour le soir, tout se passe bien. Au moment de nous séparer, vers minuit, après avoir parlé de tout et de rien, mon père nous propose machinalement, à Aurélie et à moi :
Au fait, si ça ne vous dérange pas , à la maison nous sommes toujours nus, Santiago, toi, tu es habitué, mais je ne veut pas qu'Aurélie soit mal à l'aise..
non, non, pas de problème ,vous êtes chez vous ...(Aurélie veut paraître moderne mais je vois bien qu 'elle est troublée de devoir passé le mois de juillet à poil).
Dans la chambre, je lui dit que je l'avais prévenue, mon père est très a l 'aise avec la nudité, et je lui conseille car en Espagne , avec cette chaleur , elle se sentira plus à l'aise.
Vers 10h00 le lendemain , on se réveille à poil, tout se passe naturellement durant la matinée, Aurélie se détend et le déjeuner se passe bien , petite sieste réparatrice cette fois, et nous retournons ensuite vers la piscine. Étendus tous les deux sur des chaises longues , cinq mètres nous séparent de celles ou sont allongés mon père et sa compagne Carmen.
Une fois dans notre chambre , Aurélie m'avoua quand même sa surprise sur les événements de l'après midi
-je te l'avais dit..lui répondis je, c'est un chaud mon père, il va falloir éviter la provoc'.
-pas évident! C'est eux qui nous provoquent ! Je comprend de qui tu tiens maintenant!
-en rajoute pas...
plus jeune il devait être terrible ton vieux!
Si tu savais, rien ne l'arrêtais...
ah? même devant toi? Questionna Aurélie
oui, c'est même graçe a lui que je me suis dépucelé...
NOOOON! Raconte, allez ,raconte !
Quand j'avais 18 ans on faisaient de la voile au club d'à coté.
Terminant ce récit , je vois Aurélie qui a deux doigt sur son clito, excitée par cette expérience, on a passé une folle nuit.
La suite de ces vacances si vous le désirez
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!