Déchéance 04

CHAPITRE 4

Le vigile qui nous ouvrit la porte était un noir énorme, très grand il me dépassait de plus d’une tête et un peu bedonnant, bref, pour moi un monstre. Sans hésitations Anne et Katia l’embrassèrent, Anne lui roulant un patin, montrant ainsi qu’elle était une habituée. Les baiser sur les joues de Katia étaient plus réservés.
- Karim…Je te présente ma petite sœur !
Sur ces parole d’Anne, le monstre m’embrassa gentiment sur les deux joues en me souhaitant la bienvenue et une bonne soirée. Puis toujours avec Anne en tête de file nous passâmes dans la pièce suivante cette fois mes deux accompagnatrices prirent la splendide jeune femme qui s’y tenait, dans leurs bras pour un baiser appuyé sur la bouche. Quand ce fut mon tour de la saluer, Anne me présenta, et nous échangeâmes un léger baiser sur nos lèvres.
Cette beauté brune, car elle était superbe en imposait par sa prestance, elle se mouvait avec élégance de l’une à l’autre, je lui donnais à peine dix huit ans. Elle était grande, bien faite ce qu’il fallait ou il fallait, maquillée très légèrement mais avec goût, bref un canon.
Puis, la jeune fille, leur tendit à chacune une chaînette de cheville différente et s’adressant à moi demanda :
- Bonsoir, vous voulez baiser ?
- Bien sur Edwige, c’est pour cela que je l’ai amenée ici.
Anne avait répondu à ma place.
- Mais je te laisse le soin de lui expliquer pourquoi ta question.
La jeune femme me montra alors des chaînettes toutes de couleurs différentes en expliquant leur signification..
- Les rouges, sont pour les femmes voyeuses qui ne veulent pas qu’on les touche, même si elles sont provocantes et accompagnées, parfois même nues ! Les roses pales sont pour les lesbiennes disponibles comme Katia ce soir sans doute ?
Cette dernière hocha la tête en signe d’assentiment…
- Les noires sont réservées aux femmes qui n’acceptent de faire qu’une fellation et bien su d’avaler… Les jaunes sont pour les femmes qui acceptent de baiser et sucer…Enfin les vertes sont pour celles dont les trois orifices sont disponibles… J’ajoute qu’une verte à chaque cheville signifie que la femme est en plus maso et accepte les sévices… Voilà ! Que choisissez-vous ?
Cette fois c’était à moi de répondre et à moi seule… A peine une hésitation je dis :
- Jaune !
Les dés étaient jetés j’allais m’offrir à la vue de touts et toutes en affichant que ma chatte et ma bouche étaient disponibles.

Je devenais une pute sauf que c’était gratuit et je n’étais pas sur le trottoir !..
Dès que nous eûmes accroché nos chaînettes, Edwige poussa une porte insonorisée et nous la tint pendant que nous entrions sans une vaste salle où une minuscule piste de danse était entourée de boxes pour deux à quatre personnes, la sono était très supportable. Un bar sur notre droite était à notre entrée quasi vide, la serveuse qui se tenait derrière, une rousse flamboyante, nous dévisagea. Je la vis se pencher et parler à la femme assise devant elle sur un tabouret et qui lui tournait le dos. Cette dernière se retourna et avec un grand sourire sauta de son tabouret, se précipitant vers Anne qu’elle enlaça, leur échange buccal fut assez long. A leur séparation Anne me présenta, la femme embrassa rapidement Katia, avant de m’enlacer et de m’embrasser fougueusement les lèvres. Je ne pu que permettre à sa langue de venir caresser la mienne. En se décollant de moi, mais sans me lâcher elle dit :
- Bonsoir, je suis Tamara ! Viens avec moi Lise je vais te faire visiter…
Nous traversâmes main dans la main la piste de danse, elle m’entraîna dans un couloir. Puis me guida jusqu’à un canapé installé face à un vaste matelas rond genre lit, où elle me fit asseoir. Assises cote à cote elle me décrivit les différentes salles situées à proximité du couloir que nous avons suivi. Un petit couloir, réservé aux glory-holes, quatre chambres, avec un lit permettait de faire trios ou parties carrées. La salle ou nous étions permettait à une femme, ou deux, d’accueillir jusqu’à une douzaine d’hommes souhaitant les baiser. J’appris aussi qu’au sous-sol, il y avait un jacusi pour les détentes ou les rencontres, mais interdiction de baiser dans le bassin. Les reste du sous-sol consistait en trois grandes salles équipées de divers crochets aux murs et plafond, d’instruments et croix de Saint-André, autorisant chacune jusqu’à huit spectateurs du, ou de la supplicié(e) et de son bourreau. L’insonorisation permettait tous les cris… L’étage possédait une vaste salle ou les matelas étaient simplement séparés par des bat-flancs où le couples étaient visibles par qui venait s’y promener.

Pendant toutes ces explications Tamara m’avait enlacée, et caressait mon sein de la main gauche pendant que la droite sous ma jupe explorait mon pubis…Le passage de deux couples à demi nus traversant la pièce et se dirigeant vers une chambre n’interrompit pas ses caresses car en sus elle ma roula un patin très appuyé.
De nouveau seules elle me laissa en disant :
- Tu dois avoir envie d’essayer les lieux. ma chérie. Commence par le glory, cela va te préparer à la suite mais n’oublie pas qu’ici les femmes avalent… Et mets toi nue tu n’en sera que plus désirable … Quand tu auras envie d’une femme, je suis à ta disposition, tes petits seins et ta chatte humide me tentent beaucoup.
- Merci Madame…
Répondis-je sans réfléchir.
- Tu me remercieras lorsque tu auras joui avec moi en attendant défoules toi chérie… Je t’envoie des clients, au moins trois… Va ma belle…
Encore sous l’influence de Tamara je me dirigeai vers le couloir en question. La porte fermée je me déshabillai et attendis. Très peu de temps après j’entendis des voix de l’autre coté de la cloison. L’une d’elle m’intima de me mettre le dos à la cloison opposée. Manifestement les clients voulaient me mater. Docile je m‘exécutai. Après quelques instants je vis un membre encore pendant apparaître à l’un des trous.
- A genoux !.. Viens me sucer belle salope !
C’était évident j’étais là pour ça.. J’obéis à l’injonction , heureusement le sol était recouvert d’une moquette super épaisse peu douloureuse pour les genoux et me saisis de cette tige pendante. Cela faisait une éternité que je n’avais plus masturbé un homme…
Le sexe sentait bon, je l’embrassai délicatement sur toute sa longueur, avant de gober le gland que ma langue lécha consciencieusement. Progressivement je m’enhardis à gober le membre le plus loin possible. Entre temps je m’aperçus qu’un autre engin m’était présenté à coté. Tendant la main sans cesser de sucer le premier qui déjà grossissait et durcissait dans ma bouche, je me saisis du second et le caressai.

Rapidement j’avais retrouvé les automatismes qui avaient fait de moi une salope appréciée durant ma jeunesse. En peu de temps je sentis celui que je suçai raidir et son possesseur s’immobiliser dans ma bouche. Je me représentai le type de l’autre coté à la limite de l’explosion, je serrai mes lèvres sur l’instrument et attendis sans respirer la première giclée… Celle-ci ne tarda pas et se déclencha d’un coup envahissant ma bouche d’un seul coup, ma gorge bloqua cette inondation. Je réussis à déglutir rapidement et à absorber la seconde, puis les suivantes…
Tout en branlant l’autre membre en attente, je nettoyai celui qui venait de se vider et après un léger baiser sur le gland qui commençait à mollir et me jetai sur le second déjà bien raide. La bouche encoure envahie du goût un peu salé mais agréable de la précédente fellation, je m’appliquai a sucer ce nouveau sexe…
- Vieille salope tu suces bien !
Ces paroles occultèrent tout je que je fis machinalement. La terminologie employée me fit supposer que la personne que je suçais était certainement beaucoup plus jeune que moi. Un peu vexée par le terme de vielle, je fis appel à toute ma lointaine expérience pour lui démontrer que justement l’expérience, débouchait sur une satisfaction de courte durée.
En peu de temps je l’amenai à se répandre dans ce récipient si agréa qu’était ma bouche. Cette fois ce fut une vague énorme qui m’envahit. Comme en même temps j’avais titillé à me faire mal mon bouton, je me sentis pleine à l’entrée et au plus bas de mon corps…
Le goût de ce sperme juvénile, a mon avis, était délicieux. Pendant que je séchais ma chatte de mouchoirs en papier et me rhabillai, ma langue ne cessait d’explorer ma bouche, dénichant chaque goutte de sperme y persistant, et s’en délectait. C’est ainsi que je sortis de la pièce et vis un très jeune homme passer la porte de la salle de l’entrée. Mon imagination ne m’avait pas trompé, c’est donc honteuse et certainement le rouge aux joues que, le suivant, j’entrais a mon tour dans la pièce.


Je cherchai mes compagnes et vis Katia en compagnie d’une femme demi-nue l’embrassant. En m’asseyant près d’elles, je vis leurs doigts à chacune aller et venir dans le vagin de l’autre, leurs gémissements ne laissaient aucun doute sur le plaisir ressenti. Katia tourna son visage, illuminé par la jouissance et sa bouche entrouverte était trop tentante. Le me collai à elle et lui prenant le sein je malaxai ce dernier avec un plaisir non dissimulé, Ma bouche se colla à la sienne pour un langoureux baiser. Je réalisai alors que Katia m’attirait et son abandon à mes caresses augurait de futurs contacts encore plus intimes…
La tension retomba entre nous et Katia m’offrit de boire le verre de soda de ma grande sœur montée se faire sauter… La Brune qui avait profité du corps de Katia lui offrant aussi le sien se présenta. Elle se prénommait Simone et avait cinquante quatre ans,.ce que ses petits seins flasques et tombants de démentaient pas. Avec ses longs cheveux frisés et son maquillage outrancier, elle faisait assez vulgaire mais cependant elle dégageait un petit quelque chose…
Pendant que nous discutions toutes trois, elles à demi-nues, je regardais autour de nous, environ une demi-douzaine de couples dansaient très serrés, s’exhibant indécemment pour certains ? Deux femmes mures, l’une nue l’autre en soutif, s’embrassaient en dansant sur la minuscule scène agrippées au poteau qui la dominait. Quant aux autres personnes assises dans la salle dans les diverses alcôves, elles regardaient les deux gouines danseuses, sauf un groupe de six jeunes qui regardaient dans notre direction…
En y regardant de plus près, je constatai que le jeune que je venais de sucer était parmi eux. Je devais sans doute faire l’objet de leur conversation, ce qui expliquait leurs regards. Je me sentis rougir de nouveau, la chaleur m’envahit le visage. J’avalai une bonne gorgée de soda et doucement retrouvai mon calme. Alors que ma respiration redevenait normale et que je me détendais, deux des jeunes gens se dressèrent devant moi.
- Il paraît que tu es une bonne suceuse !
Me lança l’un d’eux.
- Tu viens nous montrer si tu es aussi une bonne baiseuse !
Reprit le second. Estomaquée, je restai muette. C’est à ce moment que Katia m’embrassa l’oreille en me soufflant :
- Vas-y chérie, Simone m’a dit qu’ils étaient un super coup !
Après tout c’était pour cela que j’étais venue ici. Bien que ce soit des jeunes, ils avaient un organe mâle, et puisque Simone à son age les avait essayé… Finalement, je me décidai et me levai, et les précédai vers l’étage. Volontairement j’ondulai des fesses en montant. Dès notre entrée dans la pièce, deux d’entre eux m’agrippèrent par les bras, et l’un m’embrassa dans ce cou, le second commença à me peloter et remonter mon T-shirt. Mes fesses n’étaient pas oubliées car des mains les malaxaient…
Si bien que lorsque je fus poussée sur le matelas dans un boxe libre, il n’eurent plus qu’à tirer légèrement sur ma tenue pour que le me retrouve nue. Je n’eu pas le temps de réagir qu’une verge bien raide se posa sur les lèvres et poussa pour pénétrer ma bouche, pendant ce temps on écartait mes jambes et je sentis un corps s’insérer entre elles.
Les yeux fermés, la bouche pleine un sexe me défonça la chatte sans ménagement. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas été ainsi prise, que cette violente pénétration me fit gémir. Bien que satisfaite d’être à nouveau pénétrée et pénétrable, je n’avais pas encore mouillé assez ou le préservatif n’était pas un modèle avec lubrifiant, toujours est-il que le raclement du membre contre mes chairs intimes était un peu douloureux. Heureusement cette sensation s’estompa rapidement au profit d’un plaisir qui allait croissant à mesure que mon partenaire me limait…Puis je sentis ce dernier me quitter, sans doute avait-il joui, aussitôt remplacé par un autre… Cette fois aucune douleur, bien au contraire, mais attentionnée a celui qui me baisait la bouche, dont je sentais la jouissance proche, je me laissai aller.
Simultanément je sentis mon ventre se remplir de cyprine, celui que je suçai se déversa dans ma gorge, et celui qui me limait jouir en restant abuté au fond de moi…
Dès cet instant je perdis pied, enfin pris mon pied à moi, car les mecs se succédèrent, dans mon vagin et dans ma bouche. J’étais dans un semi-coma, j’avais conscience de cette succession de queues mais jouissant quasiment en permanence, j’étais incapable d’une quelconque réaction, hormis celle de projeter mes hanches en l’air à chaque poussée de mon partenaire.
Je déglutissais machinalement le sperme qui m’emplissait la bouche. Encore inconsciente du lieu où je me trouvais, plus de corps entre mes cuisses largement écartées, je récupérai l’usage de mes sens. Je sentis une main se poser sur mon pubis, descendre sur le capuchon de mon clitoris, me masser l’endroit en glissant bien sur cette zone sensible…
- Ca te fait du bien la crème que je te passe chérie ?
Katia totalement nue, agenouillée près de moi me massait précautionneusement le sexe.
- Oui, c’est bon… Surtout par toi, tu es très douce…
J’avais la bouche, que les sexes avaient s, encore trop douloureuse pour que j’articule clairement, c’est donc dans un murmure que je lui répondis…
Enhardie par mes propos, Katia s’allongea près de moi et commença à me caresser la poitrine. Heureusement que ses mains étaient enduites de crème, car mes tétons étaient encore douloureux des étirement et torsion subis. Je me mis à feuler sous ces caresses, et les yeux clos me laissai aller.
- Chérie, il va falloir y aller, ta sœur doit nous attendre ! Cela fait deux heures que tu te fais sauter, moi et Simone on a gouinées presque le même temps, je suis rassasiée mais ne sois pas inquiète, je te promets qu’on recommencera…
Katia, me ramenait à la réalité. Difficilement je me redressais et enfilai lentement mes vêtements sous le regard de ma compagne vite rhabillée. Redevenue présentable, je la suivis et nous descendîmes au rez de chaussée.
Tamara était seule au bar, en nous voyant elle se précipita vers nous, un baiser sur la bouche de Katia pendant qu’une main fouillait son bas-ventre sous sa jupe. Puis elle m’enlaça tendrement et me roula un délicieux patin, avant de me dire :
- J’espère que tu as passé une bonne soirée Lise chérie, n’hésite pas à revenir, je donne ma carte tu auras ainsi mon portable personnel. Si tu as l’occasion de passer par ici dans la journée, appelle-moi. Généralement je suis disponible. Tu es très attirante j’aurais des propositions pour toi ma belle…
- Merci Madame…
Malgré moi, je respectais la patronne et elle me tutoyait… Elle reprit en me tapotant les fesses :
- Vas vite les rejoindre Lise elles t’attendent…
Elle me lança un baiser de la main lorsque je franchis la porte du bar. Je croisais l’énorme noir qui m’ouvrit la porte extérieure en lui lançant moi aussi un baiser de la main. Me hâtant je rejoignis la voiture d’Anne.
A peine assise à l’arrière, cette dernière en démarrant du parking m’apostropha :
- Alors petite sœur que penses –tu de ta soirée ? Dis-nous tout. ?


Surtout mesdames ou mesdemoiselles lectrices laissez-moi votre mail, je vous réserve une surprise ! Bises à vous…

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