Offerte 2

Brusquement en arrivant dans le salon, Thomas me mis une main aux fesses et s’exclama : Qu’est-ce que c’est que ça, tu sais très bien que je ne veux pas que tu mettes de sous vêtements. Enlève moi ça tout de suite. Comme je ne bougeais, il m’enleva d’un geste brusque mon string.

L’un de ses amis lui fit remarqué qu’il n’avait pas su me faire obéir, et que je méritais une punition sur le champ ce que Thomas approuva.

Il me fit m’agenouiller devant ses amis, me mis les mains sur la tête, et m’obligea a écarter les cuisses de ses deux mains. Je me retrouvais là à genoux, mains sur la tête face à ses amis. Soudain, il leur dit ah mais vous n’avez jamais vu les seins de ma femme ! Et passant derrière moi, il dégrafa d’un geste mon chemisier je n’eus pas le temps de réaliser que j’allais me retrouver en soutien-gorge devant eux quand il défit d’un geste rapide celui-ci et l’écarta pour livrer au regard de ses amis mes seins.

Perdue, mon souffle s’accélérait, je fis une geste pour mettre mes mains dessus, mais il me remis les bras au-dessus de la tête et tira mes coudes en arrière pour mettre en avant ma poitrine. Il les tritura, en pinçant les tétons à me faire mal pour qu’ils bandent bien. Je sentis mon clito grossir et ma chatte s’humidifier.

Marc lui fit remarqué qu’il avait de la chance d’avoir une femme aux seins aussi gros et fermes, mais que c’était dommage qu’ils n’en voient pas plus, ma chatte était-elle aussi belle ?

Jacques pris le bas de ma jupe et la glissa dans la ceinture de celle-ci, je me retrouvais presque nue seins et chatte offerte à leur regards alors que Thomas tenait toujours mes coudes en arrière. C’est le moment que choisis Corinne pour rentrer.

Rouge de honte, prête à pleurer, je fermais les yeux, et sentis immédiatement, un doigt qui s’immisçait dans mon intimité.

Une voix féminine me les fit soudain rouvrir, c’était Corinne qui trouvait que je mouillais bien.

Elle entra franchement son doigt dans ma chatte en me regardant droit dans les yeux, j’ai toujours eu envie de te la bouffer. Ce qu’elle fit. J’essayais de me débattre, mais l’un de ses amis me tenait fermement pendant qu’un autre s’occupait de mes seins. Je dois avouer que la langue experte de Corinne sur mon clito et ma chatte me firent de l’effet, j’avais le souffle court, ma respiration s’accélérait à chaque coup de langue et sous l’effet des caresses et pincements sur mes seins, je sentais mon clito grossir à vue d’œil et sous l‘effets des doigts de Corinne dans ma chatte je me suis mise à jouir très fort. J’entendis soudain la voix de Thomas me dire je savais que tu aimerais ma salope.

Lorsque que Corinne eut fini de me doigter et de me lécher, on m’allongea sur la table du salon et Corinne vit s’asseoir sur ma bouche, pour que je la lèche, mais là non j’ai détourné la tête, je ne pouvais pas.

Thomas me demanda de venir le sucer, ce que je fis, heureuse d’éviter de sucer Corinne, des mains finirent de me déshabiller, et c’est entièrement nue que je le suçais, il exigea d’un ton doux mais ferme que je sois accroupie, jambes écartées pour cela. Plusieurs mains caressaient mon corps, certains, ma chatte, d’autres mes seins. Puis estimant que cela suffisait, je dus retourner face au canapé, mains sur la tête, accroupie cuisses écartées, offertes aux regards de tous ces hommes. Puis l’un d’eux m’ordonna de me branler afin qu’ils sachent ce que je préférais, je m’exécutais volontiers, je n’en pouvais plus malgré la honte que j’avais il fallait que je jouisse et vite. Je caressais mes seins, puis une main sur l’un d’eux je descendis et branlait mon clito jusqu’à la jouissance.

Je fus ensuite allongée sur la table du salon, écartelée, des mains tenant solidement mes bras en arrière, les cuisses écartées, et livrée à l’envie des amis de Thomas, je subis des doigts qui fouillaient ma chatte, tandis que d’autres s’occupaient de mes seins et qu’une queue forçait ma bouche. Je regardais Thomas qui se branlait en me regardant sous les assauts de ses amis. La même lueur dans les yeux que quand il était rentré, c’était prémédité. J’étais là écartelée, offerte aux amis de Thomas par sa volonté, en récompense de m’être laissée faire par Corinne.