J'Ai Donné Mon Trou À Bébés Au Cours D'Une Promenade En Voiture

J'ai donné mon trou à bébé au cours d'un promenade en voiture

C'est la première fois que j'écris une histoire érotique. J'avais envoyé un mail à mon copain pour lui demander son avis sur mes capacités à rédiger une histoire érotique. Je ne doutais pas que j'en étais tout à fait incapable, mais il m'encouragea et me dit que ce serait bien d'avoir l'avis des lecteurs sur mon histoire. Je me suis finalement décidée à écrire. Toutes les critiques sont les bienvenues. Merci par avance de réagir de façon constructive.
Du fait que mon copain habite à 100 km de chez moi, nous ne pouvons pas nous voir toutes les semaines et nous devons profiter au maximum du peu de fois que nous sommes ensemble. Habituellement nous restons au lit toute la journée, nous regardons des DVD, nous mangeons, nous rions , nous baisons, nous discutons en fait nous passons toute notre temps à nous aimer et à nous reposer bien tranquillement. Mais cette fois-ci nous avons décidé de passer notre temps libre d'une façon bien différente.
Je n'avais pas spécialement envie de modifier la façon dont nous devions passer notre précieux temps libre pour me mêler à la foule de personnes inconnues, mais en même temps, j'aimais me montrer et que tu me présentes comme ta nouvelle copine.
Il est tard ce vendredi après midi et nous allons en voiture à une fête qui a lieu dans un hôtel situé à l'écart de la ville.
Dés que je pense que tu ne me regardes pas avec amour, je deviens jalouse car jaime que tu me cajôles, que tu m'embrasses, que tu étudies chaque petit détail que tu découvres sur mon visage, que tu me dises que tu aimes mon parfum, que tu adores mon corps, que tu caresses mes seins et mon cul.
Je me penche du côté du conducteur et je te donne un baiser sur la joue et je ne peux pas m'empêcher de te redire que je t'aime. J'hésite mais je te laisse passer ta main sur mes jambes et plus bas au niveau de mon sexe que tu voudrais pénétrer une fois de plus car tu sais que ç'est bon pour moi de me sentir remplie par ta belle bite qui me fouille à merveille.


Lorsque tu rencontres mon regard, tu souris, car tu sais ce que j'aime. Je te demande si nous arrivons bientôt à destination.J'appuie sur la paume de ta main pour accompagner ta caresse sur mon jean à lendroit où se trouve mon trou d'amour que tu convoites. Je me penche davantage pour que tu puisses profiter de mon décolleté et tu y trouves ton bonheur, tu aperçois deux superbes nichons arrogants qui te narguent , et je te demande de ne pas regarder ces merveilles trop longtemps car tu conduis.
Tu as eu le temps cependant de voir que je porte un soutien gorge noire qui rendent mes seins jolis, mes seins bien fermes et remplis du bon lait qu'un jour je donnerais au bébé que tu me feras.
Tu m'as souvent dit que tu aimerais m'engrosser bientôt, quelle joie je pourrais éprouver si tu pouvais me mettre en cloque cette nuit, me faire un bébé au cours de ce week end spécial, ça serait si bon, oui vraiment bon.
Je pose maintenant ma main sur ta braguette et je caresse à travers le tissu ta longue et grosse bite d'amour. Je masse avec mes deux mains ta verge et tu me demandes de continuer, je continue car je n'ai pas l'attention d'arrêter cette caresse que tu aimes tant. Ma main est maintenant dans ton pantalon et touche ta bite nue qui m'appelle car elle désire que je lui donne un petit baiser sur le gland chaud et rouge. Elle est raide comme les bites en pierre des statues.
Je la sors avec mon autre main, elle est belle bien raide et c'est si bon de la sentir contre mes doigts ta bite si chaude. Avec un main je te branle doucement mais fermement et de l'autre main j'appuie sur ton scrotum avec un doigt je caresse la peau se trouvant dessous. Sans cesser de te masser avec les doigt, je me penche en avant et je laisse mon souffle chaud imprégner ta bite qui palpite maintenant d'excitation.
Tu gémis de bonheur et je chatouille ton gland violacé avec le bout de ma langue, j'ouvre la bouche et je laisse une goutte de salive couler le long de la hampe de ta bite, puis je l'att avec ma langue et je lèche toute la longueur de ta verge.
Je la serre plus fort avec main et je la caresse le plus loin possible et je laisse en même temps la pointe de ta bite glisser entre mes lèvres entrouvertes.
Je suce ta pine pendant un moment et je la caresse avec ma langue, bintôt je la sens grossir dans ma bouche et je ressens une sensation exquise lorsqu'elle devient énorme et occupe toute ma bouche, je suis très fière d'avoir pu enfourner cet objet de mon désir qui sert à donner du plaisir et faire des bebés aux femmes.
Je lève ma tête pour rencontrer ton regard et je ferme mes lèvres autour de ta bite qui brille à cause de la salive que j'ai déposée dessus. Lentement mais fermement je l'enfonce entièrement dans ma bouche et dans ma gorge jusqu'à ce que je ne puisse plus du tout respirer.Tu continues même si j'ai des larmes dans les yeux , tu la laisses malgré tout dans mon cou, je suis comme une oie qu'on gave.
J'halète, je tousse,mais je ne cesse pas goulûment de sucer, de lécher, de caresser, de chatouiller ta bite. Tu gémis de plaisir, ce qui me donne encore plus envie de te gâter, de te satisfaire pleinement.
Maintenant je suggère d'arrêter pendant un certain temps, et je libère ma main pour soulever ma robe juste de deux à trois cm mais suffisament pour que tu puisses voir que mes collants se terminent par une étroite bande de dentelle au milieu de la cuisse et je ne porte pas de culotte.
Tu ralentis et tu cherches un endroit pour tourner. Tu ne peux pas t'empêcher de t'accrocher à moi, tu passes ta main sous mes jupes, elle frotte mon cul et touche ma chatte, tu laisses glisser ton doigt dans la fente et tu fais des vas et viens, te rendant compte que mon con est bien mouillé. Je pleurniche, je me presse contre toi, je ne peux plus attendre, je te veux en moi.
Nous trouvons rapidement un petit chemin de terre que nous empruntons et nous avançons sur le chemin suffisament loin pour ne pas être vus de la route. Nous nous regardons pendant un moment et tu m'attires vers toi, je veux d'abord protester, mais tu ris et tu me dis que ma bouche est barbouillée par mon rouge à lèvres et tu m'embrasses goulûment.
J'ai marmonné quelque chose, car je ne pouvais plus attendre, et sans dire en mot nous nous sommes dirigés vers un petit bois .
J'étais à peine sortie de la voiture que tu étais là pour me prendre, tu me touches, tu me pousses contre la voiture et tu fouilles mon corps .Tu es ardent, impétueux.
Je gémis, je te regarde avec un air si implorant que ça en est embarassant. Tu aimes me regarder te désirer en mettant ton genou entre mes jambes et me serrer très fort contre moi. Je frémis de plaisir et le sang se précipite dans mes artères, ma chatte palpite d'excitation. Je suis insensible à toute sensation de ton corps. Tu soulèves ma robe, tu trembles dans la fraîcheur automnale et tu couvres mon sexe exposé avec ta main, presse lentement avec toute la main et j'oublie presque qu'il fait froid.
Soudain tu enfonces deux doigts dans mon con, tu passes tes doigts rapidement et fermement là où c'est bon pour moi, je n'ai aucune idée de ce que tu veux faire, mais c'est très agréable, je gémis et je me tortille pour ton plus grand plaisir. Je chuchote d'une voix rauque que je ne peux plus attendre et que je veux ta bite dans ma chatte, mais tu n'es pas pressé.
"Prends moi par la taille et entraine moi jusqu' à l'arbre le plus proche.
Je n'aime pas ce que tu imagines, je n'ai qu'une chose en tête et je sais précisément ce que je veux. Tu me penches en avant, tu poses mes mains sur l'arbre et avant d'avoir le temps de dire un mot, tu soulèves ma robe et tu te cramponnes à mes hanches, tu étreints mon cul, je pousse en arrière car je te veux en moi, tu me sens un peu et tu me dis d'attendre. Tu caresses ma chatte légèrement, ma chatte est prête à te recevoir, je suis excitée et tu ouvres ton pantalon de nouveau.
Je tremble, j'écarte les jambes aussi loin que je peux, sans perdre l'équilibre, tu m'attires à toi , je ne peux plus attendre, tu retires ma main et tu me donnes une forte claque sur le cul. Puis je sens ta bite chaude et raide contre mon con.
Tu te presses contre moi, tu t'arrêtes et tu pénètres profondément dans ma chatte en me donnant un puissant coup de bite.
Je suffoque et mon corps a reçu un terrible choc, c'est ta bite qui chemine dans le tunnel et j'en veux encore plus.
Tu serres bien mes hanches et tu me baises rapidement et violement et j'aime beaucoup. Tu pinces ta bite dans ma chatte, tu te sens plus fort comme tu n'as jamais été et moi je ne peux pas en obtenir plus, tu me combles, tu me remplis, mon ventre et devenu le refuge pour ton bonheur. Bientôt tu caresses me cheveux, tu me tiens fermement, je suis en ton pouvoir et tu me donnes de grands coups de bite qui résonnent dans mes oreilles et se propagent dans tont mon corps en passant par le petit trou de mon cul jusqu'à la pointe de mes lolos.
Tu ne connais plus de limites, mes gémissements se mêlent à mes sanglots, j'entends que tu es sur le point de décharger mais tu ne le feras pas encore, même si je te le demandais. Tu sens que je vais bientôt jouir et tu me baises plus vite, je me tais et je sens l'orgasme qui s'annonce en moi, je me concentre sur ta bite qui rentre et sort de mon con et me berce au gré des vagues que je ressens et qui m'essoufflent.
Tu me serres, me pousses contre toi et tu décharges ton foutre au fond de mon être en gémissant légèrement. Je suis encore étourdie et je ne peux pas m'imaginer comment les muscles de ma chatte ont pu traire ta bite avec tant de vigueur à la suite de mon orgasme. Cela n'a jamais été aussi bon.
Tu te retires de mon con, tu te retournes et tu m'embrasses amoureusement avant de revenir à la réalité. Tu m'a bien baisée, mais c'était difficile car mon con est toujours serré, pas aussi serré.
Nous nous relevons, j'ai les jambes qui tremblent, nous avons regagné la voiture et je suis contente, un peu groggy, comme toujours après avoir reçu une grosse bite dans le trou de mon cul.
Il faut aussi défripper ma robe , refaire mon maquillage, affronter les réflexions qu'on ne manquera pas de nous faire car nous sommes en retard, commencer à comprendre comme c'est merveilleux d'avoir un petit ami et me familiariser à l'idée que ce petit ami ne peut être que toi.

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