Histoire Vraie (3)
Pour les lecteurs qui ont lu les deux premières parties de (histoire vraie 1et2 ) et aux autres qui les découvriraient je viens vous donner de mes nouvelles.
Voilà ça fait un an que nous nous voyons avec mon petit vendeur de jeans nommé Florian et pour être très honnête je ne regrette rien même si je dois être très prudent dans notre relation car dans le petit village ou je vis il est encore tabou d'avoir des amitiés particulières, la virilité légendaire du mâle joueur de foot-ball serait mise à mal.
Et pourtant je peux vous certifier une chose que c'est dans le sport ou se cache le plus de désirs pervers trop souvent inassouvis.
Combien de fois j'ai pu surprendre des regards qui n'avaient rien d'anodins, si les murs des douches pouvait parler ils en raconteraient, combien sont nés là des envies et des désirs qui resteront cachés toute une vie.
Comme beaucoup de garçons mon désir sexuel est un peu au dessus de la moyenne, et je n'aurais jamais au grand jamais cru donner et recevoir autant de plaisir avec une personne du même sexe.
Le hasard de cette rencontre avec Florian c'est avérée inespérée et moi qui me prenais pour un mâle sur de lui et de sa virilité, j'étais loin du compte.
Ce garçon de 20ans en savait plus sur le plaisir à donner à un autre que toutes les filles réunies aussi délurées soient-elles
.
Non je n'ai pas honte de ma relation avec lui, on se donne mutuellement le maximum de plaisir que la nature nous a donné de perversité.
Bon d'accord ce qui m'a attiré chez lui en premier c'est son physique il est d'une beauté à faire mal aux yeux , certain le trouverait trop efféminé c'est vrai qu'il ne fait pas ouvrier de chantier, surtout dans ses tenues pour le moins branchées, car vous devez vous en douter à 20 ans et de nos jours les tenues des ados ont de quoi surprendre, mais c'est ce j'aime chez lui, il a un look de petit minet précieux.
Il est toujours super impeccable, parfumé très délicatement, toute les semaines coiffeur, quand à ses vêtements il y passe toute sa paye, il faut voir sa garde robe.
Toutes sortes de pantalons ( baggy, slim, jeans )et ceci dans plusieurs couleurs, aussi des pantalons au rayon féminin, je me souvient un jour il portait un pantalon blanc plus moulant ça n'existe pas et en plus très fin de tissu et comble de provoc il portait dessous un brésilien noir dont on voyait par transparence le petit triangle foncé se dessiner en haut de ses fesses croyez moi si vous voulez je ne fut pas le seul à le mater et en plus le bougre il sait qu'il plait beaucoup aux filles comme aux garçons.
Je vous passe les tricots, seet, tee-shirt, chemises, gilets.
Et en dessous c'est pire que du beau sous-vêt glamour et sexy ( strings, jock-straps, shortys, quand aux boxers et les slips que des modèles hyper mini, il en a les tiroirs d'une commode remplis.
Je dois vous dire comme vous avez pu le lire dans mes histoires (1et2) que moi aussi je suis friand de sous-vêts de mec et cela compte beaucoup dans notre relation coquine, j'adore voir un mec en petite tenue et Florian en particulier et je suis sur qu'il ferait rougir bon nombre d'hétéros de ma connaissance.
Ils nous arrivent dans nos rendez vous galants et coquins de prolonger nos préliminaires juste vêtus de nos petite lingeries respectives, surtout lorsque nous portons des jocks-straps ou pas mal de choses peuvent être faites sans les ôter vous voyez ce que je veux dire.
Il lui arrive aussi en amant attentionné de m'offrir des dessous et il ne se trompe jamais, des choses qui me vont toujours à ravir dans des couleurs gaies sans jeux de mot.
Nous avons pris l'habitude de nous voir au moins une fois par semaine et nos étreintes sont toujours aussi fougueuses avec de plus en plus de préliminaires sexy et amoureux, et oui si Florian est très amoureux de moi de mon côté je tiens à lui et mon désir pour lui prend le pas sur le raisonnable.
Depuis un an que l'on se voit nous en avons essayé des tas de positions, nos préférences vont à celles ou l'on peut en même temps se rouler des pelles et se câliner de bisous, pour lui une de ses préférées il me veut debout contre un mur ou une cloison il passe ses bras autour de mon cou on peut dire qu'il me grimpe carrément passe ses jambes autour de mes hanches je le maintiens par les fesses il se lâche d'un bras prend ma bite et se la met pour lui m'a t-il dit ça lui permet d'être bien ouvert et de bien la sentir au fond bien sur vous devez vous douter qu' il faut un partenaire relativement léger et souple.
Je me souviens une fois en voiture tout en me caressant à travers le jean il me chuchota à l'oreille j'ai envie de ta bite de suite arrête toi Stéphane, je me garais dans un petit chemin de campagne comme il portait un baggy, juste le temps de défaire le bouton il tomba à ses chevilles, il se pencha sur le capot de la voiture creusa le bas de son dos écarta lui même la ficelle de son string et voilà il était en position offrant impudiquement sa chatte de mec à mon désir plus que raide, vous imaginez la suite rapide mais intense.
Sa façon de se donner à moi me rend fou il faut dire que quand il tends son petit cul avec sa paire de fesses que bien des filles lui envierait c'est une invitation sinon à la débauche du moins au désir, sa grande habitude à présenter son intimité est en elle seule une chose divine et des plus bandante que je connaisse, et lui il m'a vraiment éduqué sexuellement.
Quand nous sommes ensemble en privé comme en public il a toujours envie son appétit sexuel est étourdissant, une caresse furtive sur les fesses, un bisou rapidement volé, jusqu'à même carrément la main au paquet, je me souviens un jour que nous étions au resto assis l'un à côté de l'autre sur la banquette en moleskine face au comptoir il commença à me caresser la cuisse son envie soudaine était à mon avis du à la présence d'un petit serveur bien mignon qui n'arrêtait pas de le mater, mais revenons à sa main qui remontait en un savant massage vers mon entre jambe, la avec la paume de sa main il pressa sur ma bosse qui durcit immédiatement, mais mon érection était comprimée par l'étroitesse du jean, il insista quand même sachant que c'était douloureux puis très adroitement il s'attaqua à la fermeture éclair qui dans ce cas méritait bien son nom, il fit sauter le bouton du haut aussi rapidement et comme ça il put tout à sa guise malaxer mon nud à travers le boxer, entre ses deux doigts ma tige grossissait à vue d'il, il passa ensuite son pouce sous mes bourses à l'étroit et toujours d'une seule main il glissa le bout de ma bite sous l'élastique du boxer ce qui eut l'effet de la décalotter et la il se mit à me masser le gland entre le pouce et l'index c'était hyper bon et en même temps difficile à supporter le boxer à ras des couilles ralentissait la montée de la sève, entre temps jetant un coup d'il au petit serveur qui nous dévorait des yeux et je compris à ce moment précis qu'il avait saisit ce qui se passait sous la table, quand Forian saisit de son autre main la serviette de table en papier, je compris qu'il voulait me finir il fit passer mes couilles dessus ce qui eut un effet libérateur et permit presque immédiatement de gicler dans la serviette qui couvrait ma bite et je ne vous raconte pas l'intensité de la jouissance, en un tour de main il replaça mon nud dans le boxer et me rezippa.
Je dois aussi avouer que si Florian n'avait pas été efféminé il m'aurait moins attiré et en même temps moi qui n'avais eu que des aventures féminines il m'était plus facile de sauter le pas « sans jeux de mot » son corps pratiquement imberbe à la peau soyeuse mais aussi la tentation et l'excitation de caresser une bite,Tout cela a été très vite comme vous avez pu le lire dès la deuxième rencontre ma première pipe et première sodomie, sur ce point précis de nos ébats amoureux je pense que je suis tombé sur un initiateur de rêve, il m'a appris à pendre du plaisir sans douleur excessive, il me plaça d'abord à quatre patte m'expliquant l'importance de bien creuser les reins pour relever la croupe en écartant bien les jambes pour bien présenter mon intimité et permettre à la bite de pouvoir glisser à l'intérieur sans effort
Bon je ne vais pas vous dire que je me fais sauter à chaque fois mais de temps en temps quand je suis très excité j'y prend un vrai pied surtout que Florian sait y faire et qu'il est endurant il arrive à me limer un bon quart d'heure à un rythme très soutenu.
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