Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 114)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Année 1784 - Initiation d'une jeune aristocrate -(10) - La roue de l'infortune... (suite de l'épisode 112) -
Ainsi fut-il... Emma de Fontanges fut autorisée à passer une nuit de bon sommeil... Non dans un cachot comme elle l'avait d'abord supposé, mais dans une chambre. Et elle ne fut enchaînée au pied du grand lit à baldaquin que par une cheville. La jeune femme, épuisée par le long et fatiguant voyage jusqu'au Château sombre bien vite dans un profond sommeil. C'est une main douce mais insistante qui vient la tirer de ses rêves, rêves dailleurs entièrement dédiés à son Seigneur et Maître...
Justine, l'une des deux esclaves favorites du Marquis de Sade lui caresse l'intérieur des cuisses, suavement... Emma ouvre ses yeux encore collés par son abandon nocturne.
- "Allons, il est temps, tu dois être entièrement toilettée, car une nouvelle expérience t'attend", susurre Justine à une Emma ébahie...
- "Une... une expérience ? mais... "
- "Chut !! Pas de questions, je ne suis pas informée... je dois juste t'aider à te préparer. Ton Maître te veut absolument parfaite..."
- "Bien... bien...", marmonne Emma tandis que Justine entreprend de la délivrer de la chaîne qui lui enserre la cheville. Emma se lève, nue bien sur, le corps encore marqué et souillé des épreuves de la veille. Justine l'observe...
- "Eh bien ! Il y a quand même du travail ! Allez, nous ne serons pas trop de trois pour t'apprêter", et ce disant, elle pose au cou d'une Emma encore hésitante un épais collier de cuir auquel est scellé une courte laisse de cuir dont Justine tient la dragonne.
- "Allez, suis moi petite... viens profiter de l'eau chaude que l'on t'a préparée"...
TOILETTAGE : Emma suit Justine qui lui impose un rythme rapide... elle emprunte des couloirs jusque là inconnus. Alors qu'elles sont allées jusqu'aux cachots, elles ne se sont pas arrêtées dans ce quartier bien connu, mais ont emprunté un couloir mystérieux, étroit, chichement éclairé par quelques rares torches et dont le sol, par contre est carrelé de marbre froid.
Justine fait lentement glisser un savon délicieusement parfumé entre les cuisses d'Emma, elle n'hésite pas à glisser un doigt dans son intimité, tandis que Juliette crème langoureusement les seins lourds et blancs de mademoiselle de Fontanges. Emma s'abandonne à ce moment de délices... même si au fond d'elle, elle s'interroge sur ce qu'elle est en train de subir. Pourquoi l'apprêter ainsi ? Les deux esclaves ne profitent-elles pas de la situation en la traitant ainsi ? Ont-elles vraiment le droit de se permettre avec elle de telles privautés ? Ne sera-t-elle pas punie si l'on apprend comment elle se comporte, si docilement, si lascivement tandis que quatre mains expertes sont en train de la faire frémir d'un désir jusqu'ici méconnu ? Les deux autres échangent un regard complice.
- "N'ai nulle crainte... Emma, c'est bien ainsi que l'on te nomme, n'est-ce pas ?"
- "Ou... oui mademoiselle..."
- "Chut ! Contente toi d'écouter (Elle approche son visage tout près de celui d'Emma...) Ton Maître, le bon Marquis d'Evans t'a confiée à nous... nous devons te préparer, te toiletter, te mettre en condition pour ce qui t'attend... Laisses nous faire, sois juste l'objet docile et charmant que veux ton Seigneur et Il sera satisfait
"
N'allant pas plus loin, Justine embrasse à pleine bouche Emma... tandis que Juliette lui maintient les poignets... les deux esclaves poursuivent la toilette de la petite ingénue... elles s'amusent de son inexpérience et tout en s'appliquant à lui prodiguer la plus rigoureuse des toilettes ne se privent pas de quelques attouchements très intimes. Appuyées, certes, mais sans jamais cependant risquer de susciter quelque jouissance intempestive de la part d'Emma... Une fois parfaitement récurée, Justine et Juliette entraînent Emma hors du bain et la poussent contre un mur
- "Demeure ici et ne bouge pas ! Sous aucun prétexte"
Lui intiment-elles d'un ton autoritaire tandis qu'elles vont se munir chacune d'un lourd seau, s'approchent... et aspergent brusquement Emma du contenu d'eau froide des seaux. Emma de Fontanges pousse un cri, plus de surprise que d'autre chose... Elle tente de faire un dérisoire rempart de ses bras à son corps soudain grelottant, tandis que les deux esclaves reviennent déjà à l'assaut et lui envoient une deuxième pluie d'eau froide... Elles répètent ainsi plusieurs fois leurs allers et retours, tandis qu'Emma se recroqueville sur le sol... Puis, cela cesse
- "Allons redresse toi"
Lui intime Justine tout en lui serrant l'épaule afin de la forcer à se relever. Emma obéit. Les deux femmes s'empressent alors de frictionner Emma avec d'épaisses serviettes.
ANONYME : Le Marquis est dans sa chambre, douillettement installé dans un large fauteuil, un jeune esclave mâle Lui a servi sa collation matinale et Lui sert maintenant de repose-pieds, parfaitement immobile, nu et à quatre pattes... Emma est menée devant Le Marquis qui apprécie la chose. Emma, debout, droite, le buste luisant et les tétons maquillés, la vulve fraîche et gonflée, la croupe lisse, les cheveux parfaitement peignés... Il se lève, donnant au passage un coup de pied à l'esclave mâle qui quitte précipitamment la pièce à quatre pattes.
- "Je suis satisfait... très satisfait" confirme Le Marquis -"Tu es aussi parfaite qu'il se peut et j'en suis heureux, car ce jour est le premier d'une nouvelle vie pour toi. Suite à l'accord pris avec ma cousine, tu viendras désormais très régulièrement chez moi, afin que je t'initie aux règles de la vie... Certes, je vais t'éduquer selon ton rang et ma si chère cousine appréciera ton éducation nouvelle. Mais surtout, ma douce chienne, tu vas apprendre à tenir ton rang de catin favorite de ton Maître. Car tu n'es qu'une catin, n'est-ce pas ?"
- "Oui mon Seigneur et Maître, je suis une catin, Votre catin, docile et dévouée, dont Vous usez comme bon Vous semble, pour Votre usage ou celui de qui bon Vous semble, mon Maître adoré", récite Emma...
- "Oui, tout à fait !" se réjouit Le Marquis "oui, pour Mon usage ou celui de qui bon Me semble, tu l'as bien récité ton texte... mais il est temps que tu apprennes ce que cela signifie, vraiment !" (Emma tressaille légèrement) Oui ma petite putain servile, ma chienne... tu vas franchir un nouveau pas, une nouvelle étape. Tout à l'heure, je vais te confier à une très chère amie. Tu La suivras et tu Lui obéiras en toutes choses, car Elle portera Ma Parole, La Parole sacrée de ton Seigneur et Maître. Compris ?"
- "Oui Maître... je Lui obéirai en toutes choses"...
Sans un mot de plus, Le Marquis fouille dans un tiroir et en extrait un masque loup en satin noir. Le masque de facture vénitienne, à n'en point douter, cache le haut du visage et laisse cependant un espace pour les yeux, tandis qu'un léger voile de dentelle descend jusqu'en haut des lèvres, dissimulant parfaitement l'identité de celle qui le porte. Le Marquis fixe le masque au visage d'Emma de Fontanges... Ouis il scelle autour de son cou un collier de chienne, mais recouvert d'un fin et doux velours assorti au masque, ne laissant dépasser qu'un épais anneau d'argent scintillant. Ensuite, il pose sur les épaules nues de la jeune femme une épaisse cape de satin noir doublé d'une fourrure tout aussi sombre et rabat sur la coiffure de l'esclave le large capuchon qui se noue par un lien de satin autour du cou. C'est aussi Le Marquis en personne qui aide Emma à chausser des mules de soie et dentelle noires à hauts talons. Le Seigneur d'Evans contemple "Son Oeuvre" puis va vers la porte :
- "Suis moi ... " dit-il simplement.
Et docilement Emma Lui emboîte le pas sans avoir prononcé le moindre mot. Elle suit ainsi son Maître jusqu'au rez-de-chaussée, puis sur le perron du château où attend un carrosse dont les quatre chevaux piaffent d'impatience ... Une très belle et Noble femme, grande, élégante, portant un immense chapeau décoré de fleurs et d'oiseaux exotiques, attend. Le Marquis salue l'inconnue et lui désigne Emma.
- "La voici donc ! (Emma s'immobilise à trois pas Du Marquis et de La Dame, ainsi qu'elle a été dressée à le faire) N'est-elle pas ravissante ?"
- "Si fait Monseigneur (minaude La Dame) mais tel que Vous m'en aviez parlé, je n'en ai jamais douté"
- "Certes... je vous la confie donc. Et vous savez pourquoi. Mais gare ! Je la veux revoir aussi fraîche et délicieuse que Je vous la livre. Que nul ne se permette quelque geste déplacé à son égard où c'est à Moi qu'il se devra d'en rendre compte !"
- "N'ayez aucune crainte Monsieur Le Marquis... j'y veillerai personnellement. Elle ne sera utilisée qu'ainsi que Vous, l'avez souhaité. Ni plus, ni moins... et Vous sera rendue en parfait état, sur ma vie !"
Et sur un salut, La Dame s'approche et fixe une laisse au collier d'Emma qu'elle entraîne à sa suite jusqu'au carrosse. Elle l'a fait grimper et la rejoint à bord. Puis donne l'ordre au cocher de partir. Un claquement de fouet, qui fait tressaillir Emma et les chevaux entraînent le lourd carrosse... A l'intérieur, très confortable, La Dame s'est assise face à la jeune femme...
- "Ote ce manteau" ordonne-t-elle et docilement, Emma s'en débarrasse afin de se tenir nue face à elle, écartant juste les cuisses comme on le lui a appris en présence d'Une Personne Dominante. - "Bien, je vois que l'on t'a bien dressée... Il est vrai que Monsieur Le Marquis est un Maître à nul autre pareil ! Qui es tu ?"
- "Je suis Emma de... " La Dame la coupe d'un cri :
- " Stop ! es tu donc stupide ? On ne prononce jamais de nom ! Jamais ! Pourquoi crois-tu que l'on a dissimulé ton visage, petite sotte ! ? Nulle identité, ni pour toi ni pour ceux qui vont user et à n'en point douter r de toi... si l'on tinterroge, tu diras seulement que tu es "catin" est-ce clair ?"
- Oui Madame, je suis catin et rien d'autre"
- "C'est bien... tu apprends vite et tu es docile... Je te rappelle simplement quelques règles mais que Monsieur le Marquis à n'en point douter t'aura déjà inculquées... Tu n'es autorisée à parler que si l'on tinterroge. Et tu ne dois jamais ni donner d'indices sur celle que tu es réellement, ni chercher à en apprendre sur Ceux qui seront là... Ceux-là ont le droit de disposer de toi comme bon Leur semble, ils peuvent avoir accès à tous les orifices de ton corps et tu dois te prêter à toutes leurs exigences. Jamais tu ne dois enlever ton masque, ni tenter de voir qui se dissimule derrière les autres masques. Compris, catin ?"
- "Oui Madame, soyez assurée de ma totale discrétion et de ma soumission la plus compète afin de satisfaire de ce que attend mon Seigneur et Maître et vous-même"
- "Je n'en attends pas moins ! Je te guiderai et tu n'auras qu'à me suivre et obéir. Ne te refuses jamais, à rien ni à personne. Tous ceux qui seront là peuvent t'utiliser sans aucune retenue, dans la mesure fixée par ton Maître, qui n'a exigé que la protection de ton intégrité et de ta santé... mais il n'a fixé aucune autre limite, catin" ...
La conversation se poursuit ainsi une bonne heure durant... Puis le carrosse stoppe et Emma doit revêtir son manteau, avant que d'être menée à nouveau en laisse par La Dame au bas du véhicule et sur l'allée qui mène jusqu'à une gentilhommière de modeste dimension mais de belle facture. Un bâtiment simple, aux allures élégantes, dont les fenêtres brillent de mille feux... Tandis qu'elles approchent, Emma entend de la musique, des rires, des cris parfois... Lorsque La Dame arrive devant les portes de la bâtisse, les deux battants s'en écartent et l'étrange équipage entre dans une immense pièce illuminée à giorno, où quelques dizaines d'hommes élégants et pérruqués boivent et s'amusent, au son d'un petit orchestre de musiciens aux yeux bandés, le service étant assuré par de jeunes hommes et femmes entièrement nus portant plateaux chargés de victuailles et de boissons ...
LA ROUE : Fendant la foule agitée, La dame entraîne Emma jusqu'au centre de la pièce et, frappant dans ses mains, impose le silence et suscite la curiosité. Les musiciens cessent et les invités tous richement vêtus remarque Emma, font cercle autour d'elle et de Madame. Les esclaves demeurant humblement et respectueusement en retrait. Dans un geste théâtral, Madame arrache le manteau des épaules d'Emma, dévoilant aux yeux de tous l'exquise nudité de la jeune femme qui désireuse de se montrer digne du dressage de son Seigneur se redresse et expose sa lourde et belle poitrine, écartant juste assez les cuisses pour que l'on devine la plus totale nudité qu'elle puisse exhiber. Instinctivement elle joint ses mains dans le dos, mais assez haut pour que ceux qui sont derrière ne ratent rien de sa croupe ronde et parfaite. Un frisson semble parcourir l'attroupement et (tandis que quelques commentaires sont chuchotés) Madame s'aidant de la laisse fait faire un tour à 360 degrés à Emma qui suit docilement le mouvement, afin que nul ne puisse en ignorer de sa splendide anatomie.
- "Celle-ci (clame Madame) est un présent d'Un Grand Seigneur. Elle est elle même de noble naissance, digne sans doute de porter les s de chacun d'entre Vous ! Mais elle est surtout catin concupiscente et propriété Du Plus Grand Maître en ce royaume. Ce soir, elle est à Vous ... Seul son visage vous sera refusé, car de son corps, au matin, je gage que rien ne vous en sera plus inconnu. Je vous l'abandonne un moment, pour que vous ... fassiez connaissance ... et puis, j'ai idée d'un jeu qui vous divertira sans doute et permettra à cette noble catin d'exprimer ses plus bas et luxurieux instincts !"
Puis, laissant là Emma de Fontanges, Madame s'extirpe de la presse qui s'organise et quitte la pièce... Des dizaines de mains palpent vicieusement maintenant chaque parcelle du corps de la jeune femme ... Sans violence, mais avec insistance, des mains, des doigts, s'insinuent sur elle et en elle... On la presse, on la pince, on la doigte, on la pelote... Nulle agressivité, nulle précipitation... Tout se passe avec douceur, chacun agissant à son tour ... et peu à peu Emma est à genoux, un sexe force ses lèvres, des mains caressent sa nuque, la presse... Elle avale et suce, puis la queue se retire, immédiatement suivie d'une autre... elle sent des sexes masculins qui frottent son front, giflent ses joues ... une autre bite s'enfonce dans sa gorge ... On étire ses tétons, on palpe ses nichons ... et les queues succèdent aux queues qui vont et viennent dans sa bouche et s'épanchent dans sa gorge ... Elle est nourrie de la semence de cinq, dix, douze hommes ... On la relève et la pousse vers un canapé, sur lequel on la fait mettre à quatre pattes... tandis qu'un homme debout force son gland entre ses lèvres, elle sent qu'on lui écarte les fesses et sur-le-champ on force sa rosette ... Ainsi, allant et venant, elle est comme embrochée par ces deux sexes qui la labourent longuement, avant que de céder la place à d'autres. Sa bouche ne désemplit pas, tandis qu'alternativement, les autres emplissent son con et son cul...
Etourdie, presque enivrée, Emma ne sait combien d'hommes l'ont ainsi alternativement pénétrée, possédée, défoncée ... Son cul, son sexe et sa bouche sont emplis du plaisir de Ces Hommes qui sans violence l'ont baisée comme un vulgaire objet ... sans jamais lui parler, sans jamais aucune marque d'un quelconque intérêt, sinon celui de s'enfoncer en elle et d'en jouir ... Quant à elle ... certes, elle a parfois joui ... elle en aurait presque honte, si son plus grand plaisir n'avait été de savoir que ce qu'elle subit elle le subit pour son Maître ... Elle a senti son corps vibrer, trembler, elle en a parfois perdu le contrôle dans une sorte de jouissance hypnotique, l'esprit empli de la certitude que c'est son Maître et Lui seul qui lui offrait ce plaisir, puisque c'est par Sa Volonté qu'elle était là ...
Puis, Madame revient accompagnée de deux grands esclaves noirs. Ils fendent la foule qui toujours se presse autour d'elle et se saisissent d'Emma qui ne tient quasiment plus seule sur ses jambes ... Madame fait taire le brouhaha de lassemblée
- "Messires, Messires, sil vous plait, écoutez-moi
Veuillez nous suivre, cette délicieuse créature va encore vous procurer de nombreux plaisirs, mais je vous propose un jeu qui n'en rendra ses charmes que plus désirables ..."
Tous suivent Madame et ses deux géants qui soutiennent Emma jusqu'à l'étage. Là, dans une autre pièce de dimension comparable à celle du rez-de-chaussée, le centre est occupé par une grande roue fixée à l'horizontale sur laquelle Emma est installée, attachée et écartelée, les cuisses largement ouvertes... chevilles et poignets placés dans des gaines de cuir fixées aux rayons de la roue. Tous entourent l'étrange mécanisme ... La roue, fixée sur un axe bas, peut être maniée par une poignée qui prolonge le rayon situé pile entre les cuisses de celle qui est emprisonnée sur la roue
D'une main on peut ainsi faire tourner la roue plus ou moins rapidement ... Au sol, une large cercle un peu plus large que la roue est tracé à même le sol ... Il est partagé en plusieurs portions chacune marquée d'un petit dessin très explicite : Paire de fesses, seins, fouet, con, sexe mâle urinant, pieds et plusieurs autres ...
- "A tour de rôle, vous ferez ainsi tourner la roue (explique Madame) et nous verrons sur quelle portion au sol s'arrête le rayon qui dépasse... et celui qui aura fait tourner cette roue de l'infortune disposera de la catin selon le dessin ainsi désigné ... Alors Messires, à chacun son tour et que la fête commence !" lance Madame suivit des applaudissements nourris de lapprobation générale...
Et la roue se met à tourner, chacun des convives lui impulsant mouvement à son tour et accomplissant sur Emma ce que le dessin lui accorde ... Ainsi, durant des heures, Emma tourne follement, perdant conscience du temps et de l'ordre des choses ... On l'arrache à la roue pour être baisée, compissée, flagellée, pincée et tant d'autres choses... Toute la fin d'après-midi, la soirée, la nuit y passent. Au petit matin, tous sont partis ... Le dernier à avoir fait tourner la roue n'est même plus parvenu à bander pour honorer l'esclave qui lui était livrée et a préféré s'éclipser ... Maintenant, épuisée, brisée, emplie de foutre et le corps endolori, ivre d'avoir ainsi tourné et tourné encore, Emma est dans un état second... Comme une ivresse alors que le seul fluide dont elle a été abreuvée était le foutre des inconnus masqués. Pourtant, elle tressaille lorsqu'une main douce se pose sur son visage et une larme de bonheur lui échappe lorsqu'une voix s'élève...
- "Je suis fier de toi, ma chienne. Je n'ai jamais été loin de toi car je voulais voir comment tu te comporterais et je n'ai pas été déçu. Je sais désormais que tu m'appartiens corps et âme, car en étant ainsi offerte, ce n'est qu'à moi que tu t'es donnée, je le sais, je l'ai vu, dans tes yeux et dans ton corps (dit Le Marquis d'Evans) c'est bien ma chienne, tu m'as fait honneur" dit-il tandis qu'Emma de Fontanges éperdue de reconnaissance baise, du bout de ses lèvres gercées par les fellations, La Main de son Maître tant aimé qui lui rend un tendre baiser sur son front.
(A suivre
)
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