La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 115)
Larrivée de esclaveCléliaMDE au château
Quand javais envoyé mes instructions à esclaveCléliaMDE pour sa venue au château, je
lui avais dit que personne ne lui ferait obstacle, et quelle ne verrai absolument
personne pour laccueillir, de lentrée du parc à la grille du château jusquà sa
chambre. Laquelle chambre je lui avais indiqué le chemin via un fléchage précis au
travers les allées du parc. Puis de lentrée du château, prendre tel et tel couloir
jusquà telle chambre. Un fois arrivée à la porte de ladite pièce, elle devais entrer
puis enlever ses vêtements, gardant seulement son soutien-gorge, ses bas et ses
talons
Elle devrait mettre un bandeau, bien serré sur ses yeux. Et se mettre à quatre
pattes, dans la chambre, les fesses tournées vers la porte qui donnait à un salon.
Ainsi offerte, à ma vue, complètement offerte, soumise comme une petite chienne en
chaleur. Les bras baissés, la tête au sol, la croupe redressé. Elle allait soffrir à
qui bon me semblera
Mais voici comment cela se passa exactement
:
Oui ma belle petite chienne Clélia, cette crainte qui monte en toi au travers ce
fléchage via ces longs et luxueux couloirs, ce destin inconnu qui fait peur mais qui
renforce ce désir, ce projet que tu espères voir devenir enfin réalité, être esclave,
cest aussi le dessin de ton Maître de te faire parvenir à cela. Oui cest lambition
de ce châtelain de la vieille noblesse de France, celui de cette soumission à ce
fameux Marquis dEvans, cest la personne que tu attendais depuis tant années et que
tu venais enfin de trouver, enfin tu lespérais. Tu le savais honnête et droit, il te
plaisait et ses mots te parlaient
Oui, tu sentais que cétait lui, celui qui
partageait tes envies, tes plaisirs, tes désirs qui pourront enfin se réaliser
Alors
tu acceptais et te retrouvais là, sans ne pouvoir rien dire, sauf que tu étais enivrée
par cette attente et elle te maîtrisait maintenant
Tu savais en jouir davance
tellement tu lespérais
Un bruit de porte, un grincement qui annonce le début des
festivités
Tu lattendais ce moment, le redoutais même, mais cétait maintenant et
trop tard pour changer, alors tu ty soumettrais avec tant de plaisir et de désirs,
dailleurs positionnée ainsi à attendre
Puis des bruits de pas sur le plancher du salon, le bruit dun sac jeté par terre, et
des secondes qui déjà duraient des heures.
qui se passait. Des bruits de fer, certainement des chaînettes, un bruit de plastique,
une poche sûrement
Les pas se rapprochent, tu me sens là derrière toi, le silence et
dor. Tu noses rien dire à moi ton Maître, attendant que je parle comme une preuve de
respect. Je voyais enfin ce corps, là, plus beau encore que je ne lavais espéré. Je
me laisse le temps, le temps de savourer ces premiers instants. Taccorder aussi ces
minutes, pour caler une respiration. La laisser redescendre, ton pou battait une
cadence infernale, et je voulais quil diminue pour mieux remonter. Je fis le tour de
toi, tu sentais mes pas ou les imaginais. Quelques minutes si longues et si courtes à
la fois, où jexplorais le moindre centimètre carré de ton corps sans te toucher,
juste du regard. Tu me sentis alors me rapprocher, plus prêt encore, accroupi sur le
coté, près de ton visage. Et dune voix à la fois douce mais sûre, posée, de quelquun
qui voit en toi une beauté, mais une beauté animale, une chienne dans tout son éclat.
Dune voix calme, comme si le temps sétait arrêté, une voix de quelquun qui aime
jouer de ces instants, quelquun de confiant, confiant de lui, confiant de toi, de
cette rencontre
Ma voix te dit alors :
- « Alors chienne Clélia, cest bien ! Je te trouve dans cette belle position, comme
je te lavais exigé »
- « Ou
Oui Maître, dis-tu en balbutiant, craintive de ce moment tant attendu et enfin
arrivé
Mes doigts caressants, à la cadence de mes mots. Sur ton dos dabord, te faisant
frissonner une première fois, puis viennent dégager tes cheveux, pour mieux voir ton
visage, ma main douce frôle ta joue, puis délicatement, elle vient caresser tes bras
et sans se décoller de ta peau, file sur ton dos en se dirigeant vers tes fesses,
impatient de sentir la douceur de cette peau plus fine encore, puis continuant sa
route, ma perverse main glissant sur lintérieur de tes cuisses, arrivant sur tes
mollets et finissant sur tes pieds.
quils continuent, ils tavaient rassuré, tu appréciais ces caresses, cette douceur.
Puis je me décide de donner une orientation plus dominatrice à mes caresses alors
cest de ma main plus sèche qui replongea dans ta crinière, caressante encore, elle
montait lintensité. Elle plongeait jusquà ton crâne, saisissait tes cheveux avec une
jolie poigne, forçant ton visage à saplatir un peu plus au sol. Une poigne plus
dominante, ou différemment au moins. Ma voix elle aussi plus ferme, te dit dun ton
qui ne te laissait le choix :
- « On va samuser, maintenant chienne ».
Tu ne disais mot, attendant la suite avec fébrilité mais tu sentais un sourire vicieux
se dessiner sur mes lèvres, un sourire partagé, un sourire qui laissa vite la place, à
un désir, qui tendait la peau de ton visage empli dexcitations. Ma main agrippant
alors ta crinière la releva et ma voix te dit :
- « Je vais te traiter comme la petite salope que tu es et qui deviendra chienne. Je
vais jouer de toi, tu seras mon jouet, mon jouet de fantasmes, mon exigence de te
sentir soumise et humiliée »
En guise de réponse, nosant parler, tu acquiesçais dun ton denvie, dun désir, de
mappartenir en faisant mouvoir ton bassin et tes fesses de droite à gauche tout en
gémissant de plaisirs. Alors mes doigts de mon autre main se mirent à caresser ton
dos, en laissant la douceur de ma peau par la griffure de mes ongles. Les caresses
étaient lentes, mais appuyées. Un dernier geste plus sec de mon autre main, tenant ta
chevelure, devenait plus vicieux, comme si mes deux mains surenchérissaient une douce
violence. Puis elles prirent une distance, tu me sentis me relever. Et savais quune
étape était passée, chacun de mes gestes était maîtrisé, précis et pervers.
Je retournais plus loin, sans que tu saches vraiment où, mais tu devinais que cétait
près du lit.
mélangeaient, le scintillement du métal, celui du plastique, doù se libéraient ces
instruments vicieux, et ces bruits plus glauques de jouets que tu aimais, mais
appréhendais. Tu sentis dun coup sec, deux sensations qui se complétaient, celle
dune gifle, de cette claque, mélangeant et ayant les sensations de la cravache, plus
douce, plus subtile, mais avec un effet giflant plus fort et le bruit quelle
renvoyait, un bruit doux et sec raisonnant plus encore dans ce château. Un temps se
passe, plaisir du moment, reprise dun souffle. Et voilà que je sors ma queue grosse,
épaisse qui te caresse, prétentieuse, joueuse et provocante. Elle connaît son pouvoir
ou tout au moins le plaisir quon lui laisse, que lon prend delle, ou celui, qui est
donné à celui qui en tient le manche. Ma bite revient sur ce fessier, sait le
caresser, on sen aurait douté, mais qui plus est, remonte, promenant encore et pour
le meilleur, arrive plus haute, sur tes épaules maintenant, osant dépasser cette
limite même dune peau plus sensible encore, celle dun cou, celle du visage, pour se
glisser dans ta bouche tobligeant même à lembrasser, comme pour la remercier.
Tu texécutes, ne pouvant même tempêcher den jouer. De ce fait, je te laisse la
caresser dune bouche ouverte, soumise, tes lèvres lui rendent pareil, un plaisir de
la considérer, de la respecter
Tes dents la mordillent légèrement avec la douceur
quelle mérite. Ta langue la lèche pour ne dire lembrasse, voluptueusement, autant
que mon sexe sendurci de ce plaisir que tu lui accordes. Après quelques succions que
tu te délectes à me donner, je me retire. Et cette bite si raide maintenant se remet à
te caresser, elle se rapproche de ton fessier. Elle le dépasse, ou plutôt vient en son
centre pénétrer cette chatte offerte, largement ouverte et qui dégouline de plaisir,
Mon pouce pendant ce temps frôle, pénètre et appuie ton anus, puis se retire
pénétration de courte durée, certes, mais annonciatrice dune prochaine certainement
plus intense, plus profonde, plus bestiale.
préambule à ce qui va suivre, tel un coup de tonnerre avant lorage. Une claque te
rappelle ma domination, elle rougit tes fesses, tu prends à lévidence du plaisir.
Une autre claque vient et ta bouche ne peut à chaque instant cacher ce moment, ce
moment qui te rappelle à cette position fesse en lair, croupe présentée. Puis tu sens
une main saisir une des tiennes et lamener repliée dans ton dos, la seconde rejoint
la première et le temps de reprendre tes esprits, suite à ces claques sur ton fessier,
tu te retrouves, les deux pouces bloqués dans cette paire de menottes métallique.
Ton visage plus posé encore, contre se plancher brut. Mon pied dénudé se pose au
niveau de ton cou, te plaque un peu plus au sol, appuyant, faisant distraction sur les
points nous liants. Ce pied, humiliant, tendre cependant, venait glisser sur tes
joues, cherchant ta bouche, tu le comprends maintenant. Alors ta langue joueuse, ta
bouche gourmande, sen amuse un par un, tu lèches, suces, mordilles. Une fellation de
ces orteils, de mes orteils, commence alors. Je sentais de toi ce dévouement. Quel
symbole même, de te voir, là, lécher mes pieds.
Le plaisir devient danse, de cette langue coquine, le rythme saccélère, tes lèvres se
frottent, humides quelles sont, glissantes deviennent. Je retire, mon pied de ta
bouche, caresse ton oreille, comme si mon gros orteil voulait la pénétrer. Il se
retire, enfin, laissant quelques secondes, au temps, le temps de revenir, plus
vicieusement. Mes mains joueuses, viennent caresser ton visage, saisir ton menton, le
relève. Te voilà dressée sur tes genoux. Ta poitrine devient beauté, mettant en avant
des seins que je devine magnifiquement bandant. Tes tétons fins et délicats,
mexcitent un peu plus encore. Si durs, ils semblent être, pointant, provoquant même.
Alors ma main remonte encore ton menton, et offre une vue imprenable sur ton cou avec
sa peau bronzée. Ta bouche, tes lèvres, me laissent quelques instants de glace
réchauffée comme une braise incandescente. Je sais alors quun baiser, un contact de
tendresse serait opportun. Ma langue remonte ce cou, mes lèvres y posent des baisers,
doux, sensibles, je les veux. Mes lèvres humides se laissent caressantes, impatientes
peut-être, sûrement. Mes dents ne peuvent se priver de cette fête et commencent une
danse, mélangeant sensualité et dégustation de la chienne. Ma bouche plus gourmande
happe ta peau, aspirante, vient sapproprier cette partie de ton corps. Une trace, une
première se voit naître sur ta belle peau
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!