La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 116)
Larrivée de esclaveCléliaMDE au château (suite)
Mes mains saisissent un peu plus ton cou, ma bouche se régale de ta peau et laisse
continuer cette valse langoureuse et partageant de sensations. Ta bouche mappelle,
elle est là, nattend quun baiser, et quel baiser. Ce genre de baiser dont on rêve,
qui mélangent la réalité aux rêves insensés. Des pensés, des fantasmes, un plaisir
partagé entre le Maître qui maîtrise chaque geste et sa chienne tout en chaleur. Nos
bouches prennent le temps, le temps de se caresser. Nos lèvres dabord, nos langues
jalouses et tellement impatientes de sentremêler. A la fois tendres et fougueuses,
nos langues font monter le plaisir des sens. Une sensation étrange et complice nous
envahie, ces baisers en sont certainement pour quelque chose. La subtilité dune
bouche, la sensualité de ces caresses, la prétention de donner, je tembrasse avec mon
regard dominateur
Alors ma main reprend ta crinière. Tu retires de ce baiser, à la
fois la douleur du geste et lexcitation du contact de nos langues. Je reprends une
dernière fois ton menton, tes joues, dans cette bouche coquine, mais ton oreille est
émoustillée de sensations agréables. Ton lobe dabord, oui par une douce sensation qui
tenvahie, happé, mordillé, par ma langue qui vient une première fois, pénétrer cette
oreille, puis revient, plus fort, plus virulente, ressort, rentre, une cadence
infernale commence, entière, en haut, en bas, profondément, délicatement, toujours
sensuelle et tellement sexuelle. Le fait davoir les yeux bandés augmente la sensation
de chaque geste. Les caresses durent, le temps nexiste plus, le plaisir lefface. Ma
main se retire, à ton grand regret
Mes pas séloignent, tu comprends que je suis passé au salon, puis je reviens et tu me
sens de nouveau à tes côtés
Un bruit te fait sursauter, le champagne, tu devines, et
sens le petit débordement se vider, dégoulinant sur ta bouche, sur tes seins, puis
comme une route évidemment tracée, le liquide descend jusquà ton sexe.
que deux verres se servent. Un dernier baiser, où vient se mélanger le champagne vidé.
Un baiser violeur, une langue gourmande, pénètre ta bouche, mes lèvres puissantes, mes
dents mordillant, le champagne recoule encore, sur nos lèvres de braise comme pour les
refroidir. Puis ce baiser sarrête, tout plaisir a une fin. Mais ici la fin dun
plaisir annonce le suivant, nous amenant plus loin encore. Ton buste se cambre, comme
pour mettre en avant tes seins. Et quels seins, si ronds, si sensuels, faits dune
peau si douce, où la finition de ces tétons parfaits, rappelle celle dun joyau, fait
dans un or inventé pour toi. Ces tétons pointés, provocants à souhait, je les regarde,
les admire avec des yeux avertis, comme un artiste peintre admire son modèle nu. A la
différence quici le Maître peut toucher selon sa volonté, alors attiré par ta
poitrine généreuse, jy approche une main vicieuse.
Par une douce caresse, mes doigts sensuels se promènent, le pouce et le majeur,
procurant du fait, une double sensation. Une caresse qui passe dun sein à lautre
puis revient, sattarde dessous, ou la peau y est plus douce encore. Une main plus
coquine aux doigts plus joueurs, remonte et frôle le téton gauche, le majeur laisse la
place à lindex, un pincement délicat, un autre type de caresse, faisant rouler ce
téton entre mes doigts, mon autre main, se rapproche et limite. Puis dun coup sec,
je tire en avant pinçant et vrillant un peu plus cette extrémité si belle, un
soubresaut, un petit cri de surprise sort de ta bouche. Ma main remonte sur ton cou,
passe sur ta nuque et sy fixe comme une arantèle sur un rocher. Le geste te tire en
arrière, mes doigts se livrent à une deuxième pincée. Ta bouche ne peut cacher ton
plaisir mélangé à la petite douleur. Tes lèvres, elles aussi se retrouvent pincées
entre tes dents.
- « Tu aimes ça, chienne ? »
- « Oui, oui, sil vous plait, continuez, Maître, sil vous plait, oui, encore, vous
me faites tant de bien » dune voix douce et soumise
- « Il me plait dentendre me supplier, plus encore chienne, jattends ».
- « Vous savez bien que je suis à vous, rien quà vous, sil vous plait continuez,
encore et encore, je vous en supplie, Maître, faites de moi ce que vous voulez
»
Alors ma main continue les caresses, compressant, mélangeant cette douceur et cette
fine violence. Puis se dégage de nouveau la sensation fraîche dun liquide sur ton
corps, le temps de verser un peu plus de champagne sur ton corps brûlant dexcitation,
ce frais champagne vient radoucir cette chaleur. Il coule sur tes lèvres ouvertes,
comme pour te désaltérer, tenivrer un peu plus, différemment. Ta nuque tirée en
arrière, toblige à avoir la tête relevée, ton buste cambré en arrière fait relever ta
poitrine, ma main reprenant tes seins. Ma bouche, joue de caresses dominatrices tel le
puissant lion copulant sur la lionne. Mon autre main descend plus bas, caressant ton
entre cuisses. Elle ne tarde pas, mes doigts aiment vérifier ton plaisir, et ten
donner dautres, deux de mes doigts senfoncent dans ton sexe trempé, et en ressortent
fiers et impatients, de les porter à ta bouche, pour te faire lécher ta mouille. Tu te
régales et assoiffée, avec lenvie dy regoûter, ma main revient fouiller ton
intimité, plus profondément encore, et retourne à ta bouche afin que tu te délectes.
Tu me lèches chaque doigt avec gourmandise. Puis, ma main repart explorer, elle vient
caresser ton clitoris, de gestes, tantôt doux, tantôt rapides, de plus en plus rapide
en des petits cercles dune légère pression, qui te donnent encore plus denvies. Deux
doigts, puis trois viennent pénétrer ton sexe en son extrémité, peu profondément dans
un premier temps, ils font des va et vient, entre ton bouton dor et ce sexe
demandeur.
Mon autre main lâche ta nuque et retourne jouer de tes seins, puis je méloigne une
nouvelle fois, quelques secondes seulement. Juste assez pour attr une large bande
de lanière en cuir. Je la fixe à tes poignets dune extrémité, et jenroule lautre
extrémité sur tes chevilles, te laissant la possibilité que je timpose de laisser tes
cuisses grandement écartées. Mais cette lanière de cuir a pour but de te laisser
cambrée, dune manière obligée. Je reviens face à toi, te contemple quelques secondes
encore. Puis ma main vicieuse revient jouer de tes seins. Mon autre main, att un
vibromasseur, je le mets en route doucement et vient te caresser ton intimité trempé,
compressant ton clitoris, des vas et vient pour ton plus grand bonheur. Ton bassin ne
peut sempêcher de se trémousser, il vient et revient, accentuant le plaisir. Lobjet
se rapproche de ton sexe, le pénètre, doucement, de petits mouvements, pour sentir la
sensation dune pénétration sachant prendre le temps, de cette zone si érogène, de
louverture de ton sexe. Lautre main se partage alors, à continuer de malaxer tes
seins puis descend sensuellement sur ton bas ventre car elle ne peut résister à
caresser ton bouton dor. Alors tu ne peux tempêcher de gémir de plaisir, ta
respiration est intensément érotique
Lexcitation, ai-je besoin de le dire, est montée encore dun cran. Les pénétrations
du vibro se font plus profondes, la cadence, prend un rythme saccadé, sachant allier
les différences, de pénétration profonde, lente, rapide, douce ou énergique. Un autre
gode, fixe celui-ci, que tu sens venir caresser ton anus, du nom de plug. Cest un
gode qui à lénorme avantage, fait pour, de rester fixé en toi, dun silicone mou, le
haut de gamme du genre. Le voilà, humidifier dun gel, il rentre, jen joue, le force
à ressortir, puis le rentre à nouveau.
apprécies, puis reste encré en toi, me laissant la main libre à dautres occupations,
le vibromasseur entier te pénètre, et, par une contraction exigée, il reste bloqué. Je
me relève et att une chaînette dont tu reconnais le bruit. Je reviens, ton pouls
est rapide, et te laisse reprendre des palpitations plus proches de la normale. Pas
pour longtemps
Mes mains reviennent, attentionnées pour tes seins, dernières
caresses douces, puis un pincement, dabord celui de doigts, puis celui dune
pincette, plus virulente sensation. Une sensation qui contrairement à celles procurées
par mes doigts reste fixée. La douleur, laisse place à une douceur vive
Lautre sein jaloux demande, sil va jouir de cette chance, quil se rassure. Ce
moment dattente, le froid du métal, plaisirs mélangés, tu lapprécies. Cette deuxième
pince se promène jouant de lattente, elle vient se fixer à différents endroits de ton
sein, juste pour pincer, seule chose quelle sait faire, mais si bien. La voilà plus
proche de ton téton excité, durci de désir, pour enfin le pincer. Elle sy accroche
avec la fermeté décidée de plus te lâcher. Je tire doucement sur la chaînette, te
ramène vers moi, pour voler un autre baiser, ma langue fouille la tienne,
irrespectueuse et provocante. Je relâche la chaînette, le froid du métal partagé,
entre ce vibro qui revient se promener en toi et la double pénétration procure la
sensation dêtre comblée. Par ces différents centres dintérêts, où leurs plaisirs
procurés, se mélangent dans ta tête, ton corps, ton cur, ton esprit, perdus dans tes
plaisirs, tu es ! Enfin tu es chienne, oui tu te sens chienne, à ma merci, enfin
Après ces caresses, nen finissant plus, je te laisse reprendre ton souffle. Je me
redresse et je saisis ta crinière, frotte ta bouche à ma verge. Sa dureté texcite, tu
nas plus quune envie celle de ten régaler et de mapporter un maximum de plaisir.
Ma verge caressante, giflant, insaisissable, pour le moment seulement, une main dans
tes cheveux, et le ballet commence, jenfonce ma grosse bite dans ta bouche grande
ouverte. Gourmande de plaisir, je te donne quelques mouvements de mon bassin, venant
pénétrer cette bouche excitée. Une fellation savoureuse que tu exécutes, passant ta
langue sur ma hampe de bas en haut, léchant mes couilles, aspirant mon gland gonflé de
plaisirs. Un plaisir si fort que ma jouissance ne tarde pas, une jouissance emplie de
râles intenses, virils tel un cerf en rut que je ne peux retenir. Ma main sur ta nuque
oblige ta bouche à mengloutir totalement. Puis une fois mes longs jets de sperme
éjectés, je te laisse déguster, cette semence dégoulinante de ta bouche, quelques
caresses buccales pour me nettoyer, tu ne veux en perdre aucune goutte ...
Quelques gorgées de champagne. Quelques instants pour récupérer. Pendant ce temps, je
fixe à la tête du lit deux autres bandes de lanières de cuir à ses extrémités. Je
passes derrière toi, détache tes chevilles, puis tes mains menottées, laissant la
première lanière attachée à tes poignets. Je te pousse sur le lit, à califourchon sur
toi, je détache tes poignets et je les fixe de nouveau à la tête du lit. Tes bras
écartés, puis je fais de même avec tes pieds écartés. Ainsi écartelée, ton sexe
ouvert, ton anus dilaté, je viens y poser quelques claques, mes doigts te godent sans
ménagement ... Ma main autant elle a été patiente à te faire monter le plaisir, que
maintenant elle prend, pour ton Maître du plaisir. Excitée, la voilà concentrée sur
ton clitoris, pendant que mon autre main se balade fouillant tes orifices. Ces
caresses durent, perdurent, toujours laissant le temps, le temps de profiter
vicieusement de la chienne que tu es.
Puis je détache tes pieds, dun coup sec, je te retourne, ton fessier présenté, à
genoux de nouveau, offerte toujours. Ma verge se frotte à ton clitoris, peau contre
peau, langoureusement puis plus rapidement, comme un baiser, mélangeant tendresse et
excitation dominatrice. Alors ma queue te pénètre profondément, directement,
puissamment, virilement, compte tenu de ces préliminaires vicieux, ma bite na pas
tardé à redevenir raide et gonflée. Mes reins viennent claquer contre tes fesses, te
rappelant les gifles infligées. Le mouvement est rapide, décidé, le bruit des contacts
amplifie la sensation, baisée comme une chienne enfin ! Se sentir défoncée, bien
remplie enfin, se sentir sous la domination de son Maître oui, enfin ce moment est
arrivé ... Une main empoignant ta crinière, main animale par mes gestes. Excitant par
la violence des pénétrations, lautre main remet ce gode dans ton anus et un va et
vient, dune double pénétration infernale commence, dure, sarrêtant parfois, puis
revenant plus fort.
Une main claque tes fesses comme pour leur rappeler ma domination. Puis mon sexe dur
de désir se retire de ta chatte, remonte et remplace lanus piqueur. Plus puissant
encore en toi, le rythme, la cadence reprennent, des mouvements de bassin, des
pénétrations qui durent à lintérieur de ton fondement sachant te faire apprécier
lintensité du moment
Au bout dun moment, je marrête profondément planté en toi en
coït. Tu ne bouges pas, mais tu sens que je prépare quelque chose avec mes mains sur
le côté.
Puis un bruit dallumette, éveille ton esprit, la crainte revient. Une odeur de cire
Une première goûte, vient se déposer sur ton dos, brûlure légère, marque subtile,
dune couleur rouge, une autre suit, de couleur jaune cette fois ci. Quelques instants
séparent les gouttes, maintenant ce sont tes fesses, des contractions à chaque goutte
viennent te faire tortiller le cul et amplifie mes sensations de ma verge dans ton
fondement. Ta bouche serrée, tes lèvres mordillées, de petits cris remplis de plaisir
tu reçois et mexcitent tant quil me faut à peine refaire quelques vas et vient pour
que je ne tarde pas à jouir, à éjaculer en toi entre tes entrailles. Une fois que je
me suis vidé dans ton cul, je reste encore ainsi planté en toi, immobile quelques
minutes étalant la cire sur ton dos, jouant avec la bougie à la déplacer sur toute les
parties de ta nuque jusquaux bas de tes reins ... Jattends oui jattends ainsi que
ma bite se ramollisse pour pisser dans ton fondement et ainsi soulager ma vessie. Tu
es et deviens ainsi vraiment une bonne chienne à la fois vide couilles et urinoir
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!