La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 118)
La soirée mondaine annuelle au château
La belle et grande soirée costumée organisée annuellement au château du Marquis
dEvans est toujours un grand événement mondain dans le monde de la D/s. Les moyens
mis en uvre pour divertir les invités sont toujours impressionnants voire démesurés.
Et quand le Marquis invite, quil reçoit chez lui au château, on dépense donc des
fortunes en costumes, toilettes et les Maîtresses et Maîtres usent de toute leur
influence pour obtenir une invitation. Cest la soirée annuelle à ne pas manquer. Le
soir de la réception, une foule nombreuse de Dominants de la France entière se presse,
bourdonnante, curieuse, un peu excentrique. Tous sont déguisés et masqués comme à
lépoque du Roi Soleil et des fameux bals masqués de Versailles. Le thème est clair :
Toutes les folies sont possibles à la condition de se costumer masqué comme les nobles
pérruqués du temps de Louis le Quatorzième.
Deux géants blacks esclaves possédant juste un pagne et un épais collier sont postés
devant limmense portail en fer forgé, et deux autres devant les lourdes portes de
chêne du château, ayant pour ordre de ne laisse entrer que les personnes munies de
leur carte dinvitation. Leurs consignes sont strictes, sans appel. De la grille
dentrée, lallée gravillonnée, entre les pelouses impeccables, est magnifiquement
éclairée et se perd entre des pins parasols. Elle débouche dans limmense parc du
château, rigoureusement entretenu, avec ses plates-bandes symétriques, ses haies de
buis et son superbe labyrinthe de charme taillés à la perfection. Lallée de gravier
rouge traverse cette impressionnante architecture végétale, passe sous une arche en
charmille, et souvre devant limposante demeure, aux épais et hauts murs flanquée,
sur ses terres ancestrales depuis 1625. Devant lentrée principale et son volumineux
perron aux larges escaliers de pierre, alignés de chaque côté, deux délicieux éphébes
esclaves entièrement nus accueillent les nobles invités.
leur perfection physique, tous les deux sont minces et légèrement musclés. Au-dessus
de leur tête des lumières vives étincellent à chaque fenêtre, et une musique discrète
se fait entendre, mêlée à des cris et des rires. La fête a commencé très tôt, et
promet dêtre mémorable.
Le Marquis dEvans est déjà présent dans le grand hall dentrée ou un immense buffet
décoré au fond de la pièce a été dressé pour laccueil des convives. Il est entouré de
deux jeunes femmes qui semblent samuser de toutes ses facéties. Le Maître des lieux
sourit, heureux, gracieux, observant tout ce qui se passe avec verve et un brin
despièglerie. Il est vêtu comme on aurait pu voir Louis XIV à son époque, dans un
magnifique costume royal. Il inspire demblée le respect à la simple vue de son
charisme quil dégage à lévidence. Rien néchappe à son regard. Il commente tour à
tour et avec beaucoup desprit les victoires royales de ses ancêtres qui au cours des
siècles ont combattu sur les terres dEurope et même doutre-atlantique quand il parle
de son aïeul qui fut aux côtés du fameux Marquis (et Général) Gilbert du Motier de La
Fayette lors de Guerre d'indépendance des États-Unis. Le Marquis dEvans surprend son
auditoire en dévoilant avec une facilité déconcertante certains secrets inavouables
qui se dissimulent derrière toutes les personnalités de ces ancêtres, surtout quand il
conte celle du Marquis Charles-Edouard dEvans ami personnel du fameux Marquis de Sade
(voir les Origines de la Saga) au XVIII ème siècle.
Il semble reconnaître presque tout le monde sous les masques de chaque convive, et
cest avec un peu de taquinerie quil se moque toujours gentiment, se divertissant de
tous ces gens costumés qui grâce à eux (et au décor) recréent lambiance des bals
masqués de lépoque royale. A mesure que les invités entrent dans le grand hall,
Walter le majordome annonce leur nom dune voix forte et solennelle.
dune façon assez maniérée, avec une chemise à poignets mousquetaires, un gilet de
fantaisie aux couleurs fluorescentes et un nud papillon à fleurs. La foule déjà en
place applaudit à chaque fois, admirative devant les costumes ou impressionnée de
reconnaître certaines personnalités importantes.
Une trentaine de minutes passées, les invités traversent lentement tout le hall, cette
vaste salle carrelée de 200 m.2 environ, pour atteindre ensuite au fond une estrade de
jade où, au milieu, est royalement installé sur un trône divoire le Maître de la
cérémonie, le Marquis dEvans venu sasseoir une coupe du meilleur champagne en main.
Là, tous les convives sinclinent et font la révérence. Le Noble qui vient de se
lever, imposant le silence dun geste théâtral.
- " Merci mes amis, merci du fond du cur davoir répondu présent à mon invitation du
bal masqué annuel, et dêtre venus si nombreux. Je suis persuadé que personne ne
manque à lappel. Vous êtes tous là ?", dit-il avec humour.
Un "oui" général se fait bruyamment entendre. Satisfait, le Marquis sourit :
- " Très bien. Alors amusez-vous, mangez, buvez, riez
et une fois la panse bien
garnie, baisez à volonté sans distinction de sexe, chez moi tout est permis. Quon
fasse venir mes esclaves pour la décoration tandis quon va déguster le buffet qui
vous attend et que la fête commence !"
Sous une musique de chambre, un tonnerre dapplaudissements éclate, quand de suite
deux grandes portes latérales souvrent et laissent place à une vingtaine desclaves
nus et enchaînés, mâles et femelles évoluent à quatre pattes et viennent simmobiliser
alignés sur tout le côté gauche du mur latéral. Les invités se pressent alors au
milieu du grand salon, préférant dabord se jeter sur le buffet amplement garni,
délaissant pour le moment les esclaves qui attendent immobiles sur le côté.
et les boissons exposés sont dexcellente qualité. Tous se mettent à manger et boire
et les couples homosexuels étant aussi nombreux que les couples hétérosexuels, tous se
mélangent et conversent dans une joyeuse ambiance. Lalcool est servi sans modération.
Une pyramide de fruits de mer lui ouvre lappétit. Huîtres, langoustes, crevettes et
moules se disputent vite la place dans son assiette. Les serveuses esclaves sont
efficaces et servent avec application tous le monde. Les discutions vont de bon train.
Une fois que tous se soient restaurés avec abondance, le Marquis dEvans sécrie dune
voix puissante mais claire pour imposer le silence :
- " Mes amis, mes amis, jai une petite surprise pour bien démarrer la soirée ! En
effet, je vous propose la vente aux enchères dun bel étalon esclave. Mise à prix pour
la modique somme de100 euros ! "
Et à peine avait-il finit de parler quil frappa des mains et que le rideau de
lestrade derrière lui souvre, comme au théâtre. Des exclamations et une agitation de
joie fusent sous les applaudissements. Un spectacle insolite sorganise au fond de la
pièce, sur lestrade, où un superbe athlète esclave roule des muscles, se pavanant
devant une foule agitée qui sécrie et marchande alors le prix. Des cris admiratifs et
soupirs extasiés se font entendre :
- " Jen propose 200 euros" crie une Maîtresse
- " 250" renchérit une autre
Le géant brun gonfle le torse, pour faire monter les enchères. Il est entièrement nu
et laisse apparaître une paire de bourses digne dun taureau et une verge gonflée,
pendante et longue, et son corps robuste est soigneusement huilé afin de mieux faire
ressortir ses muscles luisants. Walter est présent, sur lestrade et excite les
spectateurs jouant le rôle du commissaire-priseur. Il touche les muscles noueux du
mâle dun air admiratif, comme pour mettre en valeur la qualité de la marchandise.
- " Allons, messieurs, ce magnifique apollon est dune vigueur incomparable, et promet
de bons moments à le soumettre à toutes vos perversions ! Il est très docile et
obéissant ! Cest une superbe affaire à saisir ! Il vaut son pesant dor ! dit Walter
tout en lui pressant les couilles et en les soupesant avec insistance.
- " 300 euros !" dit un Maître bi
- " 500 euros !"
- " 800 euros !"
- " 1200 euros !" etc
etc
.
Et le prix continue de monter rapidement par les Maîtresses surtout pour leur
plaisir personnel car elles aimeraient bien se faire embrocher par une si grosse verge
rarement vue de cette taille en position de repos. Un couple homosexuel qui roucoule
sans discrétion relance le prix. Tous deux sont habillés en galants gentilshommes de
la Cour du Roi, avec volants de dentelles aux manches et aux genoux. Lun deux
sécrie dune voix précieuse :
- " 3500 euros !"
Puisque personne insiste, cest ce couple de gays qui remporte le mâle et sitôt fait,
il lemmène au collier sur un canapé plus loin afin de lessayer sur place. Lhomo qui
aime se faire enculer se met alors à sucer lesclave géant afin de le faire bander au
maximum puis exige que celui-ci lencule du temps que le dominant du couple encule en
même temps lesclave lui imposant décarter largement les jambes. Tandis quune
Maîtresse qui avait amplement participé aux enchères sapproche et demande au couple
gays vainqueur sil serait daccord pour quelle se fasse lécher la chatte par
lesclave. Le dominant gay accepte bien volontiers et la domina ne tarde pas à
retrousser sa longue robe pour présenter son sexe aux grosses lèvres du géant. Celui-
ci baisant lhomosexuel, se faisant enculer par lautre, étire sa langue pour honorer
la Maîtresse qui lui plaque dun coup de main énergique la tête contre sa chatte.
Tout est luxe, des tapis épais, au parquet en bois admirablement ciré, des lourds
rideaux de tentures velours rouge aux nombreux tableaux et cest dans ce décor feutré
que lorgie magistrale commence avec les esclaves qui attendaient tranquillement quon
les appellent pour le plaisir des Maîtresses et Maîtres. Quand un Maître attrapant une
esclave femelle où sur son collier est inscrit esclaveAstrideMDE sexclame, quand
celle-ci tire en arrière sur sa laisse légèrement rétive juste linstant de quelques
secondes :
- " Quelle belle chienne fougueuse ! Qui aura le plaisir de la monter pour lui
apprendre les bonnes manières ?
Lassemblée en délire sécrie :
- " Moi ! Moi, on va la baiser cette chienne ! "
Une lueur de joie sadique illumine le regard du Maître qui lance à esclaveAstride qui
prend un air peiné.
- " Chienne, la foule réclame son droit le plus élémentaire. Il va falloir se laisser
faire et être moins rétive
" Et sadressant à la foule. - " Voyons voir si elle est
saine. Puis se tournant vers la femelle : - " Ouvre la bouche, catin ! "
Il pose ses doigts sur la lèvre supérieure de lesclave et les caresse lentement sur
toute la longueur. Puis, sans ménagement, il introduit deux doigts dans sa bouche, les
écartant pour mieux palper lintérieur avec profondeur. La chienne docile se laisse
faire. Elle sursaute malgré elle, lorsque les doigts vont et viennent dans sa bouche,
simulant lacte sexuel, dans sa signification la plus crue. Puis il tire sur
lextrémité du collier, entraînant la chienne au milieu de la foule forçant Astride à
se cambrer, puis le Maître sort son sexe en lexhibant déjà long et énorme gonflé dun
réel désir. Il ne tarde pas à lenfoncer dans la bouche de lesclave. Elle est
entièrement obéissante et se met à sucer avec application. Il ne tarde pas à éjaculer
de longs jets de sperme dans sa gorge et lui impose de tout avaler Les Maîtresses et
Maîtres tout autour qui baisent déjà les autres esclaves par tous les orifices palpent
vicieusement Astride. Un gode lui est enfilé dans le cul et un pénis en latex dans la
chatte par une vicieuse Maîtresse. Un autre Maître passe ses doigts prés du sein
droit, descend de plus en plus bas, glissant bientôt le long du ventre à la base
duquel elle ressent des attouchements vicieux de mains baladantes, contournant le
pénis en latex. Impatiente de désirs qui la font mouiller, lesclave Astride se cambre
au maximum et se tend au devant des mains qui la tâtent. Du coup la main dun Maître
touche brutalement le gode et elle en tressaillit de surprise, étonnée de trouver ce
contact aussi doux quagréable. Elle se met à haleter, bouche ouverte, ce qui facilite
la tâche dune Maîtresse lesbienne qui lembrasse plus fougueusement.
La Maîtresse gouine se saisit alors du mâle bourgeon en latex qui se darde devant
elle, et refermant ses doigts sur la hampe artificielle qui semble étrangement
sallonger davantage. Elle lenveloppe de caresses perverses, puis dun rythme égal,
la parcourant sur toute sa longueur en accélérant peu à peu le mouvement du poignet
dans la chatte de lesclaveAstrideMDE. La respiration de celle-ci saccélère au rythme
de cette cadence imposée, par ce sexe qui vibre et dont les chaudes pulsations se
répercutent délicieusement jusquau plus profond de son vagin, dans sa chair,
lemplissant peu à peu dun bien-être insidieux et persistant qui la rend encore plus
chienne. Etre possédée par un vrai sexe ne lui aurait pas fait plus deffet, elle
simagine des choses, une situation quelle na que rarement connue et dont
lexpérience est divinement excitante. La main de la Maîtresse échappe à son contrôle,
audacieuse et adroite, esquissant un va et vient accéléré, se pressant ardemment sur
le faux pénis. Pour lexciter davantage, la Domina lesbienne se met alors à agiter les
reins pour se frotter contre elle, suivant le rythme de la main qui va et vient en
serrant si fort le gode quelle en est presque crispée. Elle se met en même temps à
lembrasser encore mais avec plus de fougue. Leurs bouches se dévorent sauvagement,
comme dans une passion si brutale que la chienne semble prendre beaucoup de plaisir,
soffrant encore plus à sa dominatrice, comme pour se soumettre plus encore à son
emprise.
Cest dans cette excitation intense quelle distingue la Domina reculer. Celle-ci ne
tarde pas à se ceinturer dun énorme gode ceinture et sétend à même le sol, allongée
sur le dos, avec donc cet impressionnant phallus gonflé et bien raide qui pointe droit
vers le plafond. Devant cette vision indécente la lesbienne Maîtresse lappelle dune
voix ferme :
-" Allez, chienne, je tautorise à enlever ton gode dans le cul et le pénis en latex
de ta chatte et viens
Monte sur moi, je vais te baiser ainsi."
Astride avance sans quelle le veuille, comme si ses jambes ne lui obéissaient plus.
Elle simmobilise à laplomb du gode tendu que la Domina maintient bien droit, dressé
vers le haut. Puis, enfin, elle enjambe le faux pénis, cuisses écartées, intimités
ouvertes. Lentement, le buste bien droit, elle fléchit les genoux et, millimètre par
millimètre, sabaisse sur le gode. Comme une chose vivante, celui-ci trouve sa voie,
atteint le bulbe fendu, pénètre un peu. Lénorme phallus en latex écarte les chairs,
distend les lèvres intimes, senfonçant davantage. Puis, dun coup, glisse dans la
longue fente charnelle aux muqueuses déjà mouillées, gonflées dun désir impétueux. Le
gode semble happé, pressé, absorbé par un puits humide et chaud dans lequel il glisse
jusquau fond, cognant jusquà sa source. Ny tenant plus, dun seul coup de reins,
lesclave senfonce encore plus loin. Astride lâche un cri rauque, se mord les lèvres
jusquau sang, se retenant de ne pas gémir de façon discontinue. La lesbienne Domina
la saisit aux hanches, se mouvant en elle dun long et imposant va et vient, de plus
en plus vite. La chienne est en extase dans cette extraordinaire intrusion dans ce
quelle a de plus intime, une lascive pénétration qui la brûle et la submerge de
sensations fabuleuses, uniques, si fortes, si grandissantes
Une vague qui grossit et déferle, sarrêtant nette lorsque la Maîtresse cesse
soudainement de bouger, avec un sadisme inhumain. Astride pousse un cri de frustration
tout aussi inhumain, comme brisée en plein élan. Et, dun coup, cest elle qui se met
alors à bouger sur sa partenaire dominante, dabord lentement, comme pour faire
durer le plaisir alors quil la submerge de nouveau. Elle se redresse un instant,
laissant réapparaître le gode luisant, puis elle se laisse redescendre, remonte,
redescend encore vers la hampe qui la pénètre à chaque fois plus facilement, plus
profondément. Elle sempale doucement, avec précaution et délectation, pour que le
gode aille vraiment au fond delle, et quelle puisse laspirer et lavaler le plus
méthodiquement possible. Elle simmobilise un instant, quand la Domina lui exclame :
-" Jouis chienne, jouis je le veux de ma grosse bite bien raide ! "
Alors esclaveAstrideMDE prise dun tremblement nerveux alors quun premier orgasme la
saisit vivement, lui arrachant un cri voluptueux. Puis, comme pour en accen la
sensation fabuleuse, elle remonte tout doucement en frissonnant toujours de tout son
être, dévoilant le gode couvert de sécrétions intimes avant de sempaler dessus avec
plus de lenteur, comme pour en savourer chaque instant, prolongeant divinement
lorgasme qui ne semble jamais sarrêter. Cest une sensation indescriptible, une
impression de plénitude aiguë et de vagues ardentes qui déferlent dans tout son corps.
Vite, elle sent monter un plaisir encore plus incandescent, et du coup se met à
accélérer le mouvement, yeux grands ouverts et le regard étrangement flou, articulant
de brefs sons étranglés comme si elle délirait.
Elle sempale avec plus de force, et la Domina suit son rythme, la labourant
impitoyablement, le visage crispé et en sueur, lattrapant par le collier pour la
tirer vers elle et chercher son cou quelle se met à lécher et mordre sauvagement
alors que la cadence de leurs deux corps trempés devient de plus en plus désordonnée.
Maintenant, alors que sa partenaire est secouée par une sorte de spasme, elle lâche le
collier pour saccrocher avec furie aux deux seins ronds qui tressautent au-dessus
delle, au rythme de leurs soubresauts et contorsions frénétiques. Devinant un
deuxième orgasme encore plus violent, la Maîtresse gouine continue de lancer
impétueusement son bassin en avant, dans des coups de boutoir toujours plus vigoureux.
Ses efforts effrénés portent leurs fruits. La chienne Astride se soulève du sol comme
si elle voulait prendre son essor, agitée de violents spasmes tandis quelle se libère
dune explosion aussi longue quintense, si insoutenable quelle en pousse un
rugissement de lionne blessée. Elle gémit sans discontinuer alors quelle retombe sur
le gode, le laissant enfoncé en elle tandis que son bassin est encore agité de
secousses langoureuses. Elle ferme les yeux, à la fois honteuse et repue. Mais le
vertige qui la saisit alors que la Domina la bascule sur le côté pour adopter une
autre position lui fait comprendre que la nuit ne fait que commencer, et que son corps
nest pas aussi assouvi quelle le voudrait. Déjà, elle vibre toute entière quand la
Maîtresse latt par le collier, lobligeant à se contorsionner dans une posture
quelle ne comprend pas. Docile, elle se laisse guider quand elle sent le gode
ceinture pénétrer son anus et entend la Domina lui dire :
-" Et maintenant chienne, je vais t enculer et toffrir à tous, tu vas être le vide
couilles de tous les Maîtres présents ce soir, tu lécheras toutes les chattes des
Maîtresses. Nous allons tous jouir de toi, user et r de ton corps qui est Notre"
(A suivre
)
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