Aline Et Nos Époux
La dernière fois que nous nous sommes rencontré, cétait chez moi. Nous étions deux
couples amis mariés. Nous bavardions de tout quand jai proposé de jouer un peu de
piano. Je ne suis pas une virtuose, je ne fais que me débrouiller pas mal. Aline est
derrière moi, je sens son odeur de parfum un peu entêtante, assez excitante. Elle
connait un peu de solfège pour tourner les pages de la partition. Nos époux nous
regardent, le sien particulièrement :
- Tu sais chérie, tu devrais ty mettre à jouer dun instrument de musique, cest
divertissant.
- Je joue de la trompette avec toi.
Je me demande comment elle peut jouer de la trompette : en réfléchissant je comprends
enfin ce quest la trompette : elle doit sucer son époux.
Mon mari, satisfait de ce que je fais vient aussi derrière moi. Il pose ses mains sur
mes épaules en les massant un peu. Il connait mes points faibles. Ce genre de massage
mexcite toujours. Je sens ma chatte se mouiller. Surtout quAline en tournant les
pages sappuie sur mon dos. Je sens également sa poitrine sur moi. Je suis obligée
darrêter pour ne pas faire de fausses notes.
Je retourne vers les deux hommes accompagnée dAline. Sans le faire exprès ma robe
remonte sur mes jambes ; Je suis complimentée par les deux hommes qui me trouvent fort
sexy : mon mari a de la chance de mavoir dans son lit. Je proteste en disant que
cest moi qui ai la chance de lui permettre de venir dans mon lit.
Tout le monde rit, sauf Aline qui me regarde bizarrement. Je me demande ce quil lui
prend quand elle me prend par la main. Elle ne se gêne pas pour me caresser. Cest
doux, elle fait comme si nous nous connaissions intimement. Je suis troublée quand je
la regarde, elle sourit légèrement.
Je remarque quelle est sexy pour un homme. Je ne sais pas encore pour une femme : je
la trouve quand même à mon gout.
ne nous intéresse pas du tout.
Entre femmes le courant passe vite sur dautres sujets légers. Nous arrivons à parler
de la seule chose qui compte pour nous en ce moment : le plaisir sexuel. De fil en
aiguille elle me dit que je lui plais beaucoup que si elle était un homme elle me
rendrait un hommage appuyé. Elle reprend ma main pour la caresser.
A force elle me donne envie daller bien plus loin avec elle. Nous nous levons devant
les deux maris qui nous regardent un peu surpris. Nous sommes collées prête à échanger
un baiser. Normalement nous devrions attendre dêtre seules mais je ne sais pas ce qui
nous pousse : nos bouches souvrent pour laisser le passage aux langues.
Notre baisser nest pas feint du tout. Il a lavantage de nous donner envie daller
jusquau bout. Aline a commencé, elle continue en levant mon t-shirt pour passer sa
main sur mes seins. Je les sens bien grossir, comme mes tétons. Jai envie.
De mon coté jarrive à lever son chemisier pour trouver louverture de son soutien
gorge. A force de faire nous nous retrouvons torses nus, à la grande joie des époux.
Nous nhésitons pas un seul instant à nous caresser les seins avant de passer bien
plus bas. La main dAline commence la première à passer sa main par-dessus la jupe sur
la chatte. Jaccompagne son mouvement en avançant mon pubis pour quelle arrive à
toucher mon petit bouton.
Plus le temps passe et plus jai envie delle. A mon tour je passe ma main sur sa jupe
pour arriver à la mettre dessous. Je monte entre ses cuisses. Elle écarte ses jambes :
jarrive facilement à son trésor : dommage, elle a un string. Il faut que le lécarte
un peu pour passer un doigt qui se dirige seul vers son clitoris. Je commence mon
travail de sape quand elle men fait autant. Nous nous masturbons devant nos maris qui
ne peuvent que nous regarder.
Aline trouve le moyen de faire tomber ma jupe : je suis presque nue, portant seulement
un soutien gorge défait dont je me débarrasse rapidement. Nous profitons de notre
nudité pour nous coucher sur le tapis. Les caresses se multiplient sans cesses,
surtout sur le pubis, entre les jambes, sur les sexes et les culs. Je ne pensais
jamais quune autre fille me touche et me fasse du bien à cet endroit. A force de
chercher la bonne position, nous nous retrouvons en 69.
Nous connaissons bien sur cette façon de faire avec nos hommes. Normalement nous
suçons une bite, mais là nous nous trouvons devant un vide, sinon un sexe de fille.
Les langues entrent en action : nous léchons tout ce qui se présente, même les trous
du cul. Aucun complexe entre nous, même pas la présence de nos maris que nous
trompons. Les plaisirs échangés nous font jouir plusieurs fois. Nous devenons
déchaînées.
Mais fatiguées, nous cessons de baiser. Avant de nous séparer nous nous donnons un
rendez vous secret : le lendemain après midi chez moi : mon mari est absent.
Bien sur nos hommes se sont déshabillés pour nous baiser avec changement de
partenaire. Au fond ils ont raison de profiter de la femme de lautre puisque nous
avons baisé. Je ne sais pas pour Aline, moi je me trouve avec une belle bite dans le
cul : jen jouis.
Le soir, nous aurions pu continuer chacun chez soi : notre couple solide se contente
de masturbations. Jai su plus tard quAline avait eu la même nuit avec son mari.
Enfin nous nous retrouvons seules, nues sur le même lit. Nous avons en tête une seule
pensée ; jouir entre filles. Cette fois nous navions même pas lexcuse de nous tenir
un peu devant nos hommes. Toutes les folies étaient permises, même les plus
audacieuses. Jouir, autant faire tout ce que nous voulions.
Nous en voulions des choses, à commencer par un 69 particulièrement vorace.
langues étaient sur les clitoris, bien sur, mais aussi dans les puits et les culs.
Pour ma part javais ma langue sur son bouton et deux doigts de la main droite dans le
vagin pour la baiser. Ma main gauche était destinée à son anus. Je nhésitais pas à la
sodomiser avec deux doigts dabord avant den mettre quatre. Jen recevais autant dans
mon rectum.
Nous avons essayé de nous caresser les clitoris avec celui de lautre : cétait une
gymnastique abominablement compliquée. Nous lavons vite abandonné pour venir à ce qui
était disait-on à la mode.
Nous étions mi-assise, les hanches réunies, les jambes écartées avec les mains contre
les entrées de nos sexes. Sans forcer nous avons entré les doigts dune seule main
dans le puits de lautre puis en forçant un peu le poignet. Bien sur nous avions
entendu parler de cette nouveauté, bien sur nous faisions tout ce quil fallait pour
faire jouir lautre.
Les résultats étaient que nos soupirs et plaintes nétaient pas feintes que nous
jouissons sans cesse, au point de faire durer notre union très longtemps, même si nous
demandons quelque fois à lautre darrêter un instant pour respirer. Le résultat
plusieurs demi-heures plus tard était que nous ne cessions pas ces baises.
Par contre quand nous avons arrêté nous nétions plus bonne à rien. Nous étions
blotties, les bouches réunies pour un baiser qui nen finissait pas. Pourtant nous
étions décidées à recommencer la semaine suivante. Nous essaieront la même chose, mais
dans le culs.
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