Une Première Fois Heureuse (2/2)

Si vous avez lu la première partie de la véritable histoire de mon initiation aux
plaisirs entre hommes, je vous rappelle simplement que, âgé de 17 ans, je suis tombé
sous le charme du patron chez lequel j'avais un petit boulot saisonnier. Cette
première rencontre me permit de découvrir combien il était agréable de jouir avec la
bouche, la main et les doigts d'un homme...

Trois jours après cette expérience inoubliable au cours de laquelle il m'a fait jouir
comme jamais je ne l'avais fait jusqu'alors, Éric m'a dit de passer à la caravane ce
soir après le boulot. Il me fit un clin d’œil complice et plein de promesse. Cette
journée fut longue tant j'attendais cette deuxième phase de mon initiation. A l'heure
dite et après avoir bu un verre, il me proposa de passer dans la chambre et de se
déshabiller sans autre préliminaire en me précisant toutefois que les choses iraient
tout en douceur. D'ailleurs, une fois allongés l'un à côté de l'autre, il commença à
m'embrasser un peu partout, me fit pivoter sur le ventre. Je sentis ses lèvres à
nouveau sur ma nuque, sur mes omoplates et elles descendirent, précédées par le bout
de ses doigts, le long de ma colonne, le creux de mes reins dont il tira les quelques
poils avec ses dents, puis sur mes fesses. Un globe, puis l'autre que ses mains
pétrissaient et qu'elles finirent par écarter largement pour exposer au fond de ma
raie légèrement poilue ma rondelle, brune et légèrement crispée. Après ses doigts,
c'est sa langue qui se perdit dans l'une et se posa sur l'autre. Rapidement, je
retrouvais les douces sensations de l'autre soir et je sentis mon petit trou se
détendre. Éric s'appliqua à bien le lécher, à l'inonder de sa salive pour y introduire
sa langue et son doigt : que ces préliminaires sont agréables ! Je sens ma rondelle
devenir élastique.

Il l'enfonce tout en le faisant tourner. Il le retire, m'écarte
encore les fesses, me crache de nouveau dans le trou que je sais maintenant ouvert.
Son doigt s'enfonce de nouveau, tourne, se plie et en tournant me provoque une
réaction divine qui me fait me contracter et me tortiller tout à la fois.- Tu aimes ?
Je ne te fais pas mal ? - Oh non ! Continue c'est super bon ! - T'as la prostate
sensible, tu vas voir ça va être formidable ! Reste calme, laisse-toi aller ! Rassuré
par ma réaction il continue avec patience à assouplir cette rondelle que personne
encore n'a pénétrée. Il entre alors un second doigt et ma rondelle s'agrandit à ma
grande surprise sans trop de difficultés. Je sens toutefois que nous arrivons à une
extrémité. Après m'avoir bien léché, caressé les fesses, agrandi la rondelle, il se
met à genou derrière moi, m'att par les hanches, me relève le bassin un peu plus
haut. J'ai le cul en l'air et la tête dans l'oreiller ! Il branle un peu sa queue pour
bien la rigidifier J'ai compris, le moment de vérité est arrivé ! Instinctivement, je
serre les fesses, c'est bien le cas de le dire. Il le voit, me demande de bien me
relâcher, que je suis une magnifique levrette. Son gland s'appuie sur ma rondelle,
ouverte au maximum. Il appuie doucement, la tête s'engage. Je me contracte
involontairement. Il force un peu plus. - Vas-y, doucement ! - Décontracte-toi !
Laisse faire. - J'essaie ! Il reprend sa pression, je sens son gland commencer son
intromission. Je serre les dents, essaie de rester calme, maîtriser mon inquiétude.
Lui, d'une poussée franche me pénètre. Le col est passé, il est dans la place,
s'arrête. J'ai mal, mais ce mal déjà s'atténue. Ma rondelle est tendue à mort. Je me
demande si elle n'a pas explosée lors du passage du renflement de son gland. Mais la
douleur qui déjà va s'atténuant me dit que non.
Maintenant je sens la queue d’Éric
reprendre sa progression et déjà des sensations de plaisir inattendues irradient dans
tout mon corps. Il s'enfonce en moi, jusqu'à la garde. Je sens son bassin contre mon
cul. Il se retire, puis se renfonce, il me lime lentement, sur toute la longueur de sa
queue que je reçois avec un immense plaisir. Que c'est bon ! Alors je l'encourage de
la voix à continuer, à aller plus vite, plus loin, plus fort. Ce sont des sensations
inexplicables, extraordinaires, la sensation que nous ne faisons qu'un. Cela dure un
bon moment. J'entends, je sens claquer ses couilles contre les miennes et son ventre
contre mes fesses. Par ses accélérations, ses amplitudes, ses ralentissements il fait
durer jusqu'à ce que lui comme moi soyons prêts à jouir. Je sens alors un liquide
chaud qui emplit mes entrailles en un premier jet long et puissant et suivi par
d'autres. Simultanément, ma queue, qu'il branlait en ayant passé sa main sous mon
ventre, se raidit et gonfla encore avant d'exploser à son tour et d'inonder les draps
et mon menton  de foutre tout aussi chaud et abondant. Les spasmes produits par cette
jouissance inconnue jusqu'à ce jour contractèrent les muscles de mon anus ce qui
intensifia encore, Éric me l'avoua plus tard, les sensations  d'étau dans lequel sa
queue était prise ; démultipliant ainsi les effets d'étranglement ressentis tout au
long de sa tige. Un dernier coup de rein fit surgir les dernières gouttes à la fois
dans mon cul et sur le lit. Couverts l'un et l'autre de sueur, on s'écroula. Moi sur
le lit et Éric sur moi, sa queue encore raide dans mon cul. Je la sentis se rétracter
bientôt, sortir lentement de mon trou d'où s'échappèrent quelques traînées de jus.
Soulagé et heureux des douces et divines conditions de ce dépucelage je me tourne vers
Éric et dépose sur ses lèvres un fougueux baiser plein de reconnaissance.
Quelques
baisers supplémentaires, quelques caresses de plus, quelques mots doux, nous nous
levons, allons sous la douche avant de nous coucher pour une excellente nuit
réparatrice et un bonheur tout neuf. Ah oui, j'oubliais, cette histoire (vraie) s'est
déroulée il y a trente ans. A l'époque bénie où l'on pouvait s'aimer et baiser sans
retenue et... sans capote. Mais aujourd'hui, pas de blague : sortez couvert.

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