Déchéance 06
CHAPITRE 6
Le réveil fut paisible. Anne collée à moi avait une main sur son sexe, lautre sur un
sein
Je me dégageai le plus discrètement possible et me précipitai dans la salle de
bains. Sous la douche je me soulageai la vessie, la chaleur de mon urine me rappela
celles des sexes qui mavaient si délicieusement défoncée.
Longuement je minterrogeai sur la douche, elle nétait pas terminée par un pommeau en
forme de verseur darrosoir mais par un tube très long percé sur sa longueur qui
remplissait le même office.
Curieuse, je mintroduisis le tube dans la chatte et aussitôt leau tiède envahit mon
intérieur, produisant le même bien-être que celui ressenti lorsque le sperme de mon
mari memplissait. A ce souvenir je regrettai lutilisation recommandée de capotes la
veille.
- Je ty prends petite salope !
Anne se tenait devant la douche, riant de mon attitude. Elle reprit.
- Le petit-déj est prêt, moi aussi je veux me taper ma douche ma chérie
Rapidement je me rinçai et sortis de la douche
Comme venait de me le recommander
Anne, cest nue que je me rendis à la cuisine prendre mon café.
Il était dix heures trente, je me sentais en pleine forme comme si javais été dopée
par le sperme bu la veille. Mes pensées salaces menvahissaient de nouveau lorsque
lentrée dAnne aussi nue que moi les interrompit. Elle mapostropha :
A- Alors petite pute toujours aussi tentée de te faire sauter par qui te veut ?
L - Oui, jadore surtout quand ils jouissent dans ma bouche pour se finir.
A - Cest vrai petite pute, je tai vue aller vers le glory-hole
Comme je tai vue te
branler avec la douche ! Moi je me le met aussi dans cul, ainsi je suis toujours
propre pour me faire enculer
L - A propos hier soir tu tes fait enculer sans capote ?
A - Oui, mais seulement par ceux que je connais, les habitués de mon cul ! Les jours
de fermeture Tamara organise des soirées privées avec des hommes et des femmes triés
et sains, ce sont certains dentre eux qui mon enculée
Tu devrais y venir.
L - Désolée mais je naime pas, je suis vierge de ce coté.
A - Tu as tort chérie, cest super une double ! Voire triple si tu suces en même
temps
L - Une double ?
A - Oui, une queue dans le con, lautre dans le cul, tiens ! Remarque bien que deux
dans lun ou lautre trou cest pas mal non plus !
L Salope, tu me fais mouiller avec tes propos de
A - Pute, oui je suis une pute ! Ta sur est une putain ! Un garage à bites ! Mais
jaime ça ! Et ma Maîtresse aussi, je lui rapporte
Dailleurs toi qui es beaucoup
plus soumise que moi, je suis sure quAlexane serait heureuse de te dresser
L - Quoi ! Tu me proposes de faire la pute pour ta fille ?
A - Oui ! Imagine deux surs faisant les putes et leur fille comme maquerelle !
L - Ta fille, tu es vraiment salope ! Nimporte qui mais pas ma nièce !
A - Tu sais les jeunes sont largement aussi vicieuses que nous à leur age, sinon plus
L - Plus vicieuses que toi, cest impossible !
Tu peux parler toi qui acceptais de te faire sauter par tous ceux qui venaient de me
prendre
Et tu en rajoutais
Enfin, pas dans ton petit cul
Mais dis-moi, les jeunes
qui tont sautée ont été assez vicieux, non ?
- Oui Je mis un temps à répondre- Ils mont tellement fait jouir quensuite je ne me
suis plus aperçue de rien, jétais en extase permanente
Ca, cest parce que ta chatte était en manque, mais tu verras deux ou trois séances du
même genre et tu redeviendras la pute que tu étais
Je sens que je mouille, tu vas encore mexciter et il faut que jaille au Cabinet
Je filai dans la chambre mhabiller, puis un maquillage léger. Une bise à ma sur,
toujours nue, elle, et je filai vers le travail.
A mon arrivée je trouvai peu de monde, plusieurs des filles étaient en audience au
Palais. Simone mapostropha, me demandant de la rejoindre dans son bureau. Rejointe,
elle mexpliqua quelle avait reçu une femme, dans nos âges, pendant deux heures,
venue chercher des conseils pour se sortir dune situation particulièrement délicate
et éviter le divorce.
Dès le début de ses explications ce dossier mintéressa, car il y avait pas mal de
similitudes avec la situation de ma sur. En effet cette femme avait été séduite lors
dun vernissage et cela sétait terminé dans son lit. Malheureusement, pour elle, son
beau-fils les avait surpris et avait fait un film à leur insu avec son portable.
Or depuis il lavait fait chanter la menaçant de tout révéler. Cette femme jusqualors
fidèle ne pouvait admettre que son couple soit ainsi mis en danger.
Interrompant ses explications, Simone suggéra de déjeuner car elle avait audience
laprès-midi. Une fois installées dans la brasserie elle reprit son récit.
Tout dabord, le film était court mais comme par hasard elle sy faisait sodomiser,
chose quelle refusait à son mari. De plus son , lautre sur un beau-fils avait
profité de la situation pour coucher avec elle, et par la suite la proposer contre
monnaie à ses copains. Cela faisait maintenant deux mois quelle était sautée par son
beau-fils presque tous les jours, dans toutes les positions possibles et quelle était
prostituée, presque une trentaine de jeunes lui étaient passés dessus.
Elle voulait sen sortir mais comment faire ? Doù la raison de cet entretien.
Dautant plus que contrairement à ce que lon pouvait penser, sa prostitution lui
avait procuré un certain plaisir, ses amants étaient endurants et la satisfaisaient
pleinement. Et, chose non négligeable, dans le cas de puceaux, elle était heureuse de
les déniaiser avec son corps. Ce quelle ne supportait plus cétait sa soumission à
son beau-fils et le film quil détenait.
Simone lui avait conseillé de prendre contact avec une jeune maquerelle qui faisait
travailler cinq ou six jeunes filles en occasionnelles, et de voir avec elle la
possibilité de compromettre son beau-fils avec une gamine, et déchanger une plainte
contre sa liberté
Restée seule à consommer mon café, je songeai à cette femme.
documentées de Simone me troublaient. Non seulement elle avait été prostituée mais
elle comptait bien continuer même gratuitement. Ces deux mois lui avaient fait
découvrir le sexe et le plaisir, elle aimait le vice et sy complaisait. Cétait
différent de ma sur qui navait nullement lintention de se soustraire à la
domination de sa fille. Mais cette histoire me ramenait aussi à moi, qui avait joui
pas plus tard que la veille au soir, en véritable putain sous les jeunes.
Je me sentais le ventre en feu à ces pensées salaces. Mon slip shumidifiait au fur et
à mesure que le temps passait. Avant de quitter ce lieu je me précipitai dans les
toilettes et le découvris trop trempé pour le conserver. Cest donc le cul nu que je
quittais la brasserie.
En regagnant le Cabinet je me faisais leffet dune pute cul à lair cherchant le
client. Décidément cette soirée mavait marquée à un point inimaginable par moi, mais
pas par ma petite chatte déjà en manque
Laprès-midi se passa mon bas ventre brûlant, je fus obligée de me rendre plusieurs
fois aux toilettes, la nudité de ma chatte mincita à me caresser, hélas sans
conclusions. Je songeai alors à méquiper dun gode qui serait a demeure au bureau, je
dérivais sans cesse sur mon envie de sexe. Chaque fois, quune de mes collaboratrices
ou une secrétaire entrait dans mon bureau, je ne pouvais mempêcher me la représenter
nue, cuisses écartées, offerte à de nombreux clients.
Seule Isabelle, jeune poupée blonde, ne portant quun sweet sans soutien-gorge vu les
tétons saillants et visibles, mincita à relever ma jupe et à me caresser dès sa
sortie. Sachant quelle vivait avec une amie un peu plus âgée, jimaginais leurs
étreintes lesbiennes et sa jolie bouche violée par une bouche ou un sein
Dans un pareil état desprit, il me fut impossible de prolonger ma présence au delà de
dix sept heures trente
Toujours en chaleur, cest avec un grand soulagement que je
garai mon véhicule dans le sous-sol de mon immeuble.
Dans lascenseur, je pris conscience de mon absence de slip, heureusement indécelable,
mais qui me fit mouiller au point de sentir sur ma cuisse gauche une petite coulée de
cyprine.
Enfin, chez moi, machinalement dune main je frottai ma jupe sur ce liquide qui
sourdait de mon intimité. Adossée à la porte fermée, les yeux clos, jessayai de me
remettre de ces émotions. Surtout de calmer cette envie de sexe qui me dévorait depuis
des heures.
- Eh bien ! Maman tu te masturbes !
Cette apostrophe de ma fille Sharon, me tira de ma rêverie. Jétais là, la jupe
relevée, me caressant, ou du moins essayant dabsorber avec le tissu, lépanchement de
liquide qui suintait en continu de mon vagin. Depuis combien de temps Sharon
mobservait-elle ? Tétanisée, je ne pu répondre . Rougissante et honteuse davoir été
surprise dans cette attitude équivoque, je me précipitai la bousculant presque, vers
la salle de bains.
Toujours perturbée par cette situation, et totalement inconsciente je fis glisser ma
jupe, dans lintention de me changer et reprendre mon rôle, lorsquune nouvelle
remarque me déstabilisa.
- Mais ! Tu ne portes pas de culotte ! Et tu es lisse !
Incapable de répondre intelligemment à ces remarques, je ne trouvai à dire que :
Avec ta tante et Katia nous avons beaucoup parlé de toi. Il faut quon en discute
Sans un mot, Sharon sortit de la pièce. Je terminai mon déshabillage et reprenant peu
à peu mes esprits pris une douche. Je redevenais plus sereine sous leau ruisselant
sur mon corps. Le souvenir de celle dAnne avec son embout particulier me revint à
lesprit. Intérieurement jenvisageai une acquisition similaire, car ça devait être
super de pouvoir se rincer lintérieur dans les cas comme aujourdhui.
Séchée jallai dans ma chambre passer une nuisette et un slip. Je récupérai celui de
mon sac à main et le mis au sale, avant de rejoindre Sharon pour avoir des
explications
Surtout mesdames ou mesdemoiselles lectrices laissez-moi votre mail, je vous réserve
une surprise ! Bises à vous
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