L'Initiation De Daphnée
Daphnée était ma petite amie depuis quelques années maintenant. Nous nous étions rencontrés sur les bancs de la fac. Si les études de géographie ne mont mené à pas grand-chose, jai au moins pu y découvrir quelque chose de beaucoup plus intéressant que les cours deau de la France : lamour.
Ce fut un coup de foudre dès que je lai vue la première fois. Cétait lors dun cours en amphithéâtre, elle siégeait sur le rang juste devant moi. Daphnée était un joli petit bout de femme. Pas très grande, sans doute un peu enrobée, mais un regard sublime et un visage dange. À ce moment-là, je nai plus suivi le cours du prof mais étudié les courbes de ma voisine.
Elle non plus ne semblait pas apprécier tant que cela le cours, elle riait discrètement de ce que son amie était en train de lui raconter. Jaimais observer son sourire, découvrant de temps à autre ses dents si blanches, jaimais ses cheveux châtains coupés au carré quelle venait déranger lascivement avec sa main. Et, plus que tout, je fondais quand je voyais ses yeux : dun bleu-vert intense, taillés en amande. Ils traduisaient chacune de ses expressions. Daphnée était belle et jen étais tombé amoureux dès cet instant.
Ce nest que quelques mois plus tard que josai enfin lapprocher et venir lui parler. Je prétextai de grosses difficultés dans lappréhension des leçons sur les enjeux économiques liés à lindustrie énergétique, ce qui nétait pas un mensonge dailleurs, pour lui demander si elle pouvait maider. À lapproche des partiels, il était courant de sentraider entre étudiants. Quelle fut ma joie quand elle me répondit quelle maiderait avec plaisir !
Demblée je lui ai proposé de venir chez moi pour être tranquilles à létude de cette matière. Sans crainte, elle accepta ma demande et le rendez-vous fut fixé au vendredi soir suivant. Nous étions tous les deux des ruraux obligés de quitter nos petites bourgades dorigine pour monter « à la ville » pour leurs études.
Ce vendredi arrivant très vite, je mis toutes les chances de mon côté : nettoyage nickel du studio (il ne sagirait tout de même pas quelle découvre un chez-soi bordélique), tenue soignée mais décontractée et, petite attention qui peut faire son effet, préparation dun gâteau pour le goûter. Daphnée est arrivée à lheure, soit vers les 17 heures chez moi. Le simple contact de sa joue contre la mienne faisait son effet.
Pendant de longues heures, elle me fit découvrir toutes les subtilités de lindustrie énergétique et découvrit en moi un hôte aux petits soins : mon gâteau au chocolat avait fait fureur ! Si bien que les heures défilaient et ce nest quà 21 heures quon se rendit compte de lheure. Pour ne pas la laisser séchapper, je lui offris de rester manger avec moi, ce quelle accepta avec plaisir.
Après notre frugal repas, nous avions laissé tomber les cours pour commencer à discuter de tout et de rien, le tout en dégustant une bouteille de vin que javais chez moi. Il savère que Daphnée est une amatrice de bons vins et elle semblait bien apprécier la bouteille que javais achetée. Au fil de la discussion, je me suis permis de la sonder sur ses goûts, ses loisirs, ses amours
Avec surprise et plaisir, je découvris donc quelle était célibataire depuis quelques mois, que léloignement de sa famille et de ses amis était difficile et quelle était contente de tomber enfin sur quelquun qui était sympa dans cette fac.
Voulant battre le fer pendant quil était encore chaud, je me mis à la séduire de façon plus ou moins ostentatoire. Elle sen aperçut rapidement je pense, tant jétais maladroit et direct mais elle semblait sen amuser et me laissait languir face à son joli minois. Ce nest quà la fin de la bouteille de vin que josai enfin venir lembrasser. Elle me rendit ce baiser sans attendre et nos langues se trouvèrent une cadence délicieuse.
Daphnée sentait bon. Pas une odeur de parfum parce quelle nen portait pas ce soir-là mais un parfum corporel qui titillait mes narines. Ses yeux en amande me dévoraient et je plongeais dedans à chaque fois que je croisais son regard. Elle rigolait, membrassait, passait ses mains dans mes cheveux, me caressait les bras. Daphnée semblait en confiance avec moi et jen étais fier et content. Moi, de mon côté, je nétais pas en reste et, tout en continuant à lembrasser, je partis à la découverte de son corps.
Il ne faisait pas de doute que nous avions tous les deux envie de passer cette nuit ensemble, jamais Daphnée ne ma évoqué lidée de partir. Mon appartement étant assez petit, nous nous sommes retrouvés en une petite seconde du salon à ma chambre. Il faut dire quil nexistait aucune différence entre mon canapé et mon lit puisquils ne formaient quun seul et même objet ! Jallongeai alors Daphnée sur mon lit, je vins me coucher sur elle pour venir à la rencontre de sa bouche. Ma main caressait ses cheveux pendant que je la regardais. Puis je la fis descendre le long de son bras pour me retrouver sur son ventre.
Tout en la regardant droit dans les yeux et sans dire un mot, je passai ma main sur ce ventre certes un peu rebondi mais si attirant pour cette main qui ne demandait que ça. Mes doigts remontaient lentement jusque sa poitrine. Daphnée semblait avoir une très belle poitrine et je dois avouer que je lai souvent regardée, épiée lors de nos cours en amphithéâtre. Étant souvent sur un rang au-dessus delle, je mamusais à glisser mon regard dans son décolleté quand sa tenue my autorisait.
Mais ce soir, cest bien ma main qui passait sur ces deux globes de chair. À ce passage, je sentis sa respiration saccélérer. Je continuai et insistai sur le dessous de ses seins, afin de sentir toute leur grosseur emplir ma main. Enfin, je mamusai à défaire un à un chaque bouton de sa chemise. En dessous de celle-ci, je découvris un soutien-gorge totalement noir, en dentelle.
Mon pouce et mon index vinrent pincer gentiment ce téton pour le faire se dresser un peu plus. Daphnée avait une respiration désormais saccadée, signe quelle appréciait ce que je lui faisais. De son côté, elle ne tentait rien envers moi. Pas une main venant à la découverte de mon entrejambe, pas de caresse sur le torse, rien. Daphnée se laissait faire. Jen profitai alors pour la dévêtir. La chemise puis le soutien-gorge se retrouvèrent au pied du lit. Elle nétait plus quen pantalon pendant que je vins sucer cette poitrine opulente. Ma langue y découvrit un terrain de jeu de rêve tant ses seins étaient une merveille. Jamais je navais connu une aussi grosse poitrine. Ses tétons étaient maintenant totalement tendus de désir et je prenais plaisir à venir les mordiller pour les exciter encore plus.
Pendant que je léchais cette poitrine si belle, ma main gauche partit à la découverte de ce qui se cachait un peu plus bas. À lapproche de ma main, Daphnée écarta doucement les jambes, telle une invitation à la poursuite de mon exploration. Je caressai ses cuisses. Je sentais la chaleur se dégager de son corps à mesure de mes caresses mais ce ne fut rien par rapport à ce que ma main sentit une fois posée sur son sexe. Au travers du pantalon, je sentis un sexe totalement brûlant. En le caressant, je sentis même poindre lhumidité qui sen dégageait.
Plus que curieux et totalement excité, je quittai ses seins pour venir délivrer cette source de chaleur. Je lui enlevai son pantalon, ne la laissant quen petit string, assorti à son soutien-gorge. Mademoiselle avait beaucoup de goût en matière de lingerie, me dis-je alors.
À ce moment-là, Daphnée se prit les seins avec ses mains et commença à se les caresser. Ma bouche venait de se poser sur son string. Il était mouillé et une odeur dexcitation venait chatouiller mes narines. Je passai mes doigts sur ce bout de tissu, pour venir lexciter plus quelle ne létait déjà. Enfin, je tirai sur ce dernier rempart de tissu pour lenvoyer valser au travers de la pièce et me retrouver face à cette intimité.
Daphnée avait un sexe quasi imberbe, elle avait fait le choix de ne laisser quun mince filet de poils au-dessus de son mont de Vénus. Ses lèvres intimes étaient déjà entrouvertes. Ny tenant plus, je vins poser ma langue sur ses lèvres. Je lapais ce sexe si chaud, si humide mais si bon. Son clitoris était sorti de son capuchon et je jouais avec du bout de la langue. Daphnée commençait à gémir sous mes coups de langue. Il faut dire que jadore sucer le sexe féminin et je prends un malin plaisir à faire monter lexcitation chez ma partenaire. Mes doigts vinrent aussi à la découverte de cette caverne magique. Ils en ressortirent totalement trempés tant la mouille de Daphnée était abondante. Je la doigtais, la suçais, la léchais de façon à faire monter son excitation.
Mais si Daphnée semblait prendre du plaisir, elle semblait aussi totalement moublier, à tel point que jétais encore totalement habillé ! Voulant poursuivre cette soirée magnifique, je pris le parti de me déshabiller seul. Je me relevai alors du lit, éclipsai rapidement mes fringues pour me retrouver totalement nu face à elle. Mon sexe était tendu depuis déjà de longues minutes et il tressauta à la vue de ma belle amante nue.
Je me rallongeai près delle, je vins lembrasser, caresser ses seins. De son côté, Daphnée prit enfin les choses en main et mon sexe se retrouva entre ses doigts. Elle les agitait maladroitement sur ma tige et commença à me branler rapidement. Voulant profiter un maximum de son corps, je vins mallonger sur elle et déposai mon sexe à lentrée du sien. Je coulissai en elle lentement. Je vins emplir cette grotte de mon membre de chair. Cétait chaud, cétait étroit mais cétait divin. Daphnée avait une chatte totalement adaptée à mon sexe. Jallais et je venais en elle lentement puis plus rapidement. Jalternais les rythmes pour profiter. Daphnée nétait pas en reste et elle se mit à crier sous les assauts sexuels. Ses seins sagitaient sous mon regard, je les gobai comme je pus avec ma bouche. Je sentis la jouissance venir alors jexplosai en elle et je sentis mon sperme venir remplir son sexe pendant quelle contractait ses muscles vaginaux, signe que la jouissance était au rendez-vous aussi pour elle.
Totalement épuisés, nous nous sommes allongés lun à côté de lautre sur le lit. Je me mis à la questionner sur ses goûts en matière de sexe. À lentendre, je me rendis compte que ma belle navait pas une grande expérience et que ses pratiques étaient limitées. Un peu gêné, je lui expliquai ce que jaimais, ce que javais testé et ce que jaimerais tester un jour. Elle semblait très étonnée de tout ce que je pouvais lui raconter, à tel point que je me sentis comme un obsédé.
Mais la nuit passa, et après avoir fait encore deux fois lamour, nous finîmes par nous endormir
Les semaines et les mois passèrent, Daphnée et moi sommes devenus inséparables. Nous passions quasiment toutes nos nuits ensemble et lhistoire que nous avions débutée semblait prendre un joli chemin. Mais si tout était paradisiaque, je remarquai que nos ébats sexuels, aussi nombreux fussent-ils, restaient très banals, si je puis dire.
En effet, si Daphnée prenait toujours autant de plaisir quand je lui faisais lamour, elle ne prenait que peu dinitiatives et nos positions restaient très conventionnelles : en missionnaire, en amazone et depuis peu en levrette. Si tout cela était déjà très bien, et jen conviens, je commençais à avoir envie dautres choses, ambitionnant de lui faire découvrir de nouvelles pratiques. Mais Daphnée était peureuse sur ce plan-là. Si je navais eu aucune difficulté à lui faire apprécier le cunnilingus, celui que je lui avais offert lors de notre première nuit était en fait son tout premier, Daphnée ne mavait pas encore offert le plaisir dune fellation. Peut-être nétais-je pas assez expressif ? Fallait-il que je le lui demande ?
Un soir, ny tenant plus, alors que je lui prodiguais un cunnilingus, je me relevai et je vins présenter mon sexe face à sa bouche. Elle me regarda alors. Je lui dis simplement :
Suce-moi, sil te plaît.
Étonnée, elle ne me quittait pas du regard, puis vint timidement prendre mon sexe en main, sortit sa langue pour ne se contenter que de venir lécher mon gland.
Prends-le en bouche ! Cest bon ! je me surpris à lui dire.
Elle ouvrit alors la bouche, savança et enfonça mon sexe dans sa bouche. Cela faisait longtemps que je navais plus ressenti cette sensation, celle dune bouche féminine qui engloutit votre sexe et qui le suce. Daphnée sexécuta et me prodiguait une belle fellation, à tel point que je me mis à douter que ce fût sa première. Je la regardais me sucer et je profitai dêtre à genoux et elle allongée pour venir caresser ses seins.
Sentant la jouissance monter, je quittai sa bouche et je vins la pénétrer. Au bout de quelques minutes, la jouissance jaillit. Je mallongeai sur elle. Puis je la regardai et, pris dun remords, je mexcusai pour mon comportement en lui disant que je navais pas à lui parler comme cela, ça ne me ressemblait pas. Mais Daphnée me regarda alors et me dit :
Non, ne tinquiète pas, ça ne ma pas dérangée. Au contraire, jai trouvé cela excitant que tu me parles comme cela, de façon autoritaire. On ne mavait jamais parlé avant comme ça. Bizarrement jai bien aimé.
Quelle ne fut pas ma surprise face à cet aveu !
Les soirs suivants, je sentis que Daphnée devenait plus chienne au lit. Les fellations devinrent plus fréquentes, à tel point que je navais plus besoin de les lui demander. Cest en léchant une énième fois son minou que je me mis à passer mes doigts sur son petit trou. Sa mouille mélangée à ma salive était venue humidifier cet orifice et jeus envie de venir le titiller.
Mets-toi à quatre pattes, lui demandai-je.
Daphnée sexécuta et jécartai ses belles fesses dodues pour admirer son petit trou. Nous navions jamais encore pratiqué de sodomie mais ce soir-là, jen avais envie. Je passais mon index sur ce petit trou, je sentais son muscle se refermer à chaque passage. Pris dans mon excitation, je vins passer ma langue dessus. Je navais encore jamais léché le trou du cul de mes partenaires, mais là jen avais envie. Je tentai de forcer son illet intime mais ma langue navait pas assez de force. Cest mon index qui réussit.
Caresse-toi le sexe pendant que je te sodomise, lui ordonnai-je.
Mais je nai jamais fait ça, ça va faire mal, me dit-elle.
Ne tinquiète pas, lui répondis-je.
Et sans attendre, je pris mon sexe en main et je vins le coller à son petit trou. Je vis quelle sexécutait et sa main passa sous son ventre pour venir timidement caresser sa chatte.
Caresse-moi les couilles, lui ordonnai-je.
Et elle prit mes testicules de sa main pour les caresser. Je devins de plus en plus dominateur avec elle et lui imposait ma queue, lobligeant à ouvrir ses trous pour me prendre intégralement et profondément.
Irrésistiblement, nos parties de jambes en lair étaient beaucoup plus vicieuses quand je lui ordonnais de faire telle ou telle chose. Cest ainsi que soir-là, Daphnée eut droit à sa première sodomie. Si la douleur se fit ressentir au début, elle découvrit ce soir-là une nouvelle pratique qui lui offrait de nouvelles perspectives de plaisir.
Plus les mois passèrent, plus je devins expert dans lart de lui ordonner les choses en matière de sexe. Elle ne me le reprocha jamais, au contraire, elle semblait prendre plaisir à répondre à mes exigences. Mes demandes saccumulaient au fil du temps :
Je voudrais que tu aies le sexe totalement épilé.
Et Daphnée sexécuta. Le soir venu, elle mappela alors quelle était dans la salle de bain. Elle était assise sur les toilettes, totalement nue, les jambes écartées, un rasoir à la main.
Donne-moi la mousse à raser, lui dis-je.
Je voulais prendre ce plaisir et je fis sortir une grosse noisette de mousse à raser. Japprochai ma main de son sexe où les poils nétaient certes pas très nombreux mais quand même bien visibles. Je posai la mousse à raser sur son sexe, de façon à recouvrir chaque parcelle « souillée » par les poils. Une fois lopération terminée, elle prit son rasoir et vint délicatement raser son minou. Je prenais plaisir à la regarder faire. Je sentais lexcitation monter dans mon caleçon à la voir faire cela. En plus, elle prenait un malin plaisir à prendre son temps pour le faire, prenant grand soin de noublier aucun poil. Une fois terminé, cest moi-même qui vins passer une serviette humide pour enlever le surplus de mousse à raser et pour découvrir un sexe totalement glabre et vierge de poil.
Viens tallonger sur le lit, lui demandai-je alors.
Daphnée se leva et alla sur notre lit.
Écarte tes jambes, ma belle, je veux voir cette merveille.
Les jambes grandes ouvertes, je mapprochai de ce sexe qui était magnifique. Je me mis à le caresser tendrement, passant mes doigts délicatement entre ses lèvres. Du bout des doigts, je vins jouer avec son clitoris. Des gouttes dexcitation venaient perler sur son sexe. Japprochai ma bouche, léchai lentement ce petit abricot tout en la doigtant. Comme à son habitude, Daphnée prenait du plaisir sous mes coups de langue. Jentrai deux doigts en même temps et jaccélérai mes allers-retours dans son sexe. Le plaisir montait encore en elle. Voulant aller plus loin, jajoutai un autre doigt. Son minou était déformé par lenvergure de tous ces doigts la pénétrant. Je navais plus que le pouce en dehors de son sexe.
Sans lui demander son avis, je me mis à vouloir passer ma main entière dans son sexe. À force dallers-retours lents, mes doigts se sont humidifiés de son plaisir et ont pu coulisser totalement dans sa chatte. Je venais de pratiquer le fist pour la première fois. Ma main entière était à lintérieur de son sexe, mes bouts de doigts venaient caresser au plus profond de son sexe et Daphnée était devenue sous ces coups une vraie furie. Elle jouissait abondamment et bruyamment. Le bruit si distinctif dun sexe en pleine jouissance venait casser le silence de la pièce en parallèle avec les hurlements de plaisir de ma copine si cochonne. Mes draps étaient trempés de son jus. Lorsque jai retiré enfin ma main après quelle eut joui comme jamais, son sexe resta béant, grand ouvert. Jamais je navais vu une vulve si ouverte que maintenant. Daphnée était en sueur mais ses embrassades me prouvèrent quelle avait aimé lexercice.
Le plaisir de soumettre ma petite amie à toutes mes envies et fantasmes venait alors décupler la force de notre couple. Chaque soir maintenant nous faisions lamour comme des bêtes et plus je lui offrais mes volontés, plus elle sexécutait. Nous prenions tous les deux plaisir à ce petit jeu-là. À tel point que le niveau de mes exigences montait au fil des semaines. Un jour, alors que nous devions aller chez des amis communs pour dîner, je lui ai demandé de se vêtir dune courte robe, mettant en avant son opulente poitrine et de ne pas porter de sous-vêtements en dessous. Comme à son habitude maintenant, Daphnée sexécuta sans résister et sortit de la salle de bain telle une vraie déesse. Ses rondeurs faisaient ressortir ses atours : le décolleté offrait une vue imprenable sur ses seins et la longueur de ses jambes découvertes faisait que dès quelle se baissait un tout petit peu, on pouvait distinguer ses cul nu et les lèvres de son sexe glabre.
Pour nous rendre chez nos amis, nous avons pris le métro. Il ny avait pas grand-monde dans notre rame. Assis au fond de celle-ci, je me mis à passer ma main sous sa robe pour venir lui caresser le sexe. Alors que je pensais la pousser dans ses retranchements, je me suis rendu compte quelle était déjà tout humide jen suis resté sans voix ! Cela mexcita et je me mis à la doigter. En tournant la tête, je devinai un homme, dans la cinquantaine, qui ne semblait pas dupe sur notre jeu. Je pris alors un malin plaisir à continuer tout en ordonnant à ma belle de regarder cet homme pendant que je la branlais, ce quelle fit avec plaisir et un regard de grande salope.
Une fois arrivés chez nos amis, je devinai tout de suite le regard intéressé de mes amis masculins sur Daphnée. Pourtant tous étaient aussi en couple et leurs copines présentes à la soirée. Chauffé par ce qui sétait passé dans le métro, je restais en alerte et guettant toute nouvelle expérience à vivre. Daphnée et moi continuions dans notre surenchère sexuelle. Il nous fallait de la nouveauté pour prendre toujours plus de plaisir.
Aussi, alors que la soirée continuait après un bon dîner, tout le monde sest mis à danser. Moi, je naimais pas trop ça. Alors, assis à une chaise en fumant une clope et en buvant un bon verre de vin, je regardais Daphnée danser, lascivement, sous le regard coquin et envieux de mes amis présents. Même les autres filles semblaient jalouses de laura sensuelle et sexuelle que dégageait Daphnée.
Vers une heure du matin et tout le monde commençait à être soit bien éméché soit bien fatigué. Je me lassais un peu de la soirée et des tubes des années 80, aussi je vins prévenir Daphnée que jallais me coucher. Elle me répondit quelle venait avec moi. Les amis qui nous recevaient avaient proposé à tout le monde de rester dormir, ce qui était plus simple. Mais la place manquait, et nous devrions partager quasiment tous la même chambre. Nous retrouvions donc à devoir composer avec deux autres couples.
Quand nous sommes allés nous coucher, nous étions les premiers à y aller. Aussi nous avons choisi le matelas deux places tout confort au beau milieu de la pièce. Après nous être dévêtus, nous nous sommes couchés sous la couette. Lambiance de toute cette soirée et la vue de ma belle dansant toute la soirée navaient fait que mexciter, alors dès que nous nous sommes retrouvés couchés, je me mis à lembrasser tendrement, tout en parcourant son corps. Elle était réactive au moindre contact. Je bandais dur et elle était totalement trempée entre les jambes. Mais cest à ce moment que nos amis sont venus également se coucher ce qui provoqua un arrêt des câlins. Mais la fatigue et lalcool aidant, en à peine 10 minutes, jentendais déjà les autres dormir. Alors je me remis à caresser Daphnée. Nous étions discrets mais je sais pertinemment que les petits bruits que provoque parfois le sexe étaient clairement perceptibles
Heureusement personne ne semblait y faire attention et les ronflements se poursuivaient sans changement de rythme.
Je me mis à pénétrer Daphnée, allongé sur le côté jétais derrière elle et je venais et rentrais en elle tout en lui caressant les seins. Elle dut poser sa tête contre loreiller pour éviter de gémir trop bruyamment. Tout à coup, je vis une main surgir près de Daphnée ! Cétait celle de lun de nos amis qui était couché à côté. En le regardant, jai finalement eu limpression quil dormait et que son bras sétait retrouvé ici fortuitement. Daphnée sen amusa et vint coller son sein contre cette main endormie. Mais les petits cris, aussi discrets fussent-ils, ajoutés à la chaleur de ce sein qui la collait, ont fait que cette main sest mise à caresser le sein de ma belle. Daphnée nen avait cure et se laissa faire. Mon ami avait maintenant les yeux ouverts. Dans la pénombre je les devinais reluquant le corps de Daphnée. Elle prit sa main et la posa de toute sa largeur sur son sein. Il prit cela comme un signe et se rapprocha discrètement delle.
Glissant de son lit, il vint se coller à Daphnée pour lui embrasser les seins. Lorsquil voulut lembrasser sur la bouche, elle refusa en tournant la tête. Elle me réservait sa bouche. Je pris alors la main gauche de Daphnée et la poussais à la rencontre du sexe de notre ami. Elle sexécuta et commença à le branler doucement. Pendant ce temps-là, jétais toujours en train de la pénétrer tout en douceur par-derrière.
Alors que sa copine dormait à poings fermés dans le lit dà côté, notre ami approcha sa queue du sexe de Daphnée. Pour ne laisser aucun risque de doute, je me retirai alors de son sexe pour lui laisser la place. Mais nimaginant pas un instant rester seulement spectateur, je me repositionnais pour lui prendre lanus. Ainsi Daphnée se faisait prendre en sandwich alors que plusieurs de nos amis étaient à côté !
Cette expérience de triolisme se conclut par une jouissance quasi instantanée pour nous trois et Daphnée se retrouva remplie par tous les trous. Après un tel épisode, le sommeil vint rapidement. Nous navons à ce jour jamais renouvelé lexpérience mais nous avons maintenant un secret avec notre ami et rien ne dit que nous ne retenterons le coup à trois car jai adoré savoir Daphnée se faire pénétrer par un autre homme.
Plus récemment, je lui ai ordonné de goûter à mon plaisir. Aussi bizarre que cela puisse paraître au vu de ce que nous avions déjà testé, jamais Daphnée navait avalé mon sperme à lissue dune pipe, et cela faisait partie de mes fantasmes. Aussi, quand je fus proche de la jouissance, je me suis retiré et je suis venu au-dessus de son visage juvénile et étonné.
Ouvre la bouche ma belle, je veux jouir dedans et tu vas tout avaler.
Je me suis alors mis à me masturber en la regardant dans les yeux alors que sa bouche était maintenant grande ouverte, prête à recevoir sa dose. Jai joui rapidement et elle se retrouva la bouche remplie de sperme jusquaux commissures des lèvres.
Avale maintenant !
Et sans rien dire et tout en me regardant, elle ferma sa bouche et avala mon jus. Ma petite Daphnée était devenue une vraie soumise. Elle faisait tout ce que je lui demandais et mavouait quelle ne me refuserait jamais rien.
Pour autant, en dehors de ces moments de sexe, nous nétions pas du tout comme cela. Nous nous aimions toujours autant si ce nest plus quau tout début. Il ny a que quand on se retrouvait excités que cette situation de dominateur / soumise se mettait en place, pour que la douce Daphnée se métamorphose en véritable petite pute prête à tout, et que je me conduise comme son mâle dominant, pervers et sans limites.
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