La Danse Fatale

J'ai 68 ans, je suis un homme heureux en ménage marié à une épouse de six ans plus
jeune.

Depuis quelques années, notre libido a beaucoup baissé et l'habitude prenant le
dessus, nos relations sexuelles ont fini par prendre la voie du "train train".

Sans se l'avouer, nous avions certainement conscience qu'il nous manquait quelque
chose.

J'avais laissé entendre plusieurs fois à mon épouse qu'elle devrait se laisser aller à
quelques aventures extérieures, histoire de rompre la monotonie mais elle avait
toujours refusé prétextant que l'adultère n'était pas son truc. J'en avais fini par
conclure que son désir s'était beaucoup émoussé.

Puis, un jour nous sommes partis en vacances en Italie dans un coin charmant où nous
logions dans un hôtel agréable.

Chaque soir, nous participions aux soirées dansantes organisées par l'hôtel,
essentiellement constituées de danses traditionnelles, tango, valse, slow, etc.

Ma femme était souvent invitée par d'autres messieurs mais tout se résumait à une
danse.

Puis le troisième soir, un homme est venu l'inviter. Il était beau gosse et avait
beaucoup de charme. Je lui donnais dans les 60 / 70 ans mais sportif et bien taillé,
il aurait supporté la comparaison avec beaucoup d'hommes plus jeunes.

Première surprise: les danses se succédaient sans que ma femme quitte son partenaire.
Ils enchainèrent bientôt une série de slows et il fallait être aveugle pour ne pas se
rendre compte que le couple était particulièrement collé.

Finalement, mon épouse vint se rasseoir à notre table, et, deuxième surprise, je
découvris qu'elle n'était pas dans son assiette. Je lui demandais ce qui la troublait
à ce point, mais elle me répondit que ce n'était rien, la chaleur sans doute.

L'homme revint l'inviter peu après pour une autre série de slows et là, l'ambiance
devenait électrique, la lumière avait baissé, assez pour créer une ambiance chaude
mais pas assez pour qu'on ne voit pas les couples danser.

Mon regard allait d'un couple à un autre, parfois je dansais aussi.

Le hasard a fait que je me retrouve à deux pas de mon épouse et de son partenaire et
je découvris avec stupeur qu'il l'embrassait au coin des lèvres et qu'elle se laissait
faire.

Je retournais m'asseoir à table et elle vint me rejoindre quelques minutes plus tard.

Je décidais de lui parler plus directement.

"Il me semble que tu n'es pas indifférente à ton partenaire ? Est-ce que je me trompe
?"

A ma grande surprise, elle me répondit : "Oui, c'est vrai, il est pas mal".

J'insistai : "S'il te plait, tu sais que je ne suis pas jaloux, et si tu veux aller
plus loin, ne te gêne pas".

Elle rougit alors assez violemment et me répondit : "Tu plaisantes, c'est juste un
petit flirt".

Puis elle retourna danser avec lui.

Très excité, car cette situation m'excitait, il faut l'avouer, je décidai de brusquer
les choses.

Dès qu'elle revint s'asseoir, je lui dis: Ne m'en veux pas, mais je suis plutôt
fatigué ce soir et je vais me coucher, mais ne te presse pas et reste autant que tu
veux".

Elle dut comprendre à quoi je pensais car rien ne justifiait une quelconque fatigue de
ma part.

Je m'éloignais mais, au lieu d'aller me coucher, je me collais près du bar et
attendis. Pas longtemps. Quelques quinze minutes plus tard, je vis mon épouse et son
partenaire quitter la piste de danse et s'éloigner vers les ascenseurs.

Je repérais l'étage puis montais dans le second ascenseur pour arriver quelques
instants à peine après eux et les voir distinctement rentrer dans une chambre.

Je m'approchais discrètement de la chambre et sans crainte d'être surpris, tout le
monde étant en bas, je collais mon oreille contre la porte. J'entendais des murmures à
travers la porte, sans plus, mais je savais très bien ce qui allait se passer.

Au bout d'un moment, les murmures se sont transformés. J'entendais distinctement les
cris de ma femme et là, ce fut un choc, car les propos qu'elle tenait n'avaient rien à
voir avec ce que je connaissais d'elle et son vocabulaire habituel.

J'entendais clairement :

"Oh oui, c'est bon, baise moi fort, j'aime ta grosse bite dans ma chatte, baise moi
toute la nuit, fais moi jouir très fort"

Et son partenaire n'était pas en reste:

"Tu aimes les grosses queues, hein salope, tu aimes te faire baiser par une grosse
queue".

Ma femme: "Oui j'aime les grosses queues, j'en avais tellement envie, vas y, défonce
moi".

Au bout d'un moment, un premier grand cri de ma femme: "ah je jouis, je jouis fort, tu
me fais bien jouir, encore, continue"

Lui: "Je ne vais pas tenir longtemps".

Ma femme : "Viens, donne moi ton sperme, remplis moi de ta semence".

Lui: "Ca y est, je jouis"

Elle: " oh que c'est bon, remplis moi ".

J'avais une érection monstrueuse. J'ai décidé d'aller vraiment me coucher. Je me suis
masturbé avant de m'endormir.

Vers 7 h 00, j'ai entendu gratter à la porte, je suis allé ouvrir, et j'ai trouvé mon
épouse devant la porte, l'air gêné.

Je l'ai prise dans mes bras, j'ai refermé la porte, je l'ai déshabillé, puis sans
autre préambule, je l'ai pénétrée. Et là j'ai commencé un dialogue très érotique.
Moi: "Est- ce qu'il t'a bien fait jouir?"

Elle: "Oui"

Moi: "Plusieurs fois?"

Elle : "Toute la nuit"

Moi: "Tu l'as suçé?"

Elle : "Oui"

Moi: "Tu as avalé?"

Elle : "Oui"

Moi: "Nous sommes là pour encore dix jours, j'aimerais que tu baises avec lui jusqu'à
notre départ"

Elle: "Oui, j'en ai très envie"

Cinq jours après, j'ai connu le moment le plus excitant de ma vie.. Je les ai rejoins
dans leur chambre avec leur accord, et nous avons fait l'amour à trois et j'ai assisté
au spectacle le plus merveilleux qui soit. J'ai vu ma femme jouir avec un autre homme
comme elle n'avait jamais joui avec moi.

Depuis, elle accepte de temps en temps d'avoir une aventure et parfois, nous le
faisons à trois. Elle jouit beaucoup plus fort avec ses amants qu'avec moi mais cela
me rend tellement heureux…