Leila
Il était 15h. Leila était arrivée à lheure sur la place de la ville et attendait à
présent quarrive la voiture de son ami qui devait venir la chercher dun instant à
lautre. Leila était une jeune fille qui venait davoir 20 ans, elle avait la peau
mate, héritage de ses origines maghrébines, des yeux marron et un regard malicieux,
une chevelure brune tirant sur le noir tombant sur ses épaules et quelques rondeurs
qui ajoutaient à son charme. Ce jour là elle portait un haut blanc pas trop chaud mais
qui suffisait à la préserver du vent de la région, un jean bleu et des nu-pieds beige
quelle avait choisi spécialement pour aujourdhui. Elle avait dailleurs appliquée
sur ses ongles et sur ses orteils un vernis noir profond qui ne faisait que ressortir
la couleur de sa peau. Elle attendait depuis 5 minutes quand elle vit apparaitre la
voiture rouge de son ami. « Ca y est » pensa-t-elle, « On va voir ce que ça va donner.
» Il stationna près delle et lui ouvrit la porte pour quelle puisse sengouffrer
dans le véhicule. Son ami étai plus grand quelle, dau moins une tête, il portait les
cheveux longs jusquen dessous des épaules, bruns, et également une barbe de trois
jours. Il portait pour loccasion une chemise blanche à manche courte, un jean bleu et
de belles godasses noires. Une fois entrée elle lui fit la bise.
_ Salut !
_ Salut ! Tu vas bien ?
_ Impeccable. Et toi ?
_ Pareil. Je suis content de te voir.
_ Oui, moi aussi.
_ Bon et ben on est partis.
Ils roulèrent alors vers un bar dont ils connaissaient tout deux ladresse. En chemin
ils discutèrent de choses et dautres, des études, des copains, etc.
Mais Leila était
concentrée sur autre chose. Elle savait. Il le lui avait dis. Et cela faisait déjà pas
mal de temps. Elle scrutait son regard. Elle jubilait chaque fois quelle le
surprenait.
Elle savait quil était fétichiste, il lui avait dis. Combien de fois lui en avait-il
fait léloge ? De ses jolis pieds finement sculptés. Sans vraiment en faire un atout,
elle savait quils nétaient pas mal, elle-même appréciait ses pieds taille 38 et
prenait plaisir à se les vernir fréquemment de toutes les couleurs possibles. Et
aujourdhui elle navait pas choisit le noir au hasard, elle savait quil aimait ça.
Il suffisait quelle jette quelques coups dil à son entrejambe pour voir que ça
gonflait rapidement. « Tu les aimes mes pieds hein, pensa-t-elle. Taimes les regarder
hein, mais si tu savais comme ça me fait plaisir que ça te fasse cet effet, de toute
façon jai déjà gagné, tu verras tout à lheure. » Ils arrivèrent finalement au
bistrot ou ils burent un coup tout en discutant. Mais même durant ces instants, il ne
cessait de jeter de petits coups dil discrets en dessous de la table, des regards
quelle remarquait, elle avait même décidée de jouer un peu avec lui en enlevant ses
tongs et en bougeant ses pieds délicatement dans tout les sens afin quil puisse mieux
apprécier la vue. Ses orteils, sa plante de pied, ses talons, elle se donnait à fond.
Elle ne pouvait sempêcher de penser à cette première fois ou il lui avait massé les
pieds amoureusement. Elle sétait alors parue dun vernis bleu ciel quelle avait
acheté la veille. Mais elle ne sy était pas attendue et elle se souvint des
sentiments partagés quelle avait eu à ce moment là, un mélange de surprise, de gêne,
mais surtout de plaisir. Un plaisir quelle voulait retrouver. Après avoir bus leurs
verres et que son ami ait payé les consommations, ils se dirigèrent vers la voiture.
_ Alors, quest-ce quon fait maintenant ? demanda-t-elle innocemment, tout en sachant
bien ce quil allait lui proposer.
_ Et ben, on peut aller chez moi si tu veux ?
_ Ouais, ok ! répondit-elle tout sourire.
Ils entrèrent tout deux dans la voiture et démarrèrent aussitôt. Leila était de plus
en plus excitée et impatiente, elle lui réservait quelques surprises. Après un bon
quart dheure de trajet, ils arrivèrent devant la maison de son ami.
_ Il ny a personne ? demanda Leila en constatant labsence de la seconde voiture.
_ Non. lui répondit-il. Mes parents sont partis chez des amis pour laprès-midi et ma
sur et chez une copine.
Leila était en train dexulter ! Aucun gêneur, cétait parfait. Ils entrèrent dans la
maison vide, et comme une évidence, se dirigèrent vers la chambre de son ami à
létage, tout comme la dernière fois. Mais avant ça, elle se débarrassa de ses tongs,
et put deviner la satisfaction de son ami, ça allait arriver, elle le sentait venir,
et marcher pied nu lui procura une sensation de bien être quelle ne pouvait pas
vraiment expliquer. Une fois entrés dans la pièce, Leila sassit directement sur le
grand lit double et croisa les jambes.
_ Vas-y, mets toi à laise. Tu veux boire quelque chose ?
_ Non merci, ça ira. répondit-elle. Ca faisait un moment que je nétais venue.
_ Oui cest vrai. Plusieurs mois déjà.
_ Au moins.
Il y eu alors un silence qui dura quelques secondes. Quelques secondes qui, elle le
savait, lui permettait de trouver la manière daborder le sujet. Elle le laissa faire.
_ Jaime beaucoup ton vernis, lui dit-il finalement.
« Ca y est, nous y voila ! », pensa-t-elle.
_ Vraiment ? Merci, cest gentil, jhésitais entre celui-ci et le rouge tu sais.
_ Il est parfait, et il met bien tes pieds en valeur, dit-il avec un petit sourire.
_ Tes gentil.
_ Ca te dirait pas un massage ?
_ Oh, je sais pas trop, ça me fait bizarre tu sais.
peu.
_ Oh allez ! Je sais bien que tas aimé la dernière fois.
_ Bon daccord, dit-elle en lui tendant son pied droit.
_ Tu seras pas déçue, lassura-t-il en souriant.
« Toi non plus tu vas voir. » pensa-t-elle. Il prit son pied délicatement et commença
à le masser doucement, en appuyant de manière précise sur certains points de la
plante, puis en faisant de petites remontées avec les pouces, et ce en oubliant aucune
parcelle de son peton. Leila était aux anges, elle avait attendue ça depuis si
longtemps, elle ressentait toutes ces sensations quelle avait voulue retrouver depuis
la dernière fois. Il passa presque dix minutes sur son pied droit avant dentamer le
gauche.
_ Ca va ? lui demanda-t-il.
_ Ouais, cest parfait.
Il recommença les mêmes manipulations sur son pied gauche pendant 10 minutes à peu
près également, avant de prendre les deux en même temps. Cétait lextase. Après 10
nouvelles minutes, et après avoir fait faire plusieurs tours de droite à gauche et de
gauche à droite à ses deux petons, il commença à les lâcher avec une pointe de
tristesse dans son regard, visiblement déçu que cela se termine. « Ne sois pas si
triste, pensa-t-elle, si tu savais ce qui tattend maintenant, tu me sauterais déjà
dessus. »
_ Eh ben voila. dit-il. Travail terminé. Tu as aimé ?
_ Oui, cétait génial. dit-elle tout sourire. Mais je ne pense pas que tu ais encore
fini, tu as oublié quelque chose.
_ Ah oui ? sétonna-t-il. Quoi donc ?
_ Le plus important.
Elle leva alors son pied droit en direction de son visage, et le cambra pour que ses
orteils soient au plus près de sa bouche.
_ Lèche moi les pieds ! ordonna-t-elle.
Son ami eu alors soudain le regard interdit, comme si il nétait pas bien sur davoir
entendu.
_ Pardon ?
_ Tu as très bien compris. Lèche-moi les pieds ! Je sais que tattend ça depuis
longtemps, et moi aussi dailleurs ! Alors lèche !
Il regarda alternativement Leila et son pied droit qui attendait avec impatience. Et
soudain, sans plus se faire prier, il se jeta dessus, bouche grande ouverte, et
commença à sucer son gros orteil comme si sa vie en dépendait.
_ Oh oui ! Comme ça ! Vas-y, suce ! sexclama-t-elle soudain. Plus fort
Encore plus
fort ! Vas-y, lèche bien !
Elle ne se reconnaissait plus. Elle qui dhabitude était assez timide et pas
autoritaire, se laissait complètement aller à ce délire fétichiste. Il passa alors aux
autres doigts de pied, les prenant en bouche, passant sa langue sur chacun dentres
eux, et entre chacun deux. Les bruits de suçons emplissaient la pièce. Et elle aimait
ça ! Elle ressentait comme des chatouillements qui lui procuraient un plaisir quelle
naurait jamais pu imaginer. Comment pouvait-on éprouver autant de bien rien quen se
faisant lécher les pieds ? Elle lignorait, mais ce quelle savait, cest que cette
expérience la comblait.
_ Continue, cest trop bon ! Tes encore plus doué que pour les massages dis donc ! Tu
les aimes mes pieds hein ? Quand on était au lycée tu les reluquais bien, tu bandais
hein ? Ca te fait quoi de me lécher les pieds dis voir ?
_ Si tu savais ! lui dit-il entre deux léchages. Ils me rendent fou. Ils sont si
parfaits, si doux au toucher, si bien galbés, et tes ongles sont magnifiques.
_ Tu me flattes. Ne tarrête surtout pas ! Je veux te voir me lécher les doigts de
pieds jusquà en épuiser ta salive ! lui ordonna-t-elle en retirant son pied droit et
en tendant le gauche.
Il recommença alors avec le gauche, accélérant ou ralentissant de temps à autre, la
léchant parfois comme un fou puis devenant délicat. Leila avait parfois de petits
soubresauts, elle commençait aussi à pousser de petits soupirs daise. Cétait
tellement bon !
_ Suce mes orteils. Suce-les à fond. Jadore. lui dit-elle doucement, sur un ton
coquin. Tu es doué, je pensais pas que ça me ferait autant deffet
Han ! elle
sursauta quand il lui goba de nouveau le gros orteil. Oh oui, là cest bien, mmmh.
Attend.
Elle retira son pied gauche de sa bouche, et lui tendit de nouveau le droit.
_ Tu fais un boulot formidable avec mes doigts de pieds, mais voyons ce que ça va
donner avec ma plante. Lui annonça-t-elle en tendant son pied de telle manière que sa
plante lui était toute offerte.
Il nhésita pas une seconde et commença à lui embrasser doucement. Puis au fur et à
mesure les baisers se firent plus appuyé, et finalement, il sortit sa langue et lui
lécha la plante du pied de haut en bas, encore et encore, avec de plus en plus de
frénésie. Leila sursautait presque à chaque instant. Il sapprocha pour coller son
visage un plus près encore. Mais Leila commençait à avoir mal à la jambe à force de la
tenir en lair, et elle se dit quelle allait bientôt lâcher. Mais comme si il avait
lu dans ses pensées, ou alors peut-être avait-il ressentit quelle flanchait, il lui
prit la cheville et la soutint. De cette façon, il stabilisait un peu plus son pied.
Il léchait sa plante en noubliant aucune parcelle.
_ Oui ! Oui ! Tu me lèche fort ! Si fort ! Ce que cest bon putain ! Cest le pied !
lâcha-t-elle. Continue ! Tes mon esclave maintenant ! Mon esclave soumis ! Et taimes
ça en plus, quest ce que tu bandes !
En effet, elle pouvait voir que lengin de son ami semblait être plus à létroit dans
son jean que jamais. Elle retira le droit pour lui offrir le gauche, avec lequel il
recommença les mêmes manipulations. La salive qui couvrait peu à peu son pied lui
permettait de faire glisser sa langue de plus en plus facilement. Il descendait,
remontait, lui tourner le pied de gauche à droite, ce qui lui permettait de lécher
partout.
_ Lèche ! Lèche ! Je veux sentir ta langue ! Oui ! Comme ça ! Comme ça je la sens bien
! Ta salive partout sur mon pied, cest génial ! Dis-moi, quel gout y ont mes pieds ?
Cest bon ?
_ Cest délicieux
Je peux même pas te dire comme jaime. Je voudrais les bouffer
toute la journée.
_ Ca peut sarranger. Lui dit-elle en souriant. Ha ! Ha ! Mmmmh ! Jy crois pas
encore. Tu es là, et tu me bouffe les pieds ! Tes soumis devant mes pieds. Ha ! Cest
comme un rêve. Je suis ta reine ! Tu te prosterne devant mes pieds ! Lèche esclave !
Il redoubla encore dardeur, visiblement excité par le fait de se savoir dominé. Il
nattendit même pas quelle lui tende son autre pied, il le lui prit lui-même et
commença à les lécher tout les deux en mêmes temps en les collant lun contre lautre.
Ses petons étaient couverts de salive du talon jusquaux orteils. Il lui goba soudain
ses deux gros orteils en même temps, ce qui eu pour effet de faire sursauter la jeune
maghrébine qui se laissait complètement aller.
_ Haaaaaaaa ! Cest bon ! Cest bon ! Les deux gros doigts en même temps cest sublime
! Cest si relaxant, et excitant surtout. Regarde-moi dans les yeux, je veux voir ton
regard pendant que tu me lèche.
Il leva les yeux vers elle pendant quil léchait de nouveau avec passion ses plantes.
_Cest ça. Bien ! Cest ce regard là que jaime ! Tes dominé par une femme plus
petite que toi, et ça texcite hein ? Et cest moi ta maitresse ! Alors que tu es plus
grand et plus fort que moi. Mes pieds sont plus forts que toi ! Jaurais jamais cru
connaitre ça. Lèche-moi encore ! Suce mes doigts de pieds ! Tauras une récompense si
tu fais ça bien. Haaaa !
A peine avait-elle terminée sa phrase quelle se contracta, il venait de lui mordiller
le talon ! Une résistance ? Ou une autre façon de faire ?
_Haa ! Tu essayes de me combattre ? Mais tu ne peux pas gagner. Mmh ! Mmh ! Mmmmh !
Très bien
On va passer à la phase finale.
_ Comment ça ? Quelle phase finale ?
_ Tu vas comprendre.
Elle retira ses pieds de son visage et vint sapprocher de lui. Elle lui palpa alors
lentrejambe.
_ On ne va pas laisser ça comme ça nest-ce pas ? Mes pieds peuvent être utile à autre
chose quà marcher tu sais.
Elle commença alors à déboutonner le jean de son ami. Mais après le deuxième bouton il
lui prit la main et la stoppa.
_ Ca, je peux le faire moi-même je crois.
_ Oh, tu prends les devants. constata-t-elle en souriant. Très bien, je te laisse
faire.
Elle se recula et le laissa finir de déboutonner les derniers boutons. Il enleva son
jean et le jeta par terre. Il lui restait encore son caleçon et Leila pouvait voir
déjà que le travail accomplit jusquici avait porté ses fruits. Il retira donc la
dernière barrière de tissus et pu laisser son engin à lair libre et au garde à vous.
Cétait un bel instrument dau moins 17 centimètres quil décalotta sans plus
attendre. Leila le fixait avec intérêt.
_ Maintenant voyons voir si tu travaille aussi bien que moi, la provoqua-t-il en
sasseyant jambes écartées en face delle.
_ Hum, je pense que tu ferais mieux de ne pas parler trop vite. Tu risque de ne pas
assez profiter, se moqua-t-elle.
Elle avança son pied droit vers son pénis et le plaqua contre son ventre avec sa
plante. Elle commença doucement à aller de bas en haut et de haut en bas tout en
accentuant la pression petit à petit. Au bout de 5 minutes, son ami était déjà en
train de se dandiner de plaisir.
_ Haa ! Ouais ! La vache
cest super ! En plus avec ton pied mouillé ça glisse super
bien !
_ Taimes, hein ? Tu te rends compte que jécrase ta bite sous mon pied, et toi ten
redemande ! Oh cest trop bien davoir un homme à ses pieds ! Et comme ça, taimes ?
Elle cala le pénis de son ami entre son gros doigt de pied et son deuxième orteil,
cétait moins facile pour monter et descendre étant donné quil avait du mal à rester
en place, mais ça produisait son petit effet. Elle continua comme ça 2-3 minutes.
_ Ooooh cest trop bon ! Stop ! Je sens que je vais jouir si tu continue comme ça !
_ Ah oui ? Comme cest intéressant. Eh bien alors on va finir en beauté.
Elle décoinça lengin dentre ses deux doigts de pied, puis plia les deux jambes sur
le coté et approcha ses deux voutes plantaires de telle manière quelle entourait le
membre tendu des deux cotés. Elle recommença ses va et viens incessants, de plus en
plus rapidement au fur et à mesure que son ami poussait des soupirs de plus en plus
forts. Au bout de quelques minutes, il commençait à être à bout.
_ Haa ! Haa ! Haa ! Haa ! Leila ! Jen peux plus ! Je vais jouir !
_ Vas-y ! Jouis tout ce que tu as ! Jouis grâce à mes pieds ! Cest mes pieds
recouverts de ta salive qui vont te faire jouir !
_ Ha ! Ha ! Ha ! Haaaaa ! Ca vient !
Soudain surgit un long jet de liquide blanc qui vint sécraser sur les jambes de
Leila. Suivit dun autre, et encore un autre. Ce nest pas moins de 5 jets qui
giclèrent du pénis de son ami pour atterrir à différents endroits. Les 2 amis étaient
fatigués mais on lisait la satisfaction dans leurs regards.
_ Visiblement tas aimé. dit Leila, moqueuse.
_ Cétait génial. Jespère quil y en aura dautres des comme ça, avoua-t-il tout en
se saisissant de nouveaux des pieds de la jeune maghrébine pour les lécher
délicatement.
_ Ca peut se faire. Mais la prochaine fois mon petit esclave, il faudra me faire jouir
aussi. lui dit-elle avec un clin dil.
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