Ma Découverte Du Trio Avec Xavier Et Nina

Voici une nouvelle histoire vraie. Bien que celle-ci soit entièrement sortie de mon
imagination, je m’autorise à la dire vraie puisqu’elle me correspond tout à fait et
que je pourrais peut-être la réaliser avec vous si vous correspondez plus ou moins à
mes personnages et que nous n’habitez pas trop loin de Clisson et, surtout, si votre
conception du libertinage s’accorde avec la mienne.
J’ai 55 ans, encore en bon état de conservation et toujours très attiré par le sexe,
contrairement à mon épouse. Nous baisons encore de temps en temps, mais un peu à la
sauvette, avant de nous endormir et, le plus souvent, trop traditionnellement à mon
goût.
Surtout, cela fait très longtemps que j’ai envie de découvrir le libertinage, ce que
mon épouse refuse obstinément. Pourtant, je suis ouvert. Je lui ai proposé de
commencer par accueillir un autre mec qui m’aiderait à la faire jouir. Niet ! Ne
parlons pas d’inviter une autre femme. Elle prétend qu’elle serait trop jalouse de me
voir en toucher une autre et n’avoir aucune attirance homosexuelle. Un autre couple :
pas plus !
Je me suis inscrit sur un site Internet dans le but de rencontrer des gens, de
préférence un couple pour goûter enfin aux joies du libertinage, sans elle, vu son
refus obstiné.
Ne vous y trompez pas, je l’aime toujours et je suis persuadé que la réciproque est
aussi vraie, après plus de 30 ans de mariage. Je ne recherche en aucun cas une
relation suivie et refuserai toute habitude susceptible de m’éloigner d’elle. Je veux
seulement découvrir autre chose.
Les couples qui veulent un trio avec un autre homme recherchent habituellement un
jeune, même quand ils ont mon âge. Il y a cependant des exceptions. C’est ainsi que
j’ai fait la connaissance de Xavier et Nina, quarante cinq ans, ni gros ni velus, et
dont la recherche semblait assez proche de la mienne.


Nous avons fait un premier échange de message très clair. Nous savions ce que nous
voulions : baiser à trois, avec comme exigence : douceur et respect mutuel. Étant tout
de suite d’accord sur ces points essentiels, nous avons échangé quelques photos tout à
fait conventionnelles et avons tout de suite convenu de nous rencontrer très
rapidement pour faire connaissance. Par chance, ils habitaient à vingt kilomètres de
chez moi.
Nous nous sommes donné rendez-vous dans un café. Nous nous sommes reconnus aisément,
au vu des photos transmises. Nous avons échangé quelques banalités en prenant un verre
et sommes sortis marcher dans un endroit tranquille pour faire plus ample connaissance
en toute discrétion. Le contact a tout de suite té très cordial. Nous avons parlé de
choses et d’autres, mais aussi, bien évidemment, de sexe.
Xavier m’a dit que, pour eux, c’était la première fois et qu’ils recherchaient un
homme doux qui saurait les aider à franchir le pas mais qu’ils craignaient de tomber
sur un prédateur qui ne penserait qu’à tirer son coup sans rechercher le plaisir de
madame. Il avait très envie de voir sa femme baiser avec un autre devant lui et aussi
de lui apporter encore de plus de plaisir en conjuguant ses efforts à ceux de leur
partenaire d’occasion.
Nina, elle, avait très envie d’une vraie double pénétration. Ils avaient essayé
plusieurs fois avec un gode, la queue de Xavier dans sa chatte ou dans son cul et le
gode dans l’autre trou, mais cette solution les laissait sur leur faim et elle avait
vraiment envie, cette fois, de deux queues bien vivantes.
Ils m’ont alors demandé si j’accepterais de le faire avec eux. J’ai avoué que j’étais
très tenté d’accepter bien que mes disponibilités fussent rares mais que, ce soir,
s’ils étaient libres, je n’aurais pas de difficulté à me libérer, ma femme s’étant
absentée pour une semaine.

Ils ont échangé un regard et Nina a de suite rétorqué : Puisque c’est ainsi, nous
t’invitons à dîner, disons à 19h00 à la maison, ainsi ça nous laissera du temps pour
bien en profiter. J’ai répondu OK et ils m’ont communiqué leur adresse.
Je suis rentré chez moi tout guilleret. J’avais deux heures devant moi. J’ai donc mis
une bonne bouteille au frais. J’achèterais quelques fleurs en me rendant chez eux.
Avant de partir, j’ai pris une bonne douche. Je bandais rien qu’à l’idée de cette
soirée. J’ai mis une chemisette et un pantalon léger et en route.
Il était dix neuf heures tapantes quand je me suis garé devant chez eux. Visiblement,
j’étais attendu, car la porte s’est ouverte de suite. Xavier s’était aussi changé. Il
portait un pantalon de lin écru et une chemisette orange. Je lui ai offert la
bouteille et le bouquet à Nina qui m’attendait un peu en retrait.
Elle avait revêtu pour la circonstance une jupe et un chemisier assortis qui lui
allaient à merveille et qui mettait bien en valeur ses formes harmonieuses.
Visiblement, ses seins étaient libres de toute entrave et je les voyais onduler au
moindre mouvement, ses tétons pointaient sous le tissu léger.
Xavier a proposé un apéritif. J’ai dit OK, mais à condition que nous soyons modérés
sur l’alcool, voulant conserver toute ma lucidité pour nos ébats, mais aussi être en
état de conduire pour rentrer ensuite chez moi.
Nous avons devisé de choses et d’autres tout au long du repas. Peu à peu l’objet de
notre rencontre a fini par monopoliser la conversation. J’ai demandé à Nina pourquoi,
alors qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge et que ses seins bandés pointaient sous
le fin tissu et remuaient à chacun de ses mouvements, elle conservait son chemisier
aussi fermé, comme si elle voulait m’interdire de regarder sa poitrine.
Elle m’a regardé en rougissant, a regardé son mari avant de défaire les deux boutons
du haut.

J’aurais espéré d’avantage, mas je ne voulais pas la brusquer. Je l’ai plutôt
complimentée en lui disant que c’était mieux comme ça et que le si peu que
j’apercevais par l’échancrure me laissait à penser que ce qui restait caché devait
mériter le détour.
Elle a encore rougi. Son mari a compris mon invitation à offrir encore un peu plus à
ma vue des seins à peine entrevus. Il a encore défait deux boutons, mais sa main était
trop près de l’objet de nos désirs pour résister à la tentation de le caresser. Le
mouvement a fait sortir complètement le sein que sa main malaxait. Nina a protesté un
peu pour la forme.
- « Tu exagères, que va penser Jean-Paul en te voyant me peloter ainsi ?
- « Pas de problème, je vais seulement penser que c’est bien joli à regarder, un mari
qui caresse sa femme, d’autant que tu sembles plutôt trouver ça agréable »
- « Tu as raison, et d’ailleurs, nous sommes bien là pour ça, n’est-ce pas ? »
A la fin du repas elle me dit :
- « Commentas-tu trouvé le dessert ? »
- « Parfait, comme le reste, d’ailleurs. Merci pour cet excellent dîner »
- « Si tu en veux d’autre, c’est possible, il m’en reste un peu »
- « Non, merci. Par contre, je goûterais volontiers à un autre dessert »
- « Ah bon, tu veux un fruit ? »
- « Bonne idée, si le fruit que tu me proposes est un de ceux qui apparaissent dans
l’échancrure de ton chemisier »
Elle a encore rougi. En l’absence de protestation de sa part, je me suis levé
tranquillement, ai contourné la table pour me poster derrière elle. En me penchant un
peu par dessus son épaule, j’avais une vue plongeante sur une superbe poitrine, de
taille moyenne, mais bien ferme, dorée à souhait, aux larges aréoles un peu plus
foncées et dont les tétons gonflés d’excitation pointaient encore plus. J’ai avancé
une main pour soupeser un sein, pinçant le bout entre le pouce et l’index.
Elle
ondulait sous la caresse. Ensuite, j’ai fait glisser sur ses épaules le vêtement
importun pour le lui ôter et me suis posté à genoux à côté d’elle pour prendre en
bouche le dessert tant convoité. Que c’était bon. Je m’en suis délecté un moment,
tétant le bout, le faisant parfois rouler entre mes dents ou cherchant à faire entrer
le plus possible dans ma bouche.
Relevant la tête, j’ai observé que Xavier restait là, les bras ballants, à nous
regarder, comme tétanisé.
- « Alors, qu’en pense-tu ? Est-ce que ça te plait de voir une autre bouche que la
tienne sur le sein de ta femme ? »
Il a semblé comme s’éveiller d’un songe.
- « Heu . . . oui, continue, c’est super ! »
- « Je veux bien, mais ne crois-tu pas que si on s’y mettait tous les deux ça
pourrait être encore plus super pour elle ? »
Là-dessus, j’ai repris ma dégustation. Après une brève hésitation il s’est à son tour
agenouillé de l’autre côté de Nina et s’est appliqué sur l’autre sein. Nos main
n’étaient pas en reste pour flatter ce que notre bouche ne pouvait pas avaler.
Il n’a pas fallu longtemps de ce traitement pour qu’elle perde pied. Elle s’est raidie
brusquement et a eu quelques spasmes avant de retomber inerte contre le dossier de la
chaise. Nous nous sommes relevés tous les deux et admirions son visage béat. Quand
elle en a pris conscience, elle nous a remercié.
- « Je n’aurais jamais cru qu’on pouvait jouir autant rien qu’avec les seins ! A tous
les deux vous avez été super. Merci encore »
Elle s’est levée, nous a embrassés tour à tour puis, nous prenant par la main, nous a
entraînés vers la chambre. Nous nous sommes encore embrassés. Pendant ce temps-là,
Xavier et moi avons fini de la déshabiller. C’était vraiment une belle femme qui
devait mesurer environ 1,70 m, mince et élancée avec, tant pis si je me répète, une
superbe poitrine bien ferme, sans grosseur excessive. Intégralement bronzée, elle
était totalement épilée. Nue, elle était naturellement belle.
Je me suis positionné derrière elle, ma queue calée entre ses fesses, je l’ai enlacée
pour lui caresser les seins, cependant que nos bouches se joignaient, que nos langues
se mêlaient. Xavier s’est dévêtu avant de se positionner au sol, devant son épouse,
pour lui caresser les jambes, laissant ses doigts remonter vers son sexe. Elle a
écarté les jambes pour lui en faciliter l’accès.
Je les ai laissés pour me déshabiller à mon tour. Nina en a profité pour s’allonger
sur le dos. Xavier s’est positionné entre ses jambes pour lui brouter la chatte. Il
avait passé les bras par-dessous les cuisses et ses mains atteignaient les seins qu’il
malaxait avec douceur et fermeté à la fois. Voyant Nina bien occupée par en bas, je me
suis approché de son visage. Ma queue bien raide attirait son regard. Elle a aussitôt
tendu les mains pour s’en saisir. Elle l’a caressée quelques instants avant
d’approcher ses lèvres.
- « Hum, j’ai bien peur d’avoir quelque difficulté à faire entrer tout ça dans ma
bouche ! »
Effectivement, en ouvrant la bouche au maximum, elle peinait à faire entrer le gland.
Je n’ai pas la prétention d’en avoir une exceptionnelle. Sans doute avait-elle une
petite bouche, mais le fait est que, comme mon épouse, Nina ne pouvait pas y arriver.
J’étais déçu. J’aurais bien aimé une vraie pipe, mais tant pis. Elle s’est montrée
ingénieuse, jouant avec sa langue, d’abord en en dardant la pointe sur le méat, puis
léchant le gland et ensuite en enveloppant ma tige, faisant aller et venir ce fourreau
improvisé tout au long de ma pine.
Pendant ce temps, Xavier avait pénétré sa femme et je prenais plaisir à observer son
paf coulisser entre les lèvres glabres, luisantes de mouille. Nina haletait. Nous la
sentions proche de la jouissance et nous appliquions tous les deux pour l’accompagner
vers le plaisir.
A un moment, elle a lâché ma queue, ouvrant grand la bouche pour chercher sa
respiration et sa jouissance a explosé. Je lui caressais les seins et Xavier a fait
encore quelques va et vient. Dès qu’elle a repris conscience, il s’est retiré, ne
voulant pas jouir trop tôt. Il nous a proposé un verre. Nous avons donc fait une pause
jus de fruit avant de reprendre nos agréables occupations.
Quand nous sommes revenus dans la chambre, Nina m’a demandé de m’allonger sur le lit
avant de venir s’asseoir sur mon paf préalablement garni d’un préservatif, qu’elle a
fait coulisser en elle, d’abord tout doucement, puis de plus en plus vite, en me
fixant dans les yeux. Mes mains s’activaient sur ses seins mais la position ne
permettait pas à Xavier de participer.
Elle s’est soulevée, faisant ressortir ma queue. J’ai craint un moment qu’elle me
laisse sur ma faim, mais là n’était pas son intention. Elle a fait demi tour et est
revenue s’asseoir sur ma queue, présentant cette fois son anus. Elle devait avoir
l’habitude de se faire enculer puisque, après une brève indécision, mon membre a
glissé en elle jusqu’à la garde.
Elle s’est allongée sur moi. Je l’ai enlacée pour lui peloter les seins. Xavier est
d’abord venu se faire sucer. Ensuite, il est venu entre nos jambes pour lui faire
minette. Je la sentais se contracter sous le plaisir. Par moments, la bouche de Xavier
descendait un peu plus et parcourait la partie de ma bite qui ressortait du cul de
Nina à chacun de mes mouvements. Ca me faisait un bien énorme, mais je devais faire de
gros efforts pour détourner mon attention et ne pas lâcher la sauce aussi vite.
Xavier a ensuite présenté son vit à l’entrée de la chatte de son épouse qui l’a
empoigné pour se l’introduire elle-même. Quand il a poussé j’ai senti la pression de
son membre contre le mien à travers la paroi. Nina haletait de plus en plus et elle a
fini par laisser exploser sa jouissance. Les contractions occasionnées par son orgasme
ont eu raison de nous. Xavier a joui à son tour et je l’ai suivi instantanément.
Nous nous sommes désemboités. Nina nous a embrassés pour nous remercier de l’avoir si
bien fait jouir.
Xavier nous a à nouveau offert un verre pour nous désaltérer. Nous étions tous les
trois ravis de ces moments passés ensemble.
Nina avait beaucoup apprécié sa première vraie double pénétration.
J’avais, pour ma part, beaucoup apprécié leur douceur, leur écoute du plaisir de
l’autre. La queue de Xavier presque contre la mienne au travers de la mince paroi
était vraiment une nouveauté pour moi ainsi que le contact de sa langue sur ma tige.
Toutes ces nouveautés et le plaisir de faire l’amour avec des gens aussi agréables et
visiblement très amoureux l’un de l’autre, me donnait très envie de poursuivre dans la
voie du libertinage et je sentais naître en moi des envies nouvelles. Je ne suis pas
homo mais je sentais venir l’envie de découvrir aussi un peu le sexe masculin. Je
devenais peut-être ce qu’on appelle bi curieux.
Nous avons cependant décidé de ne pas renouveler l’expérience, pour ne pas créer
d’habitude. Ils ne voulaient pas prendre le risque de mettre leur couple en danger. De
mon côté, je suis marié, j’aime ma femme, et ne veux pas de tromperie systématique et
surtout pas d’amants attitrés. C’est elle que j’aime, même si j’apprécie de trouver de
temps en temps avec d’autres une forme de jouissance qu’elle refuse.
Malheureusement, depuis ce jour, je n’ai jamais rencontré un tel couple et je dois
trop souvent me contenter de la veuve poignet. Si vous vous reconnaissez un peu dans
la description de Nina et Xavier et que vous n’habitez pas trop loin de Clisson,
n’hésitez pas à me faire signe. Peut-être pourrions-nous partager ce type de plaisir
auquel je ne puis penser sans une certaine nostalgie et aussi le regret de ne pas
pouvoir le partager avec ma femme. Faites-moi part de vos désirs, de vos fantasmes que
j’aurai peut-être le plaisir de vous aider à réaliser pour votre plus grand plaisir et
le mien.

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