Avec Mon Pdg ( Suite)
Depuis 6 mois nous sommes amants. La PDG de ma société, Yvette a pris gout à la
sodomie. Je ne lencule pas toujours, elle sait ne pas demander. Un soir je lui offre
un gode, oh, tout simple, pour en avoir de plus complet, cest simple, elle peut en
acheter dans un magasin de mode réputé bien achalandé pour ce genre de produit. Nous
venons de faire un 69, nous avons joui presque ensemble. Mon sperme est parti dans son
estomac. Elle voudrai, comme chaque fois que je la caresse pour faire tomber son
désir. Quand je lui donne le gode, elle est satisfaite, enfin elle pourra se branler
devant moi ou seule. Elle nhésite pas un seul instant. Pour mieux voir je suis assis
en tailleur, la bite en berne, à hauteur de ses cuisses. Je regarde ce vagin où je
mets normalement ma semence, ce clitoris que je viens de sucer. Je contemple la
huitième merveille du monde: son sexe. Elle suce le gode comme elle me suçait tout à
lheure.
Enfin elle se décide, elle le tient à pleine main son futur amant. Yvette le passe
dabord sur son clitoris, quelle frôle à peine avant de venir sur son entrée secrète.
Très lentement elle se pénètre. Elle na pas eu besoin de mode demploi. Elle entre le
gode au plus profond de son ventre. Elle le laisse un moment en soupirant comme quand
cest ma queue qui est en elle.
Elle regarde létat de ma bite: elle commence à bander lentement. Cest le moment
quelle choisit pour se baiser devant moi. Sa main commence à aller plus vite: elle
ferme les yeux pour profiter de sa caresse. Elle ne peux pas voir létat de ma queue:
je bande maintenant comme un âne. Puis elle jouit dun seul coup, sans prévenir.
Pour une fois je peux voir les spasmes de sa jouissance autour dune bite. Cest
impressionnant de voir les contractions. Yvette enlève le gode pour se mettre en
levrette.
- Je vais me baiser, encules moi en même temps, pour voir ce que ça fait.
- Tu veux une double pénétration ?
- Oui, encules moi.
Je nai plus rien à dire, elle a encire de ma bite dans son anus, je ne vais pas la
décevoir puisque jaime la sodomise.
Elle est dans la bonne position, elle mouille son rectum avec sa cyprine, Je lenfile
rapidement. Quand mon pubis est contre ses fesses, dun seul coup elle entre le gode
dans son puits. Je le sens moi-même: elle commence à gémir bruyamment à croire quelle
va jouir immédiatement. Celui qui devrait jouir vite est bibi: son cul est plus étroit
que dhabitude.
Elle agite le gode à une vitesse supersonique. Jarrive à passer ma main sur son
clitoris, comme quand je lencule simplement. Il est dehors: je le caresse doucement
pour son propre plaisir. Elle a un orgasme inhabituel. Je reste dans son cul: elle
continue à se baiser. Je sens monter dans mon ventre larrivée de lorgasme. Je nai
pas le temps de le lui dire que je décharge tout mon sperme dans ses boyaux. Ma
jouissance entraine la sienne. Elle seffondre sur le lit.
Cette fois cest terminé: elle membrasse profondément , nos langues échangent un
dernier léchoulli.
Le lendemain au bureau, nous ne nous connaissons que comme de vieux camarades de
classes. Si les autres savaient ce que nous avons fait la nuit dernière
Comme tout le jours avant de partir, elle me passe un coup de fil: elle veut sortir
plus tôt pur une fois. Plus tôt pour elle, la PDG cest 17 heures.
Je lattends dans un bar à quelques centaines de mètres du bureau.
- Vite jai des achats à faire, accompagnes moi.
- Où veut tu aller ?
- Tu verra bien.
Je comprends enfin en entrant dans un magasin de vêtements chics. Nous allons au sous
sol à la recherche daccessoires sexuels. Le choix est si vaste que nous ne pouvons
nous décider.
dirige.
Excités nous la suivons, surtout que la fille est sexy, semble-t-il sans dessous. Sa
robe souvre sur ses seins assez souvent: je vois le moment où Yvette va lui sauter
dessus, elle si convenable. Létonnant est que la vendeuse sait faire larticle pour
ce quelle vend. Elle mime surtout les gestes pour se servir dun gode ou de boules de
geisha. Je commence même à bander, Yvette sen aperçoit, la vendeuse aussi
certainement quand elle nous propose doccuper un des cabines « dessayage » pour
tester un gode rabbit et un chapelet anal.
Dans la cabine Yvette est nue, elle peut se coucher sur une sorte de lit bas où je
pourrai prendre place aussi. Je préfère rester debout, même pour me branler, ce qui ne
tarde pas. Yvette écarte les jambes, elle est toute mouillée. Elle demande mon aide
pour entrer le chapelet. Lentement jentre le début qui se compose dun petite bille
qui entre dans lanus facilement en écartant à peine le cul. Il y a huit billes. La
plus grosse est presque comme ma bite. Je suis obligé de forcer un peu pour la faire
entrer. Jentre mon doigt dans le cul pour bien pousser la dernière. Yvette qui
gémissait pousse un grand « han » quand elle jouit.
Je suppose que la serveuse a du entendre son plaisir. Yvette me demande de lui mettre
ma queue dans la bouche. Elle garde les mains libres: elle en profite pour me prendre
à pleine main en me masturbant. Je vois ses yeux regarder ma pine. Elle la prend dans
la bouche. Je ne sais si sa façon de me lécher la bite est en rapport avec ce quelle
a dans le cul, elle manque me faire jouir deux ou trois fois.
Jarrive à me retenir, je suis occupé à autre chose, je sors les billes une après
lautre. Ce nest pas une opération très simple. Je tire le cordon lentement en
regardant bien son cul.
apparaitre un peu de plastique. Je tire toujours pour que je vois le rectum souvrir
complètement. Il se referme très vite quand la bille est dehors. Yvette jouit encore.
Je continu jusquà la dernière. Elle a joui à chaque fois. En guise dencouragement je
ne peux mempêcher de lui embrasser le cul.
Cest dit, elle prendra ce chapelet. Elle prend les boules de geisha pour les
introduire dans sa gaine. Je suis aux première loge pour voir entrer cet instrument:
elle sourit quand elle les a en elle. Elle se lève, prend ma bite pour me branler.
Elle me prend dans la bouche juste au moment où mon sperme sortait. Ainsi le sol ne
contient aucun trace de moi. Elle se rhabille, nous payons ce que nous devons: le
chapelet, les boule et un rabbit.
En rentrant chez nous, les boules de geisha font leurs uvres. Yvette est obligée de
sarrêter pour sappuyer contre moi, les jambes à peine ouverte pour jouir. Je la
tiens par la taille, en la serrant contre moi. Elle pose une main sur un sein pour le
caresser.
Heureusement que tout est prêt à la maison. Yvette fonce se mettre nue, revient vers
moi en tenant le gode, membrasse pour me remercier. Nous sommes corps à corps, elle a
vite fait de me déshabiller. Si elle prend ma bite cest simplement pour en calculer
la grosseur. Assise sur la divan, elle sort les boules de geisha. A chaque sortie elle
serre ses lèvre pour ne pas crier son plaisir.
- Mets moi le chapelet dans le cul.
- Jaurai bien aimé tenculer avant.
- Nous avons le temps pour ça, encules moi avec les billes.
Je recommence la pénétration: elle nen jouit pas encore: ce sera à la sortie. Jai
poussé la dernière pour quelle soit bien en profondeur dans ses boyaux.
Elle pose le gode sur son puits. Il me tarde de voir comment ça fonctionne. Il est
bien mis puisquelle arrive à mettre en route le vibreur qui fait tourner les billes
qui lui caresse lentrée de son vagin, une languette est sur le clitoris et lautre
sur le cul.
elle me suce encore.
Je regarde avec une excitation pas possible ce machin qui la fait jouir plusieurs fois
consécutives. A chaque orgasme elle moublie dans le bouche. Finalement je sort ma
queue pour me branler devant elle comme elle aime: chacun se donne du plaisir devant
lautre. Cest excitant est sacrément bon. Elle pousse un dernier cri, comme si elle
allait mourir. Cest bien la petite mort, elle reste la tête en arrière, perdue dans
son plaisir.
Je la laisse tranquille un instant: elle a jouit certainement une dizaine de fois
depuis la première fois dans le magasin. Quand elle reprend complètement conscience,
elle na pas oublié le chapelet. Je pensais les enlever. Elle passe sa main dans
lécartement des ses jambes, att le cordon. Delle-même elle sort très lentement
les billes qui la font toujours autant jouir.
- Maintenant finissons par une sodomie, jai besoin de ta queue.
- Je voudrai tenculer quand tu as les boules de geisha.
Pas contrariante, aujourdhui tournée vers le plaisir elle remet les boulles dans son
ventre. En levrette elle moffre ses fesses et son trou. Son cul est mouillé comme
jamais: elle est très excitée. Ma queue entre plus que facilement. Son cul est
pourtant plus étroit à cause des boules. Elle ne gémit pas, elle geint, elle trouve le
moyen de se branler alors que tout est occupé dans son entre jambe.
Son orgasme est extraordinaire et pour elle et pour moi: son anus se ferme presque
complètement pendant ses spasmes. Je jouis péniblement: elle jouit aussi avant de
sécrouler de fatigue. Elle reste sur le ventre immobile. Je lui enlève les boules de
geisha. Elle sendort comme un . Je la couvre dun simple plaid.
Je la laisse pour moccuper de tout autre chose, quand je reviens deux heures plus
tard, elle est partie pour la nuit.
Le lendemain samedi, cest moi qui vais faire les quelques courses: elle se repose.
Laprès midi elle est en pleine forme. Elle a envie de moi.
Nous baisons comme dhabitude, si on peut parler dhabitude entre nous. Elle repense à
lemployée du magasin:
- Je passerai bien une ou deux heures avec elle
- Avec moi?
- Non seulement entre filles, je ne lai jamais fait, ça doit être bon.
Quelques jours lus tard elle téléphone pour me dire quelle ne rentre pas de la nuit:
elle est avec la fille. Promis, juré, elle me racontera tout;
Je passe une mauvaise nuit, la savoir entre des bras féminin me donne la trique. Je
bande comme un adolescent. Je me branle plusieurs fois. Le lendemain nous ne nous
revoyons quau bureau: pas question daborder ce problème: elle me parait reposée.
Enfin le soir à la maison, nous sommes vite au lit:
- Je lai rencontré au magasin, je lui ai demandé si nous pouvions faire lamour
ensemble. Elle en a rit pour accepter. Nous étions chez elle quand nous nous sommes
embrasées. Sa langue était salée. Elle a descendu sa bouche dans mon cou. Elle a
commencé à me déshabiller. Sa bouche suivait: elle a embrassé mes deux seins, les a
sucé avant que sa langue vienne dans mon nombril. Cétait très excitant. Je mouillais
déjà beaucoup quand elle ma mise nue. Je ne savais plus quoi faire, elle la fait
pour moi. Nue elle aussi, je pouvais voir tout son corps sacrément sexy. Jai pu
rendre quelques caresses sur les seins. Elle était plus rapide que moi pour venir sur
ma chatte. Elle ma branlé, moins bien que toi, jai quand même jouit, surtout parce
que cétait une fille qui me masturbait. Jai pu moi aussi la branler: jai fait comme
pour moi. Elle na pas résisté.
Dans sa chambre nous nous sommes mises en 69 directement. Je pensais que ça viendrai
plus tard. Elle savait tout, même que cétait le bon moment. J étais sous elle: je
sentais ses seins sur moi, sa langue est vite venue sur mon bouton. Quest-ce quelle
suce bien, beaucoup mieux que toi. Elle a enfoncé sa langue dans mon con. Elle my a
fait tellement de bien que jai joui. Je lai faite jouir aussi de la même façon. Je
lai surprise en entrant un doigt dans son cul. Quand jai commencé les vas et viens
elle a joui. Alors elle ma mis un doigt aussi. Elle la remplacé par sa langue: la
vache ma faite jouir avec.
Nous nous sommes endormies bien serrées. Elle sest réveillée la première: elle ma
embrassé pour continuer à me faire lamour. Cette fois elle ma laissé sur le dos,
elle ma branlé encore avant denfoncer deux doigts dans le con. Elle les a fait aller
et venir comme si cétait une bite. Même si cétait bien moins bien que ta queue elle
ma faire jouir. Je le lui ai rendu sans me gêner. Je savais quil fallait que je
parte pour aller travailler.
Et me voilà, apprentie lesbienne, bien que jai voulu faire une expérience, positive,
mais sans lendemain. Je préfère baiser avec toi quavec une autre femme. Si tu avais
été là, peut être que jaurais accepter de recommencer.
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