La Feria De Bayonne
"Ah la feria de Bayonne ! De la boisson, des filles, et des occasions de s'envoyer en
l'air à tous les coins de rue !"
C'est en partie à cause de ces 3 raisons que Marien, un très bon pote de la Fac, et
moi nous sommes loués un petit appart dans le Sud Ouest pour cet été. Âgés dans la
vingtaine, nous avions tous les deux envie de quitter notre banlieue Toulonnaise pour
nous offrir un moment de détente après une première année de médecine plus que
difficile, et en plus l'idée de partir avec nos parents ne nous tentait plus du tout.
Marien avait un oncle qui possédait un 3 pièces dans le quartier Saint Esprit, et il
avait gentiment accepté de nous le louer à bas prix durant le temps de la feria. Après
en avoir discuté toute l'année et organisé notre voyage, le projet se concrétisait
enfin !
Nous arrivons donc à Bayonne avec ma voiture et nous nous installons tranquillement
dans l'appartement. Dehors, il fait un soleil radieux :
"Et tu vas voir, s'il fait encore beau comme ça les 3 prochains jours, la fête va
être plus que bonne !, me lance Marien pendant qu'il range sa valise, lui qui a déjà
fait quelques ferias, " et si en plus il y a de la bonne chaire, je te dis qu'on a pas
fini de s'éclater mon gars !"
Il sort 2 paquets de capotes XXL de son sac "Je compte bien toutes les utiliser !"
renchérit il. Je lui sourie d'un air railleur; il est vrai que, pratiquant tous les
deux le rugby et ayant donc tous les deux des corps assez musclés, nous avons pas mal
de succès auprès des filles, mais c'est Marien qui s'en vante le plus. Après avoir
tout déballé et fait quelques courses, notamment pour acheter la chemise et le béret
basque indispensables pour la feria, nous décidons d'aller faire un tour dans le Grand
Bayonne, le quartier du centre ville très sympa en soirée. Après un rapide petit
repérage des bars pour le lendemain, nous rentrons à l'appart et nous nous écroulons
de fatigue sur nos lits, ne sachant pas que la soirée du lendemain allait être encore
plus harassante, mais surtout beaucoup plus chaude et torride qu'aujourd'hui.
Le lendemain, c'est le jour de fête ! À peine sommes nous sortis de notre logement que
déjà une foule en rouge et blanc s'enfile dans les rues du Saint Esprit :
"Allez, ramène toi !" me crie Marien de l'autre côté de la rue. Tous deux vêtus du
béret et du foulard rouge, une chemise blanche sur le dos, nous sortons de la maison
et nous nous mêlons à la foule de gens dans les rues. Nous atteignons finalement le
Grand Bayonne 30 min plus tard.
"Une petite bière, ça te dis ?" je lance à Marien
- Ouais pourquoi pas !
Nous nous rendons donc à un petit bar monté pour l'occasion, où nous commandons nos
boissons à une petite serveuse très mignonne :
"T'as vu comme elle est gaulée la serveuse !" s'exclame mon pote brun aux yeux bleus.
Et c'est vrai qu'elle est sacrément bien faite cette fille ! Une poitrine à mordiller
toute la nuit et des fesses à faire rougir de claquements bassin contre bassin !
Habillée d'une mini jupe très courte et d'un débardeur blanc, la brune aux yeux dorés
laisse même entrevoir la ficelle d'un string rose fluo lorsqu'elle se baisse pour
attr des bouteilles sous le comptoir.
"Elle, elle est pour moi" dit Marien d'un ton décidé.
Nous entreprenons donc de faire sa connaissance , et découvrons que Laura (c'est son
prénom) est une fille du coin, étudiante en kinésie et qui désir se faire un peu
d'argent pour pouvoir faire la fête. Après avoir vraiment sympathisé, nous nous sommes
mis d'accord pour nous retrouver devant l'église le soir, vu qu'elle ne travaillait
que jusqu'en fin d'après midi.
Après une bonne douche prise vite fait à 2 et emplis d'excitation, nous rejoignons
Laura. La foule est suante et chaude : on commence à danser, puis on se rapproche,
tellement le monde présent sur la place nous compacte. Nos 2 corps de jeunes hommes se
frottent contre la jeune fille, qui se trémousse entre nous.
d'érection sous le short de Marien, et mon engin commence également à grandir au
contact des tissus entre les belles fesses rondes de Laura et mon entrejambe. Des
regards échangés en dansant révèlent bien comment nous contons tous terminer la
soirée. Ses yeux sont magnifiques...
La température est montée d'un cran, et Marien et moi proposons à Laura de venir
prendre un autre verre à notre appart :
- Avec plaisir ... répond-elle avec un soupçon de désir dans la voix.
Nous nous regardons brièvement avec mon pote, un sourire en coin, et lui indiquons la
route.
À peine entrés dans le couloir de l'appartement, Marien s'exclaffe, affolé :
"Oh putain !! Mon portefeuille est plus dans ma poche ! J'ai du l'avoir oublié sur le
comptoir en payant les tequilas, j'y retourne vite !"
Il claque la porte derrière lui, nous laissant tous les deux, Laura et moi.
"Il ne reviendra pas avant un bon bout de temps..." je pense " Désolé Marien, mais je
crois qu'elle est pour moi !"
Je propose un verre à Laura, qu'elle accepte. Je commence à lui parler du monde qu'il
y a la feria, mais elle m'interrompt :
"Bon, écoute Thomas, tu sais autant que moi qu'on est pas là pour parler de la pluie
et du beau temps."
Elle se rapproche de moi jusqu'à ce que nos bustes se collent, et me chuchote à
l'oreille : " Et si on commençait ?"
Elle me pousse sur le canapé, s'assoit sur mes cuisses face à moi, et me roule une
grosse pelle. Un peu surpris mais assuré, je la caresse dans le dos, passant ma main
sous son T-shirt et dégrafant son soutien gorge. Elle me mordille les lèvres et ma
langue s'entremêle à la sienne. Je lui retire son haut et découvre une belle poitrine
ferme et généreuse, que je m'empresse d'embrasser, de mordiller, de sucer. Elle
m'arrache ma chemise tellement elle est excitée, propulsant les boutons partout dans
la pièce.
lampadaire qui s'infiltre par la fenêtre du salon. Elle titille mes tétons avec ses
pouces, et commence à agiter son bassin sur mon entrejambe : le contact tissus contre
tissus me fait bander comme jamais. Je lui enlève son bas et elle finit de retirer ma
chemise. Elle me fait allonger sur le dos sur le sofa, et me retire rapidement mon
short, me laissant en boxer. La bosse qui s'est formée à l'air de la satisfaire. Laura
me caresse les jambes et les cuisses couvertes de poils blonds, et s'allonge sur moi,
sa poitrine contre mon torse. Nos sueurs commencent à se mélanger, et nos curs
battent à l'unisson. Nous nous embrassons fougueusement, et elle att son shoot de
vodka en tendant son bras droit. Elle se relève, et verse petit à petit l'alcool sur
mon torse musclé. La liqueur se répand sur mon ventre, remplissant mon nombril, et
atteint mon boxer, le détrempant complètement et imbibant ma verge et mon pubis par la
même occasion. Laura me lèche, aspire le liquide de mon nombril, et me donne des
frissons et des sensations encore jamais connues. Mon pénis commence à me faire mal
tellement il se tend sous mon boxer. La fille commence maintenant à s'occuper de mon
entrejambe, toujours recouvert par mon sous-vêtement. Elle me mord le sexe à travers
la toile, ce qui a pour conséquence de me faire hurler de plaisir. Elle me retire mon
dernier habit, laissant découvrir une érection d'une vingtaine de centimètres : je
n'avais encore jamais vu mon sexe aussi grand et dur que ça.
"On va bien s'amuser !" lance Laura avant de poser ses lèvres sur mon gland
découvert.
Sa bouche englobe progressivement et lentement ma verge épaisse et droite. Je sens la
gorge de Laura butant sur mon gland alors qu'elle a environ 3cm de mon pubis et que
quelques poils remontant de la base atteignent ses lèvres pulpeuses.
alors ses va-et-vients sur mon pénis, remontant et descendant à chaque fois la
longueur maximale qu'elle puisse retenir dans sa bouche, sa langue suçant et dégustant
chaque centimètres carrés de cette longueur. Elle me titille le frein du bout de sa
langue et commence à me branler en même temps qu'elle me suce : je suis au paradis !
J'essaye de me retenir le plus longtemps possible, m'agitant et lâchant des râles
toutes les secondes. Mais la sensation divine est trop forte et je lui fais signe que
je vais lâcher. Mais elle continue plus vite encore, et lorsque je ne peux plus tenir,
elle avale les jets de semence que je lui offre. Sa bouche se retire de mon sexe et
elle lèche le sperme restant qui coule le long de la verge débandée.
"Hmm... Ton sperme est delicieux" me dit-elle.
Nos corps sont en sueurs, est une odeur chaude de fauves et d'alcool a rempli la
pièce.
Mon pénis ne tarde pas à revenir à sa forme précédente lorsque Laura se met à aspirer
les gouttes de sperme et d'alcool imbibées dans mes poils pubiens. Sa langue s'attarde
sur mon pubis et le passe de long en large, aspirant délicatement le nectar formé par
les deux liqueurs.
Je me redresse et l'embrasse, goûtant par la même occasion au breuvage qu'elle venait
d'avaler. Je la fais mettre sur le dos, allongée et les cuisses en l'air, et je lui
enlève son string fluo : une magnifique toison bien rasée en ticket s'offre à moi. Je
commence à lui faire un cunnilingus comme jamais je n'avais fais auparavant. Je lui
lèche les lèvres, dégustant le jus provenant de son con. Elle me caresse les cheveux,
et je parviens à la faire jouir en titillant son clitoris tout en lui enfonçant
délicatement mon index dans son vagin.
Je me relève et regarde autour de moi : mon corps collant contre celui de ma
partenaire me donne des frissons. J'att furtivement la boite de capotes XXL de
Marien et en prends une. Je commence à la mettre et découvre avec satisfaction que
celle ci me moule bien. Laura s'est mise à quatre pattes sur le canapé, et me
regarde, mordant ses lèvres et trépignante d'envie. Je lui rends son regard et crache
dans mes mains plusieurs fois pour lubrifier mon engin. La bave coule sur le bas du
dos de Laura et glisse sur sa raie. Je m'approche des fesses de Laura et frotte mon
pénis sur sa raie, effectuant des va-et-vients pour lubrifier à son tour sa rondelle
et l'entrée du vagin. Elle gémit doucement, son cul pointé vers moi, sa poitrine et sa
tête calées sur un coussin du canapé. Je décide de commencer par visiter l'orifice
habituel, et me présente devant le trou convoité. Je pénètre lentement mon tronc,
épais et dur grâce à l'excitation occasionnée, commençant par le gland, qui passe
facilement. Puis tout le reste arrive et s'enfonce plus profondément encore pour
explorer le territoire inconnu. Son vagin est assez étroit mais j'arrive tout de même
à m'introduire jusqu'au bout en elle. Dès que mon bassin s'emboite complètement dans
le sien, j'entreprends de prendre ses deux fesses rebondies à deux mains et de les
faire bouger en un mouvement circulaire. Toujours plantée à fond en elle, mes poils
pubiens frottent sur son boule, mes couilles humides tapent l'intérieur de ses
cuisses. Elle gémit de plus en plus fort, hurle, émet des râles de plaisir, quand
soudain, un claquement de porte se fait entendre.
"C'est bon, en fait mon portefeuille était resté dans mon..."
Marien s'arrête net, interloqué et surpris par la scène qu'il est en train de voir.
Laura et moi regardons fixement le jeune homme : la fille ne paraît pas le moins du
monde gêné, moi si, et même beaucoup. Je suis à genou, à demi introduit dans une fille
que je connais que depuis le matin même, et mon pote est en train de regarder la
scène.
Mais Marien continue :
"Ah, bah je vois que vous n'avez pas perdu de temps..."
Il pose son portefeuille sur la table, à côté de la bouteille de vodka dont il en
prend une gorgée, et dégrafe sa chemise, dévoilant sa musculature digne d'un dieu,
ainsi que son abondante pilosité torsal. Tout en enlevant ses habits un par un, il
lance :
"Vous ne m'avez même pas attendu, espèce de coquins ! J'espère qu'on va rattr ce
temps perdu... "
L'atmosphère se détend et désormais le slip de Marien constitue son seul vêtement.
J'observe le jeune homme s'approcher de Laura : celle-ci lui abaisse délicatement son
boxer, découvrant ainsi une longue queue circoncise d'environ 15 cm, entourée de poils
brun et pas encore en érection. Laura lui la prend à pleine main et l'enfourne dans sa
bouche, ce qui provoque chez Marien un énorme spasme musculaire. J'avais déjà fait un
plan à trois avec deux amies, mais la fellation et le doitage avaient été les limites.
Pendant que mon pote se fait pomper, je continue mes aller retours dans le vagin de ma
partenaire.
Je vois que la bite de Marien est désormais gigantesque, un bon 25 cm à mon avis, mais
cela ne me surprends pas vu l'excitation et l'expérience de Laura. De plus, j'avais
déjà vu la verge de Marien dans cet état là, lorsque l'ambiance dans les vestiaires du
rugby dégénère après une victoire et qu'une biscotte se place au milieu des joueurs ;)
...(Mais cela est une autre histoire)
Laura traîne ses mains partout sur le corps déjà bien poilu de mon ami. Nos cris de
plaisir s'entremêlent et ne fait que rendre le moment plus hot. Après un moment dans
cette position, Marien att un préservatif de la boite, et retire l'emballage.
Laura le prend, pose délicatement l'anneau sur le bout du gland et le déroule avec sa
bouche en enveloppant le latex de ses lèvres du haut jusqu'à l'entrejambe poilue de
mon pote. Ce dernier se met debout et fait signe à l'étudiante de se relever elle
aussi. Elle s'exécute, et se retire donc de moi. Marien se rapproche d'elle : leurs
deux corps nus sont collés l'un à l'autre. Les lèvres de Laura touchent la courte
barbe et la bouche de Marien, et ils se gallochent passionnément. Les deux jeunes gens
s'étreignent avec force, faisant ressortir leurs muscles et toucher les sexes
frétillants de bonheur. Marien dessert son étreinte pour se baisser légèrement et
attr les genoux de Laura, qu'il ramène à la hauteur de ses côtes : la fille est
désormais en l'air, ses mains entourant le cou et ses jambes entourant le dos de son
partenaire. Marien relâche légèrement Laura et celle ci s'encastre parfaitement sur
l'engin long et très épais de mon meilleur ami. De petits mouvements de genoux de la
part du garçon engendrent les ébats des deux personnes. Ne pouvant plus me retenir
devant cette scène presque bestiale, je vais dans la cuisine et ramène une bouteille
d'huile végétale. Je m'en verse un peu sur les doigts et me dirige vers le côté dos de
Laura. Je lui crème l'anus d'huile et positionne mes mains sur ses cuisses, près des
bras de Marien, et lui enfonce d'un seul coup mon pénis dans son derrière. Elle hurle,
de douleur, de plaisir, je ne sais pas, mais c'est divin !
On se regarde avec Marien, lui en train d'embrasser Laura, moi l'embrassant dans le
dos. Nos yeux légèrement fermés et nos bouches ouvertes traduisent l'extase ressentie,
nos corps suants emmêlés les uns aux autres et nos cris sont les signes d'une orgie
mémorable.
Alors que les yeux bleus de Marien me fixent toujours, soudainement, le jeune homme se
penche et m'embrasse fougueusement. Sa langue sort et entre dans ma bouche, se mêle à
ma salive et sa barbe me pique le menton. Curieusement, je me laisse faire : je me
pensais complètement hétéro, comme Marien, mais l'euphorie de la situation rend les
choses plus faciles à réaliser, plus faciles à entreprendre. Les baisers de Marien me
paraissent même agréables, et désormais c'est moi qui l'embrasse. Je sens même ma bite
se raidir encore plus dans le cul de Laura. Après une bonne quinzaine de minutes comme
ça, Marien arrête de me galocher et dépose Laura au sol. Elle s'effondre sur le ventre
sur le canapé, et moi pardessus. Je la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus
intensément en prenant appui sur le canapé, et elle à l'air d'aimer ça vu les
hurlements qu'elle pousse.
"Putain, mais elle va réveiller tout le quartier !" je lance à Marien, mais celui ci
ne répond pas. Je ne sais pas ce qu'il fait, mais je m'en fous : je suis trop occupé à
satisfaire la serveuse.
Soudain, je sens un liquide froid sur mon anus, et quelque chose me caresse la raie
de long en large. Je tourne la tête : Marien est là, la bouteille d'huile dans une
main et l'autre en train de m'enduire le cul.
"Quoi, mais attends..." dis-je d'une voix faible, tellement essoufflé par mes va et
vients dans la demoiselle, qui continue de jouir. Mon pote s'enduit désormais son
monstre de 25cm d'huile et se couche sur moi : les poils recouvrant ses jambes, son
pubis et son torse se collent à moi, et je sens ses pecs et ses abdos agglutinés à mon
dos. Son sexe bandé comme un taureau et dur comme du fer glisse entre mes fesses, le
tronc pénétrant très légèrement dans la raie. C'est la première fois que je ressens de
telles sensations, une verge en érection me toucher. Marien monte ses fesses et
positionne son engin à l'entrée de la fente, puis avance très lentement en moi; je me
laisse faire. Son pénis s'introduit facilement grâce à l'huile, mais la longueur et
l'épaisseur du morceau m'arrachent tout de même des cris de douleurs, bientôt
transformés en cris de plaisir. Finalement, complètement en moi, son pubis imbriqué
dans mes reins, il s'écrie, en se tendant et s'étirant de tout son long :
"Aah !!! Depuis le temps que j'attends ça !"
Cela me surprend, et Laura qui comprend la scène se met à gémir de plus en plus fort,
excité davantage parce qui se passe.
Nous sommes 3 l'un sur l'autre, et je ne bouge plus, trop submergé par des sensations
fortes et multiples. Je ressens ce que Laura avait du ressentir quelques minutes
auparavant, et cela me parait étrange.
C'est Marien qui, par ses coups de hanches et ses cris, nous fait tous bouger. Mes
mains sont désormais posées sur les fesses de Marien couvertes de petits poils bruns,
l'encourageant à me pénétrer plus intensément encore. Nous sommes reliés par nos corps
qui se frottent, s'émoustillent, se mélangent et fusionnent pour ne former qu'un.
Après seulement quelques secondes, je ne tiens plus, et me déverse dans Laura, en
hurlant un râle de plaisir, en même temps que la jeune fille. Mon anus se crispe, et
dans un dernier coup de bassin, c'est au tour de Marien de se déverser en moi. Je sens
de multiples jets de liquide chaud m'envahir l'interieur, et mon ami lâche son râle
orgasmique viril juste en même temps. Nous n'en pouvons plus, et nous nous endormons,
emboités les uns dans les autres dans la pièce dont les vitres sont couvertes de buée,
ou l'air est quasiment devenu irrespirable, persuadés que nous allons tous nous
souvenir de cette soirée, et que cette feria ne manquera pas de nous donner d'autres
occasions pour remettre ça, une partie de jambe en l'air comme jamais nous n'avions
fait ! Les 2 boîtes de capotes risquent bien de se vider rapidement...
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