Retrouvailles

Je n’avais pas revu Hélène depuis au moins 3 ans. Nous avions été camarade de classe 2
années de suite au lycée, puis le BAC en poche, nous nous étions rendus dans nos facs
respectives, nous perdant de vue. Nous n’étions pour ainsi dire pas excessivement
proches durant ces 2 années, mais chacune de nos conversations étaient toujours très
sympathiques et nous nous appréciions l’un l’autre. C’était à cette époque une jolie
petite brune de presque 1 mètre 70, cheveux bouclés jusqu’aux épaules et un corps
ayant des proportions tout à fait honorable. Un visage d’ange qui cachait en fait une
personnalité assez fofolle. J’avoue ne pas avoir été insensible à ses charmes au
lycée, mais ma timidité aidant, je n’ai jamais rien tenté qui puisse nous rapprocher
d’avantage et de la façon dont je l’aurais souhaité. De toute façon, elle avait déjà
un copain. Mais en dehors du fait que je la trouvais particulièrement jolie et très
sympa, autre chose m’attirait en elle. Hélène avait des pieds magnifiques, les
quelques rares fois ou je pus les observer me comblais de joie. Rares car elle ne
portait pas souvent de nu-pieds, de tongs ou de sandales qui auraient pu me permettre
d’apprécier un peu plus le spectacle. J’étais, depuis fort longtemps déjà, fétichiste
des pieds. Ses chaussures de prédilection étaient les baskets, ou les converses, qui
ne m’offrais pas beaucoup de satisfaction. Mais je me souviendrais toujours de cette
fois ou je pus les observer à ma guise et sous presque toutes les coutures. Nous
devions passer un examen oral blanc, ce jour-là il faisait très beau et je la vis
arriver à mon grand bonheur, chaussée de sandales spartiates, donc à lanières
entrecroisées qui laissaient une partie de ses pieds découverts. Je ne pouvais pas
m’empêcher de m’émerveiller de nouveau sur la beauté parfaite de ses petons.

Elle
devait chausser du 39 à peu près, ses orteils étaient un peu long mais sans être
excessif, ses ongles, ou était étalé un vernis rose pale, n’étaient ni trop longs, ni
trop courts, tandis que sa peau rose et délicate ne semblait que demander des caresses
immédiates. Je ne pouvais malheureusement pas voir sa plante des pieds, étant donné
qu’elle ne se déchaussa pas. J’étais en extase devant ces merveilles, elle était
assise juste à coté de moi, attendant d’entrer dans la salle d’examen, et je pus à
loisir les observer pendant une vingtaine de minute, jusqu’à ce qu’on l’appelle pour
qu’elle passe cet oral. Jamais je n’ai oublié ces 20 minutes ou ses pieds étaient si
proches de moi, et pourtant si inaccessibles. Je n’eu depuis que peu d’occasions de la
revoir chaussée ainsi, bien sur ça m’est arrivé, mais pas d’aussi près. Je pus quand
même un jour observer rapidement la plante de son pied droit en classe, alors qu’elle
s’était déchaussée et qu’elle avait repliée sa jambe droite derrière la gauche,
tendant le pied vers le bas. Vision merveilleuse une fois encore. On aurait dit
qu’elle n’attendait plus que je vienne la lécher.

3 ans avaient donc passés, sans que je la revoie, et à vrai dire je ne cherchais pas
particulièrement à la revoir, la fac m’avait offert de nouveaux modèles de beauté et
je pensais qu’il m’était plus utile de me concentrer sur le présent plutôt que de
chercher à réveiller de vieux sentiments. Mais cet après-midi là pourtant, je la vis.
C’était les vacances d’été, et par conséquent tout les étudiants s’étant rendus dans
de grandes villes pour la études rentraient chez eux, ou du moins chez papa, maman.
J’étais allé à la librairie du centre ville pour commander un bouquin, activité qui ne
devait même pas me prendre une demi-heure, le temps de prendre la voiture et de faire
l’aller-retour.
Mais après être sortis de la librairie et alors que je me dirigeais
vers mon véhicule, elle déboula de derrière le bâtiment juste à coté de moi. Nous
jetant tout les deux une œillade rapide pour voir qui nous avions manqué de bousculer,
nous nous sommes reconnus la seconde d’après. Elle n’avait pas changé, à part son
visage qui avait l’air un tantinet plus mature. Nous nous sommes salués cordialement
avant de s’excuser, puis avons entamé la conversation habituelle de ceux qui se
retrouvent après quelques temps. « Alors, quoi de neuf ? » lui ai-je demandé, elle a
alors commencé à me parler des études, des amis, du job d’été qu’elle n’avait pas pu
dégoter, qu’elle était redevenue célibataire. Je lui parlais en retour grosso modo des
mêmes sujets, n’oubliant pas d’inclure moi-même ma situation de célibataire endurci.
Mais au fur et à mesure que le temps passait et que la conversation suivait son cours,
nous nous sommes mis à délirer un peu plus, parlant de sujets plus farfelus, du lycée.
Discrètement, je jetais un coup d’œil en direction de ses pieds, le doux souvenir de
ce jour d’examen venait de se présenter à moi, mais ce jour-là, elle avait décidé de
porter des converses. A la fin, nous avions passé plus d’une heure à discuter. Nous
rendant compte que nous devions reprendre chacun le cours de nos activités mais
désireux de poursuivre cette discussion, nous nous échangeâmes nos numéros de portable
pour convenir d’un rendez-vous dans les jours prochains. Puis nous partîmes chacun de
notre coté. J’étais très heureux d’avoir pu revoir Hélène, et je me dis en mon fort
intérieur qu’elle était toujours aussi jolie. 4 jours passèrent sans que je reçoive de
nouvelles, et sans que je ne lui en envoie. Ce jeudi là, mon téléphone sonna aux
alentours de 17 h, c’était elle, je décrochai.

_ Salut ! dit-elle toute joyeuse.
_ Salut ! Ca va ?
_ Ca va, et toi ?
_ On va, on va.

_ Ok. Dis voir ça te dirait qu’on se voit ? demanda-t-elle directement.
_ Bien sur. Quand ça ?
_ Ben ça dépend ? Tu es libre demain ?
_ Demain, heu… Oui, oui normalement je n’ai rien de prévu.
_ Parfait ! Ben on a qu’à se faire un truc demain.
_ Genre boire un coup. Dis-je en souriant.
_ Par exemple ! Mais j’aimerais bien voir le film dont tu m’as parlé l’autre jour
aussi.
_ Oh ben si tu veux, sans problème. Normalement on devrait avoir la télé du salon, vu
que mes parents bosserons, et je crois que ma sœur va chez ma cousine.
_ Ok, ben on fait comme ça, tu passe me prendre, on va boire un coup, et après on va
chez toi voir le film !
_ Ca marche ! Quelle heure ? Et ou ?
_ On a qu’à dire 14h 30, là ou on s’est vu la dernière fois.
_ Ok, c’est bon pour moi.
_ Parfait ! Bon et ben à demain alors !
_ A demain. Ciao !
_ Ciao !

Puis elle raccrocha. J’étais perdu dans mes pensées et je me voyais déjà demain.
J’étais en train de me dire qu’en seulement 4 jours, j’avais revu l’une des filles qui
me plaisais le plus au lycée, pris rendez-vous, et elle allait venir chez moi pour la
première fois. Tout ça me paraissait tellement… irréel. Dans mon fort intérieur,
j’espérais qu’elle porterait des chaussures ouvertes, ses pieds ne devaient pas avoir
beaucoup changés. Le reste de la journée se passa sans histoire et j’allai me coucher
aux alentours de 3h du mat’.

Le lendemain, après avoir pris un bon petit déj’ vers midi et une bonne douche, je
m’habillais et finis de me préparer pour ce rendez-vous tant attendu. Quand vint
l’heure, je fis démarrer la voiture, et roulai jusqu’à l’endroit convenu. Je me garai
et attendis quelques minutes. Elle arriva soudain en face de moi, elle était vraiment
belle, elle portait un T-shirt blanc avec un gilet noir sans manche, un jean, et à mon
grand dam, ses converses noires.
« Tant pis », pensais-je en mon fort intérieur. Nous
nous sommes fais la bise avant de prendre la voiture pour rouler direction le bistrot.
Il faisait une chaleur caniculaire et on ouvrit les fenêtres, mais on en rigolait.
Arrivés à destination, on s’assit à une table et nous prîmes 2 bières pression.
Discutant et rigolant allégrement, l’ambiance était très sympa. Elle avait croisé sa
jambe droite sur la gauche, me donnant vu sur sa converse que je regardais de temps à
autre. Au bout d’un moment, je me risquais à aborder le sujet :

_ Dis, t’as pas chaud avec tes converses ?
_ Oh. Si un peu, beaucoup même, mais j’aime tellement les porter, et ce en toutes
saisons. Encore heureux que je ne porte pas de chaussettes, ce serait pire sinon, dit-
elle en souriant.

Je regardais avec un peu plus d’attention. En effet, elle n’avait pas l’air de porter
de chaussettes, j’avais pensé au début qu’elle avait mit de petites chaussettes, comme
celles qui ne montaient pas très haut, couvrant à peine le talon. Mes pensées étaient
focalisées sur son pied, je connaissais comme beaucoup de monde les propriétés des
converses, qui faisaient transpirer et dans lesquelles les odeurs étaient souvent
imprégnées, pour un peu que l’on s’y attarde. J’en étais tout excité.

_ Tu ne portes jamais de chaussettes ? demandais-je, curieux.
_ Si si, bien sur, mais quand arrive le printemps, je commence à ne plus en mettre, et
puis pendant l’été, je m’en débarrasse complètement.
_ Et donc tu les portes tout les jours ?
_ Ouais, pratiquement.
_ Ca fait combien de temps que tu les as celles-là ?
_ Cette paire là ça doit faire à peu près, humm… 2 ans, au moins. Faudrait que je
commence à penser à les changer.

C’est vrai que ça commençait à se voir qu’elles prenaient de l’âge. Elle faisait des
mouvements avec sa chaussures comme pour l’examiner, cambrant le pied, puis le mettant
bien droit, la semelle vers le haut, j’étais subjugué, 2 ans… 2 ans qu’elle portait la
même paire et sans chaussettes, l’odeur devait être tellement imprégnée ! Après cette
parenthèse pédestre, nous continuâmes à discuter jusqu’à finir nos verres, on décida
alors de se rendre chez moi afin de voir le film. En conduisant, je ne pouvais
m’empêcher de remarquer qu’Hélène semblait tortiller ses pieds dans ses chaussures, ce
qui semblait vouloir dire qu’elle avait chaud, qu’elle suait peut-être aussi… On
arriva chez moi après 10 minutes de trajet.

Je descendis de la voiture et allai ouvrir la porte qui était fermée à clef, preuve
que la maison était vide. « Tant mieux » pensais-je, si mes parents avaient été là,
ils auraient surement voulu parler avec nous et faire la connaissance d’Hélène, et
immanquablement me demander si c’était ma copine. Ca ne ratait jamais. Hélène entra
derrière moi et je pu refermer la porte. A clef.

_ Bon ben bienvenue chez moi. dis-je alors que nous traversions la cuisine. Ce n’était
pas la plus grande des baraques du monde, mais je l’aimais bien.
_ Tu me fais visiter avant de regarder le film ? me demanda-t-elle tout sourire.
_ Si tu veux.

Je lui montrai donc le salon, la cour arrière, à l’étage la chambre d’ami, la salle de
bain, les toilettes (au cas où), pour finir avec ma chambre. J’avais fais l’impasse
sur la chambre de mes parents et celle de ma sœur, par respect pour eux. On
redescendit alors en direction du salon, mais je fis d’abord un détour par le garage,
pour me déchausser. Je regardais alors en direction d’Hélène qui se dirigeait vers le
canapé, et vit qu’elle avait gardé ses converses. « Peut-être que si elle les enlève,
ça sentirait trop et qu’elle serait gêné » pensais-je. « Mais c’est pas grave voyons,
ça ne me dérange pas du tout, au contraire… » Ne pouvant me résoudre à lui dire ça, je
ne dis rien du tout et allais chercher le DVD à l’étage.

_ Tu bouges pas, je reviens.
_ Ok !

Ca ne me prit qu’une minute pour trouver le film désiré avant de redescendre. Arrivé
en bas des marches, je m’adressais à elle.

_ Tu veux boire quelque chose ?
_ Une bière, si tu as.
_ Alcoolo, dis-je en plaisantant.
_ P’têtre bien. Et alors ? me rétorqua-t-elle sur le même ton.

J’allais donc chercher 2 bières au frigo ainsi que le décapsuleur, avant de retourner
au salon. Je lui offris sa bière et allai introduire le DVD avant de fermer à demi les
volets pour éviter d’avoir trop de soleil sur l’écran. On s’installa correctement
avant de lancer le film. Je l’avais déjà vu des tonnes de fois et n’étais par
conséquent pas très concentré dessus, j’étais plus attentif à Hélène, me dire qu’elle
était là, à côté, en train de regarder un film avec moi me semblait encore tellement
impensable. Et surtout, j’étais attentif au moindre mouvement de ses pieds, elle
semblait se tortiller de plus en plus dans ses converses, pourquoi ne les enlevaient-
elle pas ? Peur de l’odeur qui pourrait s’en dégager ? Soudain elle me demanda :

_ Je peux mettre mes pieds sur tes jambes ?
_ Hein ? Heu, ben si tu veux.
_ Merci, c’est pour être plus à l’aise. Quand je suis chez moi, j’aime bien avoir les
jambes sur le canapé, c’est pas bien de regarder un film en restant assis normalement.

Elle se cala alors dans le coin du canapé en L, et posa ses chaussures sur mes genoux,
ce qui sembla lui faire grandement plaisir. On continua à regarder le film comme ça
pendant une petite dizaine de minutes. Mais je ne pensais plus au film, je
réfléchissais. Je pouvais en profiter. Je DEVAIS en profiter ! Surmonter ma timidité.
J’avais un plan d’action, alors appliquons le !

_ Dis voir, dis-je pour me lancer. Tu ne voudrais pas retirer tes chaussures ?
_ Elles te gênent ?
_ Ben, c'est-à-dire qu’elles me font un peu mal aux jambes.
_ Tu veux que je me retire ?
_ Non, non, ça ne me dérange pas que tu ais tes jambes sur moi, c’est juste les
chaussures.
_ Bon… ben ok. Pis c’est pas plus mal, je commençais à être mal avec les chaussures.

Elle retira ses jambes et s’assit normalement pour mieux défaire les lacets. Elle
défit la boucle de sa chaussure gauche avant de dégager les lacets. Puis le moment
tant attendu allait arriver, elle utilisa le bout de sa chaussure droite sur le talon
de la gauche pour extraire son pied. « Ca y est ! » pensais-je tout excité. Elle
poussa alors avec sa chaussure droite, et son pied s’extirpa de sa prison. Il était
encore plus beau que dans mes souvenirs, à la différence près que ce coup-ci, elle
n’avait appliqué aucun vernis, ses ongles étaient au naturel. Elle entreprit de
retirer la seconde chaussure et dû ce coup-ci l’enlever à la main. Ses 2 pieds étaient
maintenant à l’air libre. Pour mon plus grand bonheur !

_ Et voila ! dit-elle toute contente.

Elle replaça ses pieds sur mes jambes tout en bougeant les orteils, comme pour montrer
sa satisfaction d’être libérée de sa prison de tissus. J’étais aux anges. Je pouvais
admirer sans complexe ses magnifiques petons tout roses, ainsi que sa plante qui était
un peu rouge du fait d’être restée si longtemps dans ces converses. Mais surtout,
j’avais confirmation. Effectivement, il se dégageait de ses chaussures et de ses
pieds, une fine odeur de transpiration alliée à celle de ses semelles, odeur que je
pouvais sentir discrètement sans complexe et qui ne me dérangeait pas plus que ça.
Mais je sentais bien qu’Hélène semblait soucieuse.

_ Ca sent pas trop ? demanda-t-elle un peu gênée.
_ Non non, lui répondis-je pour la rassurer. T’inquiète pas.
_ T’es sur ? Tu sais je peux les enlever si tu veux. Je sais que j’ai beaucoup marché
ces derniers jours, et avec cette chaleur je transpirais un peu dans mes chaussures.
Je me suis lavé les pieds quand même tout les soirs mais là…
_ T’inquiètes pas je te dis, tu peux les laisser, y a aucun problème, je souris pour
mieux la convaincre.
_ Bon. C’est comme tu veux. Mais de toute façon, je vais quand même devoir les enlever
parce qu’il faut que j’aille aux toilettes.
_ Ah, d’accord. Tu te souviens ou c’est ?
_ Oui, c’est bon. Tu mets le DVD en pause ?

Elle se leva et se dirigea vers l’escalier, avant de monter la première marche, je pus
voir qu’elle avait laissé quelques traces de pas sur le carelage, preuve d’une
certaine dose de transpiration. Dès qu’elle fut montée en haut, je me précipitai sur
ses chaussures qu’elle avait laissé trainer par terre, je pris la droite et y
engouffra mon nez à l’intérieur. L’odeur qui vint me chatouiller les narines était
absolument magique, je sentais là le résultat de 2 ans de port de converses parfois
sans chaussettes, et c’était merveilleux. L’odeur de ses pieds suants était encrée
dans cette semelle, je la respirais sans retenue, sentant mon membre commencer à se
tendre autant qu’il était possible. J’inhalais alors la seconde chaussure en la
portant à mon nez, l’odeur onctueuse y était tout autant imprégnée et je ne pouvais
croire qu’en cet instant, j’étais en train de sentir l’odeur des pieds d’Hélène, l’un
de mes fantasmes du lycée. Elle qui semblait sans défauts, je découvrais qu’elle
transpirait des pieds. J’entendis alors la chasse d’eau à l’étage et me décida, à
contrecœur, de reposer ses chaussures à peu près à la même place ou je les avais
trouvées tout en prenant une dernière inspiration, puis repris ma position initiale
avec l’allure du mec qui attend. Elle descendit les escaliers rapidement et
s’engouffra dans le salon.

_ C’est bon. Annonça-t-elle.
_ J’ai failli attendre, dis-je en moquant.
_ Genre ! s’offusqua-t-elle faussement. Tiens, pour la peine…

Elle revint s’asseoir comme tout à l’heure et replaça ses pieds sur mes jambes,
décidée, comme une punition gentillette. J’avais eu peur qu’elle préféra changer de
position en redescendant, mais visiblement, elle n’en avait pas décidé ainsi.

_ Tu peux relancer.

Je remis le film en marche, mais en y étant toujours aussi peu attentif. Après avoir
sentis l’odeur de ses chaussures, je ne désirais plus que sentir ses pieds, et plus
encore. Je devais trouver une nouvelle tactique pour pouvoir les toucher, après tout
j’avais bien réussi à lui faire enlever ses chaussures, je pouvais bien réussir ça
aussi.

_ Tiens, tu as un peu de saleté sous le pied maintenant que tu as marché, dis-je d’un
coup. J’approchais donc ma main droite pour pouvoir épousseter la plante de ses pieds,
ce que je fis prestement, en y prenant un certains plaisir. Je pouvais alors constater
que sa plante de pied était toute douce, une vraie peau de bébé.

_ Merci ! me dit-elle tout sourire une fois que j’eu terminé. Mais je ne retirais pas
ma main de son pied pour autant, au contraire, je posais ma main gauche sur la partie
supérieur de ses petons et l’y laissa là, guettant une réaction qui m’aurait intimé de
l’enlever. Mais elle ne dit rien et je laissais donc ma main là, là ou je désirais
qu’elle soit. J’avais une trique de tout les diables, rien qu’à penser que je lui
tenais le pied, ce pied si désiré à une époque, et aujourd’hui toujours aussi
désirable. De toute façon Hélène elle-même était désirable. Je laissais donc ma main
là, lui caressant doucement le haut de ses pieds sans qu’elle ne s’en offusqua le
moins du monde, même quand mes caresses étaient un peu plus prononcées. Tant que la
chance était de mon coté, autant voir jusqu’ou elle pouvait aller.
_ Ca va ? demandais-je.
_ Oui, très bien. Répondit-elle.
_ Ca te dérange pas mes mains sur tes pieds ?
_ Oh non, pas du tout. En fait tes caresses sur mes pieds ça me relaxe un peu, avoua-
t-elle.
_ Vraiment ? dis-je amusé. Ben tu veux que je te fasse un massage tant que j’y suis ?
_ Tu sais faire ça toi ? demanda-t-elle curieuse.
_ Je me débrouille. C’est quelqu’un que je connais qui m’a enseigné les bases.
_ Ben le problème c’est que je suis vachement chatouilleuse, à peine tu me touche je
rigole.
_ Mais non tu vas voir, et puis tout à l’heure quand je t’ai enlevé la poussière, t’as
rien dis.

Je ne lui laissais pas le temps de répliquer et m’écartai un peu, gardant toujours ses
pieds sur mes jambes mais de telle manière que je m’offrais un peu plus d’espace pour
la masser correctement. J’approchais mes mains quand je vis le regard quelque peu
crispé d’Hélène qui visiblement s’attendait à se convulser d’un instant à l’autre sous
l’effet de potentielles chatouilles. Je pris donc son pied droit entre mes mains, les
pouces en direction de la plante tandis que mes autres doigts lui maintenaient son
pied. Je fis donc pression de mes pouces par à-coup en remontant petit à petit la
longueur de son pied jusqu’à arriver aux orteils, puis je mis mes pouces l’un contre
l’autre pour appuyer et remonter doucement tout en restant appuyé. Me décidant à lever
mon regard de l’objet de ma convoitise, je pu constater qu’Hélène s’était détendue et
que visiblement, elle appréciait cet instant.

_ Alors ? demandais-je.
_ Ca va en fait, lâcha-t-elle. C’est génial ton truc, généralement quand on me touche
les pieds je ne tiens plus en place. T’es doué dis voir.
_ Merci, content que ça te plaise.

Je n’étais pas mauvais c’est vrai, si il y avait bien un truc sur lequel je n’avais
pas mentis, c’est le fait qu’on m’ait appris. Une tante qui adore les massages. Enfin,
je faisais durer cet instant le plus possible, en me disant que ça ne se reproduirait
peut-être pas de sitôt. Comme je l’avais déjà constaté, ses petons étaient d’une
douceur incomparable, et chacune de mes pressions dessus était pour moi un vrai
bonheur. Après m’être intensément appliqué sur le droit, j’entamais le gauche. Je
jetais de temps à autre des regards au film pour ne pas faire croire que j’étais trop
absorbé par ce massage, et puis aussi quelques regards à Hélène, qui elle, continuait
de regarder le film mais en posant de temps en temps ses yeux sur moi, pour voir
comment je me débrouillais. Après une bonne vingtaine de minutes de massage, je me dis
qu’il fallait que j’aille plus loin, lui avouer peut-être. Devrais-je lui dire ? Je
décidai de me lancer calmement.

_ Ca va toujours ?
_ Ouais ! Franchement c’est trop bien. Pis c’est gentil surtout. En plus j’avais un
peu mal aux pieds.
_ De rien, ça me fait plaisir. Et en toute sincérité, je… je trouve que tu as de très
jolis pieds.

Elle me regarda, un peu surprise à priori, visiblement elle ne s’était pas attendue à
un compliment de ce genre.

_ Ah bon ? Tu trouves ? demanda-t-elle en les regardant. Tu trouves vraiment que j’ai
de beaux pieds ?
_ Ouais, je les trouve tout mignons.
_ Ah bon ? Ben je sais pas trop quoi dire. On m’a rarement dis ça, avoua-t-elle en
souriant. Personnellement, je trouve moi aussi que mes pieds sont pas mal, mais ça
fait bizarre de l’entendre de la bouche de quelqu’un d’autre.
_ Tu sais c’est un vrai compliment venant de moi, lui dis-je.
_ Ah oui ? Tu es spécialiste ? me questionna-t-elle amusée et curieuse.
_ Ben en quelques sortes…
_ C'est-à-dire ?
_ Ben, je sais pas si je peux te le dire, j’ai un peu peur que tu trouve ça bizarre,
ou que tu ne veuille plus me parler.
_ T’inquiètes, tu peux me le dire, je suis pas comme ça.
_ Tu promets ?
_ Bien sur !
_ Bon, ben en fait, je suis quelque peu… fétichiste.
_ Fétichiste ? Des pieds ?
_ Oui…

Je baissais la tête, mais n’arrêtais pas pour autant mon massage, elle n’avait eu
aucun mouvement de recul et ne semblait pas en amorcer un. Je ne savais pas bien quoi
faire, et je commençais à regretter mon choix. Puis après quelques secondes de
silence, elle reprit la parole :

_ Ben t’as pas à avoir honte, chacun ses petits trucs, ses secrets. Ca me fait plaisir
que t’ai suffisamment confiance en moi pour me le dire.
_ C’est vrai ? Ca te choque pas ?
_ Pas du tout ! Tu sais y a bien plus choquant dans le monde. Et te fais pas de
soucis, je le dirais à personne.

Je ne dis plus rien, de toute façon, je ne savais pas vraiment quoi dire. Je me
contentais d’un geste de tête et d’un regard en sa direction qui devait se traduire
par un « merci ». Je continuais mon massage tout en me disant que j’avais bien fais.
Après 2-3 minutes de silence, Hélène reprit la parole.

_ Alors comme ça, t’aimes bien mes pieds ?
_ Oui, vraiment.
_ Tu les trouves comment ?
_ Franchement, je les trouve terriblement sexys, ils sont tout doux, j’aime la finesse
de tes orteils et aussi la taille de tes ongles.
_ Eh ben ! Tout ça ? Je ne savais pas que je possédais autant d’atouts avec mes pieds,
dit-elle en riant. Un petit rire tout mignon, qui ne se moquait pas, mais qui semblait
signifier une certaine tendresse, et un peu de gêne devant ces compliments pas banals.
_ Comme quoi, il ne faut rien négliger !
_ C’est vrai ! Mais ça t’es venu comment ?
_ Je sais pas vraiment. Je crois que j’ai toujours été attiré par ça. En plus, les
femmes aiment généralement qu’on s’en occupe.
_ C’est vrai que c’est agréable.
_ Est-ce que par hasard, tu ne voudrais pas… tester un truc ou deux.

Hélène sembla réfléchir un petit instant, posant son regard sur moi et sur mes mains
qui continuaient à la masser.

_ Pourquoi pas, dit-elle. Je ne veux pas mourir idiote. Faut faire quoi ?
_ Toi rien, laisse moi faire.

Je lui levais alors le pied que je tenais entre mes mains vers mon nez. Je n’en
pouvais plus, il fallait que je les sentes ! Je m’approchais de ce membre de chair et
respira lentement. Même si l’odeur avait commencée à s’évanouir, elle restait
suffisamment pour que je ressente un plaisir intense dès la première inspiration.
Hélène remuait ses orteils comme pour m’aider à mieux apprécier son odeur. Je lui pris
son deuxième pied et réitéra l’opération, toujours avec le même plaisir jouissif ! Sa
transpiration mêlée à l’odeur de ses chaussures était ce que j’avais sentis de
meilleur sur cette terre.

_ Alors, ça sent bon ? me demanda-t-elle gentiment et curieuse.
_ Quelqu’un d’autre serait peut-être dérangé, mais moi je trouve que tu dégage un
parfum divin.
_ Vraiment ? Et tu sens mieux quand je bouge les doigts de pieds ? me questionna-t-
elle de nouveau en joignant le geste à la parole. Je remontais le nez à la base de ses
orteils pour mieux profiter du parfum diffus.
_ Oui ! Oui, c’est génial.
_ Tu aimes quand ça sent alors ? je hochais la tête en signe d’approbation. Si j’avais
su, continua-t-elle, je ne me serais pas lavé les pieds pendant quelques jours.
_ Attention, j’aime bien jusqu’à un certains point. Je sais pas si j’aimerais si
c’était trop fort.
_ T’as de la chance d’être tombé sur moi en fait. Vu que je porte souvent des
converses, et en plus je transpire beaucoup des pieds, parfois même quand il fait pas
très chaud, je trouvais ça problématique moi. Quand des fois je me sentais les pieds
en fin de journée, je me demandais comment cette odeur pouvait être la mienne. Ben du
coup je suis contente que ça ne dérange pas tout le monde. Tu peux t’approcher plus si
tu veux.

Je ne me fis pas prier et vint coller littéralement mon visage contre la plante de ses
petons soyeux. D’ici je pouvais mieux renifler encore, et je reniflais autant que
possible, balançant mon visage de droite à gauche pour en profiter au maximum. Hélène
n’avait pas l’air d’y être insensible, puisqu’elle me souriait constamment, et
s’amusait à me pousser un peu avec ses pieds pour coller mon visage un peu plus contre
eux. Après quelques instants elle reprit la parole :

_ J’ai comme l’impression que ça faisait longtemps que t’attendais de me faire ça,
constata-t-elle en souriant.
_ J’y pensais au lycée. Mais après comme on s’est plus vus, j’ai laissé tomber, du
moins avec toi.
_ C’est sur. En tout cas, c’est pas désagréable. Bizarre, mais pas désagréable.
_ C’est que le début. Est-ce que je peux… aller plus loin ?
_ Vas-y. Montre moi.

Il était devant moi. Je le tenais dans ma main. Son pied droit. La plante me faisant
face. J’allais réaliser un fantasme. Hélène. Les pieds d’Hélène. Ils m’étaient
offerts. C’était trop pour que j’aie la force de me contenir encore. J’ouvrais la
bouche et m’avançait en direction de son gros orteil, et l’engouffrai comme un fou
furieux ! Hélène eue un soubresaut qui trahissait sa surprise, mais aussi son
excitation face à cette situation inhabituelle. Un ancien copain de sa classe de lycée
était en train de lui lécher les pieds ! Je suçai son gros orteil avec avidité et
commençai à m’attaquer aux autres, les suçant du plus grand au plus petit, puis les
léchant, les doigts de pieds eux-mêmes, puis les interstices. Hélène avait des
soubresauts réguliers, visiblement elle était très sensible au niveau des orteils.

_ Ca fait des chatouillis, dit-elle entre 2 soubresauts. Mais ça me fait pas rire,
c’est… Haa… c’est bizarre, ça me fait quelque chose… Haa… comme si… j’en voulais plus.

Je ne lui laissais pas une seconde de répit et ouvrit ma bouche toute langue dehors
pour entamer la lèche de sa plante. Cette plante de pied que je voulais depuis si
longtemps m’était acquise ! J’allais y goûter comme je le rêvais depuis des années.
Elle était devant moi, cette plante toute rose tirant sur le rouge, elle semblait
m’appeler, m’attirer à elle. Lorsque ma langue toucha le talon, je n’attendis pas un
seul instant et commença à remonter tout le pied d’une traite, et ce malgré le fait
que, n’étant pas encore humidifiée, sa plante avait absorbée presque toute ma salive à
mi-chemin. Mais je recommençai, encore, et encore, et encore, la plante de son pied
droit était enfin toute humide, ce qui permettait une glisse plus fluide. Je léchai
comme un affamé lécherait une glace, je me repaissais de ce goût salé et reniflais
autant que possible cette onctueuse odeur. Hélène avait les yeux fermés et sursautait
à chaque passage de ma langue, en poussant de petits soupirs d’aise, visiblement elle
aimait ce que je lui faisais. Hélène… les pieds d’Hélène… l’odeur d’Hélène.

_ Tu ne dis plus rien ?
_ Je… C’est… C’est vraiment ta langue sur mes pieds qui… Haa… qui me fait autant
d’effet ? J’aurais jamais cru que ça pouvait être si… si bon ! Continue s’il te plait,
ne t’arrête pas, je t’en supplie. Mais fais-moi l’autre, il est jaloux !

Je relâchai son pied pour lui attr le gauche et reproduisis les mêmes gestes,
toujours avec autant de passion, toujours autant d’ardeur, je ne me contrôlais déjà
plus, j’étais tellement serré dans mon pantalon que ça en devenait intolérable. L’idée
de me branler avec ses pieds me semblait de plus en plus impérative, mais je me disais
que c’était encore trop tôt. Pour le moment, je me contentais d’un léchage minutieux
de l’ensemble de son sublime peton, elle remuait les orteils comme pour m’indiquer
qu’il fallait que je m’en occupe. Son pied était entièrement recouvert de ma salive,
ce qui lui donnait un certains éclat brillant. Je m’approchais de ses doigts de pieds
et sans attendre, je les enfonçais tous ensemble dans ma bouche.

_ Oh…oui…là…juste entre mes orteils ! me dit-elle difficilement tandis qu’elle
soupirait d’aise.

Elle écartait tant bien que mal ses orteils dans ma bouche pour me permettre d’y
glisser ma langue entre chacun d’eux, le goût salé était ici délectable, ce qui
redoubla encore mon ardeur. De plus, les soupirs d’Hélène commençaient à se
transformer en des gémissements de plus en plus fort, Elle poussait avec son pied, de
telle sorte qu’on eut cru qu’elle tentait de sentir ma langue plus intensément encore.

_ Haa… haa… haa… mmmh….mmh….mmmmmh…oh…putain…se faire lécher les pieds…c’est l’extase
! Je me sens tellement…tellement bien ! Haa…si j’avais su… je t’aurais demandé plus
tôt ! J’ai l’impression que…que je pourrais jouir rien qu’avec ça ! Haa…je suis peut-
être…fétichiste…moi aussi ! Mmmh…il faut que…il faut que…

Elle approcha tout d’un coup sa main près de son entrejambe et commença à déboutonner
son jean. Une fois cela fait, elle commença à le faire glisser le longs de ses jambes.
Je m’arrêtai de la lécher 2 secondes, le temps de l’aider à le retirer, et en même
temps pour me faire à l’idée qu’Hélène était devant moi en train de se masturber, elle
avait en effet rentré sa main dans son sous-vêtement et se caressait sans retenue. Je
n’en croyais pas mes yeux, et je m’empressais de récupérer ses pieds pour continuer ce
que j’avais commencé. Je pris donc ses deux pieds en même temps et les mis cote à
cote, je repartais alors de plus belle pendant qu’Hélène continuait de se masturber de
plus en plus fort en gémissant intensément. C’était peut-être le plus beau moment de
ma vie. Ses pieds étaient couverts de ma salive depuis le talon jusqu’aux doigts de
pieds, ma langue glissait sans retenue dessus. Hélène, aidée par ses attouchements
semblait ne plus pouvoir se contenir, elle me dit soudain :

_ Je sens que…que je vais jouir ! S’il te plait…mes doigts de pieds…entre mes doigts
de pieds…s’il te plait !

J’avais bien deviné que c’était ses orteils son point le plus sensible, je me dis en
moi-même qu’il fallait jouer le grand jeu ! Je lui gobai de nouveau ses orteils en
même temps, les deux gros doigts de pieds en même temps. Elle poussa un « oooooh » de
contentement, je suçai aussi fort que je le pouvais, puis je passai ma langue aussi
vite que possible entre tout les interstices, tellement vite qu’elle craqua.

_ Oui ! Oui ! Ouiii ! Là ! Lèche ! Lècheeee ! Haa…haa…haaaaaaaaaa !

Hélène convulsa alors en même temps qu’elle laissait échapper le cris de sa
jouissance, je ne pouvais m’empêcher de continuer à lécher ses pieds pendant cette
scène admirable. Elle venait de jouir…grâce à ses pieds. Après plusieurs minutes ou
elle ne cessa pas de reprendre son souffle aussi vite qu’elle le put, elle me regarda
droit dans les yeux, le regard comblé.

_ Tu…tu m’as…c’est…c’était tellement…oh merci ! Merci ! C’était absolument… divin. Ca
faisait longtemps que je n’avais pas jouis comme ça. Mais...tu dois être à bloc toi
encore ?

Effectivement, mon sexe était à fond et s’en était presque intolérable.

_ Oui. Je vais aller prendre 2 minutes pour me…me vider. Si tu veux bien m’excuser.
_Noon ! lâcha-t-elle en me retenant par le bras. Je vais m’en occuper.
_ Quoi ? dis-je perplexe.
_ Je…je vais m’en occuper. S’il te plait. Je veux…je veux que tu me fasses l’amour !

Je la regardais droit dans les yeux, comme pour la sonder. Non, elle ne plaisantait
pas. Je l’embrassais alors fougueusement. Je la fis se lever et on courra presque dans
les escaliers pour se rendre jusqu’à ma chambre. Une fois rentrés, je fermai la porte
à clef, au cas où, et me remis à embrasser Hélène, sa langue jouant avec la mienne. On
bascula sur le lit, moi en dessous elle au dessus. Elle descendit ses mains jusqu’aux
boutons de mon jean et s’attela à le déboutonner, ce qu’elle fit rapidement, puis je
le retirai moi-même, en emportant mon caleçon avec. Mon sexe était en érection, à un
point qu’il ne me semblait pas déjà avoir atteint avant aujourd’hui. On finit de se
déshabiller tout deux et je me retrouvai avec Hélène nue devant moi, telle une déesse.
Elle se pencha sur mon membre et finit de le décalotter avant de le gober entièrement.
Elle était douée, très douée, trop peut-être. Si ça continuait comme ça, je n’allais
pas tenir longtemps. Je lui dis de se retirer et de s’asseoir devant moi, ce qu’elle
fit sans poser de question. Je redressai mon buste et lui attrapai ses 2 pieds, je lui
léchais les plantes une nouvelle fois pour les humidifier de nouveau. Puis je les
rapprochais tout deux de mon sexe, un de chaque côté, la plante en direction de mon
membre. Comprenant ce que je voulais qu’elle me fasse, elle me sourit.

_ Oh ! Tu aimes VRAIMENT mes pieds alors !

Elle n’attendit pas plus longtemps et commença à me branler avec ses doux petons,
petit à petit elle prenait plus d’assurance, et de vitesse. Il ne fallut pas longtemps
pour que je jouisse et que s’échappe plusieurs longs jets de mon sperme. Certains
atterrirent en partie sur les pieds d’Hélène et alors que je commençais à vouloir les
essuyer en prenant des mouchoirs, elle les approcha de son visage et se mit à lécher
mon sperme sur ses pieds avec avidité. Elle semblait aimer, et moi, j’étais encore
dur, moins certes, mais dur. Elle me regarda alors qu’elle finissait de lécher la
dernière goute.

_ C’est le moment, dis-je.
_ C’est le moment, répéta-t-elle.

Je pris une capote qui trainait dans le tiroir d’à côté, la déroula et l’enfila. Elle
écarta les cuisses et je m’approchai lentement. Je ne la fis pas attendre et la
pénétra doucement, elle poussa un petit cris de plaisir. On resta comme ça quelques
secondes et je me mis à commencer les vas et viens, tentant d’aller de plus en plus
vite, mais ayant jouis quelques minutes plus tôt, il me fallait un peu plus de temps
pour pouvoir venir, ou alors une stimulation supplémentaire. Et comme si elle lisait
dans mes pensées, elle leva ses jambes en direction de mon visage, m’offrant de
nouveau ses pieds succulents. Elle remuait ses orteils devant moi, rien que ça, ça
suffisait à me mettre dans tout mes états !

_ Relèche mes doigts de pieds s’il te plait ! me demanda-t-elle entre deux
gémissements.

C’était repartit ! Je me mis à lui lécher de nouveaux les pieds en même temps que je
la pénétrais, j’étais au comble de l’excitation et l’ajout de ses pieds pendant l’acte
ne m’aidait pas seulement moi, mais également Hélène, que mes coups de langue
excitaient aussi. On continua comme ça plusieurs minutes, accélérant et diminuant le
rythme pour ne pas nous faire venir trop vite. Mais rapidement, nous ne fûmes plus en
mesure de nous retenir et jouîmes tout les deux avec quelques secondes d’intervalles.
Nous étions exténués et on resta couchés sur le lit sans rien dire plusieurs minutes.

_ Je suis contente qu’on se soit retrouvés, dit-elle enfin.
_ Moi aussi. Tu es vraiment formidable, lui dis-je.
_ Moi ? Ou mes pieds ? demanda-t-elle d’un ton moqueur.
_ Les deux, répondis-je.
_ En parlant de pieds, tu ne voudrais pas me les lécher encore ? me demanda-t-elle en
souriant. Ca n’était pas près de se terminer visiblement. Je suis content de l’avoir
retrouvée.

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