Plaisirs Interdits ?

Normalement nous allons sur une plage naturiste. Son seul défaut est d’être assez loin
de chez nous. Habitant en moyenne montagne, nous nous contentons de ce que nous avons
tout près : un lac magnifique aux berges ombragées. Le pique nique nous y attend ou
presque. Ma femme Odile est heureuse d’aller se bronzer. Je prends ma canne à pêche
pour attr ce que je trouverai : un poisson suicidaire par exemple.
Nous trouvons un endroit parfait : celui que nous aimons. Odile s’occupe de poser une
couverture sur le sol, je sors nos provisions, un siège et ma canne à pêche. Odile est
rapide, elle se retrouve en petite tenue en moins de 5 minutes. Elle ne garde qu’un
string et encore transparent. Elle ne peut voir qu’elle m’excite, je commence à
bander, je sais qu’à chaque fois que nous sommes ici nous ne finissons pas une baise
comme nous aimons : pas d’interdit entre nous.
Le déjeuner avalé, Odile trouve un endroit en plein soleil pour brunir. Je m’allonge
un instant sur la couverture avant de ranger les restes du déjeuner. Je suis armé,
ATTENTION LES POISSONS J’ARRIVE.
Je reviens avec une armée de poissons, surtout des truites. Je revois Odile qui cette
fois est totalement nue. Pour nous c’est normal, mais pas à ce moment là. Normalement
nous nous mettons nus ensemble allongés au soleil : nous finissons toujours pareil en
fin d’après midi par une bonne partie de baise qu’elle provoque toujours, je ne sais
pourquoi.
- Qu’est-ce que tu fais toute nue ?
- Je viens de baiser.
- Tu t’es branlée ?
- Non, j’en ai branlé une autre.
- Une autre ?
- Ne fais pas ces yeux d’ahuri, oui j’ai branlé une autre fille que tu as du voir en
arrivant, une grande brune.
Entre nous tout est permis, même si elle se compromet avec une fille. Pour ce genre
c’est la première fois qu’elle m’en parle.

Baiser une autre, qu’elle idée, sans m’en
avertir. Je ne l’empêcherais pas.
Assis toi, je vais te raconter ? Mets-toi nu d’abord, tu vas bander, je te connais, tu
pourras te branler ou je le ferais si tu le veux ? Tu sais que j’aime te masturber. Ou
même tu pourras me sucer pendant que je parle pour me faire jouir encore.


------------------------------------oOOOo---------------------------------

« Quand tu es parti pêcher, je m’étais mise nue pour le soleil. Tu sais que quand je
suis à poils j’aime me caresser. Je me touchais à peine le clitoris, pas pour jouir,
simplement pour le fun, le plaisir immédiat. J’avais posé sur la tête la serviette
pour ne pas être éblouie. Je me suis un peu assoupie.
« A mon réveil il me semblait que quelqu’un me voyait. J’ai regardé pour apercevoir
une jeune femme brune, celle que tu a vu et elle était tout près de moi à regarder ma
main. J’ai sursauté à sa présence. Je ne sais pourquoi je n’ai pas cesser de me
branler doucement.
« Elle s’est penchée sur moi, je me doutais qu’elle avait des intentions assez
claires.
« Tu sais que j’avais envie de baiser une fille, je t’en ai souvent parlé. Même en me
branlant mon fantasme est d’être avec une autre. Là j’en avais l’occasion. Dommage tu
n’étais pas là.
« Elle a commencé gentiment, dans les règles à se présenter :
- Je suis Virginie et toi
- Odile.
- Tu es belle, Odile, tu me fais envie.
- Toi aussi ;
« Elle m’a embrassé, tu te rends compte elle a posé ses lèvres sur les miennes et nos
langues ont joué ensemble dans nos bouches. J’avais toujours ma main sur la chatte
alors qu’elle portait un chapeau de paille, une chemise d’homme et un short. Une main
sur un sein elle m’a peloté longuement, doucement, mieux que toi : ne sois pas jaloux,
tout ce qu’elle m’a fait en me caressant était toujours très doux sans doute à cause
de sa peau douce dans les paumes.

« Je me suis arrêtée de me donner du plaisir. Je ne sais ce qui est passé par la tête,
j’ai passé une main dans une jambe de son short. J’ai trouvé sa peau douce à
l’intérieur de sa cuisse. Je suis monté très haut pour arriver sur sa chatte. Elle ne
portait rien d’autre sur elle. J’ai trouvé sa chatte mouillée. J’allais la branler
quand elle m’a arrêté pour se mettre nue, tu te rends compte, nue devant moi. Ma
première fille était nue.
« Elle est venue sur la couverture pour me caresser encore un peu. Cette fois mon sein
ne suffisant pas, elle à directement posé sa main sur mon écrin. Je sentais la chaleur
de sa main sur la chatte. Elle l’a laissé en appuyant simplement. Elle me faisait
drôlement mouiller. Moi je n’osais pas faire grand-chose d’excitant. Il faut dire
qu’avec les jambes écartées je ne suis bonne qu’à me faire mettre.
« Alors je me suis laissée aller à ce qu’elle voulait. Elle m’avait excitée :
« - Nous allons baiser ensemble en faisant un 69.
« - J’aime faire les 69. »
« C’est vrai que j’aime faire les 69 quand j’ai ta bite dans la bouche et ta bouche
sur ma foufoune. Tu te rends compte, je confondais : elle n’a pas de bite. Elle est
venue sur moi, ses genoux ont encadré mon visage. Je voyais tout son sexe. Il t’aurait
plu. Elle avait le clitoris qui ressortait des lèvres, il était rouge enfin un peu
rouge.
« Sa langue est venue sur ma chatte. Presque comme tu me fais.
- Oh branles moi, j’en ai envie.
- Continues

« Elle m’a léché un bon moment, juste le temps de me faire jouir, mais un orgasme
complet, presque comme quand tu me baise en me mettant deux doigts dans le cul. Rend
toi compte une simple langue de fille qui me fait cet effet.
« Elle ne s’est pas arrêtée là : sa langue était plus gourmande en venant sur l’anus.
Elle l’a léché presque comme le bouton, et puis elle a voulu entrer.
Avant d’entrer
elle m’a fait jouir encore une fois. Je ne savais plus comment me mettre. Je
souhaitais ton retour pour participer.
« Alors, elle devait lire en moi, sa langue est entrée. J’avais bien ouvert le cul
comme juste avant que tu m’encule. Je ne crois pas qu’elle en ait mit beaucoup, mais
simplement le fait de savoir que c’était une langue m’a encore fait avoir un orgasme.
« Nous avons repris une position plus catholique pour simplement nous peloter. C’est
là qu’enfin je commençais à la branler. Toi tu sais me branler, et j’aime, mais moi,
mis à part mon con je n’en connaissais pas d’autre. J’ai fais comme je savais. Je l’ai
caressé entre les jambes. J’ai vite trouvé son clitoris. Elle était drôlement
mouillée. J’ai caressé le clitoris durci. Elle n’a pas résisté longtemps. J’ai senti
sa jouissance sous mon doigt. Je me suis rendu compte à cet instant que quand je
jouissais je devais faire comme elle, je sentais les spasmes incontrôlés.
- Dis moi je fais pareil quand tu me branle ?
- Mais oui, chéri tu jouis pareil.
- Je vais jouir dans pas longtemps. Avant de jouir, je poserais mes doigts près des
tiens pour me rendre compte ;
« Donc, c’est bon ce que tu me fais, je l’ai branlé. Elle a voulue que je recommence.
Je l’ai fait encore, j’ai même improvisé en mettant un doigt dans son cul ? Elle n’a
pas résisté en partant presque en léthargie. J’ai même pris un téton dans ma bouche.
Il était dur, comme quand tu me caresse avant de me baiser.
- Heureusement que tu me baise souvent et que tu me fais jouir.
« J’ai mis trois doigt dans son con pour moi c’était comme ta bite. Si tu avais été là
c’est ta bite qu’elle l’aurait eu dans le cul. Doucement ; je jouis.

---------------------------------oOo----------------------------------------

Après ce récit, elle a finit de me branler. J’étais trop excité pour débander.
Je suis
venu sur elle : elle a refusé mon sexe, elle voulait que je la sodomise. Alliée à
l’enculage elle aime se branler. Je l’ai bien satisfaite. Elle m’a étonné quand elle a
tenu à me sucer après pour me faire jouir et avaler le sperme comme toujours.
Nous somme revenus souvent au même endroit. J’espérais bien revoir cette brune pour me
la payer. Nous ne l’avons jamais revue. Dommage pour ma bite et pour Odile : je
l’aurais laissé baiser encore avec une fille. Elle essai d’en trouver une autre dans
notre coin; c’est dur pour elle qui cherche sans cesse, à moins que la nouvelle
voisine accepte de la baiser ce qui est possible après tout.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!