Éducation Sociable
Nina Novelle arpentait les allées de sa classe d'histoire. Alors qu'elle expliquait les événements qui ont précédé la Guerre Mondiale, en commentant la manière inefficace de gérer les circonstances par les dirigeants du monde, elle savait que tous les garçons de la classe sintéressaient davantage à ses jambes galbées de nylon beige, et à ses talons qui claquaient sur le sol, qu'aux évènements qui avaient précédé la guerre.
En parcourant les allées, elle pouvait deviner les yeux des garçons suivant la courbe de ses hanches. Derrière elle, les garçons avaient les yeux rivés sur ses fesses qui tanguaient, partiellement cachées par sa jupette vaporeuse. Devant, ses tétons essayaient de traverser son chemisier blanc largement décolleté. Son chirurgien plasticien avait fait un excellent travail, à en juger par le regard des garçons fixé sur ses énormes globes.
Nina aimait claquer ses talons sur le sol, cela faisait vibrer la chair de ses fesses et balancer ses gros nichons. Sa haute stature de femme sentretenant régulièrement dans une salle de gym, ses tenues sexy, sa sensualité exacerbée, ses attitudes, rendaient ses cours extrêmement captivants pour les ados boutonneux.
Nina Novelle était habillée sexy, parfaitement consciente du trouble qui semparait des garçons de sa classe. La plupart tentaient de dissimuler une érection gênante. Les garçons blancs, gênés, aux regards honteux, mataient ses gros nichons par-dessous. Les garçons noirs scrutaient franchement en écartant les jambes, pour qu'elle puisse bien voir à quel point ils étaient tendus.
S'arrêtant brusquement devant Jason, la forte tête de la classe, elle vit le regard du garçon qui essayait de scanner à travers ses vêtements. En écartant les pieds dans une position ouvertement provocante, elle posa sa main droite sur sa hanche en saillie et dit :
«Jason, tu rêvasses et tu n'écoutes pas un seul mot. Pas étonnant si tu es le cancre de cette classe !»
Sachant qu'il avait été surpris en train de mater les seins de la prof, Jason ne fit rien pour dissimuler son intérêt pour ce corps parfait.
«Je vous écoute, Madame. Vraiment. J'essayais juste de mémoriser tout ce que vous dites si bien.»
«Tu mémorisais les choses importantes ? C'est ça, Jason?»
«Ouais ... euh, enfin, les points importants ... j'essayais ... enfin ...»
Nina se pencha ... en sappuyant dune main sur le bureau, elle promenait son décolleté plongeant sous les yeux du garçon. Les seins gonflés de silicone, pressés par le soutien-gorge balconnet, se balançaient doucement au gré des mouvements de la prof. Parfaitement consciente de leffet quelle produisait sur le jeune black, elle samusait à mesurer son degré démotion. En agitant encore un peu sa lourde poitrine, Nina demanda :
«Si vous écoutiez ce que j'ai dit, M. Jason, expliquez-moi quelle était le rôle de la ligne Maginot ?»
Incapable de lever les yeux, Jason crevait de chaud et son pantalon baggy était devenu subitement trop étroit. Les seins de Mme Novelle occupaient tout son espace visuel. Elle se penchait, et le poids de sa lourde poitrine tendait le fin tissu. Lentrebâillement du décolleté sélargissait, et Jason attendait avec joie et avec impatience que ces lourdes loches lui tombent dessus. Mon dieu
si elle se penchait encore un peu
un peu plus
sa bite durcie palpitait à létroit.
Mais la salope sest redressée et le toisait dun il furibard :
«Et bien, Jason. La Ligne Maginot, ça tinspire quoi ? Ou préfères-tu rester comme un idiot avec la bouche ouverte ?»
Les filles de la classe ricanaient, se foutaient du bellâtre qui les snobait en les traitant de gamines.
«Heu, ouais ... La Ligne Maginot, cétait une ligne de défense qui entourait Paris» chuchota Jason.
Les rires des filles se sont agrémentés de commentaires désagréables. Jason ne s'en souciait plus. Mme Novelle s'était penchée encore plus bas et lui laissait entrevoir laréole de son mamelon.
«Vraiment
une ligne de défense
Peux-tu me dire ce qu'était le phosgène, hum ?»
«Euh
ouais ... ouais ... le phosgène, cétait le truc qu'ils mettaient dans la nourriture pour donner du courage aux soldats, pour quils soient braves au combat !»
«Bien, très bien, enfin ... intéressant ... pour tout le monde, une feuille de papier, un stylo, interro surprise. Je veux que vous mécriviez ce quétait la ligne Maginot et le phosgène ... vous avez 15 minutes ... à partir de maintenant !»
Pendant que les élèves soupiraient en obéissant, Mme Nina Novelle sest assise sur son bureau. Ainsi perchée, elle avait une vue dégagée de lensemble des élèves, pour surveiller les tricheurs pendant les examens. Et les garçons des premières rangées avaient une vue imprenable sur les belles jambes de la prof.
Penchée en avant, les mains à plat sur le bureau, Nina offrait aux garçons une vue panoramique sur son décolleté plongeant. Les filles et les garçons qui nétaient pas proches du bureau de la prof rédigeaient leurs commentaires. Inutile de vous dire que les trois premières rangées ne pouvaient pas écrire et mater en même temps.
Cinq minutes après le début de l'exercice, Nina a ouvert son livre et l'a posé sur ses genoux. Elle ne pouvait pas résister. À vrai dire, elle na même pas essayé de résister. Lentement, elle a ouvert ses genoux pour que la vision de lintérieur de ses cuisses saméliore. Les garçons avaient des difficultés croissantes pour écrire.
Dix minutes après le début de lexercice, Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent distinguer la tache claire de sa culotte.
Aucun des garçons des premiers rangs ne tentait d'écrire quoi que ce soit. Jason, comme les autres garçons, fouillait du regard lentrecuisse de la prof, et de la main lentrejambe de son pantalon.
Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent voir sa culotte.
Plus que deux minutes, Nina a posé son bouquin sur le bureau, avant de se retourner pour faire face à la classe. Dans le mouvement, ses jambes se sont largement écartées. Puis elle a agité ses jambes dans le vide sans refermer ses jambes, comme une gamine qui ignore quelle montre sa culotte. Quand les 15 minutes se sont écoulées, elle sest levée. Certains garçons des premiers rangs avaient envie de gémir.
«Le temps est écoulé. Rendez vos copies. Maintenant» Les copies des garçons des premiers rangs étaient quasiment vierges.
La journée était terminée, les élèves se dirigeaient vers la sortie, quelques garçons s'attardaient dans l'espoir d'en voir plus. Nina a récompensé leur patience en se penchant par-dessus le bureau. Elle savait que le tissu de la jupette moulait parfaitement le galbe de ses fesses, en découvrant ses cuisses exposées. Jason fut le dernier à partir.
Rapidement, Nina sest précipitée vers les toilettes des dames. Une fois verrouillée à l'intérieur d'une cabine, elle a troussé sa jupette autour de sa taille et glissé sa culotte jusquaux genoux. Penchée au-dessus des toilettes avec le couvercle fermé, elle a plongé ses doigts dans sa chatte excitée.
Dents serrées pour ne pas gémir en frottant son clitoris brûlant, Nina imaginait Jason entre ses cuisses, sa bite sortie. Il l'alignait sur lorifice en attente. Son bassin a poussé en avant, enfouissant sa bite dans le vagin trempé. Il la baisait fort et vite ... giflant le cul de Nina avec son pubis.
Rapidement, Nina a connu un orgasme convulsif. Des jus coulaient de sa chatte volcanique tandis que ses hanches oscillaient d'avant en arrière dans des mouvements incontrôlés. Elle imaginait la bite noire de Jason projeter son sperme dans son vagin fertile.
Problèmes médicaux :
Après 20 ans darmée, son mari, Max, a pris sa retraite pour commencer une carrière civile dans le bâtiment. C'était un bon choix, mais un peu tardif. Toutes les horreurs qu'il avait vues sur les théâtres dopérations avaient imprégnées son esprit de manière irréversible. Ses cauchemars nocturnes ont atteint un tel niveau, quils lempêchaient dobtenir des érections. Peu de temps après, Max est devenu impuissant.
Au début, il essayait de câliner Nina avec le sexe oral et avec ses doigts, mais sa libido la finalement abandonné. Depuis, elle se masturbe ... elle chauffe les gars, et simagine être violée. Tout est bon pour exciter son imagination. Une fois, sa fille Charlène est entrée dans sa chambre, et l'a surprise en train de se soulager avec son vibreur. Nina l'a vue, mais elle était trop proche de l'extase pour s'arrêter. Charlène la regardée avec curiosité. Lorsque son orgasme a explosé, Nina simaginait avec la main de Charlène entre ses cuisses trempées.
L'impuissance de son mari n'était évidemment pas une bonne situation, mais Nina était si proche de la ménopause, quelle a pensé que cela réglerait le problème. Sa libido n'avait jamais été importante et, avec le début de la ménopause, elle a supposé qu'elle diminuerait, peut-être même jusquà disparaître.
Cependant, cela na pas fonctionné de cette façon. Au lieu de diminuer, sa libido a augmenté ... beaucoup trop ! De plus en plus souvent, Nina pensait au sexe, aux hommes, et à leurs bites dressées.
Nina se masturbait comme une collégienne, avec des fantasmes de plus en plus sauvages, dans des situations scabreuses. Rien ne la calmait. Les doigts ou les jouets vibrants sont de très mauvais ersatz. Rien ne remplace un homme couché sur soi et poussant furieusement sa bite dans votre chatte.
Formation Permanente :
Après des mois de frustration causé par l'impuissance de Max, et un nombre incalculable d'orgasmes masturbatoires, une formation de deux jours était organisée par léducation nationale, pour les enseignants, sous forme de conférences. Dans mon lycée, je n'avais pas remarqué avant que plus de la moitié des enseignants, et la plupart des administrateurs, étaient des hommes. Mais maintenant que je suis sevrée de sexe, j'ai remarqué immédiatement la forte proportion d'hommes présents à cette convention.
Alors que je mapprêtais dans ma chambre d'hôtel pour la soirée, j'étais tellement excitée que tout mon corps tremblait. Après tous ces mois de sevrage, il me fallait un mâle viril en moi. Jallais en choisir un, issu de mon milieu, un que je ne reverrais pas de sitôt. Ce nétait pas difficile de convaincre un homme de me satisfaire, loin de leurs femmes, ils sont tous les mêmes, de vrais chiens en chaleur, la difficulté cétait den trouver un bon.
La grande salle était bondée avec une majorité dhommes. Beaucoup dévisageaient les rares femmes présentes qui se groupaient comme pour se protéger. Jétais seule et donc exposée au regards concupiscents de ces messieurs. Beaucoup détournaient leur regard quand mes yeux rencontraient les leurs. Rares étaient ceux qui osaient soutenir mon regard en souriant. Ceux-là mintéressaient, et jessayais de deviner lequel pourrait me tenir compagnie cette nuit.
Occupée à choisir le mâle idéal, j'ai remarqué un homme séduisant et viril, dans la quarantaine, qui me regardait sans sourire. Quand je lui ai rendu son regard, il a pressé sa bite pour me montrer la taille de son désir. Le souffle court, je ne pouvais plus détourner mon regard. Soudain, il ma fait signe avec ses mains décarter mes jambes.
Subjuguée, sans prêter attention à lentourage, je me suis assise sur le bord d'une table, et jai levé ma jambe pour poser mon pied sur une chaise. Ma jupe fendue souvrit jusquen haut de mes cuisses, presque jusquà ma culotte.
Ce macho navait pas besoin dautre acceptation. Je frissonnais d'anticipation en le voyant sapprocher. Je gardais ma position. Il sest avancé presque à me toucher. Sa voix était basse et grave :
«Salut, je mappelle Ralph. Tu as l'air délicieuse. Tu sais que je vais te croquer, n'est-ce pas ?»
«Je ... je ne suis pas sûre ... je suis ... mariée» bégayais-je.
«Les femmes mariées sont les meilleures. Montre-moi tes seins»
«Pas ici. Il y a trop de monde. Je ne peux pas faire ça ici » protestais-je.
«Montre-moi tes seins . Maintenant. Ouvre ton chemisier et sors-les. Tu veux que je les voie. Tes tétons sont durs»
« ... »
«Réponds. Tes tétons bandent déjà, n'est-ce pas ?»
«Oui ...» ma voix était à peine audible.
«Montre-moi tes seins. Je ne le répéterai plus !»
J'ai ouvert deux boutons de mon chemisier, et jai sorti mes nichons des bonnets du balconnet. Mes tétons bandaient»
Ses doigts se sont refermés sur mes mamelons
il les a pressés
j'ai haleté
il les a tordu ... jai gémi. Il a tiré sur mes nichons maintenant lancinants pour me forcer à me lever. Mes gémissements sont devenus assez forts pour que plusieurs hommes à proximité se retournent. Il a demandé :
«Ta chambre ou la mienne ?»
«M'en fiche ! Emmène-moi où tu veux et baise-moi ... s'il te plaît !»
Ralph m'a entraînée vers lascenseur. Jai essayé de ranger mes seins dans mon balconnet, il a giflé mes mains :
«Laisse tes seins sortis. Remonte ta jupe plus haut !»
Je n'ai pas relevé ma jupe, des gens circulaient autour de nous et regardaient mes seins nus.
«S'il te plaît ... tout le monde regarde mes seins !»
«Remonte ta jupe plus haut sur tes cuisses !»
Jai obéi. Remontant ma jupe à mi-cuisses. Il a grogné : «Plus haut ... en haut des cuisses !»
J'ai troussé ma jupe plus haut, jusqu'à la limite de la décence, qu'elle dissimule au moins ma culotte. Il ma poussée devant lui, en direction de lascenseur, sa main sur mes reins. Les hommes que je croisais mataient mes jambes et mes seins.
Une fois dans l'ascenseur, Ralph m'a ordonné : «Trousse ta jupe à la taille !»
«Mais quelqu'un pourrait entrer ?»
«Jupe à la taille. Sinon tu vas devoir ôter ta culotte, en plus !»
Instantanément, j'ai obéi. Lorsque les portes de l'ascenseur se sont ouvertes, sa main était sur mon cul, à l'intérieur de ma culotte. C'est comme ça quil ma cornaquée dans le couloir, mes seins se balançaient librement, ma jupe troussée, et sa main sur mon cul. Une porte s'est ouverte et un couple d'âge moyen est apparu dans le couloir.
La femme m'a vu la première : «Regarde, chéri. Regarde cette salope. C'est une pute, n'est-ce pas ?»
«Mais non, chérie. C'est sa femme. Regarde ses bagues» dit son mari.
La femme nous barrait le passage : «Ce n'est pas votre femme, n'est-ce pas ?»
«Non. Elle est mariée, mais pas avec moi.»
«Et vous allez la baiser, n'est-ce pas ?»
«Bien sûr, plusieurs fois et longtemps !»
«Est-elle bonne au lit ?»
«Je ne sais pas encore. Je viens de la ramasser en bas !»
«Oh ... comme c'est excitant ! Tu ne trouves pas, chéri ?»
«Oh merde, oui ! Il vient de la lever, et il a déjà les doigts dans son cul !»
«Tu lui baises le cul, ici, dans le couloir ?» Il a demandé.
Avant que Ralph ne puisse répondre, la brune a ajouté :
«Bien sûr, il la doigte. Tu ne vois comme elle se cambre sur sa main ?»
Elle s'est baissée devant moi et, d'un seul mouvement, elle a glissé ma culotte sur mes cuisses. J'ai écarté mes jambes pour que le couple puisse voir les doigts agiles pomper dans ma chatte dégoulinante de luxure.
«Vas-y, Chéri. Tripote-la. Tu en meurs denvie. Je ne serai pas jalouse. Tu peux caresser cette salope sexy !»
Le mari a attrapé mon sein dune main et mon clitoris de lautre. La femme a serré mon sein libre et ma pincé le téton.
Je me penchais en arrière contre Ralph et poussais mon bassin en avant. Haletante, je sentais venir mon plaisir.
Presque synchrones, les doigts sur mes seins, mon clitoris et dans ma chatte uvraient pour mexciter. Sensuellement, jai glissé une main derrière moi pour masser de haut en bas son arbre palpitant. Pantelante, jambes écartées, mes gémissements encourageaient mes bourreaux à ignorer mes plaintes et mes dénégations. Les deux hommes ont joints leurs doigts dans ma chatte. Je suis venue instantanément de manière impétueuse.
Lorsque je me suis calmée, la femme a éloigné son mari :
«Laisse-la, chéri. Ce monsieur va baiser cette salope maintenant.» Elle tâtait lentrejambe de son mari.
«Tu ne vas pas pouvoir marcher avec ça dans ton pantalon, chéri. Reviens dans la chambre, je vais tarranger ça.»
Elle se tourna vers Ralph : «Ça ne vous dérange pas si mon mari utilise la bouche de cette salope ?»
«Mais bien volontiers. Vas-y. suce-le ... fais-le jouir !»
Sa femme a sorti sa bite, et je me suis accroupie pour prendre sa bite palpitante dans ma bouche. Il était énorme
dur ... gonflé de désir ... mon dieu ... comme jen avais envie !
J'ai pompé sa bite aussi profond que je pouvais. La partie que je ne pouvais pas mettre dans ma bouche, je l'ai branlée. Je lui ai massé les bourses pendant que je le suçais. Du coin de l'il, j'ai vu que Ralph avait sa main sous les jupes de la femme. Jambes écartées, ses hanches oscillaient pendant qu'elle me regardait sucer son mari.
Je nai pas eu besoin de le sucer longtemps. Il sest retiré :
«Garde la bouche ouverte !» Il a juté dans ma bouche ouverte en grognant. J'ai essayé d'avaler, mais il en avait trop, trop vite. Une grande partie a coulé sur mon chemisier. Quand il eut fini de se vider, la femme ramena son mari dans leur chambre pendant que Ralph me poussait dans la mienne.
«Sur le lit, écarte les jambes
mieux que ça !»
«Je peux pas. Ma culotte mentrave !»
«Tu veux que je tautorise à enlever ta culotte, n'est-ce pas ?»
«Oh, mon dieu, oui, sil te plaît !»
«Pourquoi ? Pourquoi le veux-tu ?»
Jétais à bout dimpatience et de désir. Je voulais quil me couvre, quil me prenne, quil me baise ...
«Pour que tu baises ma chatte de salope mariée et infidèle ... oh, s'il te plaît ... ne me fais plus attendre ! Je n'ai pas été baisée depuis des mois ... viens, sil te plaît !»
Ralph a lentement tiré ma culotte le long de mes jambes tremblantes de désir. Dès que jai pu, j'avais les jambes grandes ouvertes, et je levais mon bassin, moffrant à la saillie. Avec mes doigts, jai ouvert ma chatte pour que Ralph puisse voir l'intérieur.
Ralph a ôté ses vêtements et il a traîné son sexe rigide le long de ma cuisse recouverte de nylon, me rendant folle de convoitise :
«Oh ... ne me fais plus attendre ... mets-moi la
baise-moi !»
«Tais-toi ! Tu lauras quand je le déciderai !» Ma chatte a suinté encore plus fort quand j'ai entendu ça.
Lentement, la tête de Ralph descendit ... sa bouche se posa sur mon ventre, ses lèvres déposèrent de petits baisers sonores, puis sur mon pubis tandis que mes hanches se soulevaient, mes jambes s'écartaient encore plus, pour offrir ma chatte à ses baisers. Mais ses lèvres contournèrent habilement lobstacle, il embrassait et mordillait lintérieur de mes cuisses au-dessus des nylons, tandis que je gémissais de rage contenue.
Quand ses lèvres se sont posées sur mon clitoris, que sa bouche la sucé, que sa langue l'a fouetté, jai failli jouir à cause de la trop longue attente. Il lécha longuement ma chatte fendue, écartant mes lèvres pour me pénétrer avec la pointe de sa langue, ma vulve sest ouverte pour expulser mes jus. Lorsque ses lèvres se sont emparées de mon clitoris, pour le faire danser et palpiter dans sa bouche, jai été secouée par un long spasme de bonheur.
Ma chatte était un flot de ferveur palpitante lorsque je sentais sa lance prête à me pourfendre. Ralph a rapidement profité de mes hanches surélevées pour pousser un oreiller sous mes fesses. Avec mon bassin calé sur l'oreiller, mon cul et ma chatte étaient disponibles pour permettre à Ralph d'utiliser lun ou lautre, au gré de ses envies.
«Allez, viens maintenant, je suis prête ! Baise-moi ! S'il te plaît. Baise-moi !»
Le bâtard a ignoré ma supplique. Avec son doigt, il sondait ma chatte, me faisant gémir de famine. Puis, de nouveau, avec sa langue, il agaçait mon clitoris exacerbé, mes cuisses se sont pincées convulsivement autour de sa tête alors que mon deuxième orgasme éclatait.
Je retins mon souffle en le sentant aligner sa bite sur mon ouverture. Puis le gland boursouflé se pressa contre ma chatte, écartant les chairs, pour pénétrer au fond de mon vagin. Lémotion était trop forte, jai un un troisième frisson instantanément :
«Bon sang ! Tu ne mentais pas, Nina. Tu étais vraiment en manque. Je n'avais jamais vu une chatte jouir comme ça dès la première pénétration !»
«Oh, tais-toi ! S'il te plaît, ne parle pas et baise-moi ! Allez
Baise-moi !»
Ralph a fait glisser son pieu de chair dans mon puits damour, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Des bruits de baise emplissaient la chambre, je geignais, et mes plaintes entrecoupées de cris et de halètements le motivaient. J'ai crié encore plus fort quand j'ai senti deux doigts senfoncer dans mon cul, tandis que sa bite me fouillait la chatte.
J'ai perdu la notion du temps, et du nombre de fois, où la bite de Ralph ma fait crier de bonheur. Finalement, il sest effondré sur moi, en se vidant les testicules au fond de ma vulve. Il s'est reposé pendant un moment sur moi, mais mon cul et mes hanches n'ont pas cessé de se convulser, et je n'ai jamais cessé de le supplier de me baiser encore.
Finalement, il a roulé sur le côté, m'a attiré sur lui et ma dit : «Suce-moi, si tu en veux encore !»
Je l'ai sucé ... oh bon sang, je navais jamais sucé ainsi ... fort ... profond ... tout le long ... essayant désespérément de le remettre en forme, pour qu'il continue de me baiser, encore et encore. Cela n'a pas pris bien longtemps pour que sa bite soit raide de désir, et palpitante dans ma bouche. Je lai senti se tendre, ses bourses se gonfler, il était prêt à éjaculer.
Immédiatement, je l'ai lâché et je me suis mise en position sur le lit, à côté de lui, à quatre pattes, pour quil me prenne en levrette. En voyant Ralph se positionner derrière moi, j'ai crié : «Viens, viens là, vite !»
Posant ses mains sur mes hanches surélevées, il a présenté sa bite contre mon puits damour. Sa bite est entrée en moi, impérieuse, puissante, m'étirant et chassant lair dans un grand bruit de flatulence qui ma fait honte. Il grogna de plaisir en heurtant mon col au fond de ma vulve. J'étais déjà prête à jouir.
Il me baisait rudement, allant et venant à grands coups puissants, lorsque brusquement, il sest retiré entièrement, me faisant gémir et pleurer : «Non, reste, reviens, tu nas pas fini, allez !»
«Je n'ai pas encore eu ton cul, Nina. Ouvre-moi tes fesses !»
Même si j'étais certaine davoir mal, car il était très épais, j'ai quand même mis mes mains sur mes fesses pour mouvrir. Avec précaution, il ma doigtée, utilisant les jus qui suintaient de ma chatte pour lubrifier mon anus. Sa bite était déjà graissée de nos jus combinés. Quand je lai senti pousser contre mon sphincter, jai essayé de me détendre pour avoir moins mal. Javais déjà connu des hommes qui pratiquaient lanal, et je savais me comporter. Dès que le gland est entré, il s'est arrêté un instant, pour voir ma réaction, puis ma enculée profondément, dressé au-dessus de moi, poussant jusquà ce que ses boules heurtent mon cul.
Jai lâché mon cul pour poser ma main sur ma chatte, mes doigts frottant furieusement mon clitoris palpitant pendant que Ralph me baisait le cul avec détermination. À chaque poussée, ses couilles heurtaient ma chatte. Ralph me martelait âprement. Il me baisait de plus en plus fort, de plus en plus vite
J'ai hurlé quand ma chatte a giclé.
Je me suis réveillée tard, vers 10 heures le lendemain matin. Ralph était parti juste après m'avoir baisé le cul. J'étais trop épuisée pour l'embrasser ou le remercier. Au réveil, j'ai passé une demi-heure à tremper dans la baignoire, et une autre demi-heure à me pomponner, pour masquer les ravages de la veille.
En déjeunant, je me suis aperçue que, malgré le sexe intense de la veille, ou peut-être à cause de ça, jobservais toujours les hommes. Chaque homme séduisant et sexy que je voyais, jestimais la taille et l'épaisseur de sa bite, et comment il pouvait se comporter au lit. Bientôt, ma chatte était humide et prête pour plus de sexe.
Le conférencier :
Lorsque les conférences de l'après-midi ont commencé, je suis arrivée tôt et j'ai pris place au premier rang. Pendant la première heure, j'ai écouté des discours ennuyeux. Aucun des intervenants insipides qui se sont succédé à la tribu na prêté attention à mon physique. Ni mes jambes croisées haut, avec ma courte jupe, ni mon décolleté bien garni, ils nont pas marqué le moindre intérêt. J'étais sur le point de partir lorsqu'un jeune professeur noir, dans la trentaine, est monté sur lestrade pour faire une présentation.
Alors qu'il installait son ordinateur portable, ses yeux allaient et venaient entre son matériel et mes cuisses. Presque instantanément, jai ressenti une émotion. Avec des bruissements de papillon dans le ventre, j'ai exalté son intérêt en troussant ma jupe un peu plus haut. Comme si nous étions seuls au monde, un dialogue muet sinstallait entre ses yeux et mes cuisses.
Lorsque sa présentation a commencé, j'avais ma jupe à mi-cuisses. Il arpentait la scène, en essayant de distinguer entre mes jambes hermétiquement croisées. Alors progressivement, lentement, jai remonté un peu ma jupe en croisant et décroisant mes jambes. Bientôt, il se réfugia derrière le pupitre pour dissimuler son érection grandissante.
Pour augmenter son inconfort, jécartais progressivement mes jambes ... un peu plus ... jusqu'à ce qu'il séponge le front en sueur. Alors, je me suis penchée en avant, lui donnant une superbe vue sur mes seins. Son regard devenait fou, et ses commentaires aléatoires.
J'avais des envies mélangées ... mon côté garce voulait lexciter pour quil jouisse dans son pantalon ... mon côté chienne redoutait qu'il gaspille sa marchandise.
Quand on est passé aux questions, après sa conférence, j'ai levé la main pour attirer lattention de lorateur.
«Oui, Mademoiselle ?» demanda-t-il en dévisageant directement mon fond de culotte.
«Je suis Mme Nina Novelle, professeure dhistoire. Jaimerais éclaircir certains points avec vous ... serait-ce possible davoir un entretien privé avec vous ?»
«Absolument ! Je me tiendrai à votre disposition après mon intervention.»
«Je vous en remercie, professeur. Merci.» J'ouvris un peu plus mes jambes, afin qu'il ne persiste aucun doute dans son esprit sur laide que jespérais de lui.
Quelques minutes plus tard, dans un salon privé, le professeur noir cherchait comment il pouvait maider :
«Bien, Mme Novelle, c'est un plaisir de vous rencontrer. Comment puis-je vous aider ?»
«Vous pouvez maccompagner dans ma chambre, ou dans la votre, et passer le reste de l'après-midi à me baiser.»
«Bien. Voilà une attaque directe. Êtes-vous toujours aussi directe ?»
«Nous n'avons qu'un après-midi et je ne veux pas perdre mon temps en mondanités. Êtes-vous daccord ?»
«Entièrement daccord avec vous, Mme Novell.»
«Nina, mon chéri. Tu vas me baiser, alors tu peux me tutoyer et utiliser mon prénom, OK ?»
«OK. Mon prénom est Georges. Enchanté de faire ta connaissance.»
«Écoute. Si nous restons assis ici à discuter, tu nes pas près de me baiser. Jai la chambre 905. Tu me suis ?»
«Tu devrais y aller seule. Je te rejoindrais dans quelques minutes.»
«Hum, bien. Es-tu en forme ?» Jai mis la main sur son érection. «Waouh ! Bel objet !»
«C'est de ta faute !» murmura-t-il. C'était maintenant son tour. Sa main explora sous ma robe, j'écartais les jambes pour lui : «Ta culotte est trempée !»
«C'est de ta faute !»
«Jai envie de te doigter ici, dans ce salon, quen penses-tu ?»
«Je dirais
Ne te gêne pas» Ses doigts écartèrent ma culotte pour glisser jusqu'à ma chatte. Il les a fait coulisser de haut en bas dans ma fente humide. Je savourais sa dextérité.
«Hum ... Ne t'arrête pas !»
Ses doigts ont exploré minutieusement ma chatte. J'avais de la chance ... C'était un expert qui aimait prendre son temps pour satisfaire les femmes. Je tremblais de passion lorsqu'il maniait mon clitoris. Ses doigts savants et habiles l'avaient capturé, et mon clitoris tressautait et palpitait démotion.
«Mais ... Tu as
jouis !»
«Cétait un apéritif bien agréable. Merci. Je vais à la chambre 905. Ne me fais pas attendre ...»
Georges était incroyablement bien équipé pour plaire aux dames, long et épais. J'ai dû étirer ma bouche suceuse le plus largement possible pour le prendre. Ma main avait du mal à en faire le tour.
«Oh ... tellement bon ! Je suis sur le point de jouir ! Penche-toi sur le dossier du canapé. Maintenant !»
Je découvrais que j'aimais être dominée par un mâle viril. Quand un ordre me fustigeait, il se produisait un remue-ménage au fond de ma chatte. Je me suis penchée en un éclair. Linstant suivant, la bite de Georges massaillait. J'ai crié de plaisir lorsque son pieu de chair ma ouverte en deux en me pénétrant.
Il a été surpris de sentir ma vulve se contracter et emprisonner sa bite. Bien que sa jouissance soit imminente, il avait supposé que je finirais la première. Faux ! J'étais volcanique, mais après quelques coups de bite, son éjaculation a fait crépiter ma chatte. Il ma entraîné dans son extase, dans un concert de cris et de grognements, avant de sabattre sur moi, vaincu et repus.
«Désolé. Je ne tai même pas demandé si j'avais besoin de porter un préservatif.»
«Tout va bien. Je suis saine et protégée. Viens, bébé, allonge-toi sur le lit, que je moccupe de cette belle bite. Jen veux encore.»
Jai profité de sa détumescence partielle pour le faire pénétrer en partie dans ma gorge. Je ne pouvais pas lenfoncer profondément, mais cela augmentait ma capacité.
«Jadore voir ton cou se gonfler à chaque fois que tu gobes ma bite !»
Quand il était redevenu tendu, je l'ai enfourché. Jai posé ma chatte sur sa bite dure, et je lai frottée tout le long de ma fente en agitant mes hanches. Pendant quelques instants délicieux, j'ai brossé mon ouverture contre son pieu damour. Puis, lentement, je me suis laissée couler le long de sa tige jusqu'à être complètement empalée.
Je l'ai baisé. Fort et vite, en heurtant mon pubis sur le sien. Comme une cavalière déchaînée qui monte un pur-sang de concours. Puis je mimmobilisais, le retenais en moi, contractant mes muscles vaginaux, mon périnée, jusqu'à ce qu'il me supplie de le baiser.
Je recommençais ma chevauchée fantastique, jusquà ce quil recommence à grogner, soulevant ses hanches pour mempaler. De nouveau, je me suis arrêtée. Pour quil me supplie. Jai recommencé ce processus plusieurs fois, jouant avec sa patience. Je me sentais puissante en dominant ce bel étalon noir.
Pendant longtemps, j'ai maintenu Georges au bord du jaillissement. Mon impudeur, mon cynisme, le rendait fou de désir. À la fin, ny tenant plus, il ma basculée sur le dos pour me baiser comme un hussard.
Après cette session de l'après-midi, Georges devait rentrer chez lui, retrouver sa petite femme qui l'attendait. Je passais une dernière soirée à l'hôtel, mais la plupart des participants étant partis, je n'avais pas grand espoir de trouver un camarade de jeu pour la nuit.
J'étais en train de mapprêter pour le dîner, lorsque le téléphone sonna. Jespérais que ce soit Max, mon mari, pour prendre de mes nouvelles, mais j'ai reconnu la voix de Ralph :
«Tu retournes chez toi ce soir, ou demain matin ?»
«Demain matin»
«Bien. Mets ta tenue la plus sexy, je temmène dans un endroit amusant. Pas de culotte. Retrouve-moi dans le hall, dans trente minutes.» Et il a raccroché.
J'ai retrouvé Ralph dans le hall, qui sest incliné pour un baise-main : «Tu es très en beauté !»
La main au creux de mes reins, il m'a entraînée jusquà sa voiture, ma galamment tenu la porte ouverte et, pour le remercier, je lui ai offert le spectacle de cuisses nues, au-dessus des nylons, en me glissant sur le siège passager. En sinstallant au volant, il m'a regardée :
«Remonte ta jupe à la taille !»
Jusqu'au restaurant, il a conduit avec la main entre mes cuisses, en doigtant ma chatte. Il a arrêté sa voiture devant un relais routier. Jétais un peu dépitée. Javais imaginé mieux.
Il ma conduite à lintérieur du restaurant avec sa main sur mes reins. Ma jupe était si courte que je craignais de montrer à lassistance une partie importante de mon anatomie. Quelques types traînaient près de la porte dentrée. En passant devant eux, Ralph a saisi lourlet de ma jupe et la remonté à ma taille, découvrant mon cul nu aux regards. Il y a eu des quolibets et des sifflets :
«Hé, mec. Fais-nous voir la chatte de ta pute !»
«Tas entendu, Nina. Les désirs de ces messieurs sont des ordres !»
Je me suis retournée, souriante, jai troussé ma jupe jusqu'à la taille pour leur montrer ma chatte épilée, en leur faisant un doigt dhonneur.
Le menu était simple, hamburger-frites-bière. Visiblement, Ralph ne mavait pas emmenée dans cette gargote dans un but gastronomique. Pendant que nous mangions, les tables voisines se remplissaient dhommes. Ils semblaient tous avoir un grand intérêt pour mes jambes, espérant peut-être ...
«Tous ces hommes me regardent» ai-je chuchoté à Ralph.
«Ils veulent revoir ta chatte !»
«Peut-être que nous ferions mieux de partir avant qu'ils ne me violent» ai-je suggéré.
«Tu ne crains rien ici, Nina. Beaucoup de femmes viennent ici pour se faire baiser, cest un endroit réputé. Mais aucune ne sest faite violer. Jamais. Regarde les deux gros malabars à côté du bar ... ce sont des videurs. Si tu nest pas consentante, personne ne te touchera. OK ?»
«Ouais, bon. Je suppose que je suis en sécurité.»
Ralph m'a emmenée sur la piste de danse où il ma fait virevolter, ce qui faisait voler ma jupe jusqu'à mes fesses. Les hommes se sont déplacés, bière en main, pour sinstaller aux tables entourant la minuscule piste de danse.
«Ralph ! Tout ces hommes qui me regardent ! Ma chatte est un vrai marécage !»
«Un type se dirige vers toi, Nina. Un noir. Il veut probablement tinviter à danser. Voudras-tu ou pas ?»
«Si tu me le demandes, Ralph !»
«OK, danse avec lui. Laisse-le taguicher, emmène-le dans la voiture sur le parking, et baise-le !»
«Je ne veux pas être baisé ici. Par aucun de ces hommes. Cest toi que je veux !»
«OK. Pas de problème. Tu lui diras que tu ne baises pas ... cest juste nul. Quand il temmènera au parking, suce-le. Ensuite, je te raccompagnerai à l'hôtel...»
J'ai conduit Ibrahim à travers le parking sombre jusqu'à notre voiture. Il avait sorti mes seins de mes bonnets quand nous dansions, et ils se balançaient librement. Il maintenait ma robe troussée avec ses deux épais doigts noirs enfouis dans ma chatte. Ses doigts qui me baisaient lentement, presque distraitement, nonchalamment. Javais du mal à marcher. Je voulais juste m'allonger, et écarter les jambes pour ce putain de taureau noir.
«La voiture est juste là. Dépêche-toi !»
«Baiser une poulette sur le siège arrière d'une voiture, cest bon pour les gamins. Jai une chambre au motel, là derrière. Suis-moi, poupée !»
Avec ses doigts agrippés dans ma chatte, je n'avais pas d'autre choix que de le suivre.
Dans la chambre, il sest déculotté et ma tendu sa bite : «Suce-moi, pétasse ... Grouille-toi !»
J'ai été stupéfaite par la taille de son engin. Peut-être plus gros que Georges
et un peu plus grand !
Agenouillée, j'ai pris son énorme braquemart dans ma main et j'ai commencé à le branler. Ibrahim n'a pas du tout aimé cela : «Ne me branle pas, salope ... suce-moi !» Ma chatte s'est durement convulsée à l'idée dêtre traitée comme une putain bon marché.
Ouvrant ma bouche aussi largement que je pouvais, j'ai gobé plusieurs centimètres de bite. Même pas le quart de la longueur et déjà le gland appuyait contre ma glotte. Ibrahim a posé ses mains derrière ma tête, et il a tranquillement poussé sa queue dans ma gorge. Je me suis étouffée et jai tenté de m'éloigner, mais il a maintenu ma tête en place. Au moins, il a arrêté daugmenter la pénétration jusqu'à ce que mes nausées se calment.
Les hommes étaient agglutinés à la fenêtre de la chambre. Ralph était en première ligne. Tous regardaient lénorme pieu de chair noire disparaître dans ma bouche. Étonnamment, je navais plus de nausées. Lentement, Ibrahim l'a ressorti presque entièrement, puis il est entré à nouveau. Plus loin, encore plus profond. Mes yeux sécarquillaient. Ma gorge se gonflait sous lénorme pression. Ibrahim a maintenu ma tête en place pour me baiser dans la gorge.
«Bien, très bien, petite. Maintenant montre-moi comment tu sais sucer une grosse bite !»
Ma gorge semblait élastique en allant et venant sur la grosse bite noire. Plus de nausées. Ibrahim a commencé à grogner en sentant sa bite palpiter dans ma gorge.
«Oh merde! Quelle pompe suceuse ! Sale pute ! Salope ! Ah, prends tout, putain ! Suce, bébé, suce-moi !»
J'ai continué de le sucer après que sa crème soit descendue dans mon ventre. Pour le remettre en forme, et parce que je ne voulais pas quil me baise avec sa grosse bite. Mais Ibrahim avait une autre idée en tête.
«Je vais te baiser, bébé.» Il a sortit sa bite de ma bouche et me poussa sur le lit.
«Ralph t'a dit que je ne baise pas, je ne fais que sucer !» je protestais, mais il écartait mes jambes en poussant mes genoux contre mes seins.
«Ouais, cest ce quil a dit !» Mais il sest allongé sur moi.
Quand j'ai senti la grosse bite pousser contre mon ouverture, j'ai bandé mes muscles en essayant de m'éloigner, mais c'était peine perdue. Il m'avait épinglée sur le lit, les jambes en lair. Il poussa fort et la grosse bite entra. Jai hurlé en le sentant mouvrir en deux. Jétais sûre quil mavait déchirée. Définitivement estropiée.
Ibrahim a fait une pause, le temps que je mhabitue. Il me parlait à voix basse, membrassait pour que je me calme. Doucement, insensiblement, il rentrait plus profond. Il mouvrait, et ma chatte mielleuse coulait de plaisir
Ibrahim a commencé à me baiser avec des coups lents et profonds. J'ai frissonné de plaisir.
Longtemps, sans changer de rythme, patiemment, il ma amenée où il voulait. Maintenant, cest moi qui gémissait, le suppliait de me baiser plus fort, plus vite. Insensible à mes suppliques, même pendant ma jouissance, il a conservé le même tempo. Je suis venue plusieurs fois avant quil ne se soulage au fond de ma vulve. Mais, là encore, sans changer son mouvement, toujours tranquille.
Ralph ma ramenée à notre hôtel. Toujours troussée, cuisses ouvertes, il ma bricolée tout le long du chemin. Quand nous sommes entrés dans l'ascenseur, il m'a ordonné de me pencher et d'attr mes chevilles sans plier mes jambes. Il ma prise en levrette, debout dans lascenseur. Il a arrêté lascenseur entre deux étages, et il ma baisée. Son sperme, mélangé à celui dIbrahim, coulait de mon vagin ruisselant.
Ces deux jours passés loin de mon mari impuissant, à me faire baiser par des étalons bien équipés, mavaient appris une chose. Je préférais quand le partenaire prenait le contrôle. Il pouvait être brutal, autoritaire, pervers, cela mexcitait et jétais heureuse dobéir. Je savais maintenant que je devais rechercher ce type de partenaire.
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