Déchéance D'Un Mari Infidèle 2 - Nouveau Job Et Nouvelles Règles
Episode précédent : en découvrant mon infidélité ma femme Agnès me donne le choix entre la prison et la soumission. Ma vie sen trouve bouleversée, pour le pire
Je dormis très peu cette nuit-là. Javais réglé mon réveil sur six heures, le temps davaler un petit déjeuner, de prendre une douche et de mhabiller et jétais prêt. Javais vécu un moment difficile et humiliant en me rendant aux toilettes et en constatant quavec la cage de chasteté jétais condamné à uriner assis et à travers la cage. Je my résolus néanmoins. Je me demandais longuement si joserais aller réveiller Agnès pour lui demander de menlever la cage et je finis par me décider. Jai entrouvert la porte de notre chambre après avoir frappé très légèrement et je suis entré. Agnès était déjà réveillée, elle consultait son smartphone assise au milieu du lit, bien calée contre les oreillers.
- À lavenir tu feras moins de bruit en te préparant, je ne veux rien entendre. En attendant tu mapportes un café.
Le ton de la journée était donné et protester aurait été inutile, autant ne pas la fâcher davantage. Jallais donc préparer le café à la cuisine et revins lui porter. Je restais debout à côté du lit pendant quelle buvait les premières gorgées.
- Eh bien, que fais-tu encore là, tu as décidé dêtre en retard pour le premier jour de ton nouveau job ?
- Agnès je voulais te dire que jallais faire des efforts et que
- Tu mas déjà dit ça hier soir, il faudrait que tu perdes cette habitude de parler pour ne rien dire !
- Cest à propos de la cage de chasteté, tu sais
Est-ce que tu veux bien me menlever ? Dans la journée au travail ça ne va pas être pratique, et pour marcher non plus, tu comprends ?
Elle soupira, reposa sa tasse sur la table de chevet et me regarda. Dans ses yeux je ne voyais que du mépris et de la colère.
- Approche
.
Je mapprochai, mes genoux touchaient le bord du lit. Elle posa sa main sur mon pantalon, à lendroit de mon sexe encagé, comme pour me caresser.
- Est-ce que cela répond à ta question, imbécile ?
Javais bien compris et jétais encore tétanisé de douleur.
- Je nentends rien ?
En pleurnichant je répondis
- Oui Agnès jai la réponse à ma question
- Alors tu vas pouvoir aller travailler, et dis-toi que je déciderai à quel moment je veux tenlever la cage alors ce nest pas la peine de le demander.
Je suis parti au travail sur ces paroles. Le trajet, à pied comme me limposait Agnès, fut horriblement long. Sans être très douloureux, le port de la cage est très pénible, surtout pour marcher et encore plus pour marcher vite. A cela sajoutaient encore les effets de la que mavait fait endurer Agnès ce matin. Jarrivais au bureau déjà épuisé par cette journée, et il nétait que neuf heures du matin.
Je ne vais pas raconter ici le détail de cette journée, mais en voici les grandes lignes. Nadia me reçut dans mon propre bureau de Directeur, et elle était assise dans mon fauteuil. Mes quelques affaires personnelles étaient dans la poubelle. Elle prit un malin plaisir à mexpliquer à quel point Agnès était une femme bien, quelle regrettait davoir fait souffrir en acceptant de coucher avec moi. Mais que tout cela était du passé et quelle serait désormais loyale à cent pour cent à ma femme.
Puis vient lexposé de mes nouvelles tâches, en résumé je devais faire tout ce que les autres ne voulaient pas faire : secrétariat, archives, classement, rangement, rédaction de dossiers, calculs interminables
sans oublier une heure et demi de ménage en fin de journée.
Je devais respecter un ensemble de règles, notamment ne plus porter de costumes car ce vêtement nétait pas adapté pour les secrétaires du bas de léchelle. Il me fut précisé quAgnès soccuperait de me trouver les tenues adaptées. Je devais également rendre compte de mes actions et demander ses ordres à Nadia toutes les heures. Je maperçus bientôt que cétait non seulement avilissant mais également fatigant, car je devais surveiller la pendule en permanence. Jétais en réalité complétement infantilisé puisque lon me confiait les tâches les plus simples et les moins valorisantes, tout en me refusant toute autonomie. Ensuite Nadia memmena minstaller dans mon « nouveau bureau ». Il sagissait en réalité dun local de deux mètres sur trois, mitoyen du bureau directorial, où était auparavant installé le photocopieur, déplacé depuis dans une autre pièce. Le local navait pas de fenêtre et une ouverture sans porte, il était encombré de vieux dossiers et de matériels cassés que javais interdiction de déplacer. Une petite table et une chaise inconfortable avaient été installées pour moi, ainsi quune lampe de bureau.
Nadia conclut cet exposé en me précisant que compte tenu de mes « petites contraintes » dont lui avait parlé Agnès, jétais autorisé à utiliser les toilettes femmes pour mes petits besoins. Jen avais même lobligation. Et elle souriait franchement en mexpliquant cela, manifestement excitée de me montrer quelle savait que je portais une cage sous mes vêtements.
La matinée fut très longue, je passais plusieurs heures à numériser de vieux dossiers poussiéreux. Chaque heure jallais dire à Nadia où jen étais et bien entendu elle trouvait que cela navançait pas assez vite. Elle mexpliqua en faisant semblant de le regretter quelle était obligée de me fixer un objectif puisque je ny mettais pas la moindre bonne volonté. Et bien sûr lobjectif quelle mimposa était complétement inatteignable.
Quand arriva la fin de la matinée arriva jétais en pleine dépression et javais les larmes aux yeux, jétais prêt à faire nimporte quoi pour que Nadia relâche la pression, et je me surprenais à espérer ne serait-ce quun tout petit compliment. En quelques heures les efforts conjugués de ma femme et de mon (ex) maîtresse avaient fait de moi une lopette sans caractère. Et la perspective de me retrouver au tribunal puis en prison si je me rebellais menfonçait encore davantage la tête sous leau.
Estimant je suppose que mon anéantissement nétait pas encore total Nadia me fit venir dans son bureau en fin de matinée :
- Agnès ma appelée pour que je vérifie que tu portes bien toujours ta petite cage, ça ne te dérange pas jespère ?
Je ne pus réprimer un mouvement dhumeur :
- Tu te doutes bien que je la porte, il me semble que je nai pas vraiment le choix !
Son ton se durcit immédiatement :
- Je te conseille de me parler autrement, noublie pas que tu nes plus rien et que cest moi qui donne les ordres ici ! Allez, montre-moi comme ton petit oiseau est toujours encagé !
Alors jai ouvert mon pantalon et lai baissé un peu, et jai tiré mon boxer vers le bas, dévoilant la cage.
- Tu es contente comme ça ? Je peux me rhabiller ?
Elle fit la moue :
- On ne voit pas très bien
Ce quon va faire cest que tu vas complétement baisser ton pantalon et ta culotte, jusquaux chevilles. Et si tu obéis bien je dirai à Agnès que tout va bien et que ce nest pas la peine de te punir ce soir, tu vois ?
Cette salope prenait son pied à mhumilier et moi jai obéi, je me suis retrouvé nu de la taille aux chevilles, mais ça ne lui a pas suffi.
- Cest très mignon, tu vois que tu peux être très docile quand on te motive. Allez, reculotte-toi et va travailler.
Je suis retourné scanner les vieux contrats. A midi tout le monde est parti déjeuner, je suis resté seul et je me suis aperçu que je navais pas un sou, Agnès mayant confisqué tous mes moyens de paiement. Je lappelai depuis mon portable et lui expliquai la situation. Jai réalisé quinconsciemment javais adopté un ton respectueux et timide et cela me dégoûta de moi-même.
- Mais bien sûr que tu nas pas dargent pour aller déjeuner, et tu mappelles pour ça ? Dabord tu es puni, Nadia ne ta pas trouvé très productif ce matin, en sautant le déjeuner tu pourras rattr un peu de ton retard. Et puis je trouve que tu as pris du gras ces dernières années, tu vas faire un petit régime, on en reparlera plus tard. Tu as bien compris ?
Javais effectivement compris. Javais même compris que jallais payer très très cher mon infidélité. Juste avant de raccrocher elle jugea utile den rajouter une couche :
- Au fait quand Nadia reviendra tu lui donneras ton téléphone, ça tévitera de mappeler pour rien. Je tinterdis également dutiliser internet, tu serais capable de regarder des sites cochons il ne faudrait pas que ça texcite. Et ne tinquiète pas, tu es seulement au tout début de ta punition.
Laprès-midi a ressemblé à la matinée, jai donné mon téléphone à Nadia et elle ma imposé un nouveau contrôle du port de la cage, tout aussi dégradant que celui du matin. Jai dû servir des cafés à mes anciens collaborateurs, faire leurs photocopies, essuyer leurs moqueries, du style « merci la petite secrétaire » et autres plaisanteries douteuses.
Ma journée de travail se termina par le ménage, une heure et demi à essuyer la poussière, passer laspirateur, laver les sols, et bien entendu nettoyer les toilettes. Je priais pour que personne nentre au moment où je récurais les cuvettes et les urinoirs mais évidemment ce fut un vrai défilé, et chacun y alla de son commentaire ironique. Au moment où jallais enfin quitter lagence Nadia voulut vérifier le nettoyage des toilettes et bien entendu jai dû recommencer le nettoyage de la moitié des cabines. Accroupi devant les cuvettes je frottais lémail avec une éponge pendant que la nouvelle directrice de lagence, mon ex maîtresse qui quelques jours plus tôt gémissait sous mes coups de reins, me regardais avec tout le dédain possible. Elle me libéra enfin sur une dernière vacherie :
- A partir de demain il faudra porter la blouse de la femme de ménage, je ne voudrais pas que tu te salisses !
Je suis rentré à pied à la maison, en ruminant ma déchéance qui ne faisait que commencer.
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