Laurent
Laurent,
Nous étions trois employés de maison à travailler pour M. et Mme Bertino : Mara et André, qui étaient à leur service depuis plusieurs années, et moi, Laurent, embauché à lessai depuis presque trois semaines. Mara gérait les repas et le ménage, quand à André il soccupait des extérieurs et du bricolage. Mes fonctions étaient dévolues à lentretien de tous les véhicules (autos, tondeuses, scooter, etc
), éventuellement faire le chauffeur, et seconder Mara pour le ménage.
Daniel Bertino était Directeur dune grosse société française, et presque toujours en déplacement, en France ou à létranger. Son épouse Aude était cadre dans une grande entreprise, et finissait ses journées assez tard. En général, Monsieur était tous les week-ends à la villa « le Rollias », nom quils avaient donné à leur demeure. Aude et Daniel avaient une bonne quarantaine dannée, tout comme Mara, André et moi. Ils avaient eu une fille assez tard, Juliette qui avait dix huit ans, et était dans un lycée privé non loin de là.
Nous étions logés dans un petit pavillon indépendant et avions assez vite sympathisé entre personnel. Mara et André vouaient un profond respect à leurs employeurs, qui, daprès ce quils mavaient dit, étaient de bons patrons : pas trop stricts mais pas laxistes non plus. Si on faisait bien notre boulot, ils ne nous embêtaient pas trop. Le seul truc était quil fallait toujours dire oui, même si ce quils demandaient était un peu loufoque ; Quitte à se justifier après si ce nétait pas fait. Quand à Juliette, je ne savais pas trop quoi penser delle, Mara et André avaient été guère loquaces à son sujet. Daprès le peu que javais pu me rendre compte, ce nétait pas une « gosse de riche » pourrie gâtée. Elle respectait le personnel, mais sans marquer de familiarité.
De toutes les maisons que javais faites, et du peu que jaie pu en voir, cest dans celle-ci que je me sentais le mieux.
Pour linstant je navais que deux choses en tête : savoir si les Bertino allaient membaucher, et cerner un peu mieux la jeune Juliette. Pour la première inquiétude jétais assez confiant, Madame me félicitait assez souvent pour mon travail, et pour la seconde, jai rapidement appris à connaître Mademoiselle Juliette.
Cela sest passé un jeudi matin, Mara mavait demandé daller nettoyer immédiatement la salle de bain de Mademoiselle Juliette. Confiant, jentrai sans précaution particulière : Mara mavait dit « immédiatement », je ne pensais pas du tout y trouver Juliette.
A peine entré, un drôle de spectacle me surprit: Juliette était assise sur le rebord de sa baignoire, une main qui taquinait un de ses têtons, et un doigt de son autre main, qui faisait de doux aller retour entre ses cuisses écartées. Heureusement quelle fermait les yeux, car je mis plusieurs secondes à marracher de cette stupéfiante vision, et me dire que je ne devais pas rester là.
Alors que je reculais en essayant dêtre le plus discret possible, elle ouvrit les yeux, et me fusilla du regard.
- Ben alors, faut plus se gêner espèce de pervers.
- Excusez-moi Mademoiselle, je ne savais pas que vous étiez là.
- On ne vous a pas appris à frapper avant dentrer.
- Je suis sincèrement confus, cela ne se reproduira plus.
- Je lespère bien. Cela aurait pu être ma mère qui était là.
Cétait sa salle de bain à elle, sa mère ne laurait jamais utilisée, mais je naurais pas osé le lui faire remarquer.
- Même pas trois semaines que vous êtes à notre service, et vous jouez déjà les voyeurs. Cela ne va pas plaire à maman.
Je me jetai à genoux devant elle en limplorant :
- Je vous en supplie, ne lui dites rien.
- Je vais y réfléchir, en attendant : sortez tout de suite.
La situation avait duré deux ou trois minutes, et jamais Mademoiselle navait cherché à cacher sa nudité.
Je passai une très mauvaise fin de journée, car je ne saurais rien avant le retour de sa mère, ou au pire le lendemain.
La nuit fut aussi désastreuse, je nai pas du fermé lil. Cette place était une vraie bénédiction, et je la regretterais toute ma vie si je nétais pas embauché.
Le lendemain matin je respirai mieux en voyant partir Aude à son travail, Mademoiselle navait rien dit à sa mère : Pourquoi ?
Dans la matinée, Mara mannonça que Mademoiselle Juliette mattendait dans le salon. A peine fus-je entré quelle mannonça :
- Comme vous mavez vu nue, il ny a pas de raison pour que je ne me venge pas en vous voyant dans la même tenue.
Jétais estomaqué et ne savais pas comment réagir : me mettre nu devant cette gamine, ou perdre ma place.
- Tattends quoi ? Me dit-elle en adoptant derechef le tutoiement.
Je neus pas le loisir de réfléchir très longtemps, je voulais cette place. Jenlevai mes vêtements sauf mon boxer.
- Tu retires tout.
Par un reflexe naturel, mes mains vinrent se placer devant mes attributs.
- Ôte tes mains de là, tu me caches le plus intéressant.
Une fois quelle put admirer entièrement mon anatomie, elle continua :
- Tu sais que tu mas surpris dans mon activité préférée, alors tu vas faire pareil. Ici, cest donnant donnant.
Cette gamine était vraiment démoniaque, et elle savait ce quelle voulait.
Lentement ma main prit mon sexe et commença de le caresser. Juliette souriait, car elle allait obtenir ce quelle voulait.
- Jusquau bout me précisa-telle.
Lorsque je me libérai enfin, elle quitta le salon en rigolant, et en me disant :
- Pour cette fois, tu peux prendre ton mouchoir pour nettoyer.
Lorsque je la croisai un peu plus tard, elle mannonça :
- Je tattends à 14 heures au salon.
A lheure dite, je me présentai pour la seconde fois de la journée dans le salon. Cette fois lentrevue fut beaucoup plus rapide, Mademoiselle mexpliqua simplement :
- Tu viendras me rejoindre dans ma chambre dans une heure dans la même tenue que ce matin. Et puis jai horreur des poils, comme maman. Précisa-telle. Alors rases toi bien correctement, et partout.
Comme je ne portais ni barbe, ni moustache, je compris immédiatement à quels poils elle faisait allusion. De même que celle avec sa mère.
Cette fille était décidément terrible. Est-ce-que cet emploi valait bien ces moments de déshonneur pour moi ?
Une heure plus tard, je mapprochai de la porte de la chambre avec une certaine fébrilité. Malgré la honte qui me taraudait, javais pesé le pour et le contre, ma décision était prise, je voulais garder cet emploi quelque soit le prix moral à payer.
Cest donc entièrement nu, et glabre de partout que je me présentai devant Mademoiselle.
Cest avec un large sourire quelle mannonça :
- Tu es très obéissant, je suis content de toi. Jai de moins en moins envie de parler de ce petit incident à ma mère. Mais tu dois toujours continuer à te montrer bien discipliné, si tu veux que cela reste entre nous.
Après un petit silence, elle enchaîna :
- Ta petite séance de ce matin ma mis leau à la bouche. Tu vas recommencer une nouvelle fois, mais avec une petite différence : tu ne te serviras pas de ton mouchoir pour nettoyer. Comme je suis trop bonne, je te laisse le choix : soit tu te libères devant toi comme ce matin, mais cette fois tu nettoieras tes traces avec ta langue, soit tu te laisses aller dans ta main, et tu lècheras tes doigts ensuite. Comme tu veux.
Le choix ? Cétait vite dit : dans tous les cas, il fallait que javale ma semence.
Je commençai à me demander si je naurais pas mieux fait de tout refuser depuis le départ. Jusquoù irait-elle ?
Alors que je réfléchissais aux choix quelle mimposait, un ordre claqua :
- Dépêche-toi, je ne suis guère patiente.
Le même scénario que celui du matin se reproduisit, je me donnai du plaisir comme lorsque javais quinze ans. Il me sembla moins dégradant de tout recueillir dans ma main. Lorsque jeus bien nettoyé mes doigts, elle minterpella une nouvelle fois :
- Tu nes guère doué pour la récolte, il y a une grosse trace sur le parquet. Mets-toi donc à quatre pattes pour la lécher. Et puis tu te tourneras pour me montrer tes fesses, je nai pas encore vu si elles étaient belles.
Elle savait vraiment y faire pour obtenir ce quelle voulait. Au point ou jen étais, je navais plus trop le choix.
Alors que je me mettais en position, elle me précisa :
- Prends bien ton temps que jadmire le spectacle.
Après avoir regardé mes fesses, et les avoir rapidement caressées, elle vint se placer accroupie face à moi. Dans cette position, et avec la minijupe quelle portait, je pus constater quelle ne portait pas de culotte. Elle lavait fait exprès pour mexciter.
Après mavoir obligé à lécher le sol de longues minutes, elle me libéra enfin. Non sans me préciser :
- Chaque fois que je te convoquerai, cest entièrement nu que je veux que tu te présentes. Cest compris.
Un « oui » faiblard sortit de ma bouche.
- Oui qui ?
- Oui Mademoiselle.
Cest ainsi que je goûtai pour la première fois à la semence masculine. Ce ne sera, malheureusement pour moi, pas la dernière.
Le week-end se passa tranquillement, jétais presque sûr quelle ne dirait rien à ses parents, mais javais intérêt à continuer de lui obéir.
Elle revint à la charge le lundi matin par lintermédiaire dAndré :
- Elle tattend dans sa chambre.
Il neut pas besoin de préciser qui mattendait.
Une double surprise mattendait cette fois : Mademoiselle et Mara étaient entièrement nues toutes les deux sur le lit, et Mara caressait Mademoiselle distraitement. Les seins avec sa bouche, et le minou avec la main. Je comprenais mieux pourquoi Mara était si discrète sur Juliette.
- Approche que Mara te découvre. Me dit-elle.
- Et comme tu as été bien obéissant la semaine dernière, tu as droit à une récompense. Va Mara.
Ma collègue de travail vint se placer à genoux juste face à moi. La seconde daprès, mon sexe disparaissait entre ses lèvres. Excité par la situation, en moins de cinq minutes je me lâchai dans cette bouche si accueillante. Mara neut pas un geste pour refuser mon don.
Mademoiselle reprit aussitôt.
- Tu pourrais embrasser Mara pour la remercier. Et puis je crois quelle a un cadeau pour toi. Cela me contrarierait que tu le refuses.
En lembrassant, Mara déversa toute ma liqueur, quelle avait gardée en bouche, au fond de ma gorge. Drôle de cadeau, mais après ce que Mademoiselle mavait fait faire la semaine précédente, ce nétait rien.
Sans un mot, Mara alla reprendre sa place et ses caresses auprès de Mademoiselle.
Cette dernière minterpella :
- André a pris tes vêtements, ce nest pas grave tu les retrouveras plus tard. En attendant tu resteras dans cette tenue. Je tattends ici à 14 heures.
Cela continuait, elle gérait ma vie sans que je ne donne mon avis. Heureusement que le parc de la villa était assez grand et bien entouré, on ne pourrait me voir de lextérieur. Le seul qui ne mavait pas encore vu nu était André. Ce nest pas son regard qui me gênerait le plus.
Une nouvelle surprise mattendait, cette fois cest André qui était nu. Mademoiselle était allongée sur son lit, mais vêtue elle. André se tenait debout au pied du lit, semblant attendre un ordre. Celui-ci vint assez rapidement.
- André, tu as une belle occasion de goûter une autre semence que la tienne. Ne ten prive pas.
Comme un automate, il vint prendre la place que tenait Mara le matin même, et effectua les mêmes gestes, avec une certaine gêne par contre.
Pour ma part, je me contentais de laisser faire les choses, comme le souhaitait Mademoiselle. Si Mara mexcitait, André beaucoup moins. Cest avec plus de difficultés quil arriva à ses fins, et je constatai avec une certaine gêne quil avala tout mon plaisir.
Il se releva et attendit un nouvel ordre. Il fut pour moi cette fois :
- Je tai dit Laurent, quici cétait donnant donnant. Ne te gêne pas pour faire plaisir à André à ton tour. Et puis comme lui, cela te donnera loccasion de goûter la différence avec le tien.
Cette fichue gamine tenait tout le personnel sous sa coupe. Elle était vraiment démoniaque.
Comme André lavait fait linstant davant, je me mis en peine de lui donner du plaisir. Cétait la première fois que javais un sexe masculin en bouche. Malgré mon inexpérience, je fis ce que jaimais quon me fasse dans une telle situation. André semblait apprécier, car je le sentais grossir de seconde en seconde dans ma bouche. Vint linstant quil attendait tant, où il se lâcha longuement en tenant ma tête. Il devait y avoir un moment quil ne sétait pas libéré, car sa semence était fournie, épaisse et plus corsée que la mienne.
Mademoiselle applaudit notre prestation, en nous congratulant :
- Bravo et félicitations, je suis très fière de vous. Je ne vous ennuierez plus aujourdhui.
Le lendemain, cest Mara qui minterpela :
- Mademoiselle veut nous voir de suite dans sa chambre.
Arrivé devant la porte, Mara se mis nue avant que je naie eut le temps de réagir. Elle minvectiva :
- Dépêche-toi, tu sais quelle naime pas attendre.
Je fus aussi rapide que possible pour adopter la même tenue.
- Ah vous voilà mes chéris. Mara adore quon la prenne par derrière, et je ne pense pas que ce soit pour te déranger Laurent. Mets-toi en position Mara.
Elle sapprocha du lit, se pencha en avant et prit appui sur ses mains, puis écarta les jambes.
- Laurent, tu vas te mettre à genoux derrière elle, et la préparer avec ta langue.
Elle pensait mhumilier une nouvelle fois, mais elle serait déçue. Je pratiquais déjà depuis longtemps cette position, et cela ne me gênait pas. Je mappliquai à bien chauffer Mara, car je ne savais pas si Mademoiselle ne bluffait pas, en disant que Mara aimait cela. En tout cas cette dernière semblait apprécier mon attitude, et se trémoussait en cadence. Lorsque je sentis quelle était prête, je la pénétrai avec douceur.
Mademoiselle changea alors de position, elle vint sallonger devant Mara, son minou face au visage de son employée. Elle remonta sa jupe, et sans un mot, Mara compris ce que Mademoiselle attendait delle : elle plongea sa langue en avant.
Elle fut la première à prendre son plaisir, Mara devait avoir une longue expérience. Je me retins le plus longtemps possible, pour que Mara soit la seconde. Je me libérai juste après elle.
Mademoiselle nous laissa quelques secondes pour reprendre nos esprits, avant denchaîner :
- Va tharnacher Mara, pendant ce temps Laurent va prendre la pose.
Je refusais de comprendre ce quelle voulait, mais lorsque je vis Mara ceinte dun gode ceinture, la réalité me frappa soudainement. Mademoiselle allait me faire prendre comme Mara linstant davant. Il nen nétait pas question :
- Je ne veux pas. Lui lâchai-je alors.
- Réfléchit bien mon petit Laurent, je tai dit quici cétait donnant donnant. Tu nas pas refusé lorsque je tai dit : « je ne pense pas que ce soit pour te déranger Laurent ». Tu nas pas refusé non plus, lorsque tu as pris Mara comme cela. Et puis ce serait dommage de craquer si prés de lembauche.
Elle savait bien tenir les propos quil fallait, et savait que je tenais à ce job. Malgré mon dégoût, je pris la position requise.
- On va changer un peu de technique, la langue de Mara nest pas faite pour cela. Je nai pas de vaseline, mais de lhuile de massage fera très bien laffaire.
Elle sen enduisit un doigt, et me lenfonça avec précaution.
- Oh la la. Mon petit Laurent, tu es drôlement serré. Mara a bien fait de mettre le petit. Prépare-le bien Mara.
Mara fit couler doucement lhuile sur mes fesses, et me les massa doucement. Puis le produit coula entre mes fesses, jusquà mon petit trou. Un premier doigt pénétra avec prudence, et commença ses vas et vients. Lorsque les mouvements furent bien aisés, un deuxième doigt vint le rejoindre, toujours aidé par longuent parfumé. Lorsque le troisième pénétra sans douleur, jétais prêt à recevoir Mara et son gadget.
Jattendis une douleur qui ne vint pas, au contraire une douce chaleur inonda mes reins. Je fus surpris et vexé de sentir mon sexe durcir et prendre du volume.
Mademoiselle éclata de dire en le constatant :
- Tu vois Mara, les hommes sont tous les mêmes. Ils font leurs mijaurées, mais sexcitent dés quon leur titille un peu le derrière. Continue et lâche-toi maintenant.
Mara ne semblait attendre que cette invite. Elle se crocha plus profondément dans mes hanches, et sactiva énergiquement entre mes reins.
Bien malgré moi, jinondai le parquet de mon plaisir.
Mara reçu lordre de cesser son manège, et moi celui de nettoyer avec ma langue.
Le soir dans ma chambre, je fis le point des derniers événements. En moins dune semaine, javais joui plus de fois quau cour des six derniers mois. Même si javais du massoir sur de nombreux principes, et mis de côté quelques tabous.
La seule chose qui ne métait pas arrivée, cétait que Mademoiselle demande à André de me prendre comme Mara lavait fait. A mon avis, cela nallait pas tarder, et je my étais préparé mentalement. Dailleurs je pense que maintenant, Mademoiselle pourrait me demander beaucoup, je naurais pas la force, et peut-être encore moins lenvie de refuser.
Je neus guère longtemps à attendre avant que cela ne se produise.
Le lendemain, elle nous demanda à tous trois de venir dans sa chambre à 10 heures. Après le cérémonial du déshabillage devant sa porte, nous la trouvâmes entièrement nue sur son lit.
- Cest un grand jour pour tous, nous allons passer un agréable moment tous les quatre. Mara va se mettre à quatre pattes, puis Laurent et enfin André dans la même position. Laurent va préparer Mara avec sa langue pour la prendre par derrière, et André va faire de même avec Laurent.
André neut pas lair choqué par cette demande, je suppose quil lavait déjà pratiquée de nombreuses fois sur Mara. Pour ma part, je fus agréablement surpris par cette pénétration si singulière par la langue dAndré. Comme lorsque javais été pris par Mara, mon excitation vint rapidement.
Lorsquelle vit que nous étions prêts et en forme, elle sallongea au bord du lit, ses jambes écartées et demanda :
- Viens vite Mara. Les garçons vous prendrez place dans la foulée.
Mara posa ses mains sur les seins de Mademoiselle pour se tenir, et plongea tête la première dans la fourche de ses cuisses. Je pénétrai ensuite Mara comme Mademoiselle lavait exigé, et pour terminer André se ficha entre mes reins.
La première à prendre son pied fut Mademoiselle qui se manifesta assez bruyamment. Lorsquelle eut contenté sa Maîtresse, Mara glissa sa main entre ses cuisses, autant pour se caresser que pour câliner mes bourses. Elle fut la seconde à jouir, peu de temps avant moi. Le dernier à se lâcher fut André.
Pour terminer la matinée, Mademoiselle nous obligea André et moi à un 69. « Pour bien vous nettoyer » précisa-telle.
Jeus quelques explications plus précises le soir même de la bouche dAndré.
La première qui tomba dans les griffes de Mademoiselle, fut Mara.
Juliette découvrit quelle était attirée par les filles, en voyant une fois Mara nue qui prenait son bain. Depuis elle avait tout fait pour en faire sa Maîtresse, jusquà faire doubler ses gages par sa mère. Aude dans sa jeunesse avait été assez précoce, comme sa fille, même si elle sétait bien calmée depuis. Comme elle ne pouvait rien refuser à sa petite chérie, madame Bertino avait accepté laugmentation de son employée. Comme André avait demandé à Mademoiselle pourquoi Mara avait eut une telle augmentation, Juliette lui avait répondu quil pourrait avoir la même sil lui obéissait au doigt et à lil. André avait accepté peu à peu de subir tous ses caprices. Quand à moi vous connaissez à présent mon histoire.
Jai naturellement été embauché, et depuis près de 10 ans, nous sommes toujours au service des Bertino, et en particulier de leur héritière unique.
En dix années, elle nous en a fait faire des vertes et des pas mûres : Monter un spectacle gay pour ses meilleures amies, nous prêter à un de ses amis homos jusquà ce quil crie grâce, lassé de nos fellations et de nos sodomies, nous offrir à sa mère pour une double pénétration le jour de lanniversaire de celle-ci, et bien dautre encore. Par contre, elle a toujours utilisé Mara que pour son service personnel, jamais pour dautres personnes que nous quatre.
Je ne pense pas que son père nait jamais su ce qui se passait entre son personnel et sa fille.
Même si Juliette a quitté le domicile familial pour ses études, cest toujours des moments dintense sensualité lorsquelle y revient.
Un jour, elle se mariera, et nous regretterons ces instants de folie. Si au début, nous avons été tous plus ou moins contraints, nous sommes tous tombés amoureux delle ensuite. Et pour le reste de notre vie, elle restera « Notre Mademoiselle. »
Merci pour vos commentaires: hodochsoum@hotmail.fr
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