Chaude Rencontre

Chaude rencontre..
Il est dix sept heures quand Muriel, jolie blonde de dix neuf ans part de chez elle pour rejoindre Lucas, son petit copain. Elle est vêtue d’une courte jupe, et d’un petit haut. Pas de soutien gorge. Deux kilomètres à pied, par cette chaleur, c’est long, aussi décide-t-elle d’emprunter le petit pontet faiblement éclairé qui passe sous la voix ferrée. Elle ne remarque pas les cinq jeunes et beaux garçons qui s’engouffrent au même moment qu’elle.
-Tiens, dis l’un d’eux, quel canon, j’en ferai bien ma soirée.
-On risque quoi d’essayer, répond l’autre, surtout qu’elle n’a pas l’air farouche. Vas-y Frank.
Deux jeunes bloquent l’entrée du pontet, tandis que deux autres la saisissent chacun par un bras.
-Mais enfin, dit Muriel, que faites-vous, j’ai un petit copain.
Le cinquième garçon est libre de tout mouvement. Calmement, il quitte la jupette, et ôte le string. Il poursuit son effeuillage en enlevant le petit haut. Muriel se retrouve alors entièrement nue. Celle-ci se débat, en vain. Les trois jeunes gens se la poussent l’un à l’autre, en profite pour glisser un doigt sur les parties intimes. Ca va des doigts qui font rouler le bout d’un sein, un autre qui pénètre profond dans la chatte, jusqu’au majeur qui excite le clitoris.
-Tiens…c’est quoi ça qui dépasse, dit un garçon.
-Assez…vous le savez salaud…c’est mon petit bouton…vous allez me rendre folle si vous le grattez…arrêtez…s’il vous plait…vous allez me faire faire une bêtise…
Mais plus on avance dans le jeu, plus les doigts sortent mouillés de la chatte de Muriel, jusqu’à ce que la jeune fille laisse échapper des gémissements de plaisir. D’un signe de tête, deux jeunes soulèvent Muriel en la prenant sous les genoux pour la décoller du sol, et la mettre en position assise. La jeune fille se retrouve jambes écartées, totalement offerte. Frank passe une main entre les cuisses de Muriel, caresse la fente, ouvre les lèvres et enfonce deux doigts dans la chatte.

Sur de lui, Frank se baisse et commence à lécher la chatte qui, petit à petit, se remplit de mouille. De sa langue pointue, il l’a pénètre, comme s’il lui prenait la bouche. Muriel ne reste pas insensible à cette caresse buccale. Elle apprécie de plus en plus, et commence se déhancher.
-Hou…salaud…c’est bon de se faire bouffer la chatte...même si c’est pas par son copain…c’est bien meilleur… oui…décalotte moi le clitoris…tu sais ce qu’aime les filles toi…mets moi ta bite… s’il te plait…doigtez moi le bouton…caressez moi les seins…
Muriel a l’impression que son clitoris va s’éjecter de sa capuche. Le bout de ses seins, tendus au maximum, lui font mal. Soudain, son corps se cambre, pris de spasme. Elle a un orgasme terrible, hurle de plaisir.
-Oh la, sourit Frank, mais c’est que la salope est en manque…elle a envie de se le faire mettre… et mes copains, ils auront droit à une récompense eux…
-Ils pourront me mettre des coups de queues... me défoncer la chatte…le petit trou…à leurs convenances…je leur taillerai des pipes… Je veux sentir leurs grosses bites décalotter me prendre par tous les trous…je veux leur vider les couilles.
Frank sort sa bite et la glisse dans la chatte pleine de mouille de Muriel. Celle-ci ne peut retenir un cri de plaisir.
-Oh putain…quelle bite…vous êtes tous montés comme ça…enfoirés
-La plus grosse, c’est Djamel, le jeune maghrébin, en plus, il aime bien enculer les petites françaises en levrette. Tu vas voir comme il va bien te sodomiser. A moins que tu n’aimes pas ?
- Je ne sais pas…j’ai jamais essayé…je vous appartiens…servez-vous de moi comme d’une pute.
La jeune fille est appuyée mains à plat contre le mur, jambes écartées, croupe cambrée en arrière. Un jeune garçon lui caresse le ventre les seins, la chatte, puis s’écarte quand Djamel arrive, la bite à la main. Il l’a glisse lentement entre les cuisses de Muriel, qui ne peut retenir un « ho » de surprise.
-Quel engin, dit-elle, mais il va me déchirer.
Il est vrai que Djamel est hyper monte, sa queue avoisinant les vingt deux centimètres, du jamais vu et pris par Muriel. Djamel la saisit par les hanches, et pointe son gland décalotté contre le petit trou de la jeune fille. Par petite avancées, le calibre ouvre les lèvres intimes, se faufile à l’intérieur, prend sa place, malgré les cris de douleur de Muriel. Celle-ci se tend en arrière pour mieux sentir la trique qui la fouille.
-Aie…aie…doucement…tu es trop gros…il en manque beaucoup à rentrer…
-Calme toi ma chérie, sourit Djamel, tu vas bientôt sentir mes couilles contre tes fesses… là…ça y est….tu as tout avaler…tu aimes hein…c’est bon de se faire enculer par un arabe...salope ?
-Oh oui…bourre moi le cul…c’est tellement bon…comme t’es calibré toi…oh le con…mon copain a un fifre ridicule à côté…vas-y…fais toi plaisir vide toi les couilles pour voir l’effet que ça fait…
Pendant deux heures, Muriel va faire le plein de sperme. Chacun des jeunes garçons va la niquer ou l’enculer deux ou trois fois, ils vont se faire tailler des pipes. Muriel va prendre une quinzaine de coups de queues, jouir à huit reprises. Pendant plus de deux heures, elle fait le plein de sperme, son corps en est souillé. Sympa, les cinq copains l’emmènent à une fontaine, et lui font la toilette. Docile, elle se laisse faire, n’hésitant, pas au passage, de saisir une paire de couilles encore pleines, ou une bite encore tendue.
-Et avec ton, copain, dit l’un d’eux, tu vas pouvoir assurer.
-Quoi…mais ça va pas, dit Muriel, après tout ce que je me viens de me faire mettre. Puis vous savez, mon copain a un tout petit zob comparé aux vôtres…je vais bien le lui décalotter et lui taper une petite branlette, histoire de lui vider ses petites boules.
C’est épuisée qu’elle rejoint son copain. En s’éloignant, les cinq garçons lui font un signe de la main. Elle leur envoie un baiser. Ils se sont promis de se revoir bientôt, très bientôt.