Séparation ?
Mariés depuis 12 ans, nous avons des situations qui nous classent dans la classe supérieure. C'est sans doute pour ça que nous ne faisons presque plus l'amour. Je ne jouis plus quand il me baise : je me masturbe pour avoir du plaisir. En plus les deux s commencent à grandir, rompant par leur présence les moments d'intimités nécessaires pour les couples. Nous sommes sur le point de nous séparer quand, avant d'arriver à cette extrémité, Pierre me propose de prendre une semaine de vacances pour nous retrouver. Les s casés chez leur grands parents, nous pouvons partir.
Je n'en suis pas à une semaine près : nous verrons bien au retour. Le voyage de 500 kilomètres est long, très long. Nous ne nous parlons pratiquement pas. Nous arrivons dans une auberge de montagne, presque pleine de personne en couple ou célibataire.
Le lendemain nous partons chacun dans notre coin : il va faire connaissance avec je ne sais quelle marque d'oiseaux, moi je me consacre à la lecture. Je vais même sur la terrasse du café du village. Je suis accostée par un homme d'une cinquantaine d'année, bien conservé, bavard qui me fait du plat :
Vous êtes fort belle. Où est votre mari ?
Dans la nature, à chercher je ne sais quoi.
Il a tort de vous abandonner.
Il m'offre un apéritif que j'accepte. J'ai sans doute tort d'accepter. Il se lève en me baisant la main. J'appelle le garçon pour payer : c'est déjà fait. Je ne sais rien de cet homme sinon son prénom : Roland
Je reviens au logis pour déjeuner. Je vois que Pierre est en bonne compagnie, avec une blonde genre je couche vite, habillée comme une pétasse. En fin il vient à la table où sans dire un mot, il mange, pour me quitter et rejoindre cette fille dès la dernière bouchée avalée.
Je ne sais si c'est ce quinquagénaire ou la vue de cette fille, j'ai besoin de me calmer. Je ne connais qu'une seule façon de me calmer. Nue sur le lit, les jambes bien ouvertes, ma main sur la chatte.
Je reçois un SMS bizarre :
« VOUS ATTENDS DEMAIN A LA TESSASSE DU CAFE. ROLAND »
Qui peut bien connaître mon 06 pour m'envoyer une tel message. Je suis obligée d'attendre le lendemain pour connaître la vérité. En attendant mon mari est toujours collé avec cette grue qui me rend jalouse.
Je suis déjà couchée depuis longtemps quand enfin monsieur mon mari arrive. Sans un mot il me tourne le dos et dors comme un bébé. Tant pis pour lui, je me lève pour aller me masturber dans la salle d'eau sous le douche. Le jet d'eau me fait du bien sur la chatte. Je le pose aussi sur mon cul, bien que je sois vierge de ce coté là, mais ce soir j'en ai besoin. Je me fais jouir ainsi deux fois.
Dès le réveil je pense à ce rendez vous au café. Quand je suis assise, arrive Roland.
Bonjour, j'ai eu votre numéro à la réception de l'hôtel : je me suis permis de vous donner rendez vous. J'aimerais vous répéter que je vous trouve plus que charmant, je dirais même qui si vous m'autoriseriez j'aimerais passer une bonne heure avec vous dans un lit.
Enfin monsieur, vous n'y pensez pas.
Je vous assure que vous ne seriez pas déçue.
Il commence à m'embêter. Je reçois encore un texto :
DEMAIN A PARTIR DE 15 H. ALLEZ AU BOIS EN HAUT DE VOTRE HÔTEL. SOYEZ A L'HEURE. VOUS M'EN DIREZ DES NOUVELLES. ROLAND
Qu'est ce qu'il invente encore. Je ne veux pas y aller, obéir à un cinglé. Et puis, je suis curieuse de la suite, mon mari est toujours avec cette fadasse. Je vais me venger.
J'arrive un peu avant l'heure. Des amoureux sont en train de se baiser en se cachant. Si c'est la surprise ! Arrive un couple qui sans gêne s'installe près de moi, à disons deux mètres. La fille est vite nue, il la masturbe un moment, j'entends les gémissements de plaisir de la fille.
Je revient à l'hôtel. Mon mari est encore avec sa greluche. Je suis à peine assise pour me reposer après ce que je viens de vivre quand j'ai un nouveau message.
DEMAIN A 16 HEURES A L'HÔTEL DU CHEVAL BLANC POUR UNE BELLE FIN. TOURNEZ LA TÊTE EN ME VOYANT. ROLAND
C'est vrai que demain est la dernière journée que nous passons ici. Comment le sait-il ? Je me prépare quand la serveuse de l'hôtel me porte un paquet de la part d'un monsieur.Je crois savoir de qui il s'agit. J'ouvre le colis pour y trouver une robe noire ouverte presque partout qui montre plus qu'elle ne cache, des bas noirs aussi et un porte jarretelles, noir aussi. J'oublie mon slip, mon soutien gorge. Je me suis regardé dans la glace, mes 40 ans ne se remarquent pas encore. Je peux être nue sans honte.
A l'heure dite je suis à l'hôtel. Je suis dirigée vers une chambre au dernier étage. J'entre dans l'obscurité qui ne me permet que d'entrevoir une ombre.
Je suis sur le ventre, il est derrière moi. Je sens sa queue venir sur mon con. Il entre doucement. Il y a longtemps que je n'ai pas été baisée aussi bien. Il va lentement, presque trop, je remue pour qu'il accélère sa cadence. C'est drôlement bon, je jouis vite, trop vite pour lui puisqu'il me donne sa queue à lécher. Je la débarrasse de mes secrétions : c'est agréable de sentir mon goût sur cette queue. Il sort de ma bouche avant de jouir. Il revient sur moi, écarte mes fesses. Je sens la bite venir sur mon anus. Là je ne veux pas, je suis vierge de ce coté. J'ai beau me défendre, il est plus fort que moi.
Je sens sa queue écarter mes chair du cul. Il me fait mal, je le dit. J'attends un seul mot de lui depuis que je suis entrée dans cette chambre.Il force tellement que je me détends pour ne plus avoir mal. J'ai bien fait, je sens enfin un autre plaisir entre mes fesses. Je commence à aimer la sodomie. Il va et vient jusqu'à ce qu'il me donne sa liqueur qui me remplit bien les fesses. J'en jouit aussi. Il doit en être satisfait puisqu'il me parle enfin : c'est la voix de mon mari.
-Tu sais j'ai joué un drôle de rôle pour t'avoir à nouveaux dans mes bras te baiser en te faisant jouir. J'ai du demandé à des membres d'une association de la guilde d'improvisation de tenir des rôles, sauf deux seulement, ceux avec qui tu a baisé dans le bois. Je savais que ce couple était connu pour ses débordement, qu'ils avaient rendez vous dans le bois.
Tu veux encore de moi ?
Bien sur mon chéri.
Tu te rends compte que ce doit être la première fois depuis des années que tu ne m'as pas appelé chéri ?
Je n'en sais rien, baise moi encore longtemps.
Le voyage de retour est long, très long malgré ou à cause des arrêts nécessaires pour baiser sur les parkings.
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