Un Après Midi À La Plage
Laurence et Didier, jeune et beau couple de vingt cinq ans, décident à aller à la plage. Avant de partir, Laurence à tenu à ce que son mari lui mette un bon coup de queue. A peine fini, le téléphone sonne.
Allo
oui, répond Didier
non
ce nest pas vrai
Marco ? Mais bien sur, on se rejoint à la plage.
-Oh non, pas ce con, tu sais que je le hais
en plus, ces italiens, ils pensent quà niquer les françaises.
-Il est peut être mieux monté que moi, sourit Didier, mais il ne ta jamais manqué de respect que je sache.
-Pfft, nimporte quoi, reprend Laurence, une queue, cest une queue. Il na pas intérêt à me draguer, il serait vite remis en place. Déjà que quand je fais seins nus, il narrête pas de me les reluquer.
-Ben alors, il aime ce qui est beau, sil te plait, réserve lui un bon accueil, ne lui fait pas la tête.
A la plage, au bord dune pinède à labri des regards indiscrets, Laurence se place entre Marco et son mari. Au bout de dix minutes, Didier sassoupit. Marco, couché sur le côté, admire la magnifique poitrine dressée de Laurence, aux bouts tendus. Elle le remarque, et joue sur sa plastique, comme pour le narguer.
-Ils sont beaux mes seins, nest-ce pas, lallume-t-elle. Si tu savais comme Didier se régale quand il lest caresse. Il me prend les bouts entre deux doigts et les fait tourner
comme ça
il me rend folle
Dommage, ce nest pas pour tes sales pattes. Allez, jai besoin de dormir.
Laurence est allongée, la paume des mains tournées vers le haut. Marco attend quelle sendorme. Sans bruit, il sapproche delle, sort sa queue de son maillot, et la pose dans la main de la jeune femme. Est-ce un réflexe, toujours est-il quelle referme ses doigts sur la bite en érection. Involontairement, elle la décalotte, et entame de lent va et vient sur limposant calibre. Soudain, elle est tirée de son sommeil par un liquide chaud qui coule au creux de sa main. Elle ouvre les yeux, et croise le regard de Marco.
-Enfoiré, murmure-t-elle, mais quest-ce que tu as
tu tes fait branler salaud
tu es fou
Un sourire au coin des lèvres, Marco range sa bite, et va se baigner. A côté, Didier commence à sagiter. « Mon dieu, se dit-elle, je ne peux pas messuyer à la serviette, si quelquun vient à sy sassied dessus » Ni une, ni deux, elle porte sa main à sa bouche, lèche lépaisse semence, et lavale. Pour lever le gout, elle prend une gorgée de coca. Didier sétire et prend sa ravissante épouse par la taille.
-Embrasse moi ma chérie
hum
tes lèvres ont bon gout aujourdhui
jadore. Ou est Marco ?
-Hue, bégaie Laurence, ce sa
il a du aller se baigner sans doute.
-Ca te gène pas si je vais faire de la planche à voile, Marco te tiendras compagnie, et soit gentille avec lui.
Effectivement, Marco arrive, et sallonge à côté de Laurence. Celle-ci évite le regard bleu de ce bel italien.
-Je viens de croiser Didier, je voulais lui raconter la blague de toute à lheure, mais je nai pas voulu lui couper les bras.
-Quoi, gronde Laurence, quel toupet, mais tu es malade, tu as profité de la situation, soit au moins discret.
-Mais ça dépend de toi ma chérie, dit Marco, si tu me laisse caresser le bout de tes seins, que je lai fasse bien rouler entre mes doigts, comme tu mas fait voir que Didier faisait, peut être que je me tairais.
Laurence, prise de court, réfléchit à cet odieux chantage. Ca vie de couple est en jeu, elle aime son mari.
-Tu me laisses pas le choix, cest ça que tu veux, que jaccepte tes saloperies. Daccord, vas-y, vite fait.
Marco se met sur le côté, et tend la main. Il effleure la superbe poitrine, fait rouler les bouts entre ses doigts. Il remarque justement, que les bouts deviennent de plus en plus gros, de plus en plus durs. Laurence ferme les yeux, comme si elle apprécier la caresse.
-Assez maintenant, souffle-t-elle, ça suffit, lève ta main, tu as eu ce que tu voulais.
Mais Marco en veut plus.
-Mais ou vas-tu
tu me prends pour qui
dégage de là
tu ne veux pas que je te suce le zob en plus
-Et pourquoi pas
comme tu veux, dit Marco, je ninsiste pas, tu lauras voulu. Bon, je vais me baigner.
Laurence se ravise, quelle attitude doit-elle adopter pour ne pas perdre Didier. Après tout, lendroit est isolé. Et puis, cest une aventure sans lendemain. En plus, son corps de femme nest pas resté insensible à cette tentative. Tans pis.
-Marco, lappelle-t-elle, déconne pas, viens tallonger. Tu as décidé de jouer avec moi, vas-y.
Marco reprend sa place initiale. Sa main caresse lentre cuisses, par-dessus le mini maillot, écarte lélastique. Laurence se tend quand le majeur court sur sa fente, de bas en haut, jusquau clitoris. Marco décèle un léger gémissement. Il la sait à lui. Il lui demande de quitter son maillot, et de souvrir davantage. Le majeur glisse entre les lèvres devenues humides, pénètre lentement la chatte.
-Mon dieu
quest- ce- que tu me fais faire
tu es arrivé à ce que tu voulais
regarde comme je suis écartée
cest pour mieux branler ma petite chatte
tu mas décalotté le clito pour mieux me le doigter
-Tu naimes pas que je te chatte
que je te doigte le bouton
pourtant tu commences à mouiller là.
-Cest ta faute salaud
je suis une femme
et tu sais ce quaime les femmes
Laurence tend le bras, et découvre les attributs de Marco. Elle a presque un mouvement de recul. « Houa
se dit-elle, quelle bite, et quelle paire de couilles
Didier est en dessous la vérité ». Elle saisit le calibre, le décalotte, joue avec, soupèse les couilles bien pleines. Marco la force à replier une jambe sous son ventre, loblige à camber sa croupe pour bien dégager sa fente. Lentement, Marco rapproche son pieux en totale érection, le glisse entre les cuisses, pénètre la chatte pleine de mouille.
-Oh putain, gémit-elle, quel coup de queue
vas-y
cest bon de se faire niquer par une grosse bite.
-Même si cest celle dun italien, murmure Marco, nest pas honte
dis le
-Enfoiré
tu me fais dire nimporte quoi
ben oui
surtout si cest celle dun vicieux italien.
Marco est un super amant. Il ne faut pas plus de dix minutes à Laurence pour connaitre lorgasme dans un cri de plaisir. Elle sent la bite de son partenaire vibrer dans sa chatte. Elle sent quil va jouir.
-Pas dedans, soupire-t-elle, dans ma bouche, monte vers moi.
Marco glisse sur la serviette, jusquà ce que sa queue soit au niveau des lèvres de Laurence. Celle-ci la saisit à pleine main, et laspire, juste au moment ou il se vide les couilles dans un « han » de bucheron. Vicieuse jusquau bout, elle avale le sperme, et nettoie le gland avec la langue. Marco la prend par la nuque, et lui prend les lèvres.
Il est dix huit heures quand Didier réapparait, et est tout surpris de voir le couple en grande conversation.
-Tu reste diner avec nous, propose-t-il à Marco, hein Laurence. Je marrête au village faire quatre courses pendant que vous prenez une douche
pas ensemble, bien sur
Malgré les recommandations de Didier, la douche va être coquine. Laurence va hurler de plaisir. Cest en peignoir, quelle prépare la table. Marco la prend par la taille, lassied sur le plan de travail, ôte le peignoir. Il penche sa tête entre ses cuisses, et lui lèche la chatte. Laurence sent la langue fouiller son intimité.
-Ta chatte est toute mouillée salope, ça veut dire quoi
quelle a besoin dun bon coup de queue.
-Encore, dit-elle, tu es un vrai étalon
et jaime les étalons
vas-y
encule moi cette fois
bourre moi le cul
oui
salaud
regarde
je me gratte le clito
oui
oui
je te taillerai une bonne pipe après...on en a pas fini tout les deux
.
Quand Didier arrive, Laurence lit gentiment une revue, pendant que Marco sirote un verre.
-Je pensais à un truc, dit Laurence, pourquoi Marco passerait-il le week-end à la maison.
-Mais bien sur, accepte Didier, même si je par à la chasse à six heures du matin, je serai rentré à midi.
En labsence de son mari, Laurence caresse la joue de Marco, le regarde dun il complice.
-Demain matin, lui murmure-t-elle à loreille, je serai entièrement nue dans mon lit, toute offerte, ne me fait pas attendre
A oui, tu devrais prendre tes couilles en photos
je ne sais pas si tu vas les reconnaitre.
-Ha
de la provoc
jaime les défis
ok, je le relève.
Vers dix heures trente du matin, Marco se dirige vers la piscine, en pleine forme. Il passe devant la chambre de Laurence, et la trouve allongée, les bras en croix, complètement lessivée.
-Alors mon amour, dit-il, tu ne viens pas te baigner.
-Tais toi enfoiré
regarde dans quel état je suis
par ta faute
je suis vidée
va-t-en
je te hais
non non Marco, je déconne, part pas, viens membrasser
dis moi quon se reverra.
-Si un jour te es en manque de coup de queues, si tu as envie de te le faire mettre, tu me fais signe.
-Daccord, répond Laurence, alors à ce soir.
Le couple éclate de rire, et se donne un sulfureux baiser.
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