Leslie Vn38

Leslie VN 38 – Vacances naturistes, Sortie seule

Didier et Maude sont repartis ce matin, et avec Laure nous nous sommes promenés toute la journée dans l’arrière-pays.
Ce soir Laure étant crevée, je suis sortie seule, et c’est au cinéma que je suis allée.
Je me suis installée dans les fauteuils confortables de la salle, je suis habillée avec un corsage noué sur la taille et légèrement entrouvert sur ma poitrine et une mini-jupe dissimulant mon string.
Avant que le film commence un jeune homme est venu s’installer à trois fauteuils de moi sur la même rangée et avant que la salle ne fut plongée dans le noir je constatai qu’il était mignon et qu’il n’était sans doute pas insensible à mon physique, une jolie jeune fille seule dans un cinéma pouvait en tenter plus d’un.

Au début du film, j’ai remarqué un mouvement du côté du jeune-homme et j’ai constaté qu’il s’était rapproché et que maintenant il n’y avait qu’un seul fauteuil qui nous séparait, puis cinq minutes plus tard, il changeait à nouveau de position pour se retrouver près de moi en me disant :
- Ça ne vous dérange pas que je sois près de vous ?
- Non pas du tout, lui répondis-je.
- Merci, me dit-il, je vous trouve très belle.
J’ai tourné la tête pour le regarder dans la pénombre du cinéma, il était vraiment beau et à peine plus âgé que moi

Le film était déjà bien commencé et lors d’une scène d’amour un peu érotique, troublée par la chaleur de la scène où les deux amants faisaient l’amour de façon terriblement sensuelle, je me suis rapprochée de lui à la recherche de son épaule afin d’y poser ma tête.
Il ne me repoussa pas lorsque ma tête rencontra son épaule et sans un mot il me prit la main, comme pour me rassurer.
Le contact de sa main chaude qui tenait la mienne me bouleversa sans que je sache pourquoi, d’un seul coup j’avais le sentiment de ne pouvoir me contrôler, si bien qu’à la fin du film sa main palpait ma cuisse et que ma main sur le renflement notoire de son pantalon de toile me laissait penser qu’il était bien pourvu par la nature.

En prenant ma main dans la sienne il m’invita à venir chez lui boire un verre et nous retrouver plus intimement.
Il m’emmena dans sa garçonnière.
Sitôt la porte passée nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Nos langues se mêlant tout en nous pressant l’un contre l’autre. Il me caressa le dos, et ses mains se sont aventurées sur mes fesses et sur mes seins

Stéphane m’emmena vers sa chambre.
C’était une pièce assez spacieuse avec le lit au milieu, un bureau le long d’un mur et une petite salle d’eau attenante. Je m’assis sur le lit et il vint à mes côtés, m’embrassa très tendrement, je lui redonnais mes lèvres
De plus j’avais très envie de lui. Le contact de ma main sur son sexe m’avait bien émoustillée et je souhaitais, maintenant, sentir son corps contre le mien, sentir ses mains venir à la rencontre de mes courbes, sentir son souffle dans mon cou et sur mes seins et sa main prendre mon sexe sans pudeur.
J’avais envie de prendre possession de son membre, voir comment il bandait à mon contact, savoir si une transexuelle l’attirait et lui donnait des désirs.
Je voulais provoquer un peu les choses, allée plus vite sans le brusquer, assise sur le lit ma mini-jupe ne cachait plus le haut de mes cuisses et mon corsage entrouvert laissait entrevoir mes seins gonflés.
Alors qu’il m’embrassait en me caressant le dos, je dégrafais les boutons de mon corsage pour libérer mes seins que je lui offris sans pudeur. En bougeant un peu ma mini-jupe remonta pour dévoiler un peu plus mes jambes à la limite de mon string.

Puis je m’attaquais aux boutons de sa chemise pour dévoiler son torse et sans un mot il ôta sa chemise. Il avait un buste presque imberbe, il m’attira à lui et caressa mes seins nus de ses mains.

Puis il embrassa mes deux seins, l’un après l’autre, tout en les tenant dans ses mains. Il s’en occupa longuement et j’appréciais ses caresses et ses baisers sur cette partie de mon corps. Je le laissai faire commençant à bander secrètement.
Il se leva alors et se mit totalement nu. Sa verge était déjà tendue de désir. Il me laissa le prendre en bouche un court instant, puis une de ses mains se posa sur mon ventre, ne tenant plus en place rongée par les désirs, je la pris et la posais sur mon sexe encore recouverte de mon string. Il ne parut pas surpris de sentir mon membre sous la fine étoffe, mais pour mon futur amant ce fut le signal.
Il descendit la tête vers mon intimité et écarta l’étoffe pour libérer mon sexe et s’installa entre mes jambes pour me sucer avec fièvre.
Maintenant il était pressé et les préliminaires s’achevèrent quand il me retourna pour me mettre en levrette.
Sans me poser de question j’enlevais mon string et me cambrais au maximum pour m’offrir. Il se plaça derrière moi et pointa son sexe sur mon petit trou, il cracha dessus et introduisit son membre dans mon antre ainsi lubrifié.
Sentir son sexe chaud et vigoureux entré en moi, non sans mal, me faisait néanmoins un bien fou. Je l’attendais cette queue en moi pour libérer mes pulsions et me faire jouir.

Mais Stéphane jouis rapidement en moi, me laissant sur le bord du plaisir bien avant que je ne jouisse. Il se retira de moi en me disant :
- Pardonnes moi, ça a été un peu trop rapide.
- Oui, dis-je, j’aurais aimé plus de caresses avant et plus de résistance après.
- Alors on recommence.

A suivre…