L'Ouvrier Roumain

L’histoire se passe dans les Cévennes, ou suite à un mois caniculaire, de violent orage sévissent. Luc, trente deux ans, est inquiet de la météo. En effet, demain il doit descendre dans le sud pour vendre un lot de vaches. Rien qu’à l’idée de laisser son épouse, Anne-Lise, âgée de vingt six ans seule pendant deux jours, ne le rassure pas. Il regarde par la fenêtre, et voit une lueur, certainement une lampe électrique, ou une lanterne, peut être un compagnon qui a du s’égarer, ou qu’il cherche un endroit pour passer la nuit. Par sécurité, Luc arme son fusil, et descend à la rencontre du rôdeur.
-Qui va là, menace-t-il. Quel est ton non ?
-Tirez pas monsieur, Je m’appelle Florin, je suis roumain, je me suis égarer, je cherche juste un abri pour la nuit. S’il vous plait, hébergé moi. Je vous paierez…
-Brrr…rumine Luc…ok…il y a une douche et une paillasse dans la grange, tu peux l’occuper.
Le lendemain, il fait un temps magnifique. Anne-Lise découvre pour la première fois le jeune roumain. Il est d’une beauté à couper le souffle. Luc charge son troupeau, et avant de prendre la route, confie quelques menus travaux au jeune roumain, en guise de paiement. Mais surtout, de protéger sa ravissante épouse. Il s’avère que Florin abat un travail considérable. Un soir, vers dix neuf heures, Anne-Lise décide d’aller à la grange porter à boire à Florin. Il est en train de sa doucher. Elle le voit en ombre chinoise à travers la paroi de douche.
« Non, se dit-elle, ce truc dressé en avant, ce n’’est pas sa bite, ce n’est pas possible »
Cette vision ne va plus la lâcher. Elle essaie de lire, tourne et retourne dans son lit, puis fini par s’assoupir, en laissant la lampe de chevet allumer. Florin profite la belle lune pour griller une dernière cigarette, quant il voit de la lumière provenant de la chambre de la jeune épouse. Il jette un œil, et enjambe la fenêtre laisser entre ouverte.
Florin reste en admiration devant le corps entièrement nu, simplement recouvert d’un drap.

La pièce est faiblement éclairée par la lueur de la lampe, qui laisse malgré deviner une plastique parfaite. Il prend le risque de s’approcher, et retire le drap. Il ne s’était pas trompé. Il a devant ses yeux, se qui se fait de mieux. Il embrasse un sein puis deux, caresse le ventre plat, puis l’intérieur des cuisses qu’il écarte, lisse la fente. Anne Lise se réveille.
-Mais….
-Chut, dit-il en lui effleurant les lèvres, détendez-vous.
Anne Lise, surprise par tant de maitrise, se laisse aller. Florin à compris qu’elle était en manque d’affection, et décide alors d’aller plus loin dans ses investigations. Les mains rugueuses de l’employé caressent les seins, font rouler les bouts entre ses doigts. Une main s’insinue plus loin entre les cuisses, ouvre les lèvres intimes, pénètre la chatte, tandis que le pouce excite le clitoris décalotté. Anne-Lise commence à gémir sous les odieuses carasses, son corps tout entier ondule sur les doigts qui la fouillent. Machinalement, elle tend une main, tire sur le jogging du jeune roumain, pour extraire une bite énorme en pleine érection, décalottée à souhait. Elle joue un moment avec le gland, puis devant les râles du jeune mâle, commence à le branler furieusement. Les mains du jeune ouvrier continu leur travail de sape dans les entrailles d’Anne-Lise. Petit à petit, les gémissements deviennent des hurlements de plaisir. L’orgasme est là, et il est terrible. Anne-Lise ne veut pas être redevable, elle engloutit la queue de Florin, juste au moment ou des jets de sperme giclent au fond de sa bouche. La jeune femme saisit la nuque de l’ouvrier roumain, le tire par les cheveux, et lui donne un torride baiser.
-Merci…merci, murmure-telle…ça fait si longtemps que je n’ai connu ça…
Sans un mot et rouge de honte, Florin s’enfuit comme il était venu.
Le corps apaisé par cette relation, Anne-lise va prendre une douche afin de se relaxer. Elle n’a plus sommeil. Elle enfile un peignoir, et fait quelques pas sur la terrasse.
Elle aperçoit un filet de fumée provenant du parc qui juxtapose sa chambre. Elle s’avance, et voit Florin, assis sur un banc, tirer sur une cigarette. Elle se plante droite à côté de lui.
-Tu ne dors pas, demande-t-elle.
-Heu…non Madame…heu…je voudrai m’excuser pour tout à l’heure, ce n’est pas bien ce que j’ai fait. Mais ça faisait si longtemps que je n’avais caressé le corps d’une femme. Je suis désolé…Après ce que vôtre mari a fait pour moi…rendez-vous compte s’il apprenait.
-Ho…mais tout ceci restera entre nous…allez…ne pense plus à ça…
Florin lève la tête et croise le regard de la jeune épouse. Il pose sa main sur une jambe, remonte entre les cuisses. Docile, Anne-Lise les écarte pour faciliter le passage. Il n’y a pas de culotte dessous, aussi, les doigts sont directement en contact avec la fente, d’où suinte encore des traces de mouille. C’est Anne-Lise qui défait la ceinture du peignoir, et le fait glisser au sol.
-Vas-y salaud…tu sens que je suis en manque…chatte moi…
Les seins d’Anne-Lise, excités par une fine brise, se dressent dans la nuit étoilée. Elle pose une main sur les cheveux noirs du jeune roumain.
-Hou…tu vas me niquer maintenant…dis moi…sens comme tu me fais mouiller…et mon bouton…il me fait mal tellement qu’il est dur….
Florin baisse son jogging. Les vingt centimètres de bite sont déjà en érection, le gland décalotté. Il saisit Anne-Lise par les hanches et la force à s’empaler sur son calibre. Le cri de plaisir ne fait aucun doute.
-Ha…ha…oh mon dieu…dites moi que je rêve…une telle queue ne peut exister…et cette paire de couilles qui ne peut tenir dans mes mains…merci mon dieu…faites lui tenir la nuit…
Florin accélère ses va et vient dans la chatte en feu d’Anne-Lise, qui hurle de plaisir. Les orgasmes se suivent à une cadence infernale. Cinq…six…elle sait plus…
-Assez…assez…supplie-t-elle…je t’en prie…hou…oh non…pas ça…pas lui…tu vas le déchirer…Aie…
Calmement, Florin à soulever sa partenaire, et fait coulisser sa bite dans le petit trou.
Il lui caresse le bout des seins devenus énormes.
-Aie…aie…tu m’encules salaud…tu es le premier à me faire ça…tu le sais…oui…doigte moi le clito…je veux que tu me niques…toute la nuit…je veux te tailler des pipes…que tu me bouffe la chatte…
-Mais Madame, ça fait plus de six fois que vous jouissez…
-Je m’en fou…j’en veux encore…pendant deux jours, je veux que ta bite reste encrée dans chatte…jusqu’à ce que tes couilles soient vides…
Après deux jours passés au marché des ventes, Luc rentre enfin. Il trouve son épouse assez fatiguée.
-Alors ma chérie, je t’ai pas trop manqué. Et nôtre jeune ouvrier, comment s’en sort-il.
-Il est parti cet après midi, répond tristement Anne-lise, il m’a laissé une adresse au cas ou
-Oh non, râle Luc, moi qui vais être appelé à me déplacé de plus en plus Je voulais lui faire un contrat. Zut.
-Il est peut être encore sur le chemin. Je peux essayer de le rattr si tu veux, sourit Anne-lise.
-Ce serait bien, poursuit Luc, je me sentirai rassurer cet hiver de savoir quelqu’un auprès de toi.

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