Karim, Le Footeux
Quand j'étais plus jeune, je faisais du foot dans le petit club de mon arrondissement de Paris, dans une sous-sous-division d'espoir d'honneur qu'en fait on gagnait jamais rien. Bref, c'était surtout pour faire du sport. Il y avait ce type qui me faisait fantasmer depuis la première fois que je l'ai vu. Un grand et beau rebeu de mon âge, 1m85, bien musclé, et surtout bien membré. Dans les douches, même si on était un peu vieux pour faire des commentaires débiles sur les tailles de bites, tout le monde savait qu'il avait de loin la plus grosse. Quand il courait dans son short, on pouvait facilement distinguer son membre. Pareil quand il était habillé, ses jeans moulants ne laissaient présager que du bon. Je le savais hétéro, donc, même pas la peine de tenter un truc. Un après-midi , après un match inter-communal qui sert à rien, un des membres de l'équipe propose un verre dans le café près du centre sportif. C'était assez rare qu'on se réunisse après pour parler ensemble, donc j'ai accepté. Le mec aussi. On n'était pas beaucoup au final. On boit à cinq et on commence à discuter de nos vies. J'apprends que Kamel est en couple depuis assez longtemps avec celle qui est maintenant sa fiancée. Mes rêves se sont brisés. De mon côté, je ne révèle pas grand chose sur moi, pour ne pas effrayer ces petits hétéros. L'après-midi s'est poursuivie, et on s'est tous plutôt bien amusés. J'ai passé le plus clair de mon temps à mater Kamel et ses formes, toutes ses formes et j'ai à l'occasion croisé son regard et son sourire charmeur. On rentre tous séparément, et à peine le dos tourné, je reçois un SMS me demandant si je veux bien venir voir le match de foot à la télé le soir-même. C'était Kamel, à ma grande surprise. Je réponds immédiatement, tout de même un peu hésitant. J'accepte, mais je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Il me donne son adresse et me donne rendez-vous vers 20 heures.
Je me pointe à l'heure, avec deux pizzas et un pack de bières fraîches.
La télé était déjà allumée et j'ai pu poser notre collation sur la table basse dégagée. Je lui ai demandé pourquoi il avait pas invité les autres, et il me répond qu'il n'avait pas tellement accroché avec eux. La match commence, et on enchaîne les bières. Je le vois plus expressif que d'habitude, plus sympathique, plus attachant. Cela m'énerve car je sais bien que rien ne pourra se passer avec ce futur marié. Pendant le match, il est au fond de son canapé, les jambes écartées, et je ne peux m'empêcher de jeter des coups dil à cette déformation que crée son sexe coincé dans son jean. Juste avant la fin de la première mi-temps, notre équipe favorite marque enfin son premier but. Nous bondissons tous les deux en levant les bras au ciel et nous jetons dans les bras l'un de l'autre. Il m'att la mâchoire, s'approche, et me pose une grosse bise baveuse sur la joue. En me rasseyant, je me dis que j'ai été émoustille par cette simple étreinte sans signification. La pause arrive et il me détaille à nouveau avec excitation l'action victorieuse. Il me tape l'épaule, me touche la cuisse à l'occasion, se montre très familier. L'alcool doit aider.
Le match reprend et on assiste quelques minutes après à un doublé du même joueur pour notre équipe. Nous nous relevons, et dansons en chantant dans les bras l'un de l'autre. Je prends l'initiative de faire la même chose que lui. Je lui att ses joues et lui embrasse le front, ce qui le fait rire. Il me regarde avec amusement, et moi j'ai un peu honte. Je me dis que j'aurais pu faire comme lui, l'embrasser sur la joue. Non pas que ça aurait changé quoi que ce soit. Le match se poursuit et on assiste à un coup du chapeau. Cette fois-ci c'est la bonne, je n'attends pas, je le prends dans mes bras et l'embrasse sur la joue, longuement. Il me fixe et me dit doucement qu'on a gagné. Là il s'approche lentement et me rend la pareille, assez tendrement. Il lâche notre étreinte et on se rassoit. Quelques minutes plus tard, c'est le coup de sifflet final, et là c'est l'explosion.
Il me soulève soudainement et me fait tournoyer dans son salon. Surpris, mon premier réflexe et de mettre mes bras autour de son cou et de serrer mes jambes à ses hanches. Là, de nulle part, il m'embrasse fortement sur la bouche et se met à rire. Pris dans un élan de courage, je lui rends son baiser. Et là tout à basculé.
J'ai senti sa langue tenter d'entrer en moi, j'ai alors ouvert ma bouche pour le laisser se lier avec ma langue. Plus bas, je sentais une bosse entrer en contact avec mes couilles, c'était clairement son sexe en érection, réveillé par nos embrassades successives. Je le sentais donner de légers mouvements de bassin pour mimer un geste de pénétration. Je serrais un peu plus mes jambes autour de lui pour mieux ressentir sa masculinité entre mes propres cuisses. Depuis le temps que j'en rêvais... Il me porta près d'un des murs et s'appuya sur moi. Il avait arrêter de m'embrasser pour me regarder. Il continuait de se frotter à moi à travers nos jeans, et j'avais toujours les jambes en l'air. L'intensité de ses yeux me faisait fondre et me déstabilisait totalement. Il me fait redescendre et là je le repousse vers le canapé. Je l'assois et son sexe rageux pousse sous sa braguette déformée. Je m'empresse de la libérer de sa prison de tissus, d'abord le jean, ensuite le boxer blanc. Son monstre se présente à moi dans sa forme la plus agressive. Droite comme un I, longue comme un avant-bras, dure comme la pierre, puissante et traversée de toute part par un réseau complexe de veines qui battaient rapidement. Son pénis non circoncis était d'un brun caramélisé et son gland humide aérodynamique était rose foncé et prêt à être dégusté. Ce que je m'empressais de faire. J'engloutis son membre au fond de ma bouche et je tente avec ma langue de l'enrouler, ce qui ne fut pas une tâche facile. Je lèche sa tige dans sa totalité, histoire de reposer ma bouche tellement il me la déforme. Il pose sa main sur mon crâne et m'aide à descendre. Je parviens plus tard à ouvrir ma gorge pour tout faire passer.
Ses soupirs accélérés me font comprendre qu'il a apprécié. J'ai très envie de lui en moi. Je me déshabille en vitesse et lui présente mes fesses en me retournant. Je les écarte pour être plus explicite. Il tient sa bite dans sa main et se branle en me regardant de façon lubrique. Il crache dans main et sur son sexe et se lubrifie. Avec un doigt, il me fait signe de venir. Je m'assois sur son gland et gigote pour faire entrer le tout. Je suis tellement excité et dilaté que j'ai réussi à glissé jusqu'à la base de sa tige sans problème. Je reste en place quelques instants, pour m'habi à cette circonférence et cette distance en moi, puis commence mes va-et-vient. Il m'interrompt de suite et prend le contrôle. Il tient mes fesses à un niveau légèrement surélevé et du fond du fauteuil, me donne des coups de reins longs et puissants. De toute la longueur de son arme à plaisir, il me pénètre avec consistance et rythme. Il sort de moi et me ramène au mur. Je me courbe pour faciliter l'entrée, et d'un coup, il s'invite à nouveau en moi. Ses coups m'obligent à me tenir au mur pour ne pas me cogner. Je sens ses grosses couilles claquer contre les miennes à chacun de ses assauts. Il tire ma tête en arrière et m'embrasse de manière baveuse. Il se retire. Je me retourne, il prend une de mes jambes et il dirige son démon vers mon trou qui ne demande qu'à se refaire remplir. Il se colle à moi tout en me baisant et me roule des pelles sauvages. Je profite d'être face à lui pour soulever son t-shirt et pouvoir admirer son corps athlétique et le caresser. Nos deux corps sont transpirants et les poils de mon torse luisent à la lumière de l'écran de télévision. Il s'amuse à pincer mes tétons pour me donner encore plus de plaisir. Par moment il s'arrête pour me regarder et confirmer que je suis bien en train de prendre mon pied à me faire tringler par son gros bout. Je fais en sorte de serrer mon anus à mesure qu'il s'enfonce en moi pour bien l'aspirer. Je pose ma jambe et il sort de moi.
Nous revenons au canapé, dans lequel il s'assoit, avec son membre fier et droit présenté à moi. Je le chevauche et m'enfonce encore une fois sur lui. Cette fois-ci je lui fais face et c'est moi qui contrôle la cadence. Avec mon bassin, je fais des mouvements rapides et langoureux. J'accélère encore le rythme et je vois qu'il commence à plisser les yeux. Je vais le faire jouir, et je vais le pomper et le vider entièrement avec mon cul. Il tient mes fesses et les serre fermement à mesure que son plaisir arrive. Je sens son dard en moi devenir plus rigide encore, se figer et tirer son foutre chaud et gluant. Je continue à me mouvoir sur ses cuisses afin de sucer toute la semence qu'il à m'offrir et l'absorber par les fesses. Son éjaculation est sans fin, je sens encore des jets éclabousser mes parois à mesure que je glisse sur sa grande tige lubrifiée au maximum. Je ne m'arrête pas, j'en veux encore, je veux tout avaler. Je me rends pas compte que pendant ce temps, ma queue elle aussi se met à réagir. Toutes ces salves de purée m'ont noyé, et je crache mon sperme à mon tour en hurlant. Karim me prend dans ses bras et me donne son ultime attaque, une série de coups ultra rapides qui culminent en un deuxième orgasme pour lui. Il déverse une dernière fois sa précieuse sève méditerranéenne au plus profond de moi, complètement épuisés.
Nous nous voyons toujours aujourd'hui, malgré son mariage. Encore un « hétéro » qui apprécie le plaisir entre hommes.
admin
Jan. 31, 2023
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