L'Éducation De Papillon - Episode 11

(Suite des vacances)

Papillon et Jean sont chez leurs amis, les Hortoux, depuis 10 jours déjà. Ils profitent de leur maison dans la région nantaise. Ils ont commencé à se balader alentour, à se baigner, à profiter de leurs vacances. Ils ont aussi commencé à observer les habitudes de la maison.

Par exemple, Louis, leur ami, fait tous les jours une sieste entre 14h30h et 15h30. Anne, sa femme, fais de temps en temps les courses à ce moment-là. Douglas, leur fils de 19 ans, dort le matin, sort le soir et rentre aux aurores. Camille, leur fille de 16 ans, passe beaucoup de temps dans la cabane au fond du jardin, ou elle s'est installé "un ptit coin à elle avec notamment son ordinateur et un bon gros coussin profond pour se relaxer et fuir les parents".

Un jour que Papillon fait la sieste, Jean propose d'accompagner Anne aux courses, mais celle-ci lui répond de ne pas s'en faire, qu'elle se débrouille toute seule, qu'elle ne veut pas le déranger. Jean perçoit un léger trouble, et n'insiste pas.
Mais il décide de suivre Anne de loin.
Elle se rend comme prévu au supermarché du coin, à pieds, et fais quelques emplettes. Mais au lieu de se diriger vers la caisse, jean la voit garer le caddie dans un coin, et se diriger vers une porte du fond du magasin. Elle la franchit et disparaît. Jean la suit, et franchit en hésitant la porte. Elle donne sur un long couloir. Sur la droite, des toilettes et plus loin ce qui semble des bureaux. Jean s'avance furtivement. Il essaye d'ouvrir les toilettes mais elles sont fermées. Il progresse lentement.
Il entend peu à peu des gémissements, qui se font plus audibles à mesure qu'il avance.
Les bureaux sont cloisonnés, avec des stores amovibles donnant sur le couloir. Jean jette un œil dans le premier bureau. Personne. Quelques pas, deuxième bureau. Il regarde à travers deux lames un peu disjointes. Le spectacle est saisissant : Anne est à 4 pattes sur la moquette du bureau, elle a déjà la queue de celui qui semble être le patron du magasin dans la bouche.

Deux grands blacks, un chef de rayon et un magasinier, sont en train de lui pétrir l'arrière train. Elle a sa jupe relevée sur son dos, et on aperçoit la ficelle d'un string rouge dans sa raie.
Les deux blacks sortent leurs queues. Jean en a rarement vu de telles. L'une est longue et grosse, l'autre assez courte mais monstrueusement large.
Ils se présentent devant elle, et elle aspire à tour de rôle les trois queues. Tous bandent au maximum. Le patron prend la tête d'Anne et lui baise la bouche en lui tenant la tête.
Puis l'un des blacks se positionne derrière elle et lui enfonce son long gourdin dans la chatte trempée. Anne hennit de plaisir. Le troisième larron s'assoit sur son dos, lui tire les cheveux en arrière comme une crinière et lui frappe le dos de son vit énorme :"Allez pouliche, suce le boss, il le mérite, tiens, un bon coup de bite sur ton dos pour sucer plus vite". Anne s'exécute et accélère sa succion. Le cavalier lui donne de grandes tapes sur les fesses tout en maintenant ses cheveux.
- "Salope, tu aimes te faire monter, tu es une vraie jument. Tu as trois étalon à ta disposition pour te défoncer".
-"mmmmmmmmm" dit-elle, la bouche pleine du dard du boss. Puis reprenant un peu d'air : "Oui, j'aime que vous me montiez comme des bourrins, vos queues sont magnifiques. Encore, encore".
Et les trois continuent leur jeu.
-"Amadou, viens te faire sucer", dit le boss. Amadou prend sa place. Anne a du mal a engloutir l'engin, qui lui écarte la bouche et l' presque.
Le boss demande à l'autre gars, Patrick, de se glisser sous elle. – "Elle veut être complètement bouchée, cette cochonne, baise lui la chatte". Patrick s'allonge, et pose son cul sur sa queue avant de s'engouffrer, écartant les lobes des fesses pour donner accès au cul d'Anne.
Le boss approche sa bite et s'enfonce lentement dans le cul d'Anne.
Jean est fasciné. Cette amie qu'il croyait prude et "respectable", la voilà qui se donne à ces trois hommes.
Et vu la rapidité avec laquelle elle s'est retrouvée en situation, ce n'est pas la première fois. Elle avait rendez-vous.
-" Fous moi le cul, plus fort" lance-t-elle au patron, "et toi Patrick, agite ta trique bien au fond. J'en veux encore, je veux vos queues au fond de moi!"
Patrick et le patron se déchaînent à cette invitation, et sous les hurlements de plaisir étouffés d'Anne, ils déversent leur semence sur sa chatte et son cul.
-"Amadou, à toi de la finir" dit le boss. Amadou dans un grand sourire abandonne la bouche d'Anne, se met derrière elle et lui enfonce son énorme pieu dans le cul déjà dilaté. Mais la largeur du membre est telle qu'Anne croit défaillir. A chaque fois c'est pareil : elle a beau savoir ce qu'il l'attend, et apprécier, l'introduction du chibre est un moment de solitude extrême….
Mais ça rentre, et Amadou se déchaîne à son tour. "Tu l'aime ma grosse queue dans ton cul, tu aimes la pine d'Amadou, tu aimes te faire ramoner le fondement bien dans les coins, hein ma cochonne, tu y reviens toujours, tu as besoin de nos queues, ton mari ne te suffit plus"
-"Oooouuuiii, encule moi bien, seule ta queue me fait jouir autant par le cul, mon mari n'arrive plus à me contenter, je suis une salope, j'en veux toujours plus".
Amadou lui déchire l'anus, puis lui injecte une quantité impressionnante de foutre salvateur, avant de se retirer.
Jean, pendant cette scène, a sorti son téléphone portable et a pris quelques photos et une vidéo de la dernière séquence. - "Jamais Papillon ne me croira si je n'ai pas de preuves".
-"Bon les gars, va falloir reprendre le boulot, maintenant que notre cochonne à son compte ! Tu reviens quand pour te faire ramoner ?"
-"Avec ce que j'ai pris, j'en ai au moins pour trois jours à me remettre ! Et puis j'ai des amis à la maison, je ne peux les laisser tous les jours ! Je reviendrai vendredi à 15h. Soyez prêts à me défoncer comme des salauds". Tout le monde se rhabille lentement.

Jean s'éclipse pour ne pas être surpris. Sa queue raide est bien un peu voyante, aussi il att au passage une serviette qu'il met devant lui. Il débande en traversant le magasin et abandonne l'objet avant les caisses. Il rentre rapidement.

Arrivé à la maison, il att Papillon par la manche.
-"Viens un peu là, j'ai des choses à te montrer, vite". Et une fois seuls dans leur chambre, il lui montre les photos et la vidéo avec Anne. –"je me suis trompé, c'est une belle salope aussi ! " lui dit-il.
-"En effet, je n'aurai pas à la dévergonder !" admet Papillon, éberluée. "Quand je pense comment elle était sage pendant nos études ! Le temps fait son œuvre !"
-"Je te propose de faire comme si de rien n'était et surtout on ne dit rien à Louis" dit Jean. "En revanche, comme il m'a semblé que tu le regardais parfois avec envie, je te laisse le champ libre. Moi, de mon côté, je vais voir ce que je peux faire pour mettre Anne dans notre lit un de ces jours. Voilà les vacances qui s'accélèrent quelque peu ! Miam. Tu imagines, j'étais dans le couloir, juste à côté, et je t'avoue que cela m'a bien excité". Et il bascule Papillon sur le lit, et sans prendre de gants, lui écarte la culotte et lui enfourne sa bite dans la moule. Papillon est aux anges. –"Enfin, tu te décides à me baiser aujourd'hui ! J'attendais cela depuis ce matin !". Et elle ondule des hanches, faisant corps avec son mari, approchant son sexe du sien, puis reculant un peu pour admirer la pénétration. Elle a toujours aimé voir ce qui se passe, admirer sa chatte dans une glace mais surtout quand elle s'y introduit un gode ou qu'un membre la pénètre. A une époque, avant de rencontrer Jean, tous les matins elle s'installait au réveil devant la grande glace à côté de son lit, prenait un des godes de sa collection, et passait quelques minutes à se branler, à s'aimer, à découvrir son plaisir, à voir ce qu'elle aime le plus, à se regarder jouir, à admirer son corps.
Jean l'a prise par les hanches, lui a remonté les jambes sur les épaules, et pendant qu'il la laboure, il lui caresse le clitoris de son pouce.
Papillon ne tarde pas à jouir, envoyant un peu de cyprine sur le sexe de Jean. Jean à son tour arrose son buisson.
En sueur, il prenne une douche rapide et rejoignent leurs amis.
Anne est rentrée entretemps, et elle prépare l'apéro du soir. Louis l'aide, lui donnant au passage quelques baisers dans le cou, qu'Anne accueille avec plaisir.
Papillon chuchote à Jean : " Visiblement, elle aime toujours Louis et ne le repousse pas. Va savoir, peut-être est-il au courant ? On va suivre cela avec intérêt…….

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