Leslie Vn39

Leslie VN 39 – Vacances naturistes, Sortie seule, suite et fin

Comment refuser, je le laissais faire et c’est en 69 qu’en me suçant il caressa ma poitrine avec douceur, mes seins étaient durs de désir et de plaisir, il me suçait avec passion en me caressant su bout des doigts.
Prise du désir je m’accrochais à se cheveux pour le guider dans le rythme de sa fellation. Puis je portais mon visage au niveau de son sexe qui commençait à retrouver de la raideur et je me mis à lécher le gland, puis ma langue courut le long de sa hampe. Enfin, je pris son pieu en bouche pour le sucer comme une damnée.

Lorsque sa queue fut bien raide, je m’aperçus qu’il était de fort belle dimensions et n’avait rien à envier aux autres, ce qui frit frémir ma petite rondelle.
Je me séparais de l’étreinte et me plaçais à nouveau en levrette en disant :
- Encules moi et fais-moi jouir !
Il se plaça derrière moi et me pénétra rapidement, me faisant gémir de bonheur en disant :
- Je te veux au fond de mon cul.
Il me pénétrait sans violence, mais de façon continue et profondément, à chaque pénétration je sentais bien sa queue glisser sur mes parois intimes. Pendant qu’il s’activait avec sa queue dans mon cul, je me branlais comme une salope en feulant de plaisir.
J’atteignis l’orgasme libérateur, pas fulgurant mais suffisant pour me satisfaire complètement.
Comme il n’avait pas lancé sa semence dans mon cul, je lui dis :
- Jouis sur mes reins !
Après s’être retiré il se branla de sa main pour que la queue lance son foutre sur mes reins cambrés.

Nous nous sommes reposés un peu, puis pour continuer la journée il m’emmena manger dans un petit restaurant, après le diner nous sommes retournés dans sa garçonnière
Pendant le diner il me demanda ce que je faisais dans la vie, et si j’avais des relations stables, si par hasard il n’était qu’un amant de passage et comment j’envisageais l’avenir avec lui.

Pour toute réponse, je lui dis :
- Tu sais je profite de la vie et de qu’elle me propose chaque jour sans me prendre la tête, il est possible que nous ne nous revoyons pas, amis pour l’instant je suis avec toi, alors profite sans te poser de question.
- Tu me plais et…
Je l’ai coupé en disant :
- Je suis une transexuelle et tu n’as pas d’avenir avec moi, alors arrête et emmènes moi chez toi.
Je ne lui dis rien de plus laissant le silence s’installer entre nous un moment, c’est lui qui le brisa en me demandant :
- Tu me ferais l’amour si je te le demandais ?
- Bien sûr, je suis active et si tu le désires je peux te faire l’amour.
Les hommes sont ainsi, ils pensent qu’en se donnant ils vont vous garder près d’eux, qu’ils ne peuvent se donner afin de vous faire craquer pour leur petit cul
Alors je lui ai dit :
- Tu ne me retiendras pas en te donnant à moi, si tu as l’envie de faire l’expérience je suis partante, mais notre relation en restera là, alors profites sans projeter.

Il m’a emmené chez lui et cette nuit-là il m’a prise dans toutes les positions possibles, j’ai aimée quand il m’a enculée lui debout derrière moi et moi allongée sur son bureau, son membre étant à la hauteur de ma rondelle dilatée le recevait sans peine, j’avais les jambes largement ouvertes qu’il maintenait ainsi, en enserrant mes chevilles dans ses mains. La vision de mon sexe gonflé et dressé d’excitation lui procurait une érection puissante. Il me pénétrait rapidement, presque violement, et ses mouvements de va-et-vient étaient que du bonheur. Il allait profondément en moi, stimulant la moindre parcelle de mon cul, avec son gland il allait à gauche et à droite, puis en haut et en bas. Il s’enfonçait dans ma rondelle au plus profond puis se reculait à la limite de l’extraction, c’était absolument fabuleux.

Finalement, ce soir-là, Stéphane me fit jouir plusieurs fois et se révéla être un excellent amant.
Il ne m’a pas demandé de lui faire l’amour et je l’ai quittée pour aller retrouver Laure en lui demandant de ne pas m’attendre, mais en me donnant ses coordonnées je sais qu’il pensait me revoir un jour.

Laure était installée, vêtue d’une chemise grande ouverte, affalée devant la télévision regardant un film porno. Sur l’écran une fille se branlait tandis qu’une autre se faisait prendre vigoureusement par un mec bien membré.
Jetant un regard sur son entrejambe, je m’aperçus qu’elle avait commencé à se faire du bien.
- Tu es revenue ? Ta journée s’est pas bien passée ?
- Oui très bien. Mais pas exactement comme je l’imaginais.
Je lui racontai donc le déroulement de la journée et ma rencontre dans le cinéma, puis comment Stéphane m’avait fait l’amour chez lui et la soirée, puis comment je l’avais quittée.
- Tu ne vas pas le revoir ?
- Non, j’ai passé un bon moment, point final.
Laure me regardait en se demandant si j’avais envie d’elle, alors je lui dis :
- En plus je te retrouve à poil en train de visionner un film de cul et de te branler, je crois que tu as un petit manque, alors dépêches toi d’aller dans la chambre j’arrive.
- Tu as raison, j’y vais mais vient vite.

Je gagnais la salle de bain pour prendre une douche et sortis nue de la salle d’eau, comme à mon habitude, et j’allais aussitôt retrouver Laure dans le lit. Je la pris dans mes bras et mon corps nu se colla contre le sien. Laure me serra fort dans ses bras.
Je commençais à lui caresser le corps, m’attaquant tout de suite à ses zones érogènes favorites que je connaissais bien. Elle m’embrassa avec fougue en me disant :
- Prends-moi, je suis à toi.
Laure s'abandonnait à moi et j’avais l’occasion d’en profiter, aussi en ai-je abusé durant cette nuit d’amour.

A suivre…