Une Histoire Vraie.

David et moi sommes mariés depuis 15 ans. Je peux affirmer que je suis une femme comblée et une mère épanouie. J’ai 44 ans, lui, un an de moins. Cet été, comme chaque année au mois d’août, nous nous sommes rendus dans notre maison de vacances, au Cap ferret. Cet endroit compte d’une manière spéciale pour nous deux. C’est là que nous nous sommes rencontrés. Nous sommes aimés. Nous sommes même promis de le faire et ce pour le restant de notre vie. Bref. Comme d’habitude j’ai laissé à David le soin d’emmener nos trois garnements à la plage. N’étant pas très fan de bronzette interminable, je préfère bouquiner dans le jardin. J’ai une vie professionnelle par ailleurs très prenante et je profite toujours de ces temps calmes pour lire et me reposer. Trois heures par jour, pas plus, puis je remplis mon gros cabas de sandwichs et de sodas et je rejoins ma petite famille pour le sacro saint goûter. Je dois aussi vous avouer que mon corps m’embarrasse quelque peu. Disons que je suis ronde, 3 grossesses ont du aggraver mon cas, et que je n’aime pas trop exhiber mes formes à la vue de tous. A l’abri de la haie de bambous qui entoure le jardin, là par contre je me fais pas prier pour me mettre en maillot, avant de m’installer sur le pliant pour dévorer mes romans policiers en retard, le genre que j’affectionne le plus.

Je ne vous apprends rien si je précise qu’il a fait particulièrement chaud cet été. J’ai donc opté pour un bronzage seins nus. Deux jours que nous étions arrivés, tout heureux de profiter de l’air océanique et surtout du calme alentour. A notre grande surprise et notre plus grand bonheur, la villa voisine semblait inoccupée. Les premiers jours je les passais donc à bouquiner de ci de là et à décompresser. Le roman en cours me tombait des mains et j’avais du m’assoupir lorsque la sonnette retentit. Je sursautai, un peu honteuse en m’apercevant que 16h était passé depuis longtemps. David et les s avaient du se demander pourquoi je tardais à les rejoindre.

Sans doute s’impatientaient-ils déjà, passablement affamés, devant la porte vers laquelle je me hâtai toute confuse.

-« oh maman est désolée mes chouchous… » je dus m’interrompre aussitôt, comme une jeune garçon, la vingtaine tout au plus, me faisait face visiblement gêné. Il était brun, les cheveux courts en jeans et tricot de corps qui le moulaient de manière avantageuse.

-« bonjour Madame. Oh je ne voulais pas vous déranger et visiblement je vous dérange. » bredouilla-t-il. Son regard me fixait curieusement. Juste le temps de me rendre compte que j’étais seins nus, dans un mouvement affolé et maladroit je plaquais mes deux mains sur ma poitrine.

-« Oui, heu, ce n’est rien, voyons. » je n’arrivais pas à finir ma phrase, j’étais pivoine.

- « J’attends mes amis qui sont pris dans les embouteillages. Nous avons loué juste à côté. Je suis à la porte et à vrai dire je meurs de soif. Je me demandai si vous aviez… »

« Bien sur. Laissez moi le temps de passer une tenue plus… » Je filai vers la maison. Enfilai le premier paréo qui me tombait sous la main. Le jeune garçon était resté planté devant la porte ce qui me fit sourire et pour tout vous avouer m’attendrit. « Voulez-vous un verre d’eau ? »

Le jeune homme se décida enfin à me rejoindre dans la cuisine. Je lui servis un grand verre d’eau. J’avais hâte qu’il retourne attendre ses amis. Dans mon dos je sentais que ses yeux me fixaient. Impression étrange qui me troublait, me gênait. Pourtant je ne me retournais pas.

« vous êtes venue seule en vacances ? »
« Non, non. Avec mon mari et mes s. » Je lui faisais face à présent et sentais que ses yeux me détaillaient toujours.

« Oh oui. Bien sur. Suis-je bête. »

J’en profitais pour meubler la conversation par des banalités. « Nous venons au Cap-Ferret depuis plus de quinze ans et vous c’est la première fois ? »

« Oui. » Ses yeux étaient plantés dans les miens.


« Il parait que… »

« Que quoi ? »

« Laissez tomber, je ne voudrais surtout pas vous choquer. » fit-il en souriant.

Fermement décidée à ce qu’il vide les lieux au plus vite je lui dis « en plus vous verrez, il y a des plages à perte de vue et pas trop encombrées »

« Vous n’y allez jamais ? Vous préférez faire bronzette toute seule »

« heu oui. »

« vous aimez bronzer toute nue c’est sans doute pour ça. » ricana-t-il.

« non. Non. il faisait chaud aujourd’hui. D’habitude… » je lui pris ses verres des mains et là commit un lapsus qui me fait perdre tous mes moyens « je pense que vous avez assez vu, non ? » J’étais pivoine.

Il me sourit longuement sans bouger puis ajouta. « Je suis resté sur ma faim j’avoue. Mais vous seins sont superbes. 95D à peu près c’est bien ça ? »

« dites donc ! » fis-je écarlate

« le reste n’est pas mal j’avoue. De belles cuisses potelées. Des hanches de femme. » Puis il se leva et commença à s’approcher « vous me rappelez une amie. Oui beaucoup. »

« j’ai l’âge d’être votre… »bredouillai-je.

« ma mère a 60 ans. Quel âge avez-vous…Madame ? »

« 44. » son regard de braise me troublait et j’en eus honte.

« a la différence de cette amie, votre visage est plus joli, plus doux, aussi. »

Je n’osais rien ajouter de plus, je voulais qu’il s’en aille.

« et vos fesses beaucoup plus charnues. Vous devez plaire. On doit se retourner sur votre passage. J’imagine que vous n’aimez pas trop vous montrer»
« En effet, je suis pudique. Et qui plus est je suis mariée, alors sortez maintenant. » Je surjouais la colère mais malgré moi je sentais que ses compliments maladroits me faisaient de l’effet.

« et vous aimez votre mari, je suppose. » il était à présent àquelques centimètres de moi. Son regard me toisait. Je suis plutôt petite, 1M68 environ.
Lui devait mesurer plus d’1m80.

« Oui je l’aime en effet. »

« il doit se régaler avec un corps pareil. » insista-t-il.

« oui et moi aussi si vous voulez tout savoir » je ne sais ce qui m’a pris de lui dire ça.

« j’avais deviné que tu aimais ça. Pas tous les jours qu’une jolie maman vous ouvre comme ça les seins à l’air. » Je le sentais à la fois très excité et très sur de lui. Soudain sur de ses charmes. A ce moment là, je l’avoue, mon trouble augmentait de seconde en seconde.

« tu ne dis plus rien ? tu ne sais plus ce que tu dois dire ou bien ? »

« sortez tout de suite ou…» murmurai-je en baissant la tête.

« tu ne l’as jamais fait c’est ça ? »

« jamais fait quoi ? » ma voix tait à peine audible

« tu n’as jamais trompé ton mari ? » ce qu’il était sur de lui mon dieu et que sa voix ne trahissait aucun malaise. Il ne me brusquait pas. Non. J’aurais pourtant du le gifler à toute volée, reprendre au plus vite le contrôle de cette situation insolite qui m’échappait totalement. Mais non, le fait de me faire draguer, la chose ne m’arrivait jamais, voilà, m’excitait. Je mouillais et pour de bon cette fois. J’avais honte mais si je mouillais c’est bien que quelque chose m’attirait. Son âge. Son corps souple et musclé. Je ne sais pas. Je restais là. Sans trouver quoi lui répondre ni que faire.

« est-ce que par hasard je te plairais ? » après quoi il retira doucement son tricot de corps. « Tu aimes ? Regarde au moins. »s’empressa-t-il de rajouter. « moi j’aime les rondes. Et les femmes de ton âge, aussi. J’adore tes gros seins et tes grosses cuisses tu sais. »Et aussitôt ses mains se posaient sur mes épaules, et aussitôt ma peau se mit à frissonner de partout.

« va-t-en tout de suite et je ne dirais rien à mon mari » ma voix était suppliante. « Va-t-en je t’en prie. Va-t-en ! »

« Pourquoi ? C’est ce que tu veux vraiment ? »

Ma raison me commandait de répondre par un oui net et catégorique.
Mon corps réclamait tout autre chose.

« très bien. » dit-il en se dégageant « je me suis trompé alors. Je suis désolé. J’avais cru que tu en avais envie » fit-il avec une moue pleine de morgue.
« envie de quoi ? » osai-je, mes mots sortaient tout seul de ma bouche

« envie de te faire baiser par un jeune homme. Tu n’aurais pas été la première tu sais » ah cette morgue de petit con !! J’étais outrée et vexée qu’il prenne les choses sur ce ton. Je voulais le remettre à sa place une fois pour toutes.

« Parce que je suis ronde et moche c’est ça, alors je devrais te céder sur le champs ? » dis-je furieuse.

« non. » fit-il narquois.

« non quoi alors ? » rétorquai-je du tac au tac.

« t’assumes mal tes formes, c’est toi qui te trouves ronde et moche alors que… » je lui coupai net la parole.

« alors que quoi !! » je remouillais de plus belle, me demandant ce qu’il allait trouver à me répondre cette fois-ci.

« alors t’es bonne !! Tu me fais bander et j’ai envie de te baiser »

« Des filles qui ne demanderont que ça tu en trouveras plein ici tu sais et j’ai un mari pour ça» lançai-je avec un air sure de moi

« ça m’étonnerait ça. » fit-il à nouveau dans un sourire.

« quoi donc ? »

« que ton mari te baise. »

« pourquoi ça ? »

« ton mari te fait l’amour. Rien à voir »

« quelle différence cela fait-il ? »

« demande-moi de rester et tu le sauras assez vite » rigola-t-il en tournant les talons.

A cet instant, je ne sais ce qui m’a pris mais j’ai fait glisser mon paréo avant de lui crier pleine de défi « c’est ça que tu veux n’est-ce pas ? » Mes seins étaient dressés vers lui. Je me sentais une autre, oui c’est ça, une autre.

«je les ai déjà vu. Tes nichons. »

Alors je baissais le bas de mon maillot sans rien dire.

« tu ne t’épiles jamais ? » dit-il en s’avançant. J’étais rouge de colère, je me sentais vexée, humiliée même. « tu veux que je te fasse le maillot ? » je restais sans voix.

Alors il s’est approché encore plus près, s’est agenouillé « Ecarte »
Je me suis exécutée en silence. Ses mains ont glissée sur ma toison « t’es trempée dis moi » Il a glissé un doigt à l’intérieur de ma fente. J’étais toute mouillée. J’ai gémi. Il s’est mis à me doigter de plus belle et là j’ai joui" ( à suivre.)

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