Voyage En Train ( Suite Et Fin )

Mes acolytes et moi, descendons du train.
"- Je m'appelle Christophe dit celui qui était devant moi.
- Moi, Michel.
- Et moi Sarah.
- Enchantés Sarah !
Nous marchons vers la sortie, et Michel dit :
"Vous ne trouvez pas dommage de poursuive bêtement dans un hôtel une aventure qui a si bien commencé de façon insolite ?"
"Oui, tu as raison dit Christophe. Mais aller où ?"
"Puisqu'on a commencé dans un train, continuons dans un train ! Qu'est-ce que tu en penses, Sarah ?"
La folle dingue que je suis devenue en 30 min et qui ne se soucie plus du tout de ses rendez vous professionnels, réponds :
"D'accord pourquoi pas ?"

Nous repérons le premier train prêt à partir (ce n'est pas la destination qui nous intéresse) et Michel court nous acheter des billets.
Nous montons, et à nouveau la petite fée du sexe est de notre coté : c'est un train à compartiments !
Nous en trouvons un vide, nous fermons les rideaux tout de suite et attendons quand même quelques minutes après le départ pour être sur que personne n'entre...
Mais mes amants-voyageurs ont commencé à me caresser par dessus mes vêtements...
Je me lève pour enlever mon manteau, je suis au milieu d'eux, ils sont assis l'un en face de l'autre. A nouveau, je les retrouve un derrière, un devant !
La proximité des banquettes leur permet de rester assis tout en s'occupant de moi : ils soulèvent ma jupe, m'enlève complètement mon string cette fois ci et reprennent les choses là où ils les ont laissées.
Le train roule, les saccades ne font qu'augmenter la tension, et se trouver cul nu au milieu de deux hommes dans un endroit où d'habitude on ne fait que lire, dormir ou s'ennuyer est très excitant...
Je lève les bras et m'accroche à l'étagère au dessus prévue pour les bagages. Les jambes écartées je suis à nouveau offerte à leur savoir -faire.
Christophe écarte mes lèvres et donne juste des petits coups de langue.

..
Michel écarte mes fesses et me lèche l'anus...
Des gens marchent dans le couloir en parlant, je vois leur ombre passer sur les rideaux... Quelle excitation de me dire qu'ils pourraient ouvrir la porte et nous surprendre !
La langue de Christophe devient plus pressante, sa bouche aspire mon sexe, le retient pendant qu'il remue la tête de droite à gauche ce qui me fait gémir de plaisir...
Michel enfonce un doigt dans mon anus puis deux, et un autre dans ma chatte puis deux ! Je plane complétement !
Le train a des secousses qui en ajoutent au mouvement de ses doigts, c'est divin !
Christophe ne s'occupe plus que de mon clito qu'il titille du bout de sa langue qu'il rend pointue et dure : je finis par jouir et tombe sur les genoux de Michel.
"Ah, ma belle, c'était bon hein ?"
"oh, oui....trop !"
"Bien maintenant faut que tu t'occupes de nous !
"Mais enlève ce pull d'abord, qu'on voit tes seins quand même !"
Je l'enlève, mon soutien gorge aussi..;
"Oh quelle poitrine !"
Chacun s'occupe d'un sein, le caresse, le mordille, suce le téton tandis qu'ils ont chacun une main qui fouillent ma chatte...
"Allez viens."
Ils se sont assis et baissé leurs pantalons et leurs slips, sorti leur sexe. Ils sont bien membrés tous les deux, j'ai décidément de la chance !
Des gens s’arrêtent devant la porte pour discuter pendant que je les suce activement l'un après l'autre !Et je suis à genoux devant eux la jupe relevée, les fesses à l'air ! C'est une situation folle, qui m’excite terriblement.

Michel se lève et tandis que je continue de m'occuper de Christophe, il me soulève les fesses et me prend par derrière,me caresse les seins, me pince les tétons.
Nous nous arrêtons dans une gare, les gens passent et repassent dans le couloir, sans savoir ce qui se passe là !
Je m'attends à tout moment à ce que quelqu'un ouvre la porte ! Puis le train repart, nous manquons de perdre l'équilibre, ce qui ajoute encore au cote dément de la scène.
..
Christophe et Michel changent de place maintenant. Christophe s'occupe aussi de mon anus, le lubrifie de salive... Je m'attends à ce qu'il me sodomise là mais non, il me demande de me mettre assise sur Michel, face à lui, en me pénétrant de son sexe, et lui vient me sodomiser.
Je sens leurs va et vient dans mon ventre, rythmés par les saccades du train, mes seins balancent à leurs secousses qu'ils me donnent, je gémis de plaisir, c'est trop bon !

J'entends des voix encore, à la porte, des ombres qui s'attardent...En regardant mieux, je m’aperçois que là où le rideau n'est pas bien fermé (il a dû bouger avec les secousses du train) des yeux nous observent ! On entend des rires, des "Oh elle a l'air bonne !".
Je suis horriblement gênée mais en même temps excitée d’être ainsi vue prise par deux hommes ! D'autres ombres, d'autres yeux viennent se coller à la vitre ! Michel et Christophe s'en aperçoivent aussi et leur font des signes satisfaits !On entend :
"On peut venir aussi ?"
"Non elle est à nous ! Mais regardez si vous voulez !"
"Vous êtes pas sympas, montrez nous au moins comment elle est, on voit rien !"
"Après vous nous laissez tranquilles ?"
"Promis !"
Michel me dit: "montre leur ton cul une bonne fois on pourra continuer tranquilles."
Christophe se retire et me laisse me relever :
"Oui tourne toi vers eux"
Je n'ai jamais fait d’exhibitionnisme, mais toute cette aventure m'a tellement chamboulée que je me sens prête à tout !
Je me mets debout dos à la porte, la jupe relevée.
"Ah oui, elle a un beau cul !"
"Elle peut se pencher un peu qu'on voit sa chatte ?"
"Ils sont pénibles dit Michel,fait le ma chérie, qu'on puisse à nouveau s'amuser !"
Sous une délicieuse humiliation je me penche et tend mon arrière train, dévoilant mon intimité à ces inconnus que je ne vois pas...
"Écartez un peu ses fesses..."
Michel les écartes, écarte aussi mes grandes lèvres.

"CA vous va comme ça ?"
"Oh là là ! elle a l'air trop bonne ! allez laissez nous venir !"
"on vous a dit non, maintenant laissez nous !"
"on peut au moins continuer à regarder ?"
"D'accord"
Je suis dans un état de honte comme je n'en ai jamais connu, mais je ne suis plus moi même. Nous recommençons notre séance avec nos spectateurs qui n'en perdent rien, sauf j'imagine, quand des gens passent.
Michel et Christophe jouissent avec un râle successivement, chacun dans un de mes orifices en me donnant de grands coups durant lesquels je me retiens autant que je peux de crier. On entend :
"Ah les veinards !"
Nous nous rhabillons, et décidons de descendre à la prochaine gare et de remonter sur Paris.
Nos voyeurs sont partis. Le train s’arrête, on descend et on attend le prochain pour Paris en prenant un café. On discute presque comme de vieux amis, en tout cas comme des gens qui se comprennent !
"Ça t'as plu tout à l'heure, de leur montrer ton cul ?
"Dans un sens oui.... surtout en sachant qu'ils n'y toucheraient pas, c'était excitant de les exciter pour rien !"
"Petite coquine va ! dit Michel Et si on faisait la même chose dans le train du retour ? Ta jupe est déjà courte, tu la rend encore plus courte en la remontant, tu enlèves ton string ici, aux toilettes, et dans le train tu t’exhibes au plus grand nombre de mecs, l'air de rien !"
" Et de toute façon,dit Christophe ils verront qu'on est là, avec toi,ils n'oseront rien !"
C'est une idée dingue mais c'est une journée de dingue, je réponds :
"Pourquoi pas!" Et je pars enlever mon string, relever ma jupe en la roulant à la ceinture, j'enfile mon manteau et je les rejoins.
"Parfait comme ça ! Tu vas tous les rendre malades !"
Le train arrive, nous montons. J'enlève mon manteau, Christophe est devant moi, Michel derrière moi, nous discutons normalement en restant debout dans l'allée après avoir laisser passer tout le monde.

On marche lentement, comme si on était pas pressés de s'assoir, et lorsqu'il y a des banquettes avec uniquement des mecs, je m'appuie de dos un peu sur le coté au dossier, les fesses tournées vers eux, tout en continuant à discuter. Michel tire doucement ma jupe très discrètement et je sens à l'air froid sur mes fesses qu'elles sont à l'air, à la vue des deux hommes assis. Christophe les observe, me sourie, et nous repartons faire d'autres victimes. C'est un jeu délicieux qui nous rend encore plus complices !
Après avoir fait une bonne dizaine de malheureux qui n'ont pu que regarder, nous nous asseyons enfin. A Paris, nous nous séparons après avoir échangé nos numéros de téléphone. Depuis, ce sont mes compagnons d'aventures quand je monte à Paris.

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