Concurrent Pour Mon Mari

Ce matin tôt, j'ai sorti le chat qui faisait des sottises comme chaque fois qu'il sent une chatte en chaleur dans le quartier. Il part vite en courant à travers le jardin. Il va rejoindre une belle de son espèce. Je suis enfin au calme. Mon mari est déjà parti travailler pour gagner notre croûte et des poussières pour nous distraire, souvent il emmène des petits jouets pour moi. Je les essaie toujours quand il est là, même si je ne me prive pas de mettre souvent les boules de geisha qui pilotent un peu ma vie extérieure. J'ai aussi des godes pour me baiser ou m'enculer comme je veux.
Je passe sous la douche pour ma masturbation matinale. Je suis sur le point de jouir quand le téléphone sonne. Tant pis je jouirais en parlant. C'est une douce voix féminine qui me parle : elle tient à passer dans l'après midi pour me montrer des objets personnel. D'après elle je lui achèterais le modèle classique. Elle ne veux rien me dire de plus. Je sens ma voix dérailler quand je jouis. Si elle savait ce que je fais elle en serait étonnée.
Je fais le peu de ménage, la cuisine que j'adore faire pour mon homme et quand même beaucoup pour moi. J'oublie cette femme après le repas. J'ai juste me temps de préparer un café fort, de le déguster quand la sonnette du portail m'avertit que quelqu'un est là. Bon, je l'avais oubliée, c'est la femme mystérieuse.
Pendant qu'elle passe dans l'allée je la regarde bien, elle est jolie fille. Si mon époux la voyait, il me dirait qu'elle est baisable. Elle porte une mallette qui semble assez légère. Je pense qu'elle veut me refourguer des encyclopédies ou similaire.
Je la fait asseoir sur le divan, à coté de moi. Ainsi je pense pouvoir la mettre dehors facilement. Elle commence à me demander si j'aime l'amour.
Oui, pourquoi ?
Etonnant comme entrée en matière !
Je vais vous montrer ce qui se fait de mieux pour le plaisir féminin.
J'ai déjà ce qu'il faut.
Non, ce que j'ai là est entièrement nouveau pas encore en vente dans les site classiques de jouets, ni à plus forte raison dans les sex-shops.

Je sens que je vais me laisser embarquer dans un coup fumant. Elle reprend :
Je vais vous le montrer.
Elle sort son engin de la valise qui contient plein de choses personnelles sans doute : des bas, des strings, des hauts transparents, et un petit paquet. C'est ce qu'elle ouvre.
Il s'agit d'un presque banal gode. Pourtant s'il est en verres, il est incassable. Les picots procurent une nouvelle sensation à l'intérieur de vagin ou du cul . Aimez vous jouir avec le cul ? Il se chauffe facilement sur un radiateur, si c'est par devant c'est pareil. La partie arrondie juste en haut sert pour le prendre en main pour le faire aller et venir dans votre ventre ou celui d'une copine si vous en avez une. Certaine s'en serve pour le cul de leur mari. C'est parait-il très bon pour les hommes. Je n'ai jamais essayé. Vous pouvez le faire si votre mari, vous êtes mariée je pense, aime se faire enculer. Surtout n'enlevez pas les boules de geisha si vous le mettez au cul. Vous en avez des boules de geisha.
Euh oui.
Pourquoi elle me pose cette question et pourquoi j'y réponds.
Si vous vous enculez maintenant, puisque vous portez ces boules, vous jouirez plus fort.
Elle m'excite avec ses histoires. Je me sens mouiller. Mes boules justement me donne un début de plaisir en crispant mon sexe autour d'elle.
Vous pouvez essayer ce gode, maintenant devant moi si vous voulez. Je ne ferais que vous regarder, sauf si je vous gêne.
Je ne réfléchis plus, je me lève pour me mettre nue. Je n'ai même pas honte de faire ça devant une inconnue, moi qui suis du genre pudique. Elle me regarde sans rien dire, je vois que son regard est sur ma touffe pas très épaisse et sur le bout de ficelle qui tient mes boules dans le con. Je prends le gode, le suce juste un instant pour le chauffer. Je me rassois les jambes bien ouvertes. Avant de mettre l'engin je mouille mon anus avec ma propre mouille. Je suis vite prête à me branler le cul. La grosseur me convient bien . Je le fait entrer lentement, presque trot dans je rectum. Les picots commencent dès l'entrée à me donner des sensations que je ne connaissais pas encore. Je ferme les yeux pour me le mettre le plus profond possible. Je m'entend gémir, je ferme un peu l'anus pour mieux sentir ce plaisir totalement différent. J'ai envie de me baiser. Sans même y réfléchir je demande à la femme de tirer le cordon pour enlever les boules de mon sexe. Je sens sa main entre mes cuisses (c'est bien la première fois qu'une fille me touche à cet endroit). Elle prend le cordon , le tire : elle me fait jouir deux fois au passage des deux boules. Je jouis une autre fois quand j'enlève le gode du cul.
Je vais essayer le principal. J'entre directement totalement le gode. Je suis surprise des sensations extraordinaires qui je me donne, plutôt que me donne le gode. Il me semble que mon vagin est plus remplit qu'avec la bite de mon époux. Il a un sérieux concurrent si je prend ce truc. Je regarde la vendeuse comme si elle pouvait m'aider à avoir encore du plaisir. Par exemple elle pourrait tenir et manœuvrer le gode à ma place ou me caresser les seins.
Il faut que je lui demande de me caresser les seins, ce qu'elle fait fort bien. Elle tripote mes mamelles en faisant bander les pointes. Elle ajoute à mon plaisir ce qui me manquait. Mes aller-venue s'accélère pour que j'arrive facilement à l'orgasme. Est-ce dû à la présence de cette femme ou au gode, je ne sais le dire. J'ai gardé le faux sexe dans mon vagin jusqu'à la fin de mes spasmes.
Je ne réalise qu'à ce moment que je suis nue devant une quasi inconnue. Il est temps que j'ai des remords.
C’était bon d'après ce que j'ai vu.
Oui encore plus que vous le croyez.
Je connais, je m'en sert tous les jours, sauf quand mon mari me baise en fin de semaine. Je travaille dehors. Je couche seul à l'hôtel alors là...
Vous vous branlez !
Oui.
Je suis vaincue, j'achète le gode, enfin un neuf, dans une belle boite cadeaux. Après avoir payé je sens le vide dans le bas ventre : j'ai encore envie de jouir. Cette fois je vais dans la chambre. Je reste nue, les jambes ouvertes pour passer d'abord dans le con le bout du gode. Je jouis rapidement, je change de trou. Mon cul est vite vaincu : je jouis encore.
Je ne fais même pas attention à l'heure : mon mari me surprend pendant que j'astique le cul. Ce n'est pas la première fois que je me branle devant lui : il se déshabille, vient près de moi, regarde ce que je fais, remarque la nouveauté. Il bande tellement que je me donne à lui. Enfin pas toute, j'ai gardé le gode rempli du gode. Il me baise normalement dans le con.
C'est ce jour là que j'ai pris goût aux doubles pénétrations.