Dans Le Métro - Geoffrey 1
Je me présente, Lucas, 27 ans, parisien d'adoption, et grand séducteur. Les dieux et la génétique m'ont fait la grâce d'un physique qui plaît, si j'en crois le regard des passants et mes conquêtes. J'aime aussi beaucoup me dépenser, que ça soit sur un terrain de foot avec les amis ou dans une salle de sport, tout seul. Je mesure 1,85m et je pèse 90k. Je suis châtain et je suis rasé de près. En principe, tout ce que je veux, je l'ai. Qu'est-ce que je raconte... J'ai toujours ce que je veux. Je travaille à la Défense, dans l'ouest de Paris, et tous les jours, je subis les transports en commun et je m'amuse à jouer à la sardine dans les rames de la ligne 1. Ce soir-là, il m'est arrivé un truc auquel je ne m'attendais pas.
Comme d'habitude, je rentre dans une rame et me fous le plus rapidement au fond pour au moins avoir un appui pendant le transport de bovins. Avant même que le métro ne parte, tout était rempli. J'étais écrasé par un mec un peu plus petit que moi, qui lui aussi était pressé par une femme, qui elle se faisait pousser par un type énorme. C'était sans fin. La sonnerie retentit, et comme à chaque fois, la moitié des personnes présentes ne se sont pas tenues à une barre et vacillent violemment dans le même sens. Ça me fait toujours marrer. Ils prennent cette ligne tous les jours et ne font jamais attention. Le mec devant moi était vraiment coincé, mais contre l'autre porte, je ne pouvais pas faire grand chose pour lui laisser plus d'espace. Il essaye de s'ajuster malgré le mouvement du métro et finit par me tourner le dos. « Esplanade de la Défense ». Une nouvelle vague de travailleurs entre dans la rame et me pousse encore. Le mec devant moi s'excuse après m'avoir marché sur le pied. « Pont de Neuilly ». Même chose, la rame se remplit davantage. Le mec se rapproche de moi. Je commence à sentir son odeur, un mélange étrange de parfum avec une pointe de transpiration. « Les Sablons ». Son corps entre en contact avec le mien.
Pas de grand mouvement de foule, mais je sens qu'il s'est encore rapproché. Il se repose presque sur ma poitrine. Ma tête est au niveau de son épaule, et je me dis qu'il peut sentir ma respiration. Il continue son jeu de jambes et je crains que ce qui me faisait peur arriva. Mon sexe auparavant au repos se baladait exactement entre ses fesses, rien à faire, je commençais à bander. J'ai eu peur d'une réaction négative de mon compagnon de route. Je n'avais nulle part où me cacher, et je ne pouvais pas bouger. « Charles de Gaulle - Étoile ». Je regarde vers le plafond de la rame, essayant de cacher ma gêne, et priant pour qu'il descende. Non, les touristes montent en masse et nous écrasent un peu plus, et il est maintenant complètement collé à moi, et à moins que ses nerfs ne soient paralysés au niveau du bassin, il doit sentir ma grande érection. Ça n'a pas l'air de le déranger outre mesure. Je le sens même bouger ses fesses plus qu'avant. Je n'y crois pas. Il joue avec moi. Il me chauffe. Il le fait exprès. Je n'aime pas ne pas contrôler les choses. J'ai envie de hurler, j'ai honte, mais je suis excité par cette situation... incongrue. Je commence à transpirer. « George V ». Encore des touristes, mais tous ne parviennent pas à entrer. Je le sens contracter et relâcher ses muscles fessiers, comme s'il essayait de saisir mon sexe qui ne dégonfle toujours pas dans le tissu de mon costume. Il balaye mon pantalon de droite à gauche et parvient à chatouiller mon gland.
« Champs Élysées-Clemenceau ». Des Américains et des Japonais remplacent certains travailleurs de la Défense. Il plonge sa main dans sa poche et se met à la fouiller. Je commence à flipper, je sais pas ce qu'il me réserve. Sa main n'en sort pas mais il déplace un peu son corps pour qu'elle puisse me toucher. Il longe ma cuisse et atteint mes couilles. Avec le dos de la main, et pousse ma queue et la caresse un peu. Je n'en peux plus. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Je commence vraiment à avoir envie de baiser. De le baiser. De lui faire sentir ma grosse queue, pour qu'il comprenne qu'on joue pas comme ça, pas avec ce genre de coups bas. « Concorde ». On se retrouve comme au départ, complètement écrasés. Il se replace d'ailleurs contre moi, me donnant le dos. Il appuyait fortement sur mon sexe et s'y frottait sans se retenir. Il la veut, il va l'avoir. Attends juste qu'on descende, petit con. Il doit complètement mouiller du cul, là, et ça serait mieux pour lui, s'il veut pas que je le prenne à sec. Mon visage doit être rouge et mes veines sont certainement visible sur mon front qui goutte toujours plus. Autre endroit humide, mon entre-jambes. Je sens que moi aussi je me mets à mouiller abondamment. Je prie pour que je n'aie pas une grosse tâche en partant.
Le métro continue sa progression et le mec ne se défatigue pas.
Tu la voulais hein, ben suce-moi, oui, suce, oh...
Il gémit à mesure qu'il s'exécute. Il s'interrompt parfois pour cracher sur ma bite et recommence. Après cinq minutes à m'être fait pomper royalement, je me retire de sa bouche. Il se met à genoux sur son canapé et tourne ses fesses vers moi. Il les caresse tendrement comme pour m'inviter à le baiser. Je baisse sèchement son pantalon et son boxer et je crache à mon tour sur sa rondelle épilée, parfaitement ronde et rose. Je l'observe un instant et je la vois se contracter par tours, impatiente de se faire dilater. Je donne un coup de langue pour préparer tout ça et il se serre en réaction. J'essaye un tant soit peu de m'appliquer, histoire de lui donner ce qu'il veut. Puis j'en ai marre et je souhaite rapidement passer à l'action. Ma queue n'est plus qu'un tube de sang prêt à vomir sa sauce. Je dégouline même du gland. Je me redresse, me dirige vers son entrée, et entre d'un coup. Il se cambre aussitôt et crie. Je pense que je lui ai fait mal. Bien fait. Je sens son trou qui essaye de me rejeter et je m'accroche à ses épaules pour maintenir ma pénétration. Je pousse un peu plus et je me cale au fond. Je bouge plus quelques instants en attendant qu'il se détende. Il expire doucement et je me sens plus à l'aise en lui. Je me retire doucement jusqu'à ce que je sorte totalement. Je rentre à nouveau mais cette fois-ci je ne m'occupe plus de son plaisir ou de ses douleurs. J'y vais à fond, je fais en sorte qu'il ne puisse plus reprendre son souffle tellement je lui refais le trou. Mes couilles claquent sur sa peau et dédoublent mon plaisir. Je me sens enfin en contrôle. J'espère qu'il comprend maintenant qu'on ne peut pas si librement m'exciter sans ensuite le payer de son cul. Je trouve mon rythme alors que je le pilonne. Ça glisse comme dans du beurre tiède. Son anus continue à avoir des spasmes de temps en temps, je pense avoir trouvé sa prostate. Je le vois en train de se branler vite et fort, tout en essayant de ne pas se déséquilibrer. C'est qu'il aime s'en prendre une bien dure au fond du trou, ce connard. Putain j'aurais vraiment dû m'en prendre à lui dans le métro, lui donner la leçon de sa vie, mais il aurait apprécié aussi. Là je lui ai donne ce qu'il veut. Je me retire d'un coup sec et le fait tomber la tête en avant sur le canapé. Il se retourne et se redresse, complètement surpris. Je tire la gueule et je transpire complètement. Ma chemise est trempée. Il se lève vers moi et commence à la déboutonner. Il découvre mon torse et se met à me caresser. Avidement, il me lèche les poils et mes tétons. Il soulève ensuite un de mes bras et déguste ma sueur. Il se remet à genoux et me suce une fois encore. Il est vraiment super bon à ça, y a rien à redire. Je le repousse sur son canapé et il chute en levant les jambes. Là je vois son trou qui m'appelle. Il les tient au niveau des genoux. Je me dis qu'il veut se faire prendre encore, il n'en a pas assez de ma queue. Je m'abaisse et replonge en lui. Il s'agrippe à mes épaules et en profite pour me toucher partout. Je le tiens par le cou et j'accélère la cadence du mitraillage. Il ferme les yeux et crie fort. Le voir prendre son pied comme ça m'excite de plus en plus, contrairement à ce que j'espérais. La friction dans son trou chaud devient trop pour moi et je pense que je vais jouir. Je lui dis et il s'accroche à mes bras. J'ai dû mal à contrôler mes mouvements et je me sens me vider en lui, par des jets qui font se contracter ma bite dure. En me voyant m'arrêter, il saisit son sexe et se branle frénétiquement et vient à son tour sur son abdomen. Je suis complètement épuisé et satisfait, et à en voir son corps luisant de litres de sperme, lui aussi. Je me retire enfin et fais un pas en arrière. Je fais une rapide toilette dans sa salle de bains, me rhabille et ramasse mes affaires dans le couloir. Là, je regarde vers le salon et il gît dans son canapé, toujours en train de reprendre sa respiration. Je fouille dans ma poche et lui balance ma carte de visite à ses pieds. Je lui fais un léger sourire et je prends la porte. Jamais j'aurais cru autant prendre mon pied avec un mec. Jamais.
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