La Boum De Fin D'Année

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

La surprise party a rassemblé environ quatre vingt étudiants pour fêter la fin de l’année scolaire. Certains ne se connaissent pas. Ils ont tous entre dix sept et dix neuf ans. Il y a Muriel et Dan, son petit ami, tout deux âgés de dix huit ans. La fête bat son plein, buffet, boissons, danses, tout y est. Muriel remarque un jeune black, accoudé au bar. Elle veut en savoir plus sur ce beau et jeune métis, si mystérieux. Elle le suit au salon attenant à la sale, et le trouve assis sur un vieux canapé. Sans hésiter, elle s’assied près de. Ce mouvement à pour effet de faire monter allégrement sa jupe sur ses cuisses.
-Muriel, dit elle. Je te sens seul, dit-elle, tu n’as pas quitté le bar de toute la soirée. Tu n’as pas de copine ?
-Charles, répond-il. Non, ça a cassé il y a quinze jours. Je suis un peu triste et n’ai pas trop le moral.
-Mais viens t’amuser avec nous, je te présenterai mon petit copain, mes amis, tu verras, ils sont sympa.
-Oh non, répond-il, je ne serai pas intéressant ce soir. Vas-y toi, ne gâche pas ta soirée pour moi.
Malgré son côté ténébreux, Muriel ressent de la sympathie pour ce jeune lycéen qui l’a fascine, qui l’attire physiquement. Mais il est bien évident qu’il est hors de question qu’elle trompe son copain qu’elle aime par-dessus tout. Elle lui prend la main, et machinalement, la pose sur sa cuisse. Charles voit là, une invitation. Il remonte lentement sous la jupe. Muriel se laisse faire. Elle ouvre même légèrement ses jambes. La main atteint la partie intime de la jeune étudiante, écarte l’élastique du string. Le majeur court sur la fente, de bas en haut, jusqu’au clitoris.
-Non, soupire-t-elle, si mon copain apprend que je me suis faite gratter la chatte par un autre garçon…mon dieu…surtout qu’il est à côté…arrête…s’il te plait…ce n’est pas bien ce qu’on fait…
-Tu veux que j’arrête…comme tu veux…pourtant, ta chatte commençait à être humide.

Dommage.
-Mais c’est toi qui me l’as fait mouiller avec ce que tu lui fais…salaud…tans pis…continu maintenant.
Pour être mieux à l’aise pour se faire chatter, Muriel passe la jambe droite sur la cuisse de Charles. Elle est totalement écartée. Son partenaire la sent acquise à sa cause. Il ouvre le chemisier, fait passer les seins par dessus les balconnets du soutien gorge, les suce. Ils sont magnifiques. Puis, il enfonce deux doigts dans la chatte offerte, excite le clitoris avec le pouce. Le corps de Muriel ondule sur le canapé. Elle entend les «flocs » de sa mouille sous les coups de boutoirs des doigts qui la branlent. Elle s’agrippe aux épaules du jeune étudiant, l’implore de lui donner sa bite.
-Ta bite, hurle-t-elle, s’il te plait…donne moi un coup de queue…là…de suite…
-Et ton copain, fait remarquer Charles…s’il apprend ce que tu as fait…
-Je m’en fou…nique moi…bien profond…
Charles l’écarte du bras, et tombe à genoux entre ses cuisses. Sa bouche est là, en contact avec la chatte. Il sort sa langue, et s’emploie à la lécher, il aspire le clitoris entièrement décalotté. Muriel n’en peut plus, elle rugit de plaisir, supplie son partenaire de la faire mourir. L’orgasme est puissant, hors norme. Charles juge enfin que la partie est terminée, et libère l’étudiante. Muriel rajuste sa tenue, et quitte le salon. Elle se rend au toilette pour essuyer l’abondante mouille qui emplie sa chatte. Elle rencontre son amie, Andy.
-Que t’arrive-t-il ma chérie, dit-elle, je te sens toute drôle. Tu n’es pas malade au moins ?
Muriel raconte son aventure, son désarroi, mais aussi son envie d’avoir une relation sexuelle avec Charles.
-Vas-y, répond Andy, je te couvre. On va distraire Dan. Une heure et demi, ça te vas ?
Muriel embrasse sa copine et retourne au salon. Charles est toujours là, comme s’il l’attendait. Elle s’approche doucement, ôte ses effets, et apparait toute nue. Elle est tout simplement splendide. Charles l’a saisit par les hanches, et le force à s’asseoir sur ses genoux. Il lui profère de vicieuses caresses. Charles se déshabille. Muriel découvre enfin les imposants attributs du jeune black. Ils ouvrent le canapé, et s’allongent dans un sulfureux baiser. Muriel roule sur le torse musclé de son partenaire. Elle se soulève, saisit l’énorme bite, si empale dessus. Son corps se cambre dans un râle de plaisir. La jeune étudiante connait l’amour fou. Charles s’avère être un merveilleux amant. Le calibre coulisse à une vitesse effrénée dans la chatte inondée de mouille. Lentement, Charles soulève le corps superbe de Muriel, d’un doigt lui mouille le petit trou, et la sodomise.
-Ah…ah…tu m’encules salaud…vous aimez défoncer le cul des blanches…vous êtes tellement mieux montés que nos mecs…oui…vas-y…fais moi jouir…
-Tu le sais ma chérie qu’on aime bien les niquer…les enculer…surtout si elles sont blondes…on est on va jouer tous les deux…tu veux ?
-Oh oui, gémit Muriel…j’ai tellement envie de me le faire mettre par une grosse bite…on remettra ça … sens comme je mouille…je joui…enfoiré…tu me fais jouir…
Muriel envoie de violents coups de reins sur le membre qui a fouille. L’orgasme, terrible, résonne dans le salon. Les jets de sperme déferlent en abondance dans le petit trou de Muriel, qui hurle de plaisir. Les deux amants roulent sur le côté. Charles embrasse les seins de la jeune fille, les suce, pendant que son majeur doigte le clitoris. Muriel n’est pas en reste, elle fait rouler les énormes testicules entre ses doigts, branle la bite du jeune black, puis se penche pour lui tailler une pipe. Charles ne peut se retenir et éjacule dans la bouche de Muriel. Tous ses trous sont remplis d’une épaisse semence, jusqu’au fond de ses entrailles.
-Veux-tu qu’on passe la nuit ensemble, demande Charles.
-Ne me tentes pas, sourit-elle, ça fait presque une heure que tu me baises. Puis il ya mon copain. Par contre, je prendrai bien un dernier coup de queue…ma chatte est encore pleine de mouille…mon cul encore ouvert…ma bouche est prête…en fait c’est tout mon corps qui est en manque de grosse bites…
-Pourquoi pas les trois, propose Charles.
-Hum…le vilain…tu as raison…commence par celui que tu veux, mais je préfère finir par la bouche.
Les corps s’enchevêtrent pour une demi-heure de folie. Muriel jouit, hurle de plaisir comme jamais. Elle n’en peut plus d’orgasmes à répétition, ses seins lui font mal, les bouts sont surdimensionnés, quant au clitoris, devenu sensible au moindre effleurement, il va avoir de la peine à s’en remettre.
Soudain, la porte du salon s’ouvre, C’est Dan. Ahurie, il découvre la scène. Muriel et Charles sont entièrement nus, dans les bars l’un de l’autre. Il remarque le string et le soutien gorge rouge, offert pour les dix huit ans de Muriel, qui git au pied du canapé. Quand celle-ci se tourne, il voit une trace de sperme couler sur son menton.
-Mais…que fais-tu Muriel, tu as perdu la tête…tu me trompes avec le premier venu…
-Oh mon chéri, se confond Muriel, excuse moi, je me suis laissée embarquer.
-Calme toi, répond Charles, tu la retrouveras, on a juste passé du bon temps ensemble. Tu copine est si gentille. Elle a voulu me donner la tétée…alors, je lui ai sucé les seins…regarde les bouts comme ils sont gros. Pour la remercier, je lui ai donné le biberon…elle a été très sage…elle a tout avalé…Ah non, il en reste encore un peu…tiens mon bébé…lèche. Et son petit bouton, regarde comme je le lui ai décalotté…et comme elle se régale quand je le lui doigte…hein petite salope…
-Oh oui….Dan…regarde…il sait y faire avec les filles lui...vas-y…Charles…fourre moi un doigt dans le cul…montre lui comme un black s’amuse avec une blanche…comme il l’a fait crier…hou…hou…hou…
Muriel est plus préoccupée par le majeur qui excite son clitoris, que l’attitude désespérée de son copain. Sans un mot et humilié, Dan claque la porte en traitant sa copine de truie, de sale pute.
-Salaud, gémit Muriel…ta proposition pour le nuit tient toujours, demande câlinement Muriel.