Un Si Bel Été Et Ses Suites-7
Un si bel été et ses suites-7
La veille, notre rencontre avait été écourtée, Cécile devant avoir le temps de se préparer pour une soirée « entre filles ». Elle ajouta que ma mère serait des leurs. Je fus un peu étonné que Cécile puisse sortir avec ma mère aussitôt après que nous ayons baisé ensemble. Pourtant, la connaissant un peu maintenant, rien naurait dû me surprendre de sa part.
De retour chez moi, je dinais devant la télé de ce que ma mère mavait préparé comme elle le faisait quand elle sortait le soir, et jallais me coucher. Mais une question me trottait dans la tête. Que faisaient-elles de leurs soirées « entre filles » ? Certes je savais que ma mère navait pas fait vux de chasteté après son divorce et que si elle navait pas eu de liaison durable elle avait quelquefois des amants, mais cétait ce « entre filles » qui piquait ma curiosité. Je me rappelais lallusion quavait faite Cécile à propos du gode-ceinture et de son usage entre femmes. Pour Cécile, soit. Mais était-il possible que ma mère
Cette idée me mettait mal à laise et mexcitait à la fois. Bien sûr à la puberté, et comme tous les garçons je pense, mes premiers désirs sétaient portés sur ma mère, mais sétaient ensuite estompés au fur et à mesure que mes fantasmes se reportaient sur dautres femmes, tantes, voisines, mères de copains. Et depuis cet été, mon activité sexuelle avec Agnès ou Cécile me satisfaisaient pleinement. Pourtant, ce soir-là je me masturbai en imaginant Cécile et ma mère dans un lit et se faisant plaisir de toutes les manières. Je finis par mendormir, un peu honteux.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, je trouvais à ma mère un air inhabituel. Il me semblait quelle mobservait. Enfin elle me dit dun ton un peu moqueur :
« Alors il paraît que mon fils sentend très bien avec Cécile, depuis quelque temps. »
Je restai muet, stupéfait quelle ait pu révéler nos rapports à ma mère. Celle-ci ajouta avec un sourire ironique :
« Entre copines, on se raconte beaucoup de choses, et Cécile et moi sommes copines depuis lenfance.
Le petit déjeuner se poursuivit, ma mère parlant dautre chose, comme sil ne sétait rien passé. Quand je quittai la table et passai près delle, elle effleura mon pantalon au niveau du sexe en disant dun air rêveur : « Mon petit garçon est devenu un homme, à présent
»
Nous passons le week-end suivant dans lYonne où mon oncle et ma tante ont une maison de campagne. Petite réunion de famille à loccasion de lanniversaire de loncle Paul, dune dizaine dannées plus âgé que sa femme. Jai déjà dit, je crois, que ma tante, professeur de maths, avait toujours un air sérieux et autoritaire dû sans doute aux exigences de sa profession, mais qui men imposait, bien quelle eut toujours été très gentille envers moi. Alors quelle nest pas ma surprise et mon embarras quand en membrassant sur les deux joues comme à lhabitude, elle me glisse : « Alors, mon neveu, on a fait des conquêtes, ma-t-on dit. » Je men veux de rougir comme une pivoine, maudissant ma mère de son indiscrétion. Pour cacher ma gêne, je mattarde à caresser Sido, la chienne qui me fait la fête, avant dembrasser mon oncle et mon cousin. Mon second cousin est absent et ma tante Julie ne sera là que demain.
Je mennuie un peu pendant ces week-end en famille, mais je ne peux pas toujours y échapper. Cet après-midi je joue dans la cour avec Sido quand ma tante minterpelle : « Tu peux venir, sil te plait. » Pensant quelle a besoin dune aide quelconque, je la suis dans la buanderie, petite pièce indépendante derrière la maison. Mais sitôt entrés, elle referme la porte, me saisit et plaque sa bouche contre la mienne. « Fais-moi lamour », dit-elle dun ton sans réplique en faisant tomber sa jupe à ses pieds et se débarrassant de sa culotte. Figé, je découvre entre ses cuisses une toison brune qui recouvre sa motte, au milieu de laquelle émergent deux lèvres roses formant un fouillis de chairs froissées. Sans rien ajouter, elle sest baissée et tente de défaire avec peine les boutons de mon jean.
« Cest de la folie. Jai eu envie de toi quand jai appris que Cécile
Mais il ne faut pas parler de ce qui vient de se passer. Je nai jamais trompé ton oncle, je ne voudrais pas que
-Je tassure, Tataline, je ne dirai rien à personne.
-Bon, sors à présent. Je te rejoins. »
Dans la grande pièce je retrouve Tonton Paul lisant près de la cheminée, maman sur le vieux canapé et qui feuillette un magazine mon cousin penché sur son échiquier. Du piano en fond sonore, Chopin sans doute, mon oncle adore Chopin. Sido somnole dans son panier. Tout est calme. Il ne sest rien passé ; jai juste fait lamour avec Tataline
Dimanche matin. Comme toujours, ma tante Julie arrive dans la cour en klaxonnant bruyamment. Son chien Bakounine jaillit hors de la vieille bagnole et vient flaire Sido. En guise de bonjour, Tatili me gratifie dun : « Salut, Casanova ! » puis me chuchote après mavoir embrassé : « Comment va notre chère Cécile ? » Sans attendre de réponse, elle va embrasser le reste de la maisonnée, me laissant à mon désarroi.
La journée se déroule normalement, gâteau danniversaire, discussions courantes, habituel échange de considérations politiques entre Tonton Paul que Julie qualifie de vieux socialo petit bourgeois, et Tatili quil traite de gauchiste irresponsable. Entre Tataline et moi aucune allusion à ce qui sest passé la veille. Un dimanche ordinaire en famille
Nous nous sommes couchés un peu tard. Je suis sur le point de mendormir quand jentends le léger grincement de ma porte. Une silhouette se glisse en silence dans la chambre obscure. Je nai pas pu lidentifier. Mon cur bat plus vite. Ma tante Aline aurait-elle changé davis et envie que nous refassions
Je perçois le froissement dun vêtement qui tombe près du lit, et un corps nu se glisse près de moi.
« Jai envie de profiter de lexpérience que Cécile a dû tapporter, garçon. »
Ce nest pas Aline, mais ma tante Julie ! Elle ma murmuré à loreille et en mordille tendrement le lobe, puis membrasse juste en dessous. Elle a posé un doigt sur ma a bouche et je sens sa main qui déjà caresse ma poitrine, me frôle doucement ; ses doigts glissent sur ma peau, leffleure à peine. Elle saisit délicatement la pointe de mon sein, le fait rouler entre ses doigts. La surprise passée, je pense quil me faut lui rendre ses caresses. Mais quand je pose une main sur son sein, elle me dit : « Non, ne bouge pas. Pour linstant laisse-toi faire. »
Avant même que Julie, poursuivant lentement sa progression sur mon ventre, puis mon pubis, ne lait atteint, mon sexe a réagi. Il se dresse, raide, quand, ayant introduit la main sous mon pantalon de pyjama, elle le touche enfin. Dune légère succession de pressions elle en vérifie la fermeté. Elle sest écarté de moi, a repoussé la couette et libéré ma bite. Du bout des doigts elle touche délicatement mon gland, et à chaque contact je sens mon bas ventre se contracter.
« Je vais jouir, Tatili !...
-Vas-y, garçon. »
Elle sest redressé et accompagne dune lente branlette mon éjaculation. Je jouie en gémissant de plaisir.
Julie est revenue sallonger contre moi et je létreins en silence, silence quelle rompt après quelques minutes :
« Ça ta fait plaisir, Nicolas ?
-Oh oui, Tatili ! Mais toi
-Cest gentil dy penser, garçon, mais ce nest pas fini.
-Est-ce que je peux te regarder ?
-Bien sûr. »
Elle allume la lampe de chevet, saute hors du lit et se campe devant moi.
« Alors, trouve-tu ta tante à ton goût ?
-Oh oui ! »
Je la dévore des yeux. Elle est mince, svelte, de mignons petits seins, le ventre plat. Et son sexe : Parfaitement épilé, il forme une petite motte qui, même alors quelle se tient jambes un peu écartées, reste parfaitement close. Juste une ligne médiane régulière sépare les deux renflements de cet abricot de petite fille. Il me fait penser à celui que dévoilait à notre curiosité, à lécole primaire, une gamine effrontée en échange de quelques bonbons.
Mais Julie revient sur le lit.
« A ton tour maintenant. »
Elle vient me chevaucher à hauteur de visage et, posant les mains de part et dautre de son sexe, en écarte les bords. Jai sous les yeux sa vulve entrouverte, les lèvres formant un discret feston et son clitoris, petit bouton rose pointant hors de son fourreau de chair.
« Mais sil te plait, prends ton temps. »
Du bout de la langue, je frôle les bords de sa chatte, et pénètre progressivement plus avant. Peu à peu la respiration de ma tante se fait plus rapide. Quand ma langue titille son clitoris, ses cuisses frémissent et elle gémit doucement ; ou plutôt cest comme le ronronnement dune chatte. Et soudain elle est prise de tressaillements rapides, et je sens de petits jets couler dans ma bouche. En un instant Julie a glissé le long de mon corps et, toujours me chevauchant, place ma queue à lentrée de sa chatte. Elle sabaisse et me fait lentement pénétrer en elle. Ma bite sintroduit dans un conduit chaud et humide qui lenveloppe étroitement. Elle roule sur le côté, mentrainant avec elle et cest moi à présent qui suis sur elle. Je mefforce de me maitriser et daller et venir le plus lentement possible en elle. Elle maccompagne et bouge le bassin au même rythme. Enfin elle est de nouveau saisie de violents tressaillements et pousse un cri étouffé. Ne me retenant pas plus longtemps, je jouis à mon tour et nous roulons tous deux côte à côte, hors dhaleine.
Nous restons tendrement enlacés. Elle me mordille encore loreille et me demande :
« Alors, cétait aussi bien quavec Cécile ? »
Mais elle me pose aussitôt un doigt sur la bouche :
« Non, ne réponds pas ! Ma question est idiote. Mieux, moins bien, ça ne veut rien dire. Avec chaque partenaire cest différent, tu verras, et cest ça qui est bien. »
Je crois que jai commencé à men rendre compte.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!