En Vacances Partie 2

Quand je me suis réveillée, Stéphane était près de moi, il me caressait avidement les seins, une jambe entre mes cuisses.
- Alors, ma petite cochonne adorée. Tu es toute mouillée. Tu aimes quand je te tripottes hein ?
- Oui, gémissais-je à peine sortie des brumes du sommeil.
Stéphane glissa sa main entre mes cuisses. Il titilla mon clito, je commençais à gémir. Il tira sur mes tétons, malaxa mes seins. Je ne pouvais que me laisser faire.
- J’ai envie, dis-je à Stéphane.
- Moi aussi. Tu m’excites, j’ai envie de te prendre.
- Alors prends-moi fort, dis-je.
Stéphane enfonça deux doigts dans ma chatte et commença des vas et viens. Huum c’était trop bon !! J’étais trempe, on entendait les bruits de sussions.
- T’es trop bonne ma chérie. Tu vas t’en prendre plein la chatte je te préviens. Simon a de la chance, il a conclu une bonne affaire.
- Prends-moi, vite. J’ai envie de ta bitte dans ma chatte, dis-je.
- Cochonne de chienne ! Montre-moi que tu la veux, que tu aimes te prendre des coups de bitte !
Je me retournais vers Stéphane et l’embrassait. Je me mis ensuite à suçoter ses tétons, et à le branler. J’étais à genoux, à m’acharner sur sa verge déjà bien dure. Je me mis au-dessus de lui, en 69 pour lui sucer la queue. Je me régalais de sentir son gland dans ma bouche, sur ma langue. Stéphane aspira mon clito, le léchais. Je ne pouvais m’empêcher de gémir. Ce que j’avais ressenti pour Simon, me donnait trop envie de faire l’amour. D’être prise comme une chienne, de me faire vraiment défoncer. J’aime cette sensation un peu bestiale sans être violente des relations sexuelles. J’arrivais à un premier orgasme, mais je me retenais, j’avais envie de sentir cette tension extrême, quand la sensation du pénis frotte sur les parois sensibilisées du vagin. Je me suis empalée sur sa bitte, lentement, centimètres par centimètres.
- Huum… Haan…
- Vas y ma cochonne, fais-toi du bien, dit Stéphane en malaxant mes seins.

Je commençais des vas et viens sur cette belle queue. Je ressentais de plus en plus de plaisir. Finalement, je finis par m’acharner, à m’activer, j’étais chaude comme la braise.
- Huum… C’est bon… Haan… Ouiiii… Encore !
Mes seins ballotaient dans touts les sens tellement que je m’activais. C’était trop bon, j’étais écartelée. Mais le meilleur c’est quand Stéphane m’a retournée, il me tenait les bras, j’avais le visage enfoncé dans les coussins, les seins écrasés aussi dans les draps, la croupe offerte.
- T’es bonne espèce de cochonne. Je vais t’exploser ta chatte de salope !
- Ouii, vas y !! Défonce-moi pitié, baise-moi !!
Il me tirait sur les bras, j’étais en chaleur. Je sentais sa bitte taper au fond de mon vagin. Il ralentissait le rythme, puis reprenait en s’acharnant. J’étais écartelée comme une salope. Je l’entendais gémir, grogner de contentement. A un moment, j’ai enfin jouie, je ne me suis pas retenue, j’ai crié mon plaisir. Ma chatte se contractait comme une folle. Stéphane jouit à son tour, je sentai deux puissants jets de sperme me remplir le vagin. Je sentis Stéphane se retirer.
- Haa, c’était trop bon. Tu as aimé ? demandai-je.
- Oui, énormément. Simon a eu raison de me demander ça.
- Te demander quoi ?
- Et bien, Simon m’a fait une charmante proposition. Je t’ai… échangé contre notre séjour à la villa. A partir de maintenant, il peut te prendre quand il en a envie. Ce soir, c’était notre dernier rapport touts les deux.
- Mais tu vas me regarder comme ça, me mettre dans son lit, sans rien dire ?
- Et bien, moi je vais aller pendant une semaine en excursion pour la plongée, tout autour de l’île, donc je ne raterai rien, ne t’inquiètes pas. Et puis, ça t’apprendra de te lasser de nos jeux. Au moins, dans un sens je garde un certain contrôle sur toi, tu étais en train de m’échapper !
- Je commence à me dire que tu es vraiment sadique ! répliquai-je. Tu commences même à me taper sur le système !

Stéphane partit dès qu’il fut prêt. Je pris mon petit-déjeuner sur la terrasse. Café au lait, et petit pain au lait grillé avec de la confiture d’abricots. Je voulus prendre une douche, il faisait déjà chaud, et j’avais l’impression de coller. Je montais à l’étage, la salle de bain était immense, je décidai de prendre une bonne douche glacée pour me réveiller. Je venais juste de me passer sous l’eau, et de me savonner, que je sentis Simon derrière moi. Il se déshabillait. Nu, il était très… excitant.
- Reste sous l’eau ma belle, me dit-il en allumant la seconde pomme de douche et les jets d’eau.
- Tu te crois tout permis, dis-je.
- Mais il me semble que tu n’as rien à dire, petite allumeuse. Le contrat a déjà été passé et tu es juste l’enjeu.
Il se mit à me savonner le dos, les fesses, les seins en tirant bien sur mes tétons. Je m’appuyais contre le mur, les jambes écartées, un jet d’eau juste à la bonne hauteur me fouettait la chatte. Je sentais son pénis tout dur contre mes fesses. Il m’enfonça un doigt dans le vagin en titillant mon clito. D’abord, il allait tout doucement, puis il me branla littéralement. C’était trop bon. Ses deux doigts coulissaient parfaitement bien dans ma chatte humide. Simon me malaxait les seins, les soupesait, les tirait en haut pour les faire retomber.
- Je n’aurai jamais cru pouvoir peloter tes pastèques, rigola Simon.
- Ils ne sont pas si énormes…
- Tais-toi femelle, laisse-moi profiter de ton corps… Branle-moi petite cochonne.
Je pris ça queue dure dans ma main, et je le branlais. Il me ramonait la chatte avec ses doigts. Je frissonnais, je ne voulais pas me laisser faire comme ça, mais en voyant Simon, je n’avais plus aucune volonté. Il m’appuya sur la tête, je savais qu’il voulait que je le suce, je me mis à genoux pour le prendre en bouche. De suite, il m’imprima un rythme rapidement en me tenant la tête. Je malaxais ses boules, je gémissais sous la concentration. Je léchais son gland comme on lèche une glace. J’avais toujours rêvé, sans l’avouer, de sucer cette belle bite.
- Huum… Tu suces… trop bien, petite cochonne.
- Huum….huuum…huum, gémissai-je.
Je sentais que la situation m’excitait, ma chatte se mouillait de l’intérieur. Simon jouit une première fois dans ma bouche, son sperme avait un goût délicieux. Il était salé. Il nous fit ensuite sortir de la douche, et m’ordonna de le suivre, dans sa chambre, attenante à la salle de bain.