Ma Margot

D’après ce qu’on m’avait dit, Margot était très chaude. Sur de longues jambes, elle passait chaque matin sous ma fenêtre. Je pouvais, des fois en voir plus quand il faisait tiède : son manteaux style officier oublié. Je peux regarder sa poitrine sous un chemisier à volants. Si j’ajoute à cela une mini jupe courte, c’est la bonne occasion de me rincer l’œil. C’est vrai qu’elle a de belles cuisses. J’aimerais bien y passer ma main : j’adore les belles jambes.
Reste le principal problème : comment faire pour l’aborder. Je suis assez timide avec les femmes. Je fais une croix sur cette personne. Dommage, j’aurais bien aimer lui faire des choses secrètes. Mais j’ai la chance du siècle quand un jour je me trouve juste derrière elle pour prendre le train. Il y a, comme trop souvent, un monde fou le matin. Nous sommes bousculés, pressés, triturés. Magot me fait face à quelques centimètres de moi, nous nous touchons jusqu’au corps à corps. De la sentir ainsi colée contre moi, je commence à m’exciter : je bande contre son ventre. Elle ne peut faire autrement que me sentir, sinon elle le fait exprès. Quand je sens son ventre bouger longuement sur ma bite, que son regard s’éclaire d’un grand sourire je comprends qu’elle aussi me désire. Sinon, moi, ma bite.
Je me penche vers elle, ma bouche se pose sur la sienne. Elle ouvre ses lèvres pour accueillir ma langue. Je bande encore plus. Son ventre est remplacé par une main qui pend mon membre pour le caresser. Je ne peux pas bouger, j’aurais bien voulu passer ma main, même par-dessus sa jupe pour la branler. Notre premier baiser terminé par force, sinon nous étouffions, je lui dis que j’ai envie de la baiser.
C’est-ce que je n’aurais jamais du dire. Sa main serre encore plus ma bite. Elle va arriver à me faire jouir à blanc, dans mon slip. Elle dois en avoir l’habitude : elle arrête vite. Nous arrivons à sa destination. Nous poussons comme nous pouvons pour nous trouver sur un quai de gare que je ne connais même pas.

Margot semble la connaitre. Nous nous embrassons encore longuement. En me prenant la taille, comme deux amoureux, elle me conduit lentement vers un hôtel. J’ignorais jusqu’à l’existence de ce genre d’hôtel en banlieue.
Je pense qu’elle connait bien l’endroit : le taulier lui sourit en disant la même chambre ? Je me retrouve donc dans une chambre quelconque avec une fille pas quelconque. C’est elle qui demande mes lèvres. Nos langues jouent un long moment ensemble.
Cette fois je peux lui prendre les seins dans mes mains. Je ne m’en prive pas: elle ronronne comme une petite chatte. Je sens ses tétons contre mes mains ils grossissent un peu. Sa main oublie ma queue : elle aussi fouille sous ma chemise pour agacer mes petits tétons. J’arrive péniblement à ouvrir la corsage pour simplement faire sortir les seins de leur carcan. C’est elle qui s’occupe de l’ouverture du soutien gorge. Deux obus jaillissent.
J’oublis sa bouche pour poser la mienne sur un sein, le premier venu. Elle le tient dans une main, me le donne en offrande. Je suce son téton, elle penche sa tête en arrière. Je me doute qu’elle prend du plaisir.
Mon autre main est sur sa chatte. Je la touche à travers le jupe avant de passer dessous. Elle a bien les cuisses comme je l’imaginais très douces, surtout entre les deux. Je monte doucement très doucement ma main. Je ne trouve pas trace de culotte. Je suis sur son con, trop vite. Mais il est très mouillé.
Je ne cherche pas longtemps son bouton tellement il est dehors, il bande comme peuvent le faire ces petits morceaux de chair féminins. Il est hors de son capuchon.
Le majeur suffit pour la branler. Je caresse lentement son clitoris, trop sans doute puisqu’elle tend son ventre vers ma main. Je vais plus vite, j’en profite pour introduire un autre doigt dans le puits bien humide. Son ventre bouge selon ce que je fais, jusqu’au moment où elle pousse un petit cri quand elle jouit. Je sens son orgasme avec mon doigt dans son con.

A partir de là, tout va vite, elle est vite nue, comme moi. Le lit nous accueille. Je voulais la baiser de suite, et pourtant une petite voix me dit d’attendre encore. Je suis mon instinct pour poser ma bouche sur la chatte : elle est sacrément mouillée. Je bande comme un fou, je me retiens bien : j’ai toutes sa chatte à la disposition de ma bouche. J’embrasse son sexe, comme je l’ai fait sur sa bouche, sauf que jà je n’ai pas autre chose que son sexe. Je le lèche longuement de bas en haut. J’ai commencé par le cul. J’y ai même entré un peu le bout de ma langue, à la faire jouir. Je remonte doucement en léchant le périnée, pour arriver juste dans son vagin. Ma langue fouille cet endroit mystique, mystérieux des femmes. Mon nez se remplit d’odeurs inconnues. C’est bon, bandant, jamais écœurant.
Je ne reste pas dans le ventre, ma langue et ma bouche se callent sur le clitoris. Je l’aspire, le mordille, le lèche, pendant qu’elle gémit comme pour montrer le plaisir qu’elle prend.
- Mets moi la.
- Où ?
- Je m’en fiche, devant, derrière dans la bouche, où tu veux.
- Je vais te baiser avant.
Elle est en avance pour les orgasmes. Quand elle comprend qu’elle va se faire mettre, Margot prend ma queue dans sa main, me branle à peine, comme pour s’assurer que mon membre est dur. Elle me guide même dans son entrée. Ma queue remplace ma langue, c’est dans l’ordre de la nature. Je n’ai pas à forcer ; j’entre facilement. Trop sans doute. Elle resserre les muscle de son vagin, je suis plus à l’étroit. J’y suis capable de tenir le coup jusqu’à sa prochaine jouissance. Ses jambes viennent sur mes hanches. Elle pousse des « han » sonores. A croire qu’elle force comme un damné. Son plaisir est presque immédiat.
Je sens son vagin se fermer et s’ouvrir en cadence : elle jouit encore. Je serre les dents pour ne pas la suivre, je ne peux pas, je gicle dans son ventre. Margot laisse ses jambes autour de moi, je suis prisonnier. Je me sens dégonfler.
Je ne vais pas me laisser aller sans réagir. Je recommence ma danse d’aller et venu. Même si je suis mou j’ai des sensations qui montent à me faire bander encore plus dur.
Je reprends ma baise quand elle me demande de changer d’endroit.
- Mets moi la au cul.
C’est un ordre, pas une prière. Elle ne bouge pas d’un centimètre. Je suis obliger de sortir ma pine de baisser le gland pour le poser là où elle me veut. Son anus est aussi mouillé que son sexe. J’essaie d’entrer sans dégât pour elle. Je me fais du soucis pour rien : elle a du se faire sodomiser un nombre incalculable de fois. Je la pénètre presque aussi facilement que dans le con. Elle est plus serrée, c’est presque meilleur que la baiser.
Je suis totalement en elle qui passe sa main entre nous deux pour chercher là où ma langue était tout à l’heure : elle se branle le clitoris. Elle va au rythme de son plaisir et du mien. Je sors souvent la queue pour l’y remettre sans cesse. Les « han » ont repris. Elle ne va pas tarder à jouir encore. Ses fesses viennent à la rencontre de mon vit.
- Embrasses moi.
J’arrive difficilement à le faire, elle sort la langue pour que je la lèche. C’est excitant pour nous deux. J’en bande plus fort, sans doute plus gros à entendre ses gémissements. Elle se pince les tétons fortement au point de les faire rougir. Je n’ai pas jouit quand elle se relève.
- Donne moi ta queue dans la bouche.
- Je sors de ton cul…….
- Donne moi ta queue, j’aime sucer après qu’on m’encule.
Je sors en regardant ma pine, elle me semble encore propre. Margot ne s’attarde pas à ce genre de détail. Elle veut me sucer, je la laisse faire ce qu’elle veut. Je sens ses lèvres mouillées par sa salive prendre ma queue. Si elle me tient la base, sa langue lèche d’abord le gland avant de le mettre dans sa bouche. Ses lèvres sont serrées sur ma tige. C’est presque aussi bon que dans son cul. Mes couilles sont sur ses seins. Elle arrive à passer une main derrière mes fesses.

A son tour, elle me caresse la raie, pour passer entre les deux. Ce que cherche Margot se trouve un peu plus bas. Elle pose un doigt sur ma pastille. C’est excitant, elle en profite pour entrer une phalange. Elle me fait bander encore plus, elle met le doigt en entier, le fait aller et venir dans le cul.
Je me trouve ainsi presque sodomisé par une fille qui sait fort bien ce qu’elle fait. En ma laissant faire, elle arrive au résultat qu’elle cherche : je lui donne mon sperme dans la bouche. Elle l’y garde un bon moment, comme si elle le dégustait. Elle l’avale un bon moment après. Il lui reste des tâches blanches sur la langue.
Quand elle m’embrasse je reçoit les résidus de ma semence dans ma bouche aussi. Je m’effondre à ses cotés, cuit de plaisir. Elle aussi me semble calmée.
Nous sortons de l’hôtel très tard, il est 17 heures. Nous baisons depuis 10 heures de matin. Dans le train du retour il y a autant de monde que ce matin. Nous restons collés, je bande encore, elle bouge son ventre.
Nous passons la nuit chez moi et le jour suivant : facile, c’est un samedi. Je suis parait il un de ses meilleurs coups. Ce doit être vrai puisque souvent elle vient chez moi sans que je demande quelque chose. Je sais qu’elle est moins coureuse qu’avant.

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