Isa
Les médecins, tous daccord, pour une fois répètent que mon mari ne pourra plus jamais me satisfaire. Sa maladie est telle quil ne pourra plus bander, ni même me satisfaire par manque de désir de sa part. Jadore Jacques comme il maime. Nous affectionnions nos étreinte. Comment est-il possible de le laisser sans orgasme et moi avec. Nous en discutons longtemps. Plusieurs solutions soffrent à nous, la plus simple est que je me transforme en bonne sur : impossible pour moi de ne plus jouir : je peux me masturber plus souvent comme je le faisais devant lui, mais me branler devant lui qui ne peut plus rien faire, je refuse carrément. Trouver un amant est envisageable, mais comment expliquer mon choix à Jacques. Ou alors trouver une amie sans le lui dire.
Pour lamant, Jacques est daccord, à condition que je baise à la maison, dans notre lit. Là, cest moi qui ne veux pas dun autre à sa place. Le changement se produit quand je rencontre à nouveau Isa. Cest une copine dune copine. Oh rien de bien chaud dans nos rencontres hebdomadaires : nous nous occupons de philatélie. Nous sympathisons beaucoup au point quelle minvite un après midi à venir chez elle. Je sens que je vais passer un bon moment à parler encore de timbres. Cest-ce qui se passe au début. En dégustant un thé quelle fait parfaitement bien nous bavardons de la pluie et du beau temps. Puis notre conversation nous échappe, elle commence à parler du plaisir quelle a avec ses amies. Non pas en parlant, mais en se caressant, bref elle aime les femmes. En avouant son choix, elle me prend une main, la caresse doucement. Je la laisse faire, presque conquise. Elle caresse outre une main, mon autre bras. Elle le monte tellement que je le sens venir contre mes seins. Jen frissonne.
Depuis que je suis privée de baise, je me masturbe souvent, plusieurs fois par jour. Jai même acheté les godes pour me branler. Et ce matin je nai pas eu le temps de prendre mon plaisir.
- Tu as envie de jouir.
- Oui, je ne me suis pas branlée.
- Je vais te le faire
Allez comprendre pourquoi je me suis ainsi offerte à une femme. Isa ne demande pas mieux de me faire tomber dans ses filets. Elle continue à caresser ma poitrine. Je sens mes tétons durcir. Son autre main passe sur mon cou pour mattirer vers elle et membrasser sur la bouche comme le faisait Jacques avant de me baiser.
Cest la première fois que je laisse une femme membrasser et me caresser. Je sais que les lesbiennes aiment saimer entre elle : là je suis la proie dune adepte du saphisme pur. Je sais quelle veux que je jouisse, mais moi, je ne sais pas comment lui rendre ce quelle risque de me faire. Je ne me rend même pas compte que nos langues sont déjà réunies dans le ballet post baise.
Isa ne me laisse pas de calme pour me reprendre. Elle soulève mon haut pour défaire le soutien gorge. Mes seins sont à sa disposition. Elle embrasse les pointes en les faisant presque bander. Une main vient sur ma chatte, à travers le jean. Elle appuie aux endroit sensibles. Je ne maperçois que maintenant que je mouille. Il me tarde même quelle me touche. Sa science des femmes fait quelle défait la fermeture éclair de ma braguette pour passer une main vers mon secret. Elle commence à caresser le clitoris à travers ma culotte.
- Tu en a envie, hein ?
- Oui, caresses moi.
- Non, pas encore, déshabilles toi comme moi.
Elle le fait rapidement, je le fais lentement. Jai ainsi le temps de voir son corps en détail. Quelle belle femme sexy avec ses seins bien durs qui pointent vers le plafond, sa taille fine à coté de la mienne, ses fesses bien rebondies qui attirent les mains baladeuses. Je ne parle pas de sa touffe en forme de cur qui donne accès à sa chatte que je devine à peine. Elle aussi me regarde en détail. Jai le tort daller lentement, assez pour quelle me voit en entier.
Jai à la fois envie de ce quelle va me faire et dun bite. Jespère quelle a au moins un gode.
Isa profite de ma station debout pour me prendre dans ses bras. Nous sommes pratiquement de la même taille, elle serre ses seins contre les miens. Cest à la fois sexy et bon. Nos pointes se touchent longuement. Elle recommence à membrasser. Japprécie sa langue surtout quand elle me lèche les lèvres. Un main passe entre les fesses. Je la laisse faire en souhaitant quelle passe sur le petit trou. Je la tiens par la taille pendant quelle explore enfin là où je voulais. Elle caresse lanus lentement, sans appuyer. Si elle continue elle va me faire jouir. Dommage, elle arrête avant. Son doigt passe sur le périnée, puis lentement, sur la chatte. Elle nentre même pas dans le vagin, là où jaime bien avoir une occupation.
Isa continue vers le clitoris. Elle le fait sortir de sa protection, puis lentement elle le caresse. Je tends mon ventre vers elle. Jai un besoin urgent de jouir. Elle aussi sans doute quand elle prend ma main droite pour que je passe sur son sexe. Elle est mouillée au moins autant que moi. Je glisse facilement dans son piège à jouissance. Je vais directement dans son trou principal. Mon doigt joue à la danse du sabre. Je suis bien obligée darrêter pour respecter mon orgasme. Je jouis ainsi dune femme. Cest bon, différent en plus doux dune masturbation que peut faire un homme.
Cette fois cest moi qui lembrasse. Ma main reprend son travail de branle. Elle se crispe juste au moment où je sens les spasmes dans son vagin. Je suis étonnée de sentir leffet de mon doigt dans son con.
- Viens allons nous faire du bien dans la chambre.
- Tu me suceras ?
- Bien sur, idiote.
Lidiote va lui monter ce quelle sait faire. Je lui défoncerais le cul avec deux ou trois doigts avant de me faire mettre de la même façon.
Elle ouvre le lit, my allonge sur le dos. Quand elle se couche elle se met entre mes jambes.
Isa ne me laisse aucun repos, elle se retourne complètement. Je comprends son désir dun 69. Jaurais préféré la langue de Jacques. Mais en voyant ce sexe de fille près de moi, je me tends pour la lécher moi aussi. Je goûte avant la cyprine qui ressemble à la mienne. Je me mets à la tâche de lui donner du plaisir. Je ne fais que reprendre ce quelle ma fait. Joubli volontairement lanus (jai peur de lodeur de déjections) Je trouve que son intérieur est drôlement lisse à coté du mien. Je retrousse ma langue à la recherche de son point G que je trouve difficilement. A partir de là, elle est à ma merci, comme je létais un instant avant.
Je ne mapplique quà une seule chose : son plaisir. Je dois y réussir largement en la faisant jouir plusieurs fois.
Nous nous arrêtons pour nous remettre de nos émotions. Nous nous câlinons comme des amants repus. Cest vrais que nous somme en pleine baise depuis un peu plus de 2 heures.
- Tu es douée pour une première. Jai envie de toi pour demain et sans doute les autres jours, tu es la meilleure que je connaisse.
- Je reviendras demain après midi, jai déjà envie de toi.
En arrivant chez moi, Jacques se demandait où jétais.
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