Leslie Ar01

Voici une nouvelle série de récits, et d’aventures avec Laure que nous voulions partager avec vous, ou encore des confidences ou les récits de nos amis.

Leslie AR01 - Les confessions de Catherine

Voici celui de Catherine, une amie rencontrée un jour et qui m’a confié quelques une de ses aventures.

« Je profitais comme chaque année de la petite maison de vacances de mes parents à Noirmoutier, une petite maison, isolée et entourée par la lande, où je pouvais profiter du calme de l’ile. Située en bordure de la plage, elle était l’endroit idéal pour se ressourcer et se reposer. En ce mois de mai, l’ile était déserte et la météo étant clémente et je comptais profiter de baignades et de soleil sur la plage désertée.

Je suis une femme de trente ans et je suis assez grande, un mètre soixante-quinze, un corps mince et je suis épilée intégralement, blonde aux yeux gris, les hommes se retournent sur ma silhouette et les femmes que je ne repousse jamais voudraient me conduire dans leur lit.
J’avais proposé à une amie de venir me rejoindre afin de lui changer un peu les idées. Elle en avait besoin, une rupture difficile avait eue raison de son, moral et elle était au bout du rouleau.
Le premier matin en attendant son coup de fil, je me délassais sur la terrasse au soleil en me disant que je pouvais bien abandonner mon maillot de bain étant isolée et en plus protégée par une haie de thuyas assez haute qui faisait le tour de la maison.
Je n’hésitais une seconde et s’est nue dans mon transat que je ne tardais pas à m’assoupir. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je n’ai pas réalisé que j’étais entièrement nue, j’ai couru vers l’intérieur de la maison où mon mobile se trouvait et ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatais ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre.
Sensation agréable d’être nue et de répondre au téléphone, c’était Jade, m’informant de son arrivée pour le lendemain, après lui avoir expliqué comment me rejoindre, je raccrochais et rejoignit mon transat pour continuer ma sieste.


Le soleil tapait dur et après avoir remis de la crème solaire, je goutais la douce sensation de la chaleur sur mon corps.
La chaleur gagnait mon corps dans le même temps qu’un désir sourd montait en moi, tranquillement allongée je me laissais aller dans cette plénitude et des souvenirs remontèrent à ma mémoire.
Souvenirs érotiques d’émois passés dans les bras de mes amantes et parfois celle d’un homme, je me remémorais les corps et un frisson parcourra mon corps.

Je posais, instinctivement, ma main sur mon ventre, puis je remontais vers mes seins pour caresser mes tétons qui ne tardèrent pas à durcir et pointer.
J’aime beaucoup me caresser les seins, agacer mes tétons, lorsqu’un amant me lèche les aréoles, je fonds littéralement.
Je continuais à me caresser les seins en pinçant les bouts et en les tournant légèrement, à m’en faire presque mal, mais c’était tellement bon…
Inévitablement ma main gauche s’est posée sur mon sexe pour le masser doucement, je soupirais de plaisir, je constatais que j’étais trempée, et mon index ne tarda pas à titiller mon petit bouton qui ne demandait que ça, puis enfin, je glissais un doigt entre mes lèvres brûlantes.
Les jambes de part et d’autres du transat me laissaient les cuisses largement écartées, je devais être impudique, amis je continuais d’une main à me triturer les seins et de l’autre à me masturber la vulve comme une folle, introduisant mes doigts dans mon sexe.
J’ai continué à me donner du plaisir en agaçant mon clito, jusqu’au moment où j’exposais en hurlant mon plaisir.

Malgré ce plaisir intense, je restais un peu frustrée, je suis allé e dans ma chambre car je venais de me souvenir qu’un de mes anciens amants m’avait offert des boules de geisha que je n’avais jamais utilisées.
Je me suis demandé à cet instant quel effet ça faisait de se promener avec ces boules en moi et me disais que c’était peut-être l’endroit idéal pour les essayer.
Je les ai trouvé dans ma petite trousse d’accessoires dont je ne me sépare jamais et je les ai introduit dans me chatte ruisselante de plaisir, je me suis habillée pour aller faire des courses en prévision de l’arrivée de Jade.

Pendant les courses je sentais les boules au fond de moi irradier mon sexe de douces sensations, sitôt rentrée j’ai pris une petite collation et je me suis couchée.

Après une nuit assez agitée, et le petit déjeuner avalé, j’ai décidée d’aller sur la plage pour me baigner et me dorer un peu, avec les boules de geisha toujours en moi.

Je suis partie à la plage, je n’avais qu’une centaine de mètre à faire, avec pour seul vêtement ma petite jupe du matin, sans culotte et sans soutien-gorge, juste ma serviette de bains pour pouvoir m’allonger.
Tout était calme, personne sur la plage, après avoir déposé mon sac et ma serviette dans un petit coin abrité, j’ai quitté ma robe et je me suis retrouvée nue face à l’immensité de l’océan.
Nue, retrouvant cette sensation agréable, je me suis baignée.
Après un moment j’aperçus deux promeneurs vers l’endroit où j’avais laissé mes affaires. Ils riaient et plaisantaient, mais ne semblaient pas avoir vue ma présence, je restais dans l’eau espérant qu’ils passent sans me voir où même sans s’arrêter.
Je ne pouvais sortir de l’eau, sans leur offrir la vue de mon corps nu.
Malheureusement, l’un des deux jeunes me fit un signe de la main. Auquel je répondis, un peu gênée quand même, bien qu’il ne puisse se rendre compte de ma nudité.
S’avançant au bord de l’eau, il me demanda :
- Elle est bonne ? Vous êtes courageuse, elle doit être un peu froide !
- Non, ça va, elle est bonne…
- Vous êtes du coin ?
- Oui, je viens souvent ici, ma maison est juste derrière vous, et vous ?
- Nous on est originaires d’ici et nous sommes au lycée, le vendredi après-midis comme nous n’avons pas cours nous nous baladons sur la plage, c’est sympa quand les touristes ne sont pas là.
Son copain, jusque-là resté sur la plage s’approcha, après avoir enlevé ses tennis et il trempa ses pieds dans l’eau.
- C’est vrai qu’elle est bonne et on est cons d’avoir oublié nos maillots sinon, on aurait pu se baigner en charmante compagnie.

Je commençais à me sentir un peu mal à l’aise, d’ici qu’ils se baignent à poils, alors je pris les devants en disant :
- Excusez-moi, mais je suis toute nue, vous pourriez vous retourner pour que je puisse sortir de l’eau et me sécher avec ma serviette ?
Sympas comme tout, ils se retournèrent et je suis sortie de l’eau pour m’envelopper dans ma serviette et me sécher, puis j’ai enfilé ma robe.
- Merci, vous êtes sympas !
- Pas de quoi.
- Je m’appelle Catherine.
- Moi c’est Michel.
- Et moi Marc !

A suivre…

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