Acte I : Petite Balade En Montagne

Les événements relatés, bien que légèrement romancés, se sont déroulés durant l’été 2012, dans le chaud et chaleureux département de l’Ardèche. Vous comprendrez, dans la suite de votre lecture, que je limiterais les précisions sur les lieux et les noms réels des personnes intervenants dans ce récit.

J’étais parti ce matin là vers 7h00, comme à mon habitude, avec mon chien, me promener et profiter des magnifiques paysages désertiques de la région. J’avais rejoins le GR7 que je suivais depuis près de 2h00. La chaleur commençait à monter des roches calcaires et je m’arrêtais dans un fourré de chênes verts situé un peu à l’écart du chemin dénué de végétation. Assis le dos à un rocher, haut d’environ 1,5m, je buvais lentement quelques gorgées d’eau encore fraîche.
Soudain, j’eu un sursaut en entendant un bruit de froissement de feuille au dessus du rocher contre lequel j’étais appuyé. Il faut signaler que l’on croise de nombreux serpents dans cette région et que je ne suis pas fan de ces reptiles. Ce n’étais, très heureusement, qu’une jeune femme dont je pouvais voir le dos. Cette jeune femme brune aux cheveux courts, en short noir et teeshirt jaune, mesurait environ 1m60. Elle était fine mais avait les fesses bien remplies. Cela renforçait bien sa féminité. Elle tourna rapidement la tête de gauche à droite puis déboutonna son short et se mit à croupie pour uriner. La scène s’était déroulée à la vitesse de l’éclair et même si j’avais voulu signaler ma présence, je n’en aurais pas eu le temps. Depuis ma position, j’avais une vision imprenable sur son anatomie. Je me sentis envahir par une bouffée de chaleur incontrôlable. La fille se mit à uriner longuement et je n’en perdis pas une goutte. Mon visage était à moins d’un mètre de son postérieur. En respirant doucement, je sentais les effluves de son urine et de la sueur qui brillait à la naissance de ses fesses. Cette situation incongrue était fabuleusement enivrante.

Une main glissée dans mon short, j’avais saisi mon sexe qui se tendait vers ce spectacle. La fille s’était redressée, le cul tendu vers moi et elle cherchait maladroitement un morceau de papier ou un mouchoir, dans les poches de son short qui était resté accroché sous ses genoux. Elle n’en trouva apparemment pas et allait remonter son short lorsque dépassé par la situation je dis : « non !... s’il vous plaît… ».
La fille, surprise, se retourna sèchement, en poussant un cri et en me regardant ahurie.
Je repris ma phrase en rougissant : « …ne souillait pas vos dessous, je vais vous en prêter un ou…si vous voulez… je serais heureux de le faire avec ma langue ». Je l’avais dit. Je n’en revenais pas moi-même et la fille non plus d’ailleurs. A ce moment là, un homme apparu à ses côtés. Brun, 35 ans environ et athlétique il semblait aussi surpris qu’elle de me voir là.
Elle se tourna vers lui et dis : « Il ma vu pissée et maintenant il me propose de me lécher la chatte ! ». L’homme répliqua immédiatement sans quitter des yeux la main que j’avais dans mon short : « eh bien…tu n’as qu’à en profiter ! ». La fille descendit du rocher accompagnée de son compagnon. Elle vint jusqu’à moi, se retourna, abaissa le short qu’elle avait maladroitement remontée en haut des fesses et me tendis son cul. Je ne me fis pas priée et je plongeais le nez dans ses fesses. Alors que je lapais goulument son sexe. J’écartais d’une main son cul et de l’autre je déboutonnais mon short pour pouvoir avoir accès à mon sexe. Il était prêt à exploser. Son compagnon avait lui même tombé le pantalon et se faisait sucer par sa compagne. Elle semblait y prendre beaucoup de plaisir, à moins que se ne soit mes coups de langue qui commençaient à faire leur effet. Au bout de quelques minutes, je me suis mis allongé sur le dos et la fille s’est accroupie sur mon visage pour me donner accès à son clitoris. Son sexe n’était pas parfaitement rasé mais vu l’improbable situation, je ne m’en plaignais pas. Alors que je continuais ma besogne, Malika (la fille) se mit à quatre pattes et Louis (son compagnon) vint se placer derrière elle, juste au dessus de mon visage et la pris en levrette. Maintenant que je la voyais de très près, il était bien mieux monté que moi. Sa tige était longue et étroite avec un gland proéminent en forme de champignon. Il se mit à aller et venir dans sa compagne en mouvement amples sortant presque totalement son sexe avant de replonger au fond de Malika. Je continuais à passer ma langue autour du sexe de la fille en titillant de temps à autre son clitoris ce qui avait pour effet de lui arracher des petits cris. Je récupérais au passage la mousse qui s’écoulait de son vagin et ma langue passait aussi sur la tige de son compagnon. Les deux amants semblaient apprécier ce manège et Louis sortait parfois totalement son sexe de l’orifice de Malika pour carrément me le mettre sur la bouche !
Au bout de quelques minutes, alors que Malika n’en pouvait plus et après lui avoir léché quelques instants la rondelle, Louis s’est mis à la prendre par l’anus. Malika avait ôté son teeshirt et son soutien gorge. Elle avait de tous petits seins avec de gros tétons. Je me suis donc débrouillé, en me tortillant, pour remonter vers ses seins et sa bouche. Je pouvais maintenant prendre la place libérée par son amant. Pendant que je faisais rouler ses tétons entre mes doigts et que je l’embrassais goulument, nous activions alternativement des mouvements de va et viens. Une fois s’étais Louis qui plongeait dans son fondement et quand il était au bord de l’explosion, je prenais le relais. C’était vraiment fabuleux. Les sensations étaient vraiment très fortes car l’espace empli de nos 2 queues était vraiment très réduit. Je sentais, au travers de la paroi de son vagin, le sexe de son compagnon. Au bout de quelques minutes de ce mécanisme, Malika se mit à jouir en me mordant à l’épaule. Louis jouis à son tour au fond de son cul puis je vins à mon tour dans son vagin. Nous restâmes quelques minutes dans cette position, en respirant très fort. Louis, s’est dégageait le premier et vint au niveau de nos visages. Il présentait maintenant son sexe débandant et souillé de sperme (pas très clair) au bord de la bouche de sa compagne. Malika, au lieu de faire ce qu’il attendait, pris son sexe d’une main et me le mis sur les lèvres. Après ce qu’ils m’avaient fait vivre, je ne pouvais rien leur refuser. J’ai donc pratiqué la première pipe de ma vie. Cela plaisait à Louis mais sans doute encore plus à Malika, qui n’en perdait pas une miette. Ne s’arrêtant pas là, lorsque jeu fini, Malika vint s’assoir sur ma bouche. Je me mis alors à nouveau docilement à nettoyer son sexe et son anus souillés par nos deux liqueurs. Louis s’était assis et nous observait. Elle finit par s’assoir sur ma poitrine en se caressant le pubis et en nous regardant alternativement. Soudain elle s’est mise à m’uriner dessus. D’abord sur ma poitrine puis elle s’est redressée et m’a aspergé le visage, en insistant sur ma bouche. Elle me dit sèchement : « tu voulais y gouter ! Alors boit ça ! ». J’ouvris donc la bouche, mais heureusement, la source se tarie rapidement. Après cela ils sont partit tous deux d’un grand éclat de rire, que, après une hésitation, j’ai partagé. Nous nous sommes rhabillé doucement puis sommes descendu ensemble à la rivière. Nous y avons passé le reste de la matinée. Nous nous sommes échangé nos numéros de téléphone et sommes repartis, chacun de notre côté.