Hotesse À Rio
Le vol arrive à Rio à 17 heures locales. Presque 9 heures de vol. Partie en hiver, je me trouve en plein été là bas. J'ai l'air de me plaindre, pourtant j'adore mon travail, même s'il peut paraître un peu comme une bonniche de luxe. Il me faut arriver plusieurs heures avant le départ, faire connaissance avec l'équipage, assister les passagers. Bref le travail d'une hôtesse, en plus chef de cabine d'un A340. J'ai de la chance de trouver une amie : nous nous connaissons depuis bientôt 12 ans dans la même compagnie. C'est hélas, rare de nous retrouver ensemble à bord.
Je parais pète sec comme ça : il le faut des fois. Il arrive souvent que les passagers mâles ou femelles me draguent. Ils ne se doutent pas que nous avons toutes des propositions sans cesse. Il m'arrive bien sur de me laisser tenter si le diablotin est mignon, très mignon. Je ne lui fait aucune proposition, c'est lui qui sans avoir l'air de le dire me donne rendez vous. Il est presque toujours plus gourmand qu'en réalité : je m'explique. Les décalages horaires fatiguent surtout les néophytes. On peut faire la fête un instant et s'écrouler un moment plus tard. C'est malheureusement souvent le cas.
Ce soir j'arrête mes vols pour une petite semaine. Même loin de chez moi c'est bon d'en profiter : vive le sommeil. Et puis trouver le soleil, même trop chaud me fera du bien. Ce soir donc, je dîne avec une vraie amie (je suis la marraine de sa dernière fille). Pour nous reposer nous préférons manger dans sa chambre. Nous avalons vite ce qu'il faut pour aller nous coucher. Je vais vers ma chambre quand je croise dans le couloir, juste devant ma chambre un visage que je connais. C'est justement un de ces hommes mignons que j'aime bien, qui m'a draguée dans un vol précédent.
Ainsi on se trouve.
Oui, c'est rare.
J'aimerai continuer cette conversation dans une chambre.
Vous insistez toujours pour me faire l'amour.
Pas seulement, parler est aussi utile.
Vous m'énervez, entrez dans ma chambre.
Il ne demande pas mieux, moi aussi, pas pour les même raisons. S'il veut me faire l'amour, je veux être baisée simplement avec une belle queue si possible, et ensuite rapidement dormir.
Nous entrons donc, il commence par m'embrasser. Rien à dire, sa langue est bonne dans ma bouche. Je sens même sa queue bander sur mon ventre. Elle me semble assez grosse pour me contenter.
Je le pousse vers le lit, en enjambant ma valise. J'arrive vite à ouvrir sa braguette pour sortir son vit. Il n'est pas des plus important, j'en ai connu de plus gros et long. J'aimerais bien qu'il me la mette.
Je le prend en bouche pour le faire bien bander. Outre l'urine, je sens sa propre odeur de bite. J'aime bien. Ma langue le lèche le long du manche pendant qu'une main caresse largement les couilles. Je suçote le frein, je tète la petite goutte de sperme. Il se laisse faire sans bouger, sauf qu'il me dit que je suis la reine des pipeuses.
Ne pas le faire jouir maintenant, le garder pour la fin. Je le laisse tomber pour me mettre nue, tant pis si mon uniforme tombe par terre. J'ai envie de jouir, même s'il s'en va. Il semble comprendre le message. Il est vite nu. J'admire un corps d'athlète qui sans douceur me couche avant de venir sur moi. J'écarte les cuisses, il semble vouloir me baiser comme un sauvage. Dans un sens c'est ce qu'il fait, il lève mes jambes, les fait passer sur ses épaules : je suis entièrement ouverte.
Je l'attend dans le vagin. Je le sens sur mon cul. Ah, non il ne va par m'enculer avant ! Je préférerais qu'il commence par le con. Je sens qu'il met de sa salive sur l'anus. Tant pis, je jouirais par ce trou. Il écarte les chair de l'anus, je suis détendue, il entre sans grands dommages. Il me fait du bien. Je sens bien sa bite entrer profondément, comme j'aime. Quand il est en moi, totalement, je commence ma rengaine en gémissant. Il me bourre comme le ferait un cheval à une jument. Il va de plus en plus vite, à croire qu'il a un train à prendre.
Il voudrait bien continuer. Je n'en peux plus de fatigue. Je m'endors sur lui. Le décalage horaire me fait réveiller vers 4 heures. Il est toujours près de moi. Je prend doucement sa queue pour le masturber. Sa bite semble faite pour être branlée comme je le fais : elle durcie vite, sans qu'il se réveille.
S'il dort profondément, je suis bien réveillée. Ma main a prit toute sa queue, je me targue d'être une excellente branleuse. Je caresse toute le queue de haut en bas, lentement, comme le ferait une petite souris. Je baisse et laisse en bas le prépuce pour que je frotte lentement le pouce, mouillé avec ma propre cyprine, sur le gland. Je vois ses couilles remonter vers le ventre. Si je pouvais le faire jouir sans qu'il se réveille. J'en serais satisfaite.
Il faut croire qu'il n'est pas insensible en étendant tout son corps le long du lit. Je me mets accroupie près de lui, je ralentis encore ma main. Puis, sans que je sache pourquoi, j'ai soif de sa semence. Tant pis s'il se réveille. Je le branle normalement fortement, Il se réveille de plaisir, il est sur le point de jouir. Je guette son orgasme que je sens venir. J'approche simplement ma bouche pour qu'il éjacule en moi. Je reçois plusieurs jets puissants de sa source de liqueur.
Il est quand même un peu déçu de ne pas avoir vécu le début de ma fantaisie. Je l'embrasse sur la bouche pour lui faire partager son sperme. Je suis un peu étonnée de le voir mettre de lui même sa langue dans ma bouche, comme s'il était à la recherche de sa semence. Il passe sa langue partout dans ma bouche au point de me donner une envie remarquable de l'avoir dans mon con.
Je prend dans la bouche la bite toute rétrécie depuis sa jouissance. Ma main sur son bas ventre part à la recherche de son anus.
Je sens le membre entrer dans mon ventre. Il est gros, juste comme je le désire. C'est bon de l'avoir dans le con, je remues juste pour que les aller et venue soient selon mon désir, mon besoin. Je me penche à peine en arrière pour bien pouvoir me branler aussi. Lui regarde ma main s'agiter assez vite sur le clitoris. Mon dieu que c'est bon de baiser ainsi. Je m'agite pour jouir. Je le fais trop rapidement à mon goût. Dès que les spasmes se calment je reprends encore deux fois. J'ai confiance dans la capacité de résistance de la queue que j'ai vidée tout à l'heure. J'ai raison, au moins jusqu'au milieu de la fois suivant où il éjacule avant que je ne jouisse pour la dernière fois. Je me finis avec ma main.
Ma collègue amie, elle aussi réveillée me passe un coup de fil. Elle me confie qu'elle vient de jouir avec le gode qu'elle emporte à chaque long courrier. Je suis vaniteuse en lui disant que je viens de jouir avec un vraie queue. Je pousse le vice de lui demander de venir chez moi pour que toute les deux nous nous amusions entre filles. Elle sait fort bien ce que je veux dire : moins de deux minutes plus tard, elle frappe à la porte. Je vais ouvrir nue comme pendant que je baisais.
Je l'embrasse à peine sur la bouche qu'elle me passe la main sur la chatte. J'écarte les jambes pour qu'elle me caresse bien.
Tu a un mec bien, il baise comment ?
Il est à plat, je l'ai vidé.
Tu aurais pu me prévenir, je t'aurais aidé.
Elle me pousse vers le lit, les jambes écartées, mon sexe bien mit pour qu'elle le suce. Je sais qu'elle déguste et ma chatte et le sperme de mon amant de la nuit. Elle me donne envie d'elle. Je la fais mettre en 69. Enfin j'ai un con à ma disposition, je ne me gêne pas pour le lécher d'une langue gourmande. Nous nous mettons immédiatement sans nous concerter un doigt dans le petit trou entre les fesses. C'est amusant à faire, c'est délicieusement dégoûtant et tellement bon.
Mon amant semble sortir d'un rêve quand il s'aperçoit que je baise une autre femme. Il bande encore. Ma collègue se charge de se faire prendre par derrière. Je la suce, elle se fait enculer, que demander de mieux ? Nous finissons de crever totalement cet homme : il ne reviendra certainement pas. Par contre nous avons une petite semaine pour nous aimer comme nous voulons, surtout de nuit à la piscine de l'hôtel.
Le retour vers Paris est sans histoire, comme notre relation saphique qui ne reste qu'un bon souvenir.
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