Ludo Et Son Prof 3
Dans mes deux précédents courriers je vous ai raconté ma rencontre avec un ex professeur duniversité dans un camping où résidait mes parents et mon dépucelage, puis mon installation à son domicile et mon initiacion aux partouzes avec Félix un de ses amis antillais et avec une de ses amies lesbiennes qui ma sodomisé avec un god. Aujourdhui, dans ce troisiéme et dernier envoi, je vais vous raconter, comme je vous lavais promis en conclusion de mon envoi précédent, comment jai trompé mon amant avec Félix notre complice de partouzes....
Mon amant en plus de son travail de prof était aussi syndicaliste et il dût partir pour un congrés durant une semaine.Un dimanche aprés midi je l accompagnais donc à laéroport et de retour à lappartement je me mis à penser que jusquà présent javais un mec avec moi chaque nuit et quil ne se passait pas un jour sans quil me baise, que je le suce où que nous ayons des relations ; cela allait-il me manquer... ?Effectivement, cette idée petit à petit sincrustait dans mes pensées jusqu à mobséder ; javais bien un godemichet mais je préfére, et de loin, une belle et bonne queue bien remplie, javais besoin de sexe et ne connaissant personne à part mon mec et Félix joptais pour contacter ce dernier me demandant comment laborder puisque jusquà présent cétait toujours mon amant qui le contactait...Je décidais donc daller chez lui directement, il nhabitait pas loin et, de plus, je navais même pas son numéro de tel. Sa voiture garée devant la porte mindiquait quil était chez lui, tant mieux. Je sonnais à linterphone et mannonçait. Lorsque jarrivais à son étage il était devant la porte et apparut visiblement surpris de me voir seul débouler chez lui .
- Salut Ludo, tu es seul ? me lança t-il en regardant derriére moi et membrassant sur les lévres.
- Oui, et durant une semaine car Marc est à un congrés de son syndicat et je ne sais pas où il a rangé le tire bouchon, alors jai pensé que tu pouvais men prêter un.
Pour ceux qui nont pas lu mes premiers récits je précise que Félix est un antillais dune cinquantaine dannées au rire communicatif et dune gentillesse extrême. Il me fit donc entrer, asseoir sur le divan et revint avec le tire bouchon et un gin tonic qui est ma boisson préférée, il sassit à mes côtés et tout naturellement me prit par le cou et membrassa gouluement ; bien sûr je répondis immédiatement à son étreinte.
- Jai tant attendu ce moment là ; Ludo, tavoir rien quà moi , combien de fois me suis-je branlé en y pensant me souffla til à loreille...
Je posais ma main entre ses cuisses et je pouvais ainsi juger quil avait vraiment envie de moi, ces bourses étaient bien pleines et sa queue narrêtait pas de se dresser..
- Viens me dit-il en se levant et me prenant par la main, et nous nous dirigeâmes vers la chambre que je connaissais bien.
Il me déshabilla tout en membrassant puis se dévetit à son tour, il sallongea sur moi et nos lévres se collérent un bon moment pendant que nos mains caressaient le corps de lautre, je frissonnais, il sen rendit compte et cela lexcita encore plus ; il me prit la tête délicatement et la dirigea vers son bas ventre, je lechais son corps pendant que ma bouche se dirigeait vers sa queue bien raide et gonflée ; je le prit dans ma bouche et jentendis un souffle de soulagement et de plaisir sortir de sa bouche...
Me va et vient étaient volontairement lent, je savais quil aimait ça, et moi aussi dailleurs, pourquoi le cacher, parfois jabandonnais sa queue pour lecher ses bourses, les mettre dans ma bouche et je lentendais gémir de plaisir, ça mexcitait terriblement, puis je reprenais sa queue et jaccélerais le rythme petit à petit, maintenant ses mains me plaquaient la tête contre son bas ventre et jetais au bord de déglutir en sentant le fond de ma gorge obstruée par sa queue imposante, 19cm tout de même !
- Ludo, cest bon, cest bon tu suces merveilleursement et tu le sais hein, salope ! Ca faisait partie du jeu, il savait que jaimais être traité ainsi et que cela mexcitait encore plus.
- Continue, salope, accélére, ma pute, tu es à moi maintenant !
Et tout en me disant cela ses doigts soccupaient de mon petit trou, il savait me le dilater, ce salop....Puis il me les enfonçait, les retirait, les enfonçait à nouveau, jetais humide javais envie quil me prenne,là, tout de suite je devenais dingue de désir je le voulais en moi, vite !
Ja saisis ces couilles à pleines mains et les pressaient tout en serrant bien mes lévres autour de sa queue, maintenant je le suçais à la vitesse grand V, je savais qu il nallait pas tarder à minonder de son foutre ; il gémisait de plus en plus fort et avait de plus en plus de mal à se retenir, sesdoigts avaint laissé mon petit trou pour me mainenir la tête bien contre son bas ventre et sa queue dans ma bouche ; lorsquil jouit il cria ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! laaaaaaaaaaaaaa !!!! Te génial ma pute !!! et je reçus une cascade de son foutre bien chaud et salé, que je ne pus avaler entiérement tellement il était abondant, et que je déglutis sur son ventre...Sa queue était encore bien raide, je me my sur lui et mempallait ausitôt sur elle, me soulevant et mabaissant en appuyant mes mains sur son ventre. Sa queue était encore bien chaude et rentrait sans problémes au plus profond de moi tellement ilmavait bien préparé, il me tenait par les hanches et acompagnait chacun de mes mouvements .
- Elle est bonne ta queue chéri, défonce moi, vas y !!! Je lencourageais ainsi et ça mexcitait encore plus, je savais que je nallais pas tarder à jouir comme une chienne...
- Tiens, ma pute, tu la sent hein ma grosse queue !
- Ouiiiii cest bon, continue, je suis ta salope, je tappartiens, fais ce que tu veux de moi cheri !!!!
Je commençais à entendre en moi un bruit diffus qui, maintenant je le savais, mannonçait que jallais prendre mon pied, et effectivement, trés vite, ce bruit se convertit en bruit de cloche, ma tête était rempli de bruits de cloches, ma poitrine se compressait ma vue se brouillait, je nétais plus là.
-Ahhhhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouhhhhhhhhhhh et une cascade giclait en moi me faisant crier encore plus. Je nai rein connu daussi bon que de me sentir inondé de foutre, cest divin !
Je reprenais le sens de la réalité peu à peu, jétais allongé sur Félix, sa queue était encore en moi mais avait réduit en taille de maniére notoire. Il membrassait et me caressait tendrement le visage.
-Ludo, tu me rends fou, tu sais, tu es vraiment la reine des salopes et j ai encore du mal à réaliser que je tai eu rien quà moi...Lui aussi avait du mal à revenir sur terre apparement...
On revint au salon où mattendait mon verre et il mit la télé.
Ecoute, Ludo, me dit-il, maintenant que tu es là, tu restes diner avec moi et tu passes la nuit ici, ok ? Je répondis par l affirmative, javais encore envie de lui...
Le téléphone sonna ; cétait un jeune que se faisait Félix qui avait envie, tout comme moi dailleurs, dune bonne baise et Félix lui répondit à mots couverts quil avait de la famille chez lui. Je le vis gêné vis a vis de moi en raccrochant le combiné.
- Jai fait un malheureux apparement en venant ici lui dis-je en souriant
- Oui, me sourit-il mais tu as fait surtout un heureux en me comblant, Ludo. Il sagit dun jeune de 20 ans dont je vous avais parlé je crois à toi et à Marc. C est un bon coup, mais pas autant que toi, tu sais. Ecoute, puisquon parle de ça, si un jour tu quittes Marc, nhésite pas une seconde, viens ma porte tes grande ouverte, noublie pas ; depuis le premier soir où vous êtes venus ici je suis amoureux de toi, maintenant tu le sais. Et il membrassa tendrement, jétais ému à pleurer et je lui rendis son baiser le plus amoureusement possible.
Aprés le repas, je faisais la vaisselle pendant quil débarassait la table, je le sentis se coller à moi et membrasser dans le cou, aussitot je me cambrai et collai mes fesses contre sa queue, le résultat fut immédiat, à travers son short sa queue pointait dure et se plaçait entre mes fesses, je me retournais lembrassait violemment sur les levres, mélangeant ma langue à la sienne pendant que ma main descendait pour lui baisser le short et faire jaillir son énorme instrument que je caressais puis que je branlais carrément avant de maccroupir et de lengloutir voracement jusquau fond de ma gorge.
- Tu te régales avec ma queue, pas vrai, petite salope ? Pour toute réponse j accélérais mes va et vient et je serrai encore plus mes lévres autour de son engin qui nen finissait aps de gonfler dans ma bouche. Au moment où il explosa en moi ses mains plaquaient ma tête tout contre son ventre, je reçus donc ses jets puissants directement au fond de ma gorge !
- Avale tout ma chienne, avale tout, tu aimes hein, salope !!! Ahhhhhhh !!!
Il narrêtait pas de décharger, je continuais donc à le sucer et à me délecter de son foutre, javais mal aux genoux à force d avoir cette position mais je tenais absoluement à rassasier mon amant. Une fois quil mait tout envoyé je le léchais pour bien le nettoyer ce qui le fit frissonner de plaisir.
-Tes génial chéri me lança t-il, je nai jamais rencontré une telle salope comme toi ! Je pris cela comme un sacré compliment et lembrassait gouluement une fois debout et à sa hauteur.
On passa la soirée sur le divan devant la télé à nous caresser et nous exciter, je ne pensais quà une seule chose me faire défoncer par son bel engin et, si possible, toute la nuit. Il dût lire dans mes pensées car avant la fin du film il me prit par la main et nous nous dirigeâmes vers la chambre. Il prit la direction des opérations sans perdre de temps, membrassant pendant que sa main me caressait la poitrine et descendait doucement mais sûrement entre mes cuisses, il menserra la queue et commença à me branler doucement, délicatement puis il passa sa main dessous et l introduisit entre mes fesses, ses doigts me malaxaenit lanus, jécartais mes jambes pour lui faciliter le passage ;
- Tu aimes ça pas vrai, ma pute ? Tu sais que je te prépare pour que ma grosse queue te fasse hurler de plaisir, hein, dis moi, tu es chaude comme une chienne en chaleur !
- -Oui, chéri, j ai envie de toi, jadore ta queue, je la veux au plus profond de moi, fais moi tout ce que tu voudras, absolument tout, je suis à toi !
Il me retourna, toujours délicatement, je transpirais je le voulais en moi maintenant à cet instant, je pris loreiller et le plaçait entre mon ventre et le matelas de sorte que jétais légérement cambré, jadorais cette position car ainsi je facilitais la pénétration et je sentais encore mieux le membre s enfoncer inexorablement en moi. Il mécarta les fesses continua à me dilater puis je sentis sa langue remplacer ses doigts, javais du mal à ne pas tressaillir tellement sa langue mexcitait et me comblait. Puis, il vint me mettre sa queue dans la bouche afin que je lui redonne la vigueur nécessaire et trés vite lenleva, il était tellemnt excité lui aussi que deux ou trois aller/retour de ma bouche avait redonné sa « taille de travail » à sa queue ! Il entra en moi, le plus délicatement possible et neût aucun mal à toucher mes extrémités tellement jétais lubrifié, je me tortillais pour sentir encore mieux son membre me labourer. Cétait génial ! Il entrait et sortait en accélerant a chaque fois un peu plus la cadence, et à chaque fois ses couilles me fouettaient les fesses, cetait exquis et m excitait encore plus.
- Tu me sents bien là, mon chéri ?
- Ouiii , cest bon, jaime ta queue, je lai bien en moi !
Maintenant, son membre était énorme et bien gonflé javais limpression de me faire pilonner par un marteau piqueur, je ne pouvais me retenir de gémir de plaisir.
- Je te baise mieux que Marc, hein, pas vrai, petite pute ?
- Oh, ouiii, tu es génial Félix, continue, défonce moi, insulte moi, baise moi toute la nuit !
Il déchargea en moi tout en continuant à me pilonner, je sentais une inondation menvahir, cétait bon, jadorais jaccompagnais chaque mouvement de ses reins, mais je narrivais pas à jouir, chose rare jusquà présent chez moi ...
- Continue, narrête pas je t en supplie, fais moi jouir, je veux jouir, défonce moi encore avec ta grosse queue, vas y, vas y !
- Tu en redemandes, hein, tu es une vraie chienne, tu le sais, hein ?
- Ouiii, Félix, je suis ta chienne, je suis ta salope, je suis ta pute, tu me régales !!!
Je sentais son membre regonler au fur et à mesure des mouvements de ses reins que je mefforçais daccompagner le mieux possible par le mouvement des miens ; son foutre dégoulinait, ressortait et me lubrifiait les fesses, jétais fou dexcitation, je voulais non seulement quil décharge à nouveau en moi mais aussi quil me fasse jouir, je voulais jouir, je voulais à nouveau jouir sous ses coups de boutoir, comme cet aprés midi!
Je sentais que lui aussi à nouveau était prêt à exploser,
- Que veux-tu que je te fasse chérie pour te faire jouir ? Sa voix marrivait distante, je commençais à perdre la notion de la réalité, je nallais pas tarder a hurler de plaisir, je le savais.
- Continue, continue,chéri, accélére encule moi à fond, je suis à toi, je suis ta pute attitrée !
Comme sil navait attendu que cet ordre, il me plaqua violemment contre lui en maintenant fermement ses mains sur mes hanches, et je sentais son membre non plus entrer et sortir mais aller de droite à gauche tout au fond de mes entrailles..
- Tiens, prends ça, tu voulais ma queue eh bien tu las toute en toi et elle nest quà toi petite salope !!!Hmmmmmm cest bon toi et moi, dis...
- Jétais sur un cheval, je galopais nu dans la nature, le vent me cinglait le visage, jétais bien, jétais ailleurs un bruit de cloches envahissait ma tête, je criais,je hurlais, une cascade entrait en moi.....Je jouissais comme une salope que je suis !!!
Félix était à mes côtés, javais ma joue collée sur son ventre, il me caressait, javais du mal à reprendre mon souffle.
- Tu mas crevé, Ludo, tu sais...Et il se mit à rire. Je nai jamais entendu quelquun crier ainsi en jouisssant, que ce soit homme ou femme dailleurs, heureusement que les murs sont épais..Je rougis sur le coup, puis nous éclatâmes de rire. On sendormit ainsi.
Au milieu de la nuit, en me tournant je sentis quelque chose de dur me pousser ; même en dormant il ne pouvait sempêcher de bander. Je la prit dans ma main et commençait à la branler sans que cela ne le réveille, je regardais ce membre si raide et gonflé qui mavait défoncé et procuré tant de plaisir, et je ne pus résister à le prendreà nouveau dans ma bouche.Le plus délicatement possible je lengloutis et me délectais de le lécher, de l embrasser, de le sucer il était à moi et rien qu à moi. Je me fis la réflexion stupide que Félix me baisait mieux que Marc, que je jouissais mieux avec Félix plutôt quavec mon prof et rien que de penser cela mexcita à nouveau et me fit accélérer ma pipe afin de recevoir une bonne giclée le plus vite possible ce qui ne tarda pas à se produire sans réveiller mon amant pour autant ; ormis un long râle il ne manifesta aucun signe de réveil...
Au petit matin ce fut lui qui me réveilla en me suçant, je déchargeais en lui et jaurai bien aimé lui rendre la pareille mais nous navions pas le temps . Il me donna un double des clés de chez lui et me supplia de passer toute la semaine chez lui ; pour le taquiner je lui demandais si ça nallait pas poser des problémes dans sa relation avec son jeune minet et pour toutes réponses il me roula une pelle en me disant doucement.
-Ludo, cest toi que je veux pour vivre avec moi, pas lui, laisse tomber Marc et installe toi ici, ok ?
- Félix, laissons faire le temps, veux-tu. Je me rends compte que jai trompé Marc pour la premiére fois et que je le tromperai aussi toute cette semaine avec toi , je ne men serai jamais crû capable.. Allez , va au travail maintenant tu vas être en retard...
A midi je rentrais chez moi, le répondeur était rempli de messages de Marc, merde, javais oublié ça...Je lappellais aussitôt sur portable, ça tombait bien cétait lheure du repas et il avait rallumé son téléphone
- Je tai appellé tout hier soir, où étais-tu ?
- Jai diné chez mes parents et dormi chez eux, je mennuyais sans toi...
Il me dit quil appellerait tous les soirs, je ne pouvais tout de même pas lui faire croire que jallais tous les soirs chez mes parents, la seule solution était que je fasse venir Félix ici.
Tous les soirs, donc, celui-ci venait et ne repartait que le matin aprés une nuit intense détreinte qui nous rassasiait autant lun comme à lautre...Un soir, alors que nous regardions le film Marc mappella, pourtant il mavait déjà appellé comme à son habitude.
-Ludo, jai envie de toi, je mennuie sans toi, je suis nu sur le lit et je me branle, prends le god sil te plait je veux t entendre jouir..
-Ok, rappelle moi dans 5 minutes le temps que je me déshabille et aille à la chambre.
Une bouffée de chaleur menvahissait, je frissonnais car je savais que jallais jouir tout en me faisant prendre par Félix avec la voix de Marc dans loreille. Jexpliquais à Félix ce qui se passait et lemmenait à la chambre, rapidement nous nous dévêtirent, je lui prit son membre dans la bouche et le suçait rapidement afin quil soit bien raide lorsque Marc appellerait, ce qui se produisit quelques secondes aprés dailleurs.
- Tu es prêt ma pute ?
- Oui, chéri, je suis nu, les jambes écartées et le gode à mes côtés.
- Prends le dans ta bouche, chienne, et suce le, léche le bien cest ma queue que tu suces, tu entends ?
- Avant quil ait fini de me donner ses ordres javais déjà la queue bien dure de Félix dans ma bouche, le combiné à mes côtés afin quil ne perde pas les bruits de ma bouche..
- Voila, cest bon hein, tu aimes sucer ma petite pute, mmmmm que tu suces bien! Maintenant je vais te défoncer, je sais que tu nattends que ça, enfonce toi-le comme je t enfonce ma grosse queue, vas-y !
Jétais sur le dos, les jambes écartées et légérement relevées, le combiné plaqué entre ma tête et mon épaule, Félix, à genoux, collé à moi, il neût quà me faire glisser un peu pour entrer en moi, je lui avais dit surtout de ne pas souffler ni crier...
-Tu la sents ma grosse queue, Ludo, elle rentre bien, hein ?
-Ouiii, mmm elle rentre petit à petit chéri, je la sent bien, ça mexcite ! Javais le membre de Félix qui entrait en moi, il était chaud, il était gros, il savait me baiser ce salop, il savait comment me régaler !
- Accélére! De plus en plus vite! Je laboure ton petit cul, ma pute, là, je suis au fond de toi je te défonce comme tu aimes !
Javais du mal à maitriser la situation, Félix se déchainait en moi, cela lexcitait follement, je le regardais et je navais jamais vu en lui autant dexcitation, ses yeux semblaient sortir de leurs orbites, il était rouge à exploser...
- Ouiii, chéri, elle est bonne ta queue, tu me régales, tu es tout au fond de moi !
- Dis moi que tu maimes,dis moi que tu es mon esclave dis moi que tu es ma petite pute !!!
- Mmmmm, tu es mon maître, mon mec, je t appartiens entiérement, je suis ta pute fais de moi ce que tu veux !
Félix me soulevait littérallement avec ses coups de reins qui collaient sa queue au plus profond de moi, je n allais pas tarder à hurler, je le sentais , je le savais...
- Tiens, salope, tiens recois tout mon foutre dans ton cul de salope, ahhhhhhhhhhhh
Comme si tout cela avait été minuté je reçus au même moment une giclée de semence bien épaisse de Félix pendant que Marc déchargeait la sienne sur son lit dhotel et que je prenais mon pied comme jamais peut être je ne lavais pris,cétait irréel !
- Tu as aimé toi aussi, mon chéri, ne dis pas non car tu mas crevé le tympan !
Un gros rire sortait du combiné téléphonique
- Ouiii, javais aussi envie de toi, tu sais, tu me manques...
Pendant ce temps Félix sactivait toujours en moi, lentement, amoureusement même je dirais..
- Bonne nuit, mon Ludo, tu es à moi pour toujours, bises.
A peine le combiné raccroché Félix sallongea sur moi, et membrassa voracement, violemment javais troujours sa queue en moi.
- Tu as bien joui pas vrai, chienne que tu es ! Tu as hurlé comme une véritable petite pute que tu es !
- Ouii, cest ta queue qui me rend fou chéri, elle est bonne et ton foutre est abondant, tiéde et salé comme jaime ; ta queue nest qua moi et rien quà moi !
Cela redonnait de la vigueur à son membre je le sentais à nouveau gonfler en moi, jeus donc droit à une seconde scéance moins exitante que la précédente mais tout aussi intense...
Marc rentrant le lundi je dis à Félix quà partir du vendredi soir il ne me baiserait pas, je le satisferai comme je savais quil aimait mais mon petit cul me faisait mal et je ne pouvais pas me refuser à Marc le soir de son retour tout de même !
Aprés le retour de Marc on sorganisa avec Félix pour se voir chez lui deux fins daprés midi par semaine; en fait, cet inteméde dune semaine mavait fait découvrir que Félix me baisait bien mieux que Marc mais ce dernier est bien plus calin, plus prévenant, plus attentionné...Aussi, et jusquà ce jour, je continue de vivre avec lui mais jattends impatiemment les fins daprés midi où Félix me prouve chaque fois un peu plus que je ne me suis pas trompé....
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