La Culotte

Tu n’auras le droit de retirer ma petite culotte que lorsque tu verras que l’entrejambe est mouillé !

Aujourd’hui, j’ai décidé de mener le jeu ! mon chéri et moi adorons jouer pour nous exciter et faire monter la température.
Il ne s’attendait pas à cet ordre, et en affiche un air presque déçu qui m’attendrit. Je le rassure très vite en lui disant : tu n’as qu’à tout faire pour m’exciter avec des gestes, des mots. Je ne bougerai pas et me laisserai faire, mais en aucun cas, tu ne pourras toucher mon entrejambe, et certainement pas avant que ma petite culotte n’affiche une trace d’humidité significative ! d’accord ? La balle est dans ton camp !

Après cette petite explication, il eut l’air assez excité par cette nouvelle idée de jeu et mit un point d’honneur à respecter mon désir du jour !

Il commença par me déshabiller de manière très langoureuse et très habile, sans précipitation et déposant de petits baisers doux dans mon cou, là ou il me savait très sensible. De temps en temps, il murmurait des mots très crus à mon oreille, en même temps qu’il ouvrait mon chemisier et me caressait la pointe des seins : j’adore que tu sois ma salope et que tu me fasses languir ! mais tu ne perds rien pour attendre ! je bande déjà si fort que je me réjouis à l’idée de fourrer ma langue et mes doigts au fond de ta chatte trempée de bonne salope avant de te sodomiser comme un sauvage ! tu vas la sentir ma queue, dans tous tes trous !

Je commençais à me tortiller et pour me rendre compte de son état qu’il venait de m’affirmer, je posai une main sur sa braguette et ce que je sentis alors confirma qu’il était prêt à mettre ses dires à exécution. Mais il savait qu’il devait faire mouiller ma culotte ! j’avais mis des dessous qu’il aime : des Dim-up noir satinés gainaient mes jambes et je portais ma guêpière de dentelle noire et satin émeraude, avec le boxer-string assorti. L’entrejambe de satin bleu-vert était idéal pour laisser transpercer la moindre humidité qui ne manquerait pas d’arriver, et je le savais pertinemment !

Il eut un sourire de satisfaction lorsqu’il fit tomber ma jupe à terre et tout en passant ses mains sur mes fesses frémissantes, il murmura : t’es vraiment ma bonne salope toi !

Il savait très bien que l’entendre me dire des mots crus avaient sur moi des effets terribles, et il ne s’en priva pas ! il retira ma guêpière et m’allongea sur le lit, prenant bien soin de mon confort, plaça un oreiller sous mes fesses et m’écarta les jambes en remontant mes genoux, de manière à avoir la vue parfaite sur mon entrejambe turquoise !

« Tu gardes encore ton bijou caché, mais tu ne vas pas traîner à me le montrer salope, je te le jure » me dit-il en passant sa langue avide sur ses lèvres.

Je lui souris d’un air blasé, du genre « cause toujours » mais je sentais déjà en moi monter une envie que je m’efforçais de cacher encore ! fidèle à ce que je lui avait annoncé dès le début, je ne bougeais pas ! et pourtant… ! il se débraguetta lentement en me regardant droit dans les yeux et laissa tomber son pantalon à terre, outr’ouvrit sa chemise de haut en bas mais la garda sur lui, et commença à se caresser à travers son boxer. Le bout de sa bite dépassait déjà de son boxer et il prit un malin plaisir à s’approcher de ma bouche, juste assez pour que j’en humai l’odeur et il en effleura ma bouche. Il recula et posa ses yeux sur mon entrejambe en signe de vérification. Toujours aucune trace ! il se dit qu’il fallait alors passer à la vitesse supérieure ! il s’assit près de moi et tout en continuant à caresser sa queue, il posa son autre main sur mon ventre, sous le nombril et se pencha pour me lécher un sein ! la chaleur de sa main sur mon pubis encore couvert et la douceur de sa langue qu’il promenait doucement sur mon téton me firent soupirer de plaisir et je m’efforçai encore de me concentrer sur ma culotte. Je voulais que ce traitement dure longtemps, qu’il fasse encore monter mon désir. Il me connaît bien et recommença à me susurrer des saletés à l’oreille : je vais te faire tellement mouiller sans te toucher la chatte que c’est toi qui me supplieras de te prendre ! tu vas trinquer salope ! j’ai du mal à me retenir de te sauter tout de suite mais je me soumets volontiers à ton caprice parce que je sais qu’ensuite, je vais me régaler comme jamais ! tu en auras pour ton compte ! tu seras léchée, doigtée, godée, baisée, sodomisée, je te prendrai en double avec ton plus gros gode, je te prendrai dans tous les sens, dans toutes les positions, plusieurs fois, je t’élargirai la moule avec une main entière dans ta chatte de salope pendant que je jouerai du vibro dans ton petit cul ! ça te va comme ça ?

Ces paroles crues tout en continuant ses caresses sur mon corps avaient eu l’effet escompté. Je cambrai les reins en basculant la tête en arrière, les yeux fermés, voyant les images de tout ce qu’il venait de me dire. Je relevai la tête en exclamant un « haaaan » et vit qu’il affichait un large sourire et son regard lubrique satisfait était posé sur mon entrejambe. Le turquoise de ma culotte venait de virer au sombre sous l’effet de l’abondante mouille qui s’écoulait de ma chatte gourmande.

Il ne lui fallu pas d’autre autorisation pour m’arracher et balancer ma culotte, et tomber son boxer ! je me jetai alors sur cette queue qui me faisait tant envie depuis le début et je lui taillai une pipe mémorable pour le remercier. Il se plaça et on partit dans un 69 d’enfer ! il me doigta la chatte tout en broutant goulument mon minou tandis que je le suçai en le gobant jusqu’aux couilles tout en introduisant un doigt que je fis tournoyer dans son cul. Et les bruits furieux qu’on émettait tous les deux en gigotant nous firent jouir en même temps dans un orgasme de folie qui nous secoua de longues secondes !

Après quelques minutes de récupération, il vint s’allonger près de moi, en sueur, la queue fière, afficha un sourire très coquin, s’approcha de mon oreille et me dit : tu n’en n’as pas fini encore ! tout ce que je t’ai dit tout à l’heure, tu l’auras ! il te reste juste à deviner quand…….