Estivale
ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
Jai reçu beaucoup de messages me rappelant que je navais rien écrit de nouveau. Comme beaucoup de personnes, nous sommes partis en vacances. Avec mes RTT divers et variés, javais cinq semaines à poser. Et pour une fois, pas de projet en cours pour mempêcher de disparaître tout ce temps-là. Je suis restée quasiment enfermée à la maison les quinze premiers jours daoût, aux mains de mon maître et de quelques invités occasionnels.
Mes matinées commençaient comme dhabitude, par la queue de mon maître dans ma bouche. Une fois mon maître réveillé, il mannonça le premier jour une nouveauté.
Je vais essayer quelque chose de nouveau. Pour te rabaisser un peu plus. Alors chaque matin, à partir de maintenant, après avoir joui dans ta bouche, je my viderai la vessie.
Javais déjà envisagé que ce jour puisse venir. Javoue que je navais pas hâte. Je mourais denvie de refuser, mais
mais je me devais dessayer, au moins. De vraiment essayer. Ce ne serait peut-être pas si éprouvant que je le pensais ? Bref, ce jour-là, après lavoir fait jouir dans ma bouche, je le suivis à reculons jusquà la table du petit déjeuner. Il mordonna de lattendre à genoux à côté de sa chaise. Pour my contraire, il fixa mon collier à une laisse passée au pied de table le plus proche. Une fois son petit déjeuner prêt, il sassit, et mordonna de passer sous la table, pour le prendre dans ma bouche. Son sexe était mou et très chaud. Je le pris sur ma langue et attendis.
Je vais uriner dans ta bouche. Je vais retenir le jet, pour quil soit lent. Avale au fur et à mesure. Aujourdhui, tu pourras essuyer ce qui aura coulé par terre avec une serpillère. À lavenir, ce sera avec tes cheveux, puis avec ta langue, quand tu seras habituée.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je sentis les premières gouttes chaudes contre mon palais, et remplir ma bouche. Tant que je ne respirais pas, cela navait presque aucun goût, et ça nétait ni agréable ni désagréable.
Ainsi se passent nos petits déjeuners depuis ce premier matin de vacances. Hormis une fois où jai avalé de travers (et où jai dû tout laper par terre beaucoup moins « agréable »), jai chaque fois réussi à avaler lurine de mon maître. Je ny prends aucun plaisir, et il le sait, mais je suis fière de le servir encore un peu plus, et quil mait trouvé un autre rôle, une autre façon dutiliser mon corps. Et parfois, la prise de conscience du fait quil se soulage dans ma bouche minspire une bouffée de chaleur aussi délicieuse que honteuse.
La première semaine, mon maître travaillait encore. Le premier jour, il mhabilla dune jupe à un peu évasée, un peu transparente, et un petit chemisier blanc assez fin. Une fois vêtue, il me pencha rudement sur la table, et my plaqua dune main sur les reins. De lautre, il glissa en moi un uf vibrant dans mon vagin, et un plus fin dans mon anus. Il y ajouta mon petit rosebud muni dune queue en crin de cheval. Les deux jouets sont reliés par un fil électrique à un boîtier, gros comme une télécommande de parking, muni dune agrafe, et de deux boutons pour régler les vibrations de chaque objet. Il la passa à la ceinture de ma jupe. Sous mon top, le relief était assez discret. Il alluma les deux jouets. Javais limpression que les vibrations, communiquées au rosebud, faisaient un bruit assourdissant, mais je me doutais que cétait sans doute un « écho » intérieur.
Les instructions de mon maître furent claires :
Tu vas partir en même temps que moi, et te promener dans Paris. Tu changeras le réglage des deux ufs tous les quarts dheure. Tu peux jouir, à condition que tu sois dans la rue. À midi trente, tu attendras dans les toilettes du restaurant à côté du bureau. Les toilettes des hommes, au premier étage. Nue, avec le boîtier passé à ton collier. Oh, à propos du collier. Pas de foulard pendant les vacances. Tu le portes au grand jour. Et tu expliques de quoi il sagit si on te pose la question.
Je déglutis, embarrassée davance. Je vais donc mafficher le collier se remarque aisément, avec ma tenue dété.
Nous partons, mon maître pour sa matinée de travail, et moi pour ma « promenade ». Les jouets me donnent déjà une démarche hésitante. Dautant que début juillet, impossible de croire que cétait la chaleur qui me donnait le rouge aux joues ! Jaccompagne mon maître dans le métro, il profite que nous sommes un peu serrés pour changer lui-même les réglages des deux ufs. Le changement de régime me donne un sursaut supplémentaire. Puis il membrasse, quelques stations plus loin, et descend.
Je continue quelques instants sur la ligne, pour descendre au parc Monceau. Je le traverse, la démarche un peu raide, je ratt Malesherbes pour continuer vers Saint Lazare. Jai chaud ! Jai le ventre en feu, luf entre mes fesses vibre un peu au hasard, et cela rend la stimulation encore plus difficile à ignorer. Jai remarqué des regards sur mon collier, des gens qui essaient de lire la médaille au passage
pas facile, sans doute, mais ils voient bien, en revanche, que je porte un collier et une médaille. Cela les intrigue. Il y en a même un qui a aboyé en passant à ma hauteur.
Je fais la queue un instant dans un établissement près de la gare, pour macheter une boisson à emporter. Statique, les jambes un peu rapprochées, je sens soudain que jai le choix : soit je me dandine pour repousser la sensation, soit je vais finir par jouir en attendant mon café frappé ! Je sens que le plaisir sera bref, léger, jessaie de penser à autre chose pour retarder le moment, mais
je ny arrive pas, évidemment.
Je repars, le souffle un peu court, la boisson délicieusement glacée dans ma gorge que je trouve brûlante. Je repars. À chaque pas, je sens mes lèvres humides, et
cette excitation mexcite. Ce qui ne maide guère à garder les idées claires.
Je surveille lheure, au fil de mes pérégrinations. Jévite les quartiers et les rues où il marrive de passer, pour éviter de rencontrer quelquun que je connais. Jai encore un orgasme, en attendant que le feu passe au rouge. Le troisième marrête en pleine rue. Un homme que je viens de croiser ma arrêtée en sétonnant de mon collier, et en me demandant directement de quoi il sagit. Je marrête, et je lui réponds. La situation et les jouets me mettent au bord du précipice. Je retarde lorgasme, pour méviter davoir cela, aussi, à expliquer. Sa curiosité satisfaite, lhomme repart, en mayant demandé comment on doit mappeler, vu ce que je suis.
On mappelle comme on veut. Mon maître mappelle souvent « Chienne » lorsquil veut me parler.
Alors bonne journée, Chienne !, me lance-t-il à voix haute.
Il repart, je fais trois pas et je jouis avec un hoquet, sous le regard de deux personnes interloquées par la façon dont le passant ma parlé.
Je finis par arriver au restaurant dont mon maître a parlé. Je le connais, nous y avons déjà déjeuné ou dîné plusieurs fois. Je prends une table pour deux vers le fond. Je suis un peu en avance, mais jai trop peur dêtre en retard.
Penchée en avant au-dessus de la cuvette, les mains contre le mur, jattends de longues minutes, toujours aussi interminables malgré la familiarité de la situation. À plusieurs reprises, jentends la porte des toilettes souvrir et se refermer. Personne ne semble mavoir remarquée. Puis jentends la voix de mon maître.
Nathalie ?
Oui, maître.
La porte derrière moi souvre.
Cest bien ma chienne, exactement comme je te lavais dit.
Je sens quil retire sur mon rosebud, que mon anus tente de retenir, rendant sa sortie encore plus délicieuse. Sans attendre, mon maître le remplace par sa queue, qui avance sans ménagement. Mon cul laccueille avidement. Malgré les trois orgasmes de la matinée, mon corps est électrisé par cette pénétration.
Mon maître me prend avec énergie. Je lui demande la permission de jouir, quil me refuse. Luf dans mon cul bouge à chaque coup de rein de mon maître, et celui dans mon ventre est dautant plus présent quil roule contre le gland de mon maître. Qui, lui, ne tarde pas à jouir, à grands jets, dans mon cul. Il se retire aussitôt et remet le rosebud dans le même geste.
Je me retourne et maccroupis, et essuie son sexe avec mes cheveux, comme chaque fois. Je me redresse et le remercie pour son sperme.
Maintenant ma chienne, tu vas repartir. Tu tarrêteras dans le premier magasin de sport que tu croiseras, pour acheter un bikini, de couleur très vive, un bleu électrique ou une couleur fluorescente. Pour lessayer, tu te déshabilleras entièrement dans la cabine, pour ne garder que tes chaussures. Tu mettras ton maillot, et tu te prendras en photo dans le miroir. Je veux une photo entière, en pied. Lorsque tu auras acheté le maillot, tu le garderas sur toi et tu iras bronzer dans un parc, allongée sur le dos, les cuisses écartées. Là aussi, tu pourras jouir, mais sans serrer les dents. Et après, tu pourras retirer les jouets.
Je me rhabille, et je sors derrière mon maître. Jai limpression que les jouets vibrent encore plus fort, maintenant que jai été prise.
Je repars dans les rues, et cherche dans mon souvenir où serait le magasin de sport le plus proche. Sans doute celui de Madeleine. Jen prends donc la direction, et jy arrive un gros quart dheure plus tard. Je parcours les rayonnages. Le choix de bikini est encore large, jen choisis deux qui me paraissent assez révélateurs et de la bonne couleur. Direction, la cabine dessayage.
Je commence par me déshabiller entièrement. Jessaie le premier bikini, qui ne me plaît pas. Lautre, dun jaune fluorescent, est fabriqué autour danneaux en métal, un à chaque hanche, et un entre les deux bonnets du soutien-gorge, et jimagine quil plaira à mon maître moins de tissu, et donc plus de peau.
Le rosebud me gène un peu pour enfiler le string, jusquà ce que je décide de répartir les poils de ma « queue » de chaque côté. Cela appuie un peu sur le rosebud et souligne ses mouvements, mais au moins, je peux porter le maillot. Je sors mon téléphone de mon sac à main pour prendre la photo. Et là, je comprends. Avec lexiguïté de la cabine dessayage, je ne peux pas me prendre en pied. En revanche, si je sors de la cabine, jaurai assez de recul. Bien sûr, cela veut dire sortir dans le rayon en bikini et talons haut, avec une queue de cheval dans lanus. Je passe la tête par le rideau. Une personne dans le rayon. Jattends un peu, lair de rien, et elle sen va. Très vite, jouvre le rideau, je sors, je me retourne, et je prends la photo. ment, vu comme je tremble, elle est floue. Je grogne et je recommence. Je sens mon ventre se serrer autour des vibrations de luf. Je prends une grande inspiration, je cadre, je prends la photo. Une vendeuse arrive avec deux clientes, je me précipite dans la cabine !
Jentends la vendeuse sexcuser auprès des deux autres clientes, puis une voix devant le rideau me demande :
Je peux vous aider ?
Non ça va, je crois que jai trouvé.
Et vous
enfin
Jarrive, je temps de me changer. Tenez, par contre celui-là ne me plaisait pas. Par contre, je voudrais garder celui que jai sur moi, cest possible ?
Vous pouvez passer en caisse et revenir le mettre ici, bien sûr madame.
Merci.
Je passe la main à côté du rideau pour lui rendre le premier maillot. Ne sachant pas trop quoi faire, sans doute incertaine de ce quelle a vu et « rassurée » par le fait que je veuille effectivement acheter quelque chose, elle le prend, me remercie et retourne aux deux autres clientes. Jen tremble de plus belle !
Je retire le maillot, remets mes habits et sors de la cabine. Je suis en nage ! Je passe en caisse, en pliant le string pour quon ne remarque pas sa légère humidité. Puis je me change en cabine. En sortant du magasin, jenvoie la photo à mon maître.
Il me répond quelques minutes plus tard, dun : « Très joli. Maintenant, tu vas pouvoir jouir, ma putain. »
Mon ventre se serre de plus belle, et jen jouis presque sur le trottoir.
Je remonte à Monceau. Le trajet est toujours ponctué des changements de régime des jouets, et sils ne me font plus jouir, lexcitation reste brûlante. Arrivée au parc, je trouve un emplacement qui ne soit pas au milieu de la foule
mais difficile de trouver un coin désert ! À défaut, je trouve un endroit au soleil où personne na lair immédiatement tourné dans ma direction. Je me déshabille assise pour cacher mon rosebud et sa queue, je mallonge sur lherbe, cuisses un peu écartées. Jai hâte, mais étourdie par cette journée, jai limpression que tout le monde me regarde. Jattends un peu, comme pour me faire oublier. Ma main, presque sans mon aval, se porte une fois ou deux sur mon sexe. Je la retire avec un sursaut, et un vague regard alentour. Une jeune femme sest allongée un peu sur ma droite, devant moi, et bronze sur le ventre, les yeux fermés, la tête sur les bras. Elle a lair de dormir. Le moment est venu !
Je glisse la main sous le tissu de mon string. Aucun doute, mon corps aussi a hâte ! Mes doigts massent mon clito avec force, je me fais presque mal dans ma précipitation
je ralentis un peu
Allongée, luf dans mon anus remue tout le rosebud, jai limpression de sentir encore mon maître
alors je repense à son sperme, encore dans mon cul, et je jouis dun coup. Je lutte pour empêcher mon bassin de se soulever dans lorgasme, je replie un peu les jambes, pantelante.
Je rouvre les yeux. La jeune femme a la tête tournée vers moi, elle me regarde. Je ne sais pas quoi faire, mais elle madresse un sourire léger, un hochement de tête discret. Encore excitée, je décide de recommencer. Le deuxième orgasme met quelques minutes à venir, mais cette fois, je ne lendigue plus
le regard complice de cette spectatrice me donne envie dêtre spectaculaire. Je me cambre et je gémis, me rappelant cette fois de garder la bouche ouverte. Je vois que la jeune femme ne ma pas quittée des yeux.
Je prends mon téléphone pour remercier mon maître par texto. Puis, toujours sous lil amusé de ma voisine de pelouse, je retire les jouets de mes orifices, ce qui ne fait quélargir son sourire. Cest elle qui regarde de droite et de gauche pour voir si on ma remarquée. Je me concentre sur elle, pour éviter déventuels autres spectateurs moins bienveillants. Lorsque jai fini, elle hoche à nouveau la tête, puis se retourne sur le dos.
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