Emanuel, Devant Mon Mari Voyeur.
Quelques allusions relatives aux plaisirs
En tout premier lieu la femme possède un organe uniquement dédié aux plaisirs. Cest loin dêtre anecdotique
Le simple frottement dun vêtement, dun mouvement, nous le rappelle insidieusement. Pour peu que les circonstances sy prêtent nous voici, souriantes, joyeuses, gaies et plus si notre caractère favorise notre épanouissement.
Il me la proposé, nous avons décidé dassumer ma féminité sans nier notre couple, avec son accord et sa participation, vivre des relations sexuelles épanouies avec dautres hommes et Lui présent, accepter ses cadeaux.
Ce soir Emanuel me rend visite pour parfaire lorganisation de lexposition de novembre. Ce garçon me plait, mattire sexuellement. Mon mari le sait et sait quau cours de cette rencontre je souhaite massurer quEmanuel est un gentleman ; au sens que jattribue à mes amants.
Juste me rendre compte si je ne me trompe pas, quil sera un bon amant, capable de partager avec notre couple le désir, je le sais déjà, que je représente pour lui. Il est des regards qui ne trompent pas, des mots trop forts ou trop peu, de ceux troublés par limagination. Je lui plais, et réciproquement. Cela ne suffit pas. Il faut en plus lenvie de sassocier au couple pour le plaisir de la dame, rôle ingrat peut être. Donner sans certitude de recevoir, être lhomme objet au service des plaisirs de la dame.
Il est beau, jeune, stylé, avec juste ce quil faut de retenue, et tout de même larrogance de la jeunesse dans le regard et parfois le sourire. Me reste à lui faire comprendre quil peut me réjouir sous le regard de mon mari.
On parle art, peinture et expériences personnelles, cest là ou tout se joue
Il me parle de son intérêt pour le nu et de son impossibilité à ce jour de trouver un modèle. « Je pose ? Oui. Nue ? Oui, pour la camera de mon mari. Je nai jamais osé le faire sous le regard dun autre, peut être qui sait, bien demandé
Accepterais-tu ? Demande à mon mari.
Osera-t-il ? Prochainement la réponse
Lattente est pétillante. JF me lance un regard coquin, il avait deviné mes intensions, notre soirée sera à la hauteur de lanticipation
dautant quEmanuel a appelé durant notre diner. Rendez vous sera donc pris pour une séance de pose dont chacun devine maintenant la possible nature
Je sais faire vivre la patience, savourer le temps de lenvie
Jai pris la pose, dans mon atelier. Nue entièrement, jambes croisées en appui sur un bras, rein creux pour valoriser ma poitrine ferme et bien ronde, lascive, je songe délicieusement aux pensées des deux hommes. JF observe dans langle, Emanuel a corrigé la courbe des reins, orienté les épaules, allongé la jambe
Mains douces et fermes, premier frisson. Regard de lartiste au modèle, un mot au mari « quelle silhouette ! Je suis subjugué » Traduction en réalité de : « je bande »
Aura-t-il laudace de ses envies ?
Il pose encore le pinceau pour une rectification de position de hanche, jusquau moment ou il pose définitivement linstrument et se préoccupe uniquement du corps du modèle. On a basculé.
Caresses, baisers, caresses encore. Il ose, ose bien
longuement, sensuellement, mon abandon est total. En sensuels échelons, délicates caresses, il fait vibrer ma peau, frissonner le corps. Chaque mouvement un brin de plaisir en plus, une excitation croissante. Tour à tour ou simultanément en élans subtils, les pointes des seins se dressent, mon clito se gonfle, ma peau vibre. Graduellement il aventure ses doigts autour de lépaule, lente descente sur la ligne des seins, un doux baiser sur la pointe, lautre main, innocemment, sur le pubis.
JF nous conduit ailleurs, vers le confort de la chambre pour poursuivre nos découvertes.
Je passe nue devant les deux hommes encore vêtus et témoins de lintense orgasme que je viens de vivre. Je souris à JF en haussant les sourcils pour lui faire part de ma surprise, presque honteuse de cet abandon, perversité délicieuse. Je lis, sur le visage dEmanuel, après la crainte davoir fait mal, létonnement de la jouissance ou il ma conduite. Les regards suivent mon déplacement vers la chambre, sans me retourner, confiante, jimagine, les bandaisons dressées et les coquineries que jai envie de vivre.
Assise sur le lit je défais le pantalon de toile dEmanuel qui doit terriblement le gêner vu la déformation du tissu sous la taille. Je découvre un corps svelte, musclé, finement délié et entièrement imberbe. Je lui souris en regardant son sexe dressé. Il ôte son teeshirt pendant que je mempare de son membre à deux mains. Je regarde le gland déjà ouvert et légèrement humide avant dy poser ma bouche pour lentement sucer. Il caresse mes cheveux, mes doigts glissent en alternance de mes lèvres.
Calme dun instant pour renouveler. Il grimace de se retenir, je jubile. Je croise les regards des deux hommes, alors que je sais ma position impudique, bouche ronde et joues creuses sur le sexe tendu, mouvements alternatifs de la tête, assise sur le bord du lit, cuisses écartées autour des jambes crispées dEmanuel. Je sais leur excitation de la situation, de limage et des regards malicieux. Ils subissent mon audace en envieux profiteurs. La rougeur de la peau au dessus des seins et du visage ainsi que la brillance de mon sexe, reflètent mon trouble profond. Situation lubrique dune femme perverse qui réjouit son amant face à son mari.
Il est temps que je mallonge pour maintenant profiter pleinement de ce membre dressé et vivant. Je le guide sur mon clito, puis en moi, de nouveau sur mon clito
mouvement dextase. Il me pénètre en force délicate, comme en respect, malgré son envie. Il sait, écoute mes sueurs, mes gémissements, mes frissons, mes tremblements, pour me donner a chaque instant le geste qui accroit mon plaisir et mon envie dencore. Je ne suis plus quun sexe, tout mon corps plaisir et envie, haletante, ouverte, offerte, a sa queue que je veux.
Le désir est intense, il dure encore et encore, chaque coulissement, enfoncement qui se succèdent le renforce, Emanuel sagrippe à mon corps, me serre, menlace. Les mouvements sont frénétiques, les sexes se choquent, se projettent lun dans lautre, sonores, claquements des cuisses. Denvie il me défonce au plus profond, se contracte tout entier pour moi, son sexe raide lime et bouscule mon vagin, tout son corps tendu pour le mien qui ondule. Je vis son désir à chaque coup de rein, je veux quil reste encore, quil continue, sentir sa force pour moi, tout son être au bout de son membre rigide. Son pénis, je le sens et le veux dans mon corps ouvert. Etre baisée ainsi que cest bon ! Avide de mon amant, jouissante sous le regard fou des deux hommes. Lérotisme a son apogée, le corps érogène tout entier.
Nos peaux unies vibrent ensemble le plaisir. Cuisses ouvertes, jambes écartées et relevées, jouvre au plus grand mon sexe pour le sien, je serre les muscles de mon ventre pour quil sente mon envie de lui, le plaisir intense quil me donne. Jondule, balance les reins et la croupe frénétiquement, joffre mon sexe, liés, branchés, unis nous sommes. Il tourne en moi, écrase mes lèvres et mon clito de son pubis mouillé par mes liqueurs. Je crie, je hurle et bave, indécente, femelle offerte. Il me donne et je lui montre, lui crie mon plaisir, non ! Pas maintenant, continue, continue encore
Jagite énergiquement mon clito contre son pubis, je regarde son dard me pénétrer, senfoncer et sortir de mon corps en plaisir énorme. Les plaisirs se multiplient jusquà lapogée des désirs. Tous ses muscles sont tendus raides comme la queue qui va et vient. Femelle enivrée par le partage avec mon mari qui me voit jouir dêtre prise.
Jai chaud, la sueur coule entre mes seins, tout comme mes liquides mouillent les cuisses dEmanuel et les miennes. Mes mains senfoncent dans ses fesses dures pour le garder au fond de moi. Je veux que mon mari aussi vive mon plaisir brûlant, je veux que mes gémissements traduisent la folie de mon corps, que les hommes sachent la tension intense, merveilleuse que je leur dois. Mes tremblements incontrôlés excitent lamant en moi et mon mari voyeur, les souffles traduisent le partage des émotions intenses. Extravagances du sexe, chacun accroit son plaisir du vécu visible des autres. Emanuel gobe mes seins, aux tétons tendus, du bout des lèvres, tout en me pénétrant encore avec ardeur. Il me veut. Comme le vit mon mari, tout comme Emanuel sait, quil le fait pour lui. Lun en moi, lautre à mes côtés sexcitent et mexcitent.
Dressé au-dessus de moi, la jouissance du coït final approche. La vague monte, au bord de la plénitude, on va jouir, chacun le sait, le veut, rien pour arrêter, être submergée. Je sens le corps se tendre, les cuisses ne bougent plus, il reste rigide, enfoncé, planté, visage grimaçant il va gicler et me prendre. Il râle son éjaculation au creux de mon cou, empoigne et pétri mes fesses de ses doigts fermes, mon sexe par le sien enfoncé. Je tremble et retient sa queue. Mon vagin se referme, enveloppe le membre tendue, laspire le suce même pour le faire jouir. Je glisse ma main entre nos ventres pour empalmer les couilles, les serrer, les écraser jusqu a en extraire les ultimes goutes de jus chaud. Son doigt dans mon anus, bourrée, remplie, brûlée, mon vagin palpite sur sa bite. Je joui, les étoiles explosent dans les yeux.
Dernier spasme, liés nous restons sans bouger, léternité de linstant !... Puis, lentement, les corps saffaissent, se détendent, se relâchent, liés encore avant quil ne méchappe. Les yeux souvrent sur lassouvissement. Mes jambes sallongent. Sourires de satisfaction, le sperme visqueux sécoule de mon sexe ouvert. La bandaison samenuise pour séteindre.
JF me sourit, rouge, désir au bout des doigts. Assouvie, je veux bien lêtre par toi aussi. Viens, entre dans mon corps mou et dilaté. Je sais ton impérieux désir urgent. Yeux clos je masturbe lentement mon clito au dessus de ton sexe qui baigne en moi, je vais partir encore une fois, partir pour toi avec toi, perverse encore, sous le regard impuissant dEmanuel repu. Nous jouissons en nous embrassant
je mendors sous toi, mon amour. Etre femme, ta femelle perverse!!
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